Date de publication : 2019-01-22
Code postal : 91800

Grand débat - fiscalité et dépenses publiques

1. Quelles sont toutes les choses qui pourraient être faites pour améliorer l'information des citoyens sur l'utilisation des impôts ?

None

2. Que faudrait-il faire pour rendre la fiscalité plus juste et plus efficace ?

None

3. Quels sont selon vous les impôts qu'il faut baisser en priorité ?

None

4. Afin de financer les dépenses sociales, faut-il selon vous...

Reculer l'âge de la retraite

5. S'il faut selon vous revoir les conditions d'attribution de certaines aides sociales, lesquelles doivent être concernées ?

None

6. Quels sont les domaines prioritaires où notre protection sociale doit être renforcée ?

None

7. Pour quelle(s) politique(s) publique(s) ou pour quels domaines d'action publique, seriez-vous prêts à payer plus d'impôts ?

None

8. Y a-t-il d'autres points sur les impôts et les dépenses sur lesquels vous souhaiteriez vous exprimer ?

La mondialisation, les multinationales, les échanges multilatéraux sont de beaux paravents. Serions-nous (gouvernants, élus, citoyens) tous impuissants face à cette globalisation ? En réalité, il est possible de faire bouger les lignes, à condition que toutes les instances bougent. Travailler plus longtemps et reculer l'âge de la retraite ? Pourquoi pas, sauf pour les métiers durs physiquement ou psychologiquement qui imposent de partir à un certain âge. Pour les autres, travailler longtemps est possible si et seulement si : 1. Ne pas considérer dans les entreprises qu'à 45 ans on est "senior" d'un point de vue RH ! 2. Ne pas considérer dans les entreprises que l'expérience coûte trop cher. Si on travaille jusqu'à 70 ans, à 60 ans il reste encore 10 années de travail, et donc de cotisation pour les caisses de retraite. Pourquoi les entreprises poussent les 55 ans et plus vers la sortie avec un chèque afin d'embaucher un plus jeune moins onéreux ?... 3. Ne pas considérer dans les banques que passé 50 ans c'est onéreux et compliqué d'obtenir un prêt pour des raisons de santé ou de risque ! Si on veut que les gens travaillent jusqu'à 70 ans, on doit pouvoir emprunter à 50, 55, 60 et même 65 ans sans difficultés majeures et sans assurances à plusieurs centaines d'euros par mois Des mesures simples, qui ne sont pas imposées par la mondialisation. Changer les mentalités collectives c'est aussi changer l'approche et la vision de ce qu'est la retraite et quand elle doit intervenir. Le projet de vie de tout un chacun doit pouvoir se poursuivre avec toutes les parties prenantes à bord et dans le bon sens (banques, entreprises, assurances...) pour que tout soit synchronisé et que l'effort et les risques ne reposent pas sur les seules épaules du citoyen qui travaillera plus longtemps. Actuellement, ces usages des banques, assurances et entreprises laissent un sentiment amer : nous sommes finalement comme des joueurs de foot professionnels avec une carrière très courte pour "profiter" et "briller". Entre 25 et 45 ans c'est la fenêtre de tir pour emprunter, être employable et recruté avec le meilleur compromis possible. 20 ans... c'est finalement bien court pour s'assurer d'avoir financé et payé son logement ainsi que les études de ses enfants et quelques projets plus récréatifs. On parle d'agilité, de monde qui change et pourtant on nous démontre que passé cette "vingtaine d'années dorées" tout se fixe et se fige autour de nous (banques, assurances, entreprises). Quel décalage entre les besoins d'une société en mouvement et des instances qui ne veulent aucun risques... Si on veut que les gens changent, l'environnement doit changer aussi ! Sinon cela restera figé et chacun "voudra" avoir sa retraite à 60 ans. Et tant pis si l'argent n'est pas là pour financer les caisses de retraites...

