il faudrait que dans les lieux de services publiques; hôpitaux, mairies, transports, impôts..., des affiches informant les citoyens de ce que leur coûteraient ces services si ils ne payaient pas d'impôts
Au lieu de supprimer des services publiques, il faut mieux les répartir sur le territoire, et obliger les fonctionnaires à accepter des postes dans les zones ils sont nécessaires. Ils sont au service de l’Etat et des citoyens. S’ils veulent choisir leur lieu d’exercice indépendamment des besoins de l’Etat, ils ne peuvent être fonctionnaires.
il faut d'abord baisser les impôts sur les entreprises, afin de leur permettre d'embaucher et d'investir. il faut aussi supprimer les niches fiscales et homogénéiser le secteur privé et public. Il convient de réduire le train de vie de l’Etat, la rémunération des parlementaires et les dépenses de fonctionnement de l’Etat.
Revoir les conditions d'attribution de certaines aides sociales
Il convient également de cesser de revaloriser les minima sociaux et notamment le SMIC. Cela revient à niveler la société vers le bas. A ce rythme, les diplômes, l’expertise, l’expérience n’auront plus de valeur, si ce n’est déjà le cas. Une aide soignante gagne 1250€ net par mois, si le SMIC est au même niveau, ce qui est quasiment le cas, son diplôme aura la même valeur qu’une personne n’en ayant pas, par exemple ; une caissière. Employée qui n’a pas du tout les mêmes responsabilités. Autre exemple, je suis infirmière et gagne 1590€ net par mois. Quand j’entends des personnes exiger un SMIC à 1500€, qui signifieront mes 3 années d’études, mon diplôme et la responsabilité quotidienne qui est la mienne, celle de personnes malades, de vie, quand une autre personne sans diplôme ni responsabilité perçoit la même rémunération ? Si le travail, l’effort, la patience d’acquérir une expertise ont encore une quelconque valeur pour le Président et ses collaborateurs, qu’il ne cède pas à ses demandes. Elles ne feront que faire de tous des petits au lieu de nous pousser à nous élever. En bref il faut surtout réévaluer et revaloriser les salaires. Ainsi, pour prendre mon exemple et mon cas, une aide soignante et une infirmière, compte tenu de leurs responsabilités, elles devraient percevoir un salaire supérieur à 1300€ net pour la 1ère et 1700€ net pour l'infirmière, en début de carrière. en outre, les infirmières spécialisée, telles que les IBODE, puéricultrices devraient également être revaloriser nettement et pas juste percevoir une gratification de 100 à 200€ à l'issue de leur spécialisation. cette mesure doit être étendue à tous et surtout au privé.
les domaines prioritaires devraient être la santé et les soin aux personnes; hôpitaux, cliniques, infirmières libérales, les enfants placés, les EHPAD
pour que le fonctionnement et le financement des EHPAD et hôpitaux soient revus. Je suis infirmière et je constate les dérives de notre système. La T2A fut une erreur, obligeant les hôpitaux à fonctionnement à travers le prisme de la rentabilité. Or la santé n’est pas un bien marchand. On ne peut y appliquer les règles mercantiles et nombre d’études en attestent. D’autant que si soigner revient cher, faire de la prévention est un coût immédiat, mais un investissement et finalement une économie sur le long terme. En outre, la direction des hôpitaux devraient revenir à une mixité de professionnels : médecins et gestionnaires. Ils sont complémentaires. Or aujourd’hui, seuls les gestionnaires gouvernent et pour beaucoup ils viennent du commerce. Ils n’ont pas conscience ni connaissance des réalités du monde médical. Ensuite, vous parlez beaucoup de la répartition des médecins, du traitement des internes, mais quid des infirmiers. Il convient de revaloriser leurs salaires que ce soit dans le public que dans le privé surtout en tenant compte de la pénibilité et des responsabilités qui nous incombent. Enfin, la réforme des études infirmières, notamment la suppression du concours est une aberration. Le concours permettait de trier les profils et d’éviter que certains ne viennent par hasard ou des profils qui n’ont rien à faire dans cette profession. Profession qui exige des qualités relationnelles ne pouvant être évaluées qu’à travers un véritable oral prenant appui sur des épreuves écrites évaluant leur réflexion. Pour conclure, l’attitude de notre ministre, Madame Buzyn, est inadmissible. Elle ne se rend jamais aux émissions : EHPAD, les enfants placés… Or sa présence me parait normale. Elle semble demeurer dans « sa tour ». Certes elle fut entendue dans Cash Investigation sur les implants, mais il fallait entendre ses propos. Soit elle éludait, soit elle n’était pas responsable. Elle apparait totalement « déconnectée » des réalités. Son absence est véritablement un manque de respect quant aux problématiques dont elle semble se désintéresser.
