La biodiversité et la disparition de certaines espèces
simplifier l’accès aux aides agro-environnementales (sur l’ensemble du territoire et avec des cahiers des charges simplifiés) et offrir une garantie de non contrôle supplémentaire. que les actions portées par des structures agréées pour la protection de l’environnement soient soumises à une simple information préalable pouvant donner lieu, au cas par cas et suivant les enjeux, à déclaration ou autorisation. simplifier les démarches de régulation des espèces nuisibles et invasives (demande unique, centralisation auprès des FDC…). Ne pas tout centraliser et prendre en compte les problématiques territoriales. développé l’énergie renouvelable en prenant en considération la biodiversité
Oui
incidences sur les espèces et donc l'activité de chasse
Oui
aménager les territoires avec bon sens
possibilité technique de le faire
aujourd'hui, il n''existe pas de solution adaptée (ex : pas de voiture électrique performante ou pas de voiture essence basse consommation)
Non
je suis chauffage bois
Non
disposer d'une voiture aussi opérationnelle que le diesel mais consommant moins ou autre chose
habitant en campagne il n'existe pas ou peu d'autre moyens
les constructeurs automobiles
faire un choix d'une énergie renouvelable, solidaire et prenant en compte la biodiversité (ex: obliger les aménagements biodiversité pour compenser les éoliennes, obliger l'implantations des éoliennes en parcelles communales ou intercommunale, exproprier pour arriver à cette fin afin de partager les revenus. être exemplaire sur la dépollution (par exemple en obligeant les producteurs de pétroles à dépolluer les anciennes stations essence) etre exemplaire en matière de mobilisation des citoyens en s'appuyant sur les associations de représentants des usagers, par exemple sur les fédérations des chasseurs pour amener du service publique (veille, police...) et des projets de biodiversité. montrer qu'il est possible de lever des blocages en matière d’aménagement des territoires (réduire les démarches administratives pour les projets portés par les associations agrées, simplifier les démarches financières (maec sur tous les territoires, guichets uniques pour les subventions...) valoriser la préservation de la biodiversité (aide surfacique au maintient de roselières...). L’exemple belge est ici à regarder de près. La Région peut être le bon interlocuteur.
arrêter avec la politique de sanctuarisation (réserves...) très coûteuse et qui dresse les gens contre la biodiversité. Lui privilégié des aides financières (aide surfacique au maintien des milieux patrimoniaux) et des incitations fiscales (appliquer le modèle de la forêt aux zones humides par exemple)
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