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Reculer l'âge de la retraite
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La mondialisation, les multinationales, les échanges multilatéraux sont de beaux paravents. Serions-nous (gouvernants, élus, citoyens) tous impuissants face à cette globalisation ? En réalité, il est possible de faire bouger les lignes, à condition que toutes les instances bougent. Travailler plus longtemps et reculer l'âge de la retraite ? Pourquoi pas, sauf pour les métiers durs physiquement ou psychologiquement qui imposent de partir à un certain âge. Pour les autres, travailler longtemps est possible si et seulement si : 1. Ne pas considérer dans les entreprises qu'à 45 ans on est "senior" d'un point de vue RH ! 2. Ne pas considérer dans les entreprises que l'expérience coûte trop cher. Si on travaille jusqu'à 70 ans, à 60 ans il reste encore 10 années de travail, et donc de cotisation pour les caisses de retraite. Pourquoi les entreprises poussent les 55 ans et plus vers la sortie avec un chèque afin d'embaucher un plus jeune moins onéreux ?... 3. Ne pas considérer dans les banques que passé 50 ans c'est onéreux et compliqué d'obtenir un prêt pour des raisons de santé ou de risque ! Si on veut que les gens travaillent jusqu'à 70 ans, on doit pouvoir emprunter à 50, 55, 60 et même 65 ans sans difficultés majeures et sans assurances à plusieurs centaines d'euros par mois Des mesures simples, qui ne sont pas imposées par la mondialisation. Changer les mentalités collectives c'est aussi changer l'approche et la vision de ce qu'est la retraite et quand elle doit intervenir. Le projet de vie de tout un chacun doit pouvoir se poursuivre avec toutes les parties prenantes à bord et dans le bon sens (banques, entreprises, assurances...) pour que tout soit synchronisé et que l'effort et les risques ne reposent pas sur les seules épaules du citoyen qui travaillera plus longtemps. Actuellement, ces usages des banques, assurances et entreprises laissent un sentiment amer : nous sommes finalement comme des joueurs de foot professionnels avec une carrière très courte pour "profiter" et "briller". Entre 25 et 45 ans c'est la fenêtre de tir pour emprunter, être employable et recruté avec le meilleur compromis possible. 20 ans... c'est finalement bien court pour s'assurer d'avoir financé et payé son logement ainsi que les études de ses enfants et quelques projets plus récréatifs. On parle d'agilité, de monde qui change et pourtant on nous démontre que passé cette "vingtaine d'années dorées" tout se fixe et se fige autour de nous (banques, assurances, entreprises). Quel décalage entre les besoins d'une société en mouvement et des instances qui ne veulent aucun risques... Si on veut que les gens changent, l'environnement doit changer aussi ! Sinon cela restera figé et chacun "voudra" avoir sa retraite à 60 ans. Et tant pis si l'argent n'est pas là pour financer les caisses de retraites...
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Non
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Il faut trouver une recette magique qui permet de faire le lien sans recréer que cela soit à travers des associations, des organisations, syndicales ou non, des partis politiques, des groupes de réflexion, une logique d'égo et d'ambition avec des sphères d'influences et des intérêts cachés. Une sorte de "facebook" démocratique avec la possibilité de s'inscrire en tant que citoyen pour répondre en ligne et participer mais avec une gestion très stricte, encadrée afin d'éviter la "poubelle de caniveau" qu'est devenu Facebook. L'organisation des consultations du grands débats dans les mairies me semble également une bonne initiative.
Une bonne chose
Il est certes difficile de faire "tourner" les effectifs pour représenter les citoyens dans les instances qui régissent notre démocratie. Mais, il est indispensable pour l'exemplarité qui est peut être la valeur fondamentale en démocratie, comme en entreprise, de limiter à un mandat par personne élu, afin qu'il se consacre pleinement au rôle pour lequel il/elle a été élu(e).
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Non
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Pour inciter les gens à voter et se déplacer, il faut qu'ils se sentent écoutés. Ainsi, il faut TENIR SES PROMESSES DE CAMPAGNE !!!!!! C'est "l'ABCédaire" de la démocratie. En clair, si on se fait élire pour une certaine politique ou ligne de conduite, on ne fait pas l'inverse une fois au pouvoir. Et si la "réal politique" impose une gestion pragmatique, alors il faut arrêter de mentir aux gens pour se faire élire. Par exemple éviter de dire que l'on aime pas les riches lorsque l'on gagne 12 696 € nets/mois en tant que Président éviter de mettre les limitations à 80 km/h alors que c'était précisé nulle part dans les promesses de campagne ou le programme éviter de lancer des réformes qui ne concernent que des minorités et qui fractionnent inutilement la société du vivre ensemble alors que cela n'est pas la priorité (Mariage pour tous) éviter de couvrir par des mensonges, imprécisions, ou incompétence (?) des affaires qui n'en sont pas et le deviennent (Alliot Marie avec l'affaire Tunisienne, Benala, Cahuzac,...) Tous les gouvernants ou ceux qui nous représentent (et qu'ils soient remerciés de prendre ce rôle ô combien délicat et exposé) gardent en tête que l'exemplarité, la transparence sont la base de la motivation du peuple à se déplacer. On annonce ce qu'on fait et ensuite on le fait. Enfin, il faut mettre du sens dans les actions et les réformes. Si c'est pour jouer les cost-killers comme dans les grosses multinationales en ce disant que réformer partout en même temps en secouant le "cocotier" cela va faire naturellement avancer les choses c'est une stratégie de gestion mais pas un projet de vie. Il faut ainsi éviter de (re)jouer Turgot et au contraire mettre de la profondeur, du sens et du projet comme au début de l'ère de Gaulle.