Il convient également de cesser de revaloriser les minima sociaux et notamment le SMIC. Cela revient à niveler la société vers le bas. A ce rythme, les diplômes, l’expertise, l’expérience n’auront plus de valeur, si ce n’est déjà le cas. Une aide soignante gagne 1250€ net par mois, si le SMIC est au même niveau, ce qui est quasiment le cas, son diplôme aura la même valeur qu’une personne n’en ayant pas, par exemple ; une caissière. Employée qui n’a pas du tout les mêmes responsabilités. Autre exemple, je suis infirmière et gagne 1590€ net par mois. Quand j’entends des personnes exiger un SMIC à 1500€, qui signifieront mes 3 années d’études, mon diplôme et la responsabilité quotidienne qui est la mienne, celle de personnes malades, de vie, quand une autre personne sans diplôme ni responsabilité perçoit la même rémunération ? Si le travail, l’effort, la patience d’acquérir une expertise ont encore une quelconque valeur pour le Président et ses collaborateurs, qu’il ne cède pas à ses demandes. Elles ne feront que faire de tous des petits au lieu de nous pousser à nous élever. En bref il faut surtout réévaluer et revaloriser les salaires. Ainsi, pour prendre mon exemple et mon cas, une aide soignante et une infirmière, compte tenu de leurs responsabilités, elles devraient percevoir un salaire supérieur à 1300€ net pour la 1ère et 1700€ net pour l'infirmière, en début de carrière. en outre, les infirmières spécialisée, telles que les IBODE, puéricultrices devraient également être revaloriser nettement et pas juste percevoir une gratification de 100 à 200€ à l'issue de leur spécialisation. cette mesure doit être étendue à tous et surtout au privé.
Je fais plus confiance à mon député. Je l'ai élu pour ça.
Non
None
Il convient d’écouter plus les élus locaux en leur permettant également d’être plus proche des citoyens. Il faut aussi réduire le nombre de parlementaire, par exemple, un par département voir deux maximum, et faire en sorte qu’ils soient plus disponibles. Ils doivent réellement assurer ce rôle de relai et d’écoute, ils nous représentent, il faut que ce soit concret.
Une bonne chose
il permet à l'élu d'être pleinement à sa tâche, enfin, je l'espère.
La proportionnelle aux législatives est à mon sens une mauvaise idée. Elle a perdu la IVème République. Ce scrutin ne favorise pas l’émergence d’une majorité, mais l’instabilité parlementaire. Or nous sommes dans une période qui nécessite justement de la stabilité. Souvenons nous de nos expériences, tirons les leçons du passé, ne succombons pas aux sirènes du populisme. les sensibilités politiques sont représentées correctement à mon avis. c'est aux citoyens de prendre leur responsabilité. si ils ne sont pas d'accord ils doivent l'exprimer par leur vote. ne pas aller voter devrait être sanctionné.
Oui
il faudrait un député par département voir 2 maximum. De même pour les sénateurs.
Oui à la reconnaissance du vote blanc. Cela résoudrait certainement, en partie du moins, le problème de l’abstention. Beaucoup s’abstiennent car leur « non choix » n’est pas pris en compte, pas reconnu. Bien cela implique que si le vote blanc est majoritaire, une nouvelle élection doit avoir lieu après que les candidats aient revus leur « copie », et ce jusqu’à ce qu’un choix s’affirme. Il faut rendre obligatoire le vote. C’est un devoir, obtenu difficilement par certaines catégories telles que les femmes. C’est une responsabilité et notre moyen d’expression. Je suis opposée à tout référendum d’initiative populaire. Notre pays est trop grand et nous sommes trop nombreux. Relisons Rousseau, tenant de la souveraineté populaire. Il reconnaissait lui-même, que ce modèle viable en Suisse, ne l’était pas en France.
Oui
Un bulletin blanc doit être prévu à chaque votation en plus de bulletin de chaque candidat. ainsi, le vote blanc serait matérialisé et décompté lors du dépouillement. cela implique que si le vote blanc est majoritaire, une nouvelle élection doit avoir lieu après que les candidats aient revus leur « copie », et ce jusqu’à ce qu’un choix s’affirme.
Rendre obligatoire le vote, et l'abstention devrait être sanctionnée par une amende.
