aujourd'hui aux associations et aux collectifs de citoyens. Les partis politiques et les syndicats sont devenus des "machins" (de Gaulle) tournant sur eux-mêmes
Oui
il faut donner d'avantage la parole à toutes les micro associations qui s'affrontent à des problèmes réels et concrets. Aux associations qui représentent ce que les anglo-saxons appellent des "communautés de projets" c'est-à-dire des groupements de valeurs, d'intérêts et de projets ce qui n'a rien à voir avec la dénonciation du communautarisme. Les anglo saxons peuvent être dans 20 communautés de projets en même temps alors que la communauté identitaire est le rassemblement sur une seule dimension ethnique ou religieuse.
Faire que les élus écoutent et soient désignés en raison de leur encrage territorial et ne soient plus seulement désignés par les partis dont on connait l'absence totale de vie démocratique
Une bonne chose
Eviter les carrières politiques.
Une plus grande proportionnalité, au risque de rendre plus difficile les majorités automatiques dans les assemblées. Redonner du risque aux débats des assemblées nationales et locales. Eviter les majorité a priori, automatiques.
Non
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redonner aux débats politiques une réalité et une dose de risque. La république en marche est devenu un "machin" d’allégeance automatique comme tous les vieux partis.
Oui
En les comptabilisant comme un mode d'expression rentrant dans les calculs des %. A distinguer des abstentions. Le candidat admis serait celui qui a le plus de voix, donc forcément au dessus des votes blancs. Si les votes blancs sont majoritaires il n'y a pas de candidat élu.
La démocratie participative ne se fait pas dabord sur les grandes orientations nationales mais sur la gestion locale des décisions publiques. Il faut commencer la participation par la mobilisation sur la proximité (dans l'Ecole, à l’hôpital, dans les équipements de quartiers etc...) avant de poser des questions nationales. La démocratie commence par en bas avant de s'attaquer aux structures d'en haut.
Je ne sais pas
ce peut être une façon d'éviter que les citoyens se mêlent des questions qui les concernent vraiment localement.
Faire participer localement les citoyens aux débats locaux sur les équipements publics. Produire un maximum d'études de comptabilité publique pour montrer combien coûte les services rendus en intégrant toutes les données de l'institution des ministères aux services locaux.
sortir des rapports sur les effets des décisions publiques sur les domaines qui les concernent comme le fait la Cour des comptes sur le budget de l'Etat
Oui
moins de représentants qui coûtent chers et plus de rapports à écrire.
Une laïcité qui ne soit pas une religion d'Etat. Que l'Ecole et les autres institutions ne soient pas des institutions voulant remplacer les communautés et devenir ainsi des communautés de formatage des consciences.
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mobiliser les citoyens dans la gestion locale de toutes les institutions. Que toutes les institutions deviennent des lieux de participation.
L'éthique du débat. Le respect des contrats élaborés en commun.
Comme dans les pays anglo-saxons: que les citoyens apportent leur pierre à la mise en oeuvre des services publics. Le modèle des pompiers volontaires est intéressant, toutes les institutions pourraient offrir des objets de créativité et de responsabilité citoyenne. Il faut mobiliser dans les services publics les compétences des citoyens. C'est la notion de "volontaires". Les citoyens y trouveraient du plaisir et une façon d'être utile, les budgets pourraient être affectés sur d'autres besoins devant être pris en charge par les professionnels.
Sur les CV des personnes intégrer les activités de volontaires, de militants.... et les valoriser.
Le mépris des bureaucrates.
commencer à développer une attitude respectueuse d'écoute et de bienveillance.
développer une attitude respectueuse d'écoute et de bienveillance.
le mépris des bureaucratie aux guichets de la République. La complexité des institutions est une arrogance, une domination.
développer une attitude respectueuse d'écoute et de bienveillance et de projet locaux co-construits. Eviter les déclarations et les chartes écrites par des cabinets de communication travailler réellement sur les interaction et les co-constructions
Oui
Les personnes bénéficiants des minima sociaux devraient pouvoir exercer une dose de créativité et de responsabilité. Attention pas du service de travail obligatoire mais un investissement dans des projets collectifs citoyens.
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Répondre rapidement aux personnes demandant à entrer dans le territoire, les rejeter ou les intégrer rapidement mais ne pas rejeter une famille avec enfants qui a vécu 6, 7 ou 8 ans en France sans aucun problème. Ces années ont été un investissement inutile pour la France et manifeste une attitude d'incivilité et de non respect des bureaucraties.
