En aucun cas les élus, car leur motivation est trop souvent exclusivement électoraliste au détriment de l'intérêt de ceux qu'ils représentent
Non
None
Réformer le mode d'accès aux responsabilités
Une mauvaise chose
Il semble peu congruent que des élus puissent représenter leur concitoyens sans expérience du terrain et échanges avec ceux dont ils prétendent défendre les intérêts.
Consulter les Français sur les thèmes qui concernent leur essence même, comme, par exemple leur identité nationale
Oui
None
Cela doit relever de l'Education Nationale, qui trop souvent peine déjà apprendre à lire à beaucoup de nos jeunes. Cette éducation doit être associée à celle des parents fréquemment exclus de la vie scolaire.
Oui
Le simple fait de les comptabiliser devrait interroger les candidats qui ne recueillent pas ces votes. Et peut-être même qu'au-delà d'un certain seuil de votes blancs, devrait-on revoir le fondement d'une élection.
En mobilisant les médias comme la télévision que beaucoup de nos concitoyens regardent, en organisant de vrais débats, à savoir des lieux d'échange où les gens s'écoutent au lieu de se couper systématiquement la parole, et où les animateurs et journalistes ne s'octroient pas la place de la vedette.
Oui
None
En 2019 les supports de communication de manquent pas. Ce questionnaire en est un exemple.
None
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None
Que la loi s'applique. C'est par ailleurs un sujet trop vaste pour être traité dans le contexte de ce questionnaire.
None
Il faudrait que les Français soient consultés sur l'identité nationale.
Il faut cesser l'assistanat qui déresponsabilise, et renforcer la notion des devoirs (qui sont la légitime contrepartie des droits)
None
Il faut maintenir des agents du service public (et du privé aussi, d'ailleurs) pour maintenir le lien social, dont on déplore le délitement, au lieu de les remplacer par des machines ou des messageries et autres services en lignes qui n'en sont pas toujours et rebutent nombre de concitoyens, générant une grande frustration devant le "si vous est content : taper 1"
Les incivilités sont le reflet de notre société et de ceux qui la représentent. Lorsqu'un homme politique, face aux forces de l'ordre se déclare "être la république", cela résume mon propos.
Montre l'exemple.
Montre l'exemple. Les sanctions doivent aussi être plus adaptées et sans délai.
En matière de recherche d'emploi : les discrimination liées à l'âge et aux origines culturelles et ethniques
La question est trop vaste pour être traitée en quelques lignes, mais je suis convaincu que la France métissée n'est pas le fruit d'un choix de ses concitoyens, pour n'avoir pas été consultés sur le sujet.
Oui
Il ne manque pas de tâches que l'on se résigne parfois à reléguer à certains publics pour "recréer du lien social" ou pour "insérer" dans le monde professionnel. L'assistanat ne peut en effet s'ériger en système.
Dans une société où le politiquement correct s'érige en police de la pensée, il semble bien futile d'émettre un avis sur la question sans soulever l'indignation de ceux qui prennent les décisions en matière d'immigration, sans jamais en subir les effets au quotidien.
La question même "d'obligations d'asile remplies" ne doit déjà pas se poser comme un préalable. S'agissant de l'identité, qu'elle soit individuelle ou nationale, cela touche au plus profond de chaque concitoyen. Aussi, m'apparaît-il indispensable qu'en matière d'immigration, qu'elle soit le produit de flux migratoires motivés pour raisons économiques ou de régimes politiques, les citoyens français doivent impérativement être consultés par référendum. En effet, si la voie référendaire n'a pas lieu d'être mobilisée autour des sujets relevant de choix politiques liés à une élection présidentielle ou législative, tout ce qui touche à l'intégrité de notre nation doit être protégée par le choix du peuple qui la compose. Aussi des choix tels que : l'accueil de migrants, d'éventuels quotas les concernant, le regroupement familial, les droits et devoirs leur incombant doivent faire l'objet d'une consultation du peuple français.
J'ai plus envie de poser la question aux gouvernements qui se succèdent, de savoir s'ils ont établi les limites tant économiques, sociales et culturelles à la capacité d'accueillir des migrants sur notre territoire.
Au-delà de la "chance pour notre pays" d'accueillir des migrants, ce qui naturellement reste à prouver, le fait de parler notre langue, d'adopter notre mode de vie (ce qui n'exclut pas la culture d'origine, mais s'inscrit en addition et non en soustraction) et de ne pas subsister que des aides sociales sans contrepartie.
Je l'ai déjà fait plus haut, en évoquant l'impérieuse nécessité à consulter les citoyens français sur l' identité qui est la leur, et ne peut être relégué à des élus dont toute la défiance à leur encontre a été révélée très récemment.
Votre message a bien été envoyé.