Non
None
RIEN Nous vivons dans une société de l'immédiateté, où tout doit se faire tout de suite, où les personnes ne savent plus attendre, ne supportent plus la frustration et pensent qu'elles n'ont pas besoin d'acquérir de l'expérience par des années d'exercice pour devenir des professionnels experts. En témoigne les nombreuses personnes qui se lancent dans une nouvelle activité professionnelle sans vouloir passer par une formation. il en va de même de la vie politique: nous élisons, un président qui nome un gouvernement pour conduire sa politique, nous élisons des députés pour qu'ils parlent en nos noms. nous devons en contre partie savoir attendre que leurs actions portent leurs fruits. 18mois ce n'est pas suffisant pour juger de l'action de l'exécutif. nous pouvons être critiques, mais nous devons, c'est notre devoir de citoyen, savoir attendre les premiers résultats.
être plus proche des collectivités
Oui
obliger les sénateurs à aller des leurs collectivités que les sénateurs rencontrent leurs élus régulièrement afin d'échanger. rendre certains avis du conseil contraignants.
il est matérialisé par la loi sur la séparation de l'Eglise et de l'Etat. Notre droit exige que les personnes circulant sur notre territoire, n’aient pas le visage couvert. Le voile intégral doit être proscrit par a loi, dans le code civil et/ou pénal. Quand nous allons en Arabie Saoudite, nous, femmes, mettons le voile, respectons leurs us et coutumes. Il doit en être de même en France. Si des personnes ne veulent pas s’y soumettre, qu’elles partent. Si elles veulent vivre en France, elles doivent accepter nos lois et notre fonctionnement, c’est la condition de leur intégration. La laïcité n’est pas religieuse ou anti-religieuse, elle signifie le respect des croyances de chacun demeurant dans leur sphère privée.
il faut qu'il y ait de vrais cours d'instruction civique, que les professeurs revoient la définition même de laïcité: La laïcité n’est pas l’athéisme, ce n’est pas l’absence de Dieu, mais le respect des croyances de chacun. C’est la « conception et (l’)organisation de la société fondée sur la séparation de l'Église et de l'État et qui exclut les Églises de l'exercice de tout pouvoir politique ou administratif, et, en particulier, de l'organisation de l'enseignement. (Le principe de la laïcité de l'État est posé par l'article 1er de la Constitution française de 1958.) » . Elle est concrétisée par la loi de séparation de l’Eglise et de l’Etat de 1905. Nous n’avons pas à afficher nos croyances dans la sphère publique, a fortiori dans les services publics.
il faudrait promouvoir le patriotisme, faire comprendre que notre Etat nous offre des possibilités et des protections qu'aucun autre n'offre. cela commence par rendre obligatoire le droit de vote, sanctionné tout signe ostentatoire de croyance et tout prosélytisme, qu'il soit chrétien, juif, musulman ou autre.
le bénévolat qu'il soit caritatif ou non doit être promu. favoriser l'entre-aide et que cela soit valoriser par exemple lors de recherche d'emploi. il faut aussi promouvoir le respect de l'autre, tant physique que verbal.
il faut favoriser ces comportements dès l'école. Emmener les enfants dans des centres ou foyers accueillant des handicapés afin de les sensibiliser, d'en faire des personnes tolérantes et ouvertes. continuer de promouvoir les colocations avec des retraités contre de menus services. restaurer un vrai service national, pas nécessairement militaire mais également civique sur au minimum 1 an. On peut envisager les 3 premiers mois dans un corps de l'armée afin de restaurer les valeurs patriotiques puis les reste au choix du jeunes parmi une liste d'option.
valoriser tous ceux qui font du bénévolat: associatif, maison de retraite, prison, pompiers volontaires, réservistes, par une reconnaissance au niveau professionnel et une attestation de leur engagement que cela soit au niveau du temps comme de la durée
le harcèlement de rue, les insultes, le manque de respect dans les lieux publics; par exemple céder sa place aux plus âgés, aux femmes enceintes. il faut également veiller à ce que les hommes des plus jeunes aux plus âgés respectent les femmes.
les incivilités doivent impérativement être sanctionnées, civilement, voir pénalement par des amendes, des contraventions voir des peines de prison pour les plus graves, telles que les attouchement dans les transports et les insultes les plus graves. il en va de même pour tout ce qui touche à toute forme de racisme y compris quand il s'agit de racisme anti-blanc.
les personnes doivent réagir quand ils en sont témoins et arrêter de détourner le regard. ils doivent aussi les signaler à la police municipale si elle est proche.
les insultes et le fait que les personnes ne laissent pas la place aux aînés et aux femmes enceintes dans les transports.
il faut favoriser ces comportements dès l'école. Emmener les enfants dans des centres ou foyers accueillant des handicapés afin de les sensibiliser, d'en faire des personnes tolérantes et ouvertes. continuer de promouvoir les colocations avec des retraités contre de menus services. restaurer un vrai service national, pas nécessairement militaire mais également civique sur au minimum 1 an. On peut envisager les 3 premiers mois dans un corps de l'armée afin de restaurer les valeurs patriotiques puis les reste au choix du jeunes parmi une liste d'option.