Grand débat - démocratie et citoyenneté

1. En qui faites-vous le plus confiance pour vous faire représenter dans la société et pourquoi ?

None

2. En dehors des élus politiques, faut-il donner un rôle plus important aux associations et aux organisations syndicales et professionnelles ?

Non

3. Si oui, à quel type d'associations ou d'organisations ? Et avec quel rôle ?

None

4. Que faudrait-il faire pour renouer le lien entre les citoyens et les élus qui les représentent ?

Il faut trouver une recette magique qui permet de faire le lien sans recréer que cela soit à travers des associations, des organisations, syndicales ou non, des partis politiques, des groupes de réflexion, une logique d'égo et d'ambition avec des sphères d'influences et des intérêts cachés. Une sorte de "facebook" démocratique avec la possibilité de s'inscrire en tant que citoyen pour répondre en ligne et participer mais avec une gestion très stricte, encadrée afin d'éviter la "poubelle de caniveau" qu'est devenu Facebook. L'organisation des consultations du grands débats dans les mairies me semble également une bonne initiative.

5. Le non-cumul des mandats instauré en 2017 pour les parlementaires (députés et sénateurs) est :

Une bonne chose

6. Pourquoi ?

Il est certes difficile de faire "tourner" les effectifs pour représenter les citoyens dans les instances qui régissent notre démocratie. Mais, il est indispensable pour l'exemplarité qui est peut être la valeur fondamentale en démocratie, comme en entreprise, de limiter à un mandat par personne élu, afin qu'il se consacre pleinement au rôle pour lequel il/elle a été élu(e).

7. Que faudrait-il faire pour mieux représenter les différentes sensibilités politiques ?

None

8. Pensez-vous qu'il serait souhaitable de réduire le nombre d'élus (hors députés et sénateurs) ?

Non

9. Si oui, lesquels ?

None

10. Que pensez-vous de la participation des citoyens aux élections et comment les inciter à y participer davantage ?

Pour inciter les gens à voter et se déplacer, il faut qu'ils se sentent écoutés. Ainsi, il faut TENIR SES PROMESSES DE CAMPAGNE !!!!!! C'est "l'ABCédaire" de la démocratie. En clair, si on se fait élire pour une certaine politique ou ligne de conduite, on ne fait pas l'inverse une fois au pouvoir. Et si la "réal politique" impose une gestion pragmatique, alors il faut arrêter de mentir aux gens pour se faire élire. Par exemple éviter de dire que l'on aime pas les riches lorsque l'on gagne 12 696 € nets/mois en tant que Président éviter de mettre les limitations à 80 km/h alors que c'était précisé nulle part dans les promesses de campagne ou le programme éviter de lancer des réformes qui ne concernent que des minorités et qui fractionnent inutilement la société du vivre ensemble alors que cela n'est pas la priorité (Mariage pour tous) éviter de couvrir par des mensonges, imprécisions, ou incompétence (?) des affaires qui n'en sont pas et le deviennent (Alliot Marie avec l'affaire Tunisienne, Benala, Cahuzac,...) Tous les gouvernants ou ceux qui nous représentent (et qu'ils soient remerciés de prendre ce rôle ô combien délicat et exposé) gardent en tête que l'exemplarité, la transparence sont la base de la motivation du peuple à se déplacer. On annonce ce qu'on fait et ensuite on le fait. Enfin, il faut mettre du sens dans les actions et les réformes. Si c'est pour jouer les cost-killers comme dans les grosses multinationales en ce disant que réformer partout en même temps en secouant le "cocotier" cela va faire naturellement avancer les choses c'est une stratégie de gestion mais pas un projet de vie. Il faut ainsi éviter de (re)jouer Turgot et au contraire mettre de la profondeur, du sens et du projet comme au début de l'ère de Gaulle.