Oui
Il faut changer la manière d'afficher les comptages. Car cela donnera une autre tonalité au résultat affiché et à la légitimité des personnes qui se sont présentées. Par exemple, imaginons lors de la finale présidentielle que sur 1 000 votants, 500 votent blanc, 100 s'abstiennent, 350 votent Macron et 150 votent Le Pen. Aujourd'hui, on nous dit que Macron est élu à 87,5% des voix contre 12,5% pour Le Pen. En réalité c'est 50% de votes blancs, 10% d'abstention, 35% pour Macron et 15% pour Le Pen. Résultat, la différence entre les deux indique juste que les media, et les institutions nous parlent d'une victoire, qui est en réalité une victoire à la Pyrrhus dont la plus grande victime est la représentativité. Ensuite, le gouvernement est formé, et ce dernier veut tout moderniser fort de son droit lié à sa victoire. Mais la réalité sur "mon" comptage démontre que les Français à 60% des votants potentiels et exprimés n'adhèrent pas au Président en place. Mon propos était d'illustrer l'exemple et en aucun cas de remettre en cause l'actuel gouvernement. J'aurais pu mettre d'autres noms.
Des points de rencontre encadrés physique et digitaux type plateforme participative. Mais trouver une astuce technique pour éviter les affres des échanges "vaseux" de Facebook.
Je ne sais pas
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Mieux communiquer sur ce qu'elles font, leur valeur ajoutée, leurs contributions marquantes
Oui
Le citoyen doit être au centre des actions tout comme un client doit être au centre des attention d'une entreprise dans son cycle client. Assez de ces organisations magmatiques qui s'auto-nourrissent. Qu'elles soient obligées de communiquer de manière simple et claire, avec le moins de mots et phrases possibles pour faire ressortir finalement de la manière la plus synthétique leur valeur ajoutée. Si elles sont incapables d'apporter leur contribution, c'est qu'elles sont purement une charge de consommation de dépenses et donc d'impôts.
Il faut statuer de manière très claire (peut être par voix référendaire) sur la définition même de la laïcité. Qu'est-ce que la laïcité ? Est-ce la possibilité pour toutes les religions la possibilité d'imposer dans la collectivité leur singularité ? Ou est-ce au contraire l'inverse avec des religions qui sont avant tout l'affaire personnelle de chaque citoyen et qui est donc du domaine "privé". J'opte pour la seconde solution. Or, cela n'est pas la tendance avec certaines religions plus visibles que d'autres aujourd'hui, dont certaines, à travers des groupes plus intégristes, cherchent à imposer leurs dogmes qui viennent bouleverser parfois les lois, souvent les usages et encore plus les traditions séculaires de notre chère "vieille" Europe occidentale d'influence judéo-chrétienne. Cela touche ainsi : les fêtes et jours fériés qui sont disputés et contestés le code civil avec le mariage pour tous certaines traditions populaires régionales (crèches de noël...) les repas à la cantine la relation interpersonnelle (refus de parler à une femme lorsque l'on est un homme) ... Aujourd'hui, ces dérives créent en outre plusieurs situations totalement inadmissibles et injustes : Si on adapte les menus à la cantine pour les "sans porcs" voire désormais les "sans viandes", pourquoi n'adapte-t-on pas plein de choses pour d'autres religions ou pratiques ? A quel moment d'audience/fidèles/pratiquants une religion à le droit d'afficher, revendiquer et obtenir des gages de la république et la collectivité quant à sa singularité ? Enfin, les athées ne sont pas représentés, jamais pris en compte et pourtant sont les meilleurs remparts de la laïcité. Seulement comme ils ne sont pas une minorité visible mais une majorité silencieuse et respectueuse des lois, ils ne sont pas écoutés, pas pris en compte et pas "protégés".
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Oui
Mise en place de réelles contreparties de conditions de ressources. L'APL n'est pas là pour aider des enfants étudiants de familles favorisées.
Il faut mettre en place une politique d'accueil mais sous conditions d'engagement des migrants sur la vie "occidentale" en France. En clair, tout le monde est le bienvenue pour épouser la culture française et occidentale. Nous sommes une terre d'accueil et devons le rester. En revanche, il doit être très clair pour les migrants qu'ils viennent pour vivre à la française. Si c'est pour importer leur style de vie en France et ensuite tenter de faire changer les règles pour plus de religion c'est NON. Dans le cas d'un non respect de cette évidence, dans ce cas c'est retour à la case départ.
Non car les "volumes" de migrants à aujourd'hui sont marginaux par rapport à la population française totale. En outre, nous souffrons de manque de personnel sur beaucoup de métiers.
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Obligation d'apprendre le français, avoir un parcours d'intégration national sur les valeurs de la République, ce qu'est la France et le vivre en France ainsi que vivre ensemble. Cela pour les migrants qui veulent rester sans même demander à devenir Français.
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Votre message a bien été envoyé.