La commune, le département pour le local, l'assemblée nationale et le sénat (revus pour une réelle représentativité) pour le national
Non
Au contraire : l'égalité pour tout le territoire ne peut être garanti que par l'état : comment justifier que l'instruction soit mieux dotée dans certaines régions par exemple.
Non
L'éducation, les transports, les communications modernes (internet très haut débit)
Aucun : une machine ne pourra jamais remplacer le rapport l'humain. Sauf que l'incompétence est une image malheureuse donnée par quelques fonctionnaires qui sont placés à l'accueil du public et qui ne savent pas par manque de formation comment diriger efficacement les demandes. Ile est regrettable de devoir savoir quoi demander alors que l'on vient justement demander des renseignements !
Non
None
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Aucun
Remettre l'humain et la proximité induits par le mot "service"
Oui
Non
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Mettre au norme une installation d'assainissement : si on ne fait pas les travaux, on n'est jamais embêté, à partir du moment où vous respectez les règles et faites les déclarations ce ne sont que tracasseries, ce sont des dépenses d'expertises et même de contrôles par un fonctionnaire déjà payé par les impôts, des papiers demandés, redemandés, perdus, refaits, l'obligation de passer par certains professionnels qui ne font qu'engranger les subventions de l'état sans apporter la moindre valeur ajoutée... Le professionnel qui fait l'installation donne exactement les mêmes renseignements pour le même résultat... Contester une contravention. Obtenir un certificat d'immatriculation ou la vignette associée.
Oui
les former !
Oui
Mettre plus de personnes formées et arrêter de changer les règles à tout moment.
Egalité pour tous. La république est une et indivisible : la richesse d'un territoire ne doit pas être liée à ses ressources financières. Moins de personnes à Bercy, plus dans les territoires.
AFPA : Des gens sérieux et indépendants proposant des formations réelles et de qualité, pas comme les pseudo formations données par des boites à but uniquement lucratif. Faute de moyens et par la volonté de les supprimer l'AFPA est moribonde.
MDPH/éducation nationale : Les systèmes ULIS/CLIS ne sont que des sas pour que l'éducation nationale ne soit pas embêtée par des enfants à particularité. L'éducation nationale s'entend à faire porter aux services sociaux (mdph) son incapacité à accepter au sein du secondaire des enfants qui pourraient y être admis avec une aide (AVS). D'avoir écouté les pros de la l'éducation nationale, notre enfant s'est retrouvé à la porte des collèges parce que mis en ULIS sans réelle volonté d'accompagnement personnalisé. Une place dans un IME (le seul de la région sans être obligé de passer en pensionnat) a été trouvé. Les enfants y sont peut-être bien, mais sans avenir radieux. Ils sont d'ores et déjà orientés vers des métiers sans débouché, avec une éducation minimaliste (à 12 ans aucune éducation en histoire, en sciences basique). De plus l'organisation est donnée à des associations qui dédaignent les règles du droit du travail pour les employés qui s'occupent de nos enfants et une administration totalement opaque... L'état se décharge sur des non professionnels associatifs, voire avec des connotations religieuses appuyées, de son devoir. Les professionnels psy et médicaux de l'éducation nationale semblent n'avoir aucun temps pour étudier réellement un dossier. Décisions sur simple "entrevue" et sans chercher les vrais problèmes.
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CPAM : Pour obtenir un renseignement par téléphone, la communication est surtaxée après un message d'avertissement. J'ai passé quelques minutes (au moins) à naviguer parmi les choix, s'entendre dire que le service n'est pas ouvert (8h00) ou que personne n'est disponible (9h00). Le troisième appel a été le bon. L'opérateur doit se faire un pognon de dingue ! Est-il même en France ?
MDPH : incompréhension totale de par une analyse par défaut via des cases à cocher de formulaires inadaptés aux cas particuliers. Si on veut avoir le bon renseignement de la MDPH, il faut... leur donner.
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Tous les services publiques doivent être gérés par le service publique. Stop à la main mise de sociétés à but uniquement lucratif pour assurer ce service, elles ne font qu'engranger l'argent publique pour une service au seul profit de ses actionnaires.
Il n'y a pas de hierarchie : pollution, dérèglement, biodiversité...
La pollution et le dérèglement climatique : faire en sorte que le logement ne doive pas s'éloigner des lieux de travail et de vie à cause d'un coût trop élevé. Et proposer des transports en commun en adéquation avec les horaires de travail, au lie de les décorréler pour pouvoir les supprimer "fautes de rentabilité". La rentabilité ne doit pas être un critère pour l'écologie. La prime à la transition écolo (voiture chaudière) n'est qu'une aide à la consommation qui est captée par les vendeurs. Les primes à la conversion : ce sont des politiques de soutien à la demande (à l'industrie automobile), preuve que la politique de l'offre est contre l'écologie, incitant toujours à consommer plus. Le coût d'un logement réellement "écologique" est inabordable. Seuls les aisés qui n'ont pas de problèmes de fin de mois peuvent en acheter de qualité. Encore un problème d'argent, alors qu'il n'y a pas de raison à ce surcoût. Les transports ferroviaires sont hors de prix pour une famille.
Non
None
Oui
Pas de vacances trop loin, surtout pas de vacances de neiges (voir l'état de la montagne !). Déchets recyclés, compostés, triés. Nettoyage régulier lors de randonnées des déchets laissés par de soient-disant amoureux de la nature. Véhicule propre (attention on va finir par nous dire qu'ils sont encore pire que les autres, histoire de soutenir l'industrie automobile). Achats sur besoin uniquement. (de toute façon pas d'argent pour le superflu). Réparation systématique (même quand c'est soit disant impossible !) quand nécessaire. Consommation locale, circuits courts privilégiés. Par chance, nous sommes en campagne. Chauffage à 18°.
Il n'y a pas de petites distances en campagne : les services publiques, administratifs, les boutiques sont de plus en plus loin. Un service de transport en commun souple à inventer : compromis entre le taxi et le transport régulier.
Le télétravail sur des lieux proches collectifs (pas à la maison), imposés pour les secteurs qui le permettent (j'imagine la caissière faire du télétravail : bien vu monsieur le premier ministre !)
Oui
Que les crédits soient à zéro %. Et que le coût proposé ne soit pas le coût réel augmenté des subventions... Arrêter d'imposer des normes qui interdisent des solutions efficaces. Arrêter de faire le moindre contrôle qui rejette les travaux pour un détail. Entre le laxisme et l’intolérance, il y a une marge. Cesser d'embêter celui qui veut bien faire et lasser aller celui qui s'en moque.
Oui
Impossible de trouver des horaires compatibles ni pour les transports en commun, ni pour le covoiturage. Les lieux de travail sont souvent éloignés des gares et des logements : les transports locaux ajoutent au temps de trajet.
Les transports en commun|Le covoiturage
Le secteur publique. Certainement pas le secteur privé qui ne compte qu'en dividendes.
Le faire déjà en France. Pourquoi attendre que les autres bougent ?
L'écologie est intemporelle, la finance est à court terme. Il ne faut pas que l'écologie soit un centre de profit.
Votre message a bien été envoyé.