11. Faut-il prendre en compte le vote blanc ?

Oui

12. Si oui, de quelle manière ?

Il faut changer la manière d'afficher les comptages. Car cela donnera une autre tonalité au résultat affiché et à la légitimité des personnes qui se sont présentées. Par exemple, imaginons lors de la finale présidentielle que sur 1 000 votants, 500 votent blanc, 100 s'abstiennent, 350 votent Macron et 150 votent Le Pen. Aujourd'hui, on nous dit que Macron est élu à 87,5% des voix contre 12,5% pour Le Pen. En réalité c'est 50% de votes blancs, 10% d'abstention, 35% pour Macron et 15% pour Le Pen. Résultat, la différence entre les deux indique juste que les media, et les institutions nous parlent d'une victoire, qui est en réalité une victoire à la Pyrrhus dont la plus grande victime est la représentativité. Ensuite, le gouvernement est formé, et ce dernier veut tout moderniser fort de son droit lié à sa victoire. Mais la réalité sur "mon" comptage démontre que les Français à 60% des votants potentiels et exprimés n'adhèrent pas au Président en place. Mon propos était d'illustrer l'exemple et en aucun cas de remettre en cause l'actuel gouvernement. J'aurais pu mettre d'autres noms.

13. Que faudrait-il faire aujourd'hui pour mieux associer les citoyens aux grandes orientations et à la décision publique ? Comment mettre en place une démocratie plus participative ?

Des points de rencontre encadrés physique et digitaux type plateforme participative. Mais trouver une astuce technique pour éviter les affres des échanges "vaseux" de Facebook.

14. Faut-il faciliter le déclenchement du référendum d'initiative partagée (le RIP est organisé à l'initiative de membres du Parlement soutenu par une partie du corps électoral) qui est applicable depuis 2015 ?

Je ne sais pas

15. Si oui, comment ?

None

16. Que faudrait-il faire pour consulter plus directement les citoyens sur l'utilisation de l'argent public, par l'Etat et les collectivités ?

None

17. Quel rôle nos assemblées, dont le Sénat et le Conseil économique, social et environnemental, doivent-elles jouer pour représenter nos territoires et la société civile ?

Mieux communiquer sur ce qu'elles font, leur valeur ajoutée, leurs contributions marquantes

18. Faut-il les transformer ?

Oui

19. Si oui, comment ?

Le citoyen doit être au centre des actions tout comme un client doit être au centre des attention d'une entreprise dans son cycle client. Assez de ces organisations magmatiques qui s'auto-nourrissent. Qu'elles soient obligées de communiquer de manière simple et claire, avec le moins de mots et phrases possibles pour faire ressortir finalement de la manière la plus synthétique leur valeur ajoutée. Si elles sont incapables d'apporter leur contribution, c'est qu'elles sont purement une charge de consommation de dépenses et donc d'impôts.

20. Que proposez-vous pour renforcer les principes de la laïcité dans le rapport entre l'Etat et les religions de notre pays ?

Il faut statuer de manière très claire (peut être par voix référendaire) sur la définition même de la laïcité. Qu'est-ce que la laïcité ? Est-ce la possibilité pour toutes les religions la possibilité d'imposer dans la collectivité leur singularité ? Ou est-ce au contraire l'inverse avec des religions qui sont avant tout l'affaire personnelle de chaque citoyen et qui est donc du domaine "privé". J'opte pour la seconde solution. Or, cela n'est pas la tendance avec certaines religions plus visibles que d'autres aujourd'hui, dont certaines, à travers des groupes plus intégristes, cherchent à imposer leurs dogmes qui viennent bouleverser parfois les lois, souvent les usages et encore plus les traditions séculaires de notre chère "vieille" Europe occidentale d'influence judéo-chrétienne. Cela touche ainsi : les fêtes et jours fériés qui sont disputés et contestés le code civil avec le mariage pour tous certaines traditions populaires régionales (crèches de noël...) les repas à la cantine la relation interpersonnelle (refus de parler à une femme lorsque l'on est un homme) ... Aujourd'hui, ces dérives créent en outre plusieurs situations totalement inadmissibles et injustes : Si on adapte les menus à la cantine pour les "sans porcs" voire désormais les "sans viandes", pourquoi n'adapte-t-on pas plein de choses pour d'autres religions ou pratiques ? A quel moment d'audience/fidèles/pratiquants une religion à le droit d'afficher, revendiquer et obtenir des gages de la république et la collectivité quant à sa singularité ? Enfin, les athées ne sont pas représentés, jamais pris en compte et pourtant sont les meilleurs remparts de la laïcité. Seulement comme ils ne sont pas une minorité visible mais une majorité silencieuse et respectueuse des lois, ils ne sont pas écoutés, pas pris en compte et pas "protégés".