FAIRE PARTICIPER AU MAXIMUM LES CITOYENS AU FONCTIONNEMENT LOCAL DES SERVICES PUBLICS. EN FACILITANT LA PARTICIPATION AUX SERVICES COMME VOLONTAIRES ET LA PARTICIPATION AUX DECISIONS DE PROGRAMMATION DES SERVICES LOCAUX; Il faut le faire sur les services où une compétence citoyenne est utile: l'Ecole, la santé locale, les loisirs,les solidarités locales etc... mais pas évidement sur les grands équipements nationaux la lutte contre le cancer, les schémas de construction des prisons etc... PARTIR DU QUOTIDIEN DU REEL DE LA COMPETENCE CITOYENNE
Administrations nationales et locales trop complexes, trop coûteuses, ne mobilisant pas les compétences locales des citoyens et leurs capacités collectives à faire face a de nombreux problèmes du quotidien. L'Etat doit aider mais ne pas priver les citoyens de leurs capacités de création, de solidarité, d'entraide.
Oui
Que les compétences transférées le soient réellement et intégralement avec une autonomie dans la mise en oeuvre. Transférer des compétences, des objectifs mais pas des modes d'action pré-construits. Chaque territoire peut inventer ses modes d'action pour résoudre des problèmes bien ciblés. Permettre au collectivités locales de comparer leurs modes d'action et de s'enrichir les unes les autres mais supprimer les contrôles standardisés venant des corps des inspections centrales cherchant à imposer partout non la résolution des problèmes mais des modes d'action qu'elles juges efficaces
Oui
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Oui
Oui
Le territoire local est devenu l'objet de diverses administrations centralisées en non vraiment décentralisées (les CAF par exemple). Pour simplifier l'administration locale il faut transférer vers certaines administrations locales les compétences d'autres. Le conseil départemental pourrait mettre en oeuvre la totalité de l'action sociale des CAF et réduire les CAF au rôle de simples distributeurs locaux de prestations. On peut alors supprimer les CAF locales et ne garder que des services déconcentrés de la CNAF. Les conseils d'administration des CAF ne servent à rien. On pourrait prendre d'autres exemples, la CPAM idem. Il faut centraliser sur une seule administration locale tout le secteur aide à l'insertion et l'orientation. Mais il faut faire des choix drastiques. Les montages complexes comme les MDPH sont des monstres administratifs ingérables. L'organisation de la complexité bureaucratique n'est pas simplification... Ceci demande du courage, des négociations sur les statuts des personnels.
Les services des mairies et les services des départements qui malgré les contraintes imposées offrent un service efficace. Ils le seraient plus encore si on laissait aux managers locaux une plus grandes part d'initiative.
- fondre les services sociaux des départements et des grandes villes - renouveler le fonctionnement de l'éducation nationale par la mobilisation de tous les acteurs locaux de la formation, surtout des parents dans DES PROJETS EDUCATIFS LOCAUX. On résoudra l'échec scolaire non dans l'école mais dans la mobilisation des ressources du territoire (ce que l'on appelle la co-éducation). L'enfant n'appartient pas à l'école il appartient à sa famille, à son territoire. C'est la mobilisation de ces ressources qui fera le succès..... non de l'administration scolaire mais de l'éducation nationale territoriale. L'Education nationale s'est construite contre le territoire local, l'avenir est la réintégration des ressources mobilisables du territoire par les acteurs de l'éducation territoriale et nationale. On bricole sur l'échec scolaire parce que l'on ne considère pas les ressources locales avec sérieux. Les prof n'aiment pas que les solutions ne leur appartiennent pas. Qui peut animer le territoire éducatif? On est là face à un éclatement incroyable dont sont victimes les jeunes en difficultés. Il faut du courage pour avancer et non pour organiser des complexité dont le coût de gestion (par la multiplicité des réunions) est pharaonique. Il est autant dépensé dans la gestion locale des programmes contre l'échec scolaire (si l'on comptait les salaires de toutes les personnes mobilisées et les coûts des structures) que pour le coût des subventions apportés aux acteurs retenus dans les appels d'offre.
Oui
Non
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oui dans mon ancien métier l'obligation de faire du partenariat complexe inutile avec X administrations autour de la table.
Oui
C'est la clé de l'évolution. L'administration centrale doit fixer des objectifs mais pas des modes d'action. Il faut laisser place à la créativité. Mais ceci exige de penser d'avantage à l'équité qu'à légalité entendue comme recours aux mêmes services standardisés. Le président d'une collectivité locale doit aussi laisser ses agents locaux innover en collaboration avec les usagers. La vraie révolution sera l'alliance des professionnels et des usagers pour inventer des solutions nouvelles. Cela ne coûtera pas plus cher mais bouleverse les relations de pouvoir. I
Oui
Supprimer l'ENA et proposer les postes de la haute fonction publique à des personnes ayant fait des études supérieures où la recherche est intégrée. Dans les autres pays européens les hauts fonctionnaires sont souvent titulaires d'une doctorat. En France on joue à classer les fonctionnaires (c'est le but de l'ENA) et non à leur donner l'envie de chercher, d'inventer... de coopérer.
Des programmes plus larges sur grands objectifs laissant place à une grande innovation. Ne pas préprogrammer la réponse aux appels d'offre. Ne pas généraliser les innovations de façon technocratique laisser les acteurs locaux s'inspirer des idées des autres acteurs.
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Votre message a bien été envoyé.