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Les immigrés illégaux doivent être renvoyés chez eux. Nous ne pouvons et ne devons accueillir tout le monde. Tous les sans-papiers ne doivent pas être régularisés. Pour ceux qui suivent les règles, il faut les accompagner et exiger qu’ils suivent des cours de français, de fonctionnement de nos instituions et un peu d’histoire. La langue est le premier facteur d’intégration. Ils doivent faire l’effort et nous devons leur donner les moyens.
oui, l'immigration doit être choisie.
instauration de quotas en fonction des besoins en termes d'emploi comme c'est le cas au Canada.
obligation de suivre des cours de français et d'histoire de notre pays avec un examen final éliminatoire. suite à cela, octroyer un permis de séjour temporaire pour quelques années qui deviendra pérenne après que le ou les personnes aient prouver leur intégration. refuser la régularisation systématique des sans-papiers. Etre plus ferme et ne pas hésiter à renvoyer ceux qui n'ont pas vocation à rester dans leur pays d'origine.
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Il convient d’écouter plus les élus locaux en leur permettant également d’être plus proche des citoyens. Il faut aussi réduire le nombre de parlementaire, par exemple, un par département voir deux maximum, et faire en sorte qu’ils soient plus disponible. Ils doivent réellement assurer ce rôle de relai et d’écoute, ils nous représentent, il faut que ce soit concret. Il convient de réduire le train de vie de l’Etat, la rémunération des parlementaires et les dépenses de fonctionnement de l’Etat. Au lieu de supprimer des services publiques, il faut mieux les répartir sur le territoire, et obliger les fonctionnaires à accepter des postes dans les zones ils sont nécessaires. Ils sont au service de l’Etat et des citoyens. S’ils veulent choisir leur lieu d’exercice indépendamment des besoins de l’Etat, ils ne peuvent être fonctionnaires.
Oui
il doit renforcer les moyens actuels et permettre aux élus de donner leur avis sur les choix de l'Etat dans leurs collectivités. Par exemple, pour la limite de vitesse à 80km/h, les élus sont les plus à même de savoir sur quels tronçons cela est pertinent. il ne faut pas tout homogénéiser, d'où l'importance de consulter et/ou de donner une délégation à nos élus locaux.
Oui
None
ce qui me préoccupent c'est surtout pour ceux qui n'ont pas accès à internet. toutes les démarches ne doivent pas avoir lieu que par internet, mais être mixtes. c'est impératif.
Oui
Non
que les informations sur internet soient véritablement mises à jour.
les impôts, la CAF, la CPAM
la mairie
Oui
Non
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Oui
ARRÊTER de confier à des énarques des dossiers qu'ils ne peuvent maitriser car ils n'en ont pas l'expérience. ils sont trop théoriques, pas assez pragmatiques et très souvent suffisant, pensant que parce qu'ils ont fait l'ENA ou de grandes écoles ils savent mieux. je prendrais l'exemple de l'émission du magazine de la santé sur france 5, concernant les EHPAD, où Mme Buzyn n'est pas venue mais à envoyer un énarque qui répondait à côté aux questions. on voyait qu'il n'avait aucune connaissance des réalités du terrain, mais n'avait pas l'humilité de le reconnaitre. il nous faut plus de personnes du terrain. ainsi, à l'hôpital: la direction des hôpitaux devraient revenir à une mixité de professionnels : médecins et gestionnaires. Ils sont complémentaires. Or aujourd’hui, seuls les gestionnaires gouvernent et pour beaucoup ils viennent du commerce. Ils n’ont pas conscience ni connaissance des réalités du monde médical.
il faut mieux répartir les services publics sur le territoire, et obliger les fonctionnaires à accepter des postes dans les zones ils sont nécessaires. Ils sont au service de l’Etat et des citoyens. S’ils veulent choisir leur lieu d’exercice indépendamment des besoins de l’Etat, ils ne peuvent être fonctionnaires.
deux fois j'ai cherché une formation. une première pour préparer des concours administratifs et une seconde pour l'école d'infirmière. dans les deux cas je suis passée par pôle emploi. les employés sont tous de bonne volonté mais ils connaissent peu leur dossiers et ne font pas de recherches pour connaitre toutes les possibilités qui existent pour aider les demandeurs. soit ils n'ont pas le temps soit ils n'en ont pas l'envie, je ne sais. toujours est il, que pour les deux je me suis présentée avec des dossiers que j'avais entièrement préparés moi-même avec toutes les démarches à faire, déjà faites et tous les financement possibles. en bref, j'avais réalisé leur travail. résultat est que mes demandes ont toutes été acceptées. j'ai pu passer mes concours sereinement et surtout, aujourd’hui, je suis infirmière.