21. Comment garantir le respect par tous de la compréhension réciproque et des valeurs intangibles de la République ?

None

22. Que faudrait-il faire aujourd'hui pour renforcer l'engagement citoyen dans la société ?

None

23. Quels sont les comportements civiques qu'il faut promouvoir dans notre vie quotidienne ou collective ?

None

24. Que faudrait-il faire pour favoriser le développement de ces comportements civiques et par quels engagements concrets chacun peut-il y participer ?

None

25. Que faudrait-il faire pour valoriser l'engagement citoyen dans les parcours de vie, dans les relations avec l'administration et les pouvoirs publics ?

None

26. Quelles sont les incivilités les plus pénibles dans la vie quotidienne et que faudrait-il faire pour lutter contre ces incivilités ?

None

27. Que peuvent et doivent faire les pouvoirs publics pour répondre aux incivilités ?

None

28. Quel pourrait être le rôle de chacun pour faire reculer les incivilités dans la société ?

None

29. Quelles sont les discriminations les plus répandues dont vous êtes témoin ou victime ?

None

30. Que faudrait-il faire pour lutter contre ces discriminations et construire une société plus solidaire et plus tolérante ?

None

31. Pensez-vous qu'il faille instaurer des contreparties aux différentes allocations de solidarité ?

Oui

32. Si oui, lesquelles ?

Mise en place de réelles contreparties de conditions de ressources. L'APL n'est pas là pour aider des enfants étudiants de familles favorisées.

33. Que pensez-vous de la situation de l'immigration en France aujourd'hui et de la politique migratoire ? Quelles sont, selon vous, les critères à mettre en place pour définir la politique migratoire ?

Il faut mettre en place une politique d'accueil mais sous conditions d'engagement des migrants sur la vie "occidentale" en France. En clair, tout le monde est le bienvenue pour épouser la culture française et occidentale. Nous sommes une terre d'accueil et devons le rester. En revanche, il doit être très clair pour les migrants qu'ils viennent pour vivre à la française. Si c'est pour importer leur style de vie en France et ensuite tenter de faire changer les règles pour plus de religion c'est NON. Dans le cas d'un non respect de cette évidence, dans ce cas c'est retour à la case départ.

34. En matière d'immigration, une fois nos obligations d'asile remplies, souhaitez-vous que nous puissions nous fixer des objectifs annuels définis par le Parlement ?

Non car les "volumes" de migrants à aujourd'hui sont marginaux par rapport à la population française totale. En outre, nous souffrons de manque de personnel sur beaucoup de métiers.

35. Que proposez-vous afin de répondre à ce défi qui va durer ?

None

36. Quelles sont, selon vous, les modalités d'intégration les plus efficaces et les plus justes à mettre en place aujourd'hui dans la société ?

Obligation d'apprendre le français, avoir un parcours d'intégration national sur les valeurs de la République, ce qu'est la France et le vivre en France ainsi que vivre ensemble. Cela pour les migrants qui veulent rester sans même demander à devenir Français.

37. Y a-t-il d'autres points sur la démocratie et la citoyenneté sur lesquels vous souhaiteriez vous exprimer ?

None