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les employés de pôle emploi sont tous de bonne volonté mais ils connaissent peu leur dossiers et ne font pas de recherches pour connaitre toutes les possibilités qui existent pour aider les demandeurs. soit ils n'ont pas le temps soit ils n'en ont pas l'envie, je ne sais. toujours est il, que pour les deux je me suis présentée avec des dossiers que j'avais entièrement préparés moi-même avec toutes les démarches à faire, déjà faites et tous les financement possibles. en bref, j'avais réalisé leur travail. résultat est que mes demandes ont toutes été acceptées. j'ai pu passer mes concours sereinement et surtout, aujourd’hui, je suis infirmière.
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actuellement enceinte, les 6 premiers mois de grossesse ne sont pas pris en charge à 100%, cela ne me pose pas de problème. mais je suis suivi à l'hôpital au près du quel j'ai fait un dossier et où j'ai communiquer ma carte vitale et de mutuelle. pourtant j'ai reçu les factures de soins dont j'ai bénéficié jusqu'au 6ème mois, je les ai acquittées puis j'ai dû renvoyer l'attestation de paiement à ma mutuelle pour remboursement. je ne comprends pas que l’hôpital ne se soi pas servi de la télétransmission. en effet, j'ai reçu presque 10 factures dans 10 enveloppes, 10 attestations de paiement que j'ai dû renvoyer. quel gâchis financier et également en termes de temps!
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les perturbateurs endocriniens, les pesticides et toutes les substances reconnues dangereuses et qui continuent d'être employées.
les perturbateurs endocriniens, les pesticides et toutes les substances reconnues dangereuses et qui continuent d'être employées. Il faut impérativement ne plus donner autant de poids aux lobbies, souvent responsable de recul de décisions: exemple le glyphosate... Il faut également légiférer sévèrement, interdire ces substances: pesticides, nitrites, additifs, produits ultra-transformés responsables de maladies chroniques telles que le diabète, l'obésité, les cancers..
Oui
Je fais attention à ce que j'achète, je lis les étiquettes et je m'aperçois que de nombreux produits contiennent des substances dangereuses et que pour beaucoup d'autres la composition n'est pas spécifiée: couches bébé, protection hygiéniques...
Oui
je fais le tri, je ne jette pas la nourriture en préparant mes repas au plus juste afin de ne pas gaspiller. j'achète ce dont j'ai besoin et pas en fonction des promotions. je me rends au travail en vélo, mon mari également. nous prenons peu notre voiture et limitons son usage au strict nécessaire. nous revendons les objets que nous n'utilisons plus ou nous les donnons.
les aides sont évidemment incitatives, encore faut-il qu'elles soient adapter aux revenus. concernant la voiture: il faut augmenter le nombre de bornes de recharges et permettre aux copropriétés en ville d’être équipées. Sinon comment acheter une voiture électrique, quand on habite en appartement et que l’on ne peut la recharger. Les voitures en auto-partage sont une bonne solution, sauf que la caution demandée est en moyenne de 600€ et elle est encaissée. Cela constitue un frein pour beaucoup. Une caution oui, mais pas encaissée. Ainsi, plus de personnes y auraient recours. Généraliser l’aide des employeurs pour l’usage du vélo pour venir au travail. Trop d’entreprises ne le font pas ce qui n’encourage pas les employés à se rendre au travail en vélo.
La multiplication des bornes de rechargement des voitures électriques notamment dans les immeubles. Obliger les employeurs à participer aux frais kilométriques pour ceux qui viennent en vélo, comme c'est le cas pour les transports en commun.
Oui
Une chaudière plus récente et moins gourmande.
Oui
il faudrait que mon employeur participe à mes frais de transport-vélo.
L'auto partage|Le vélo|aide pour financer l'achat de vélo électrique.
c'est à nos élus que revient cette charge, qu'ils soient locaux (maire, conseillers) ou national (députés, sénateurs). ils sont nos représentants, nous les avons élus pour cela.
elle doit convaincre nos partenaires, faire voter des directives .
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Votre message a bien été envoyé.