Faire connaître le budget de chaque ministère, de sa répartition par grandes missions ET les indicateurs de performances pour chaque mission et leur évolution
Commençons par unifier la fiscalité en Europe(dont celle de l''Irlande, la Hollande ...exemple pas au hasard) serait le premier pas vers moins "d'évasion" fiscale intra-européenne et donc davantage de rentrée pour la France et les autres pays à fiscalité des entreprises et des particuliers plus lourde La problématique des sociétés qui ne payent pas (ou peu)d'impôts en France malgré leur activité sur le sol français doit également être résolue. Avec davantage de rentrées (et quelques dépenses en moins) il serait alors possible d'alléger certains pans de fiscalité pour les plus démunis (par exemple ceux concernant le logement, le poste logement étant un levier incontournable de meilleure justice fiscale)
Ceux relatifs au domicile (cf ci-dessus) (pourquoi pas une tva réduite sur les loyers, de même pour l'isolation et les charges de copropriété) Le logement représente, je crois, 30% des dépenses d'un ménage en moyenne, si il doit y avoir gain de pouvoir d'achat c'est par le biais de ce poste
Reculer l'âge de la retraite|Revoir les conditions d'attribution de certaines aides sociales|conditions d'attribution sous conditions de ressources
le remboursement des charges des emplois à domicile des ménages gagnants plus de 80000 euros par an. les riches menacent de ne plus employer mais madame n'acceptera pas de faire le ménage donc elle continuera d'employer!
la santé pour les plus démunis
une politique cohérente et dynamique concernant les EHPAD et le maintien à domicile des personnes agées
les dépenses : revoir l'organisation des services de l'Etat, C'est très compliqué car cela signifie bousculer les réseaux, modifier la culture des administrations et de leurs agents mais indispensable pour un meilleur rapport coût/efficacité
La question est mal posée. Un grand national faisant suite à des débats régionaux sur la démocratie au XXIème siècle sur l'articulation démocratie représentative/ démocratie participative avec des questions sur le statut d'élus, le nombre des mandat etc. est impératif. Il permettrait de mettre un terme aux peurs des uns ( les élus dans leur légitimité) et illusions des autres ( d'être décisionnaires car prenant la parole). Remettre en perspective ce que sont la participation, concertation, information, décision , avec in fine répondre à la question de "qui fait quoi pourquoi" est absolument nécessaire. Le citoyen doit pouvoir participer à l'élaboration du projet (mais ne peut décider) le politique doit (comme dans les jugements des tribunaux) dire qu'il a entendu ( les attendus) (ce qui permet à celles et ceux qui ont participé de savoir que leur avis ou proposition ont été remarqué.donc confirmer aux citoyens qu'isl existent..) motiver sa décision et rendre sa décision
Non
Cela dépend pourquoi. Les associations et les organisations sont représentatives de leur objet ( cf ma contribution ci-dessus sur la démocratie), certainement pas des citoyens ( contrairement à l'illusion que certaines veulent donner). Donc elles doivent être contributrices (et le politique doit réaffirmer qu'il a tenu compte des contributions) à l'élaboration de projets, d'évolution législatives ou réglementaires et éventuellement parties prenantes de négociation. Mais c'est là que la participation citoyenne prend son sens. En effet si les organisations c'est l'objet il manque l'avis du convaincue, de la sachante, du candide ou de la citoyenne qui a une idée
Installer des instances participatives (comme il en existe déjà dans certaines collectivités) mais avec des moyens d'animation, de rendu compte. Avec surtout une réelle modification de l'attitude des élus vis à vis de ces instances. Ces dernières doivent être prise en compte, légitimer. Il est nécessaire qu'un "contrat de confiance" soit élablit entre les citoyens et les élus
Une bonne chose
Le cumul des mandats couplé à l'absence de limitation du nombre de renouvellement d'un même mandat) entraînent souvent l'apparition de cercles d'intérêts et de réseaux de pouvoir (ce n'est pas pour rien que l'on parle du fief de tel ou tel élu). Par ailleurs en la permanence du pouvoir a également pour conséquence une détérioration de l'objet même de la politique: la personne ne porte plus des idées politiques mais se concentre sur une stratégie personnelle Par contre en face de l'interdiction des cumuls et de la limitation du nombre de mandat successif il faut il faut mettre en place un véritable statut de l'élu
Une véritable démocratie participative peut permettre de répondre à cet enjeu. Une trop forte dose de proportionnelle dans le cadre de la démocratie représentative entraîne l'instabilité du pouvoir ou des accords de coalition qui ne permettent plus de porter un projet politique ambitieux et clair. par contre, au même titre qu'il faut tenir compte de la société civile organisée (syndicats, associations) , il y a lieu de permettre aux différents partis politiques organisés ainsi qu'aux simples citoyens de participer à l'élaboration des réformes et des projets sociétaux. FAIRE davantage AVEC que POUR
Non
None
Pourquoi des révoltes citoyennes? entre autre, si non surtout, parce que les citoyens sont laissés de côté dans la conduite des affaires publiques, ils ont l'impression, à raison, de ne pas exister ( même quand le politique demande un rapport sur tel ou tel sujet via un comité dédié ou le CESE, voir les CESER, ce rapport n'est quasiment jamais suivi (pour ne pas insinuer qu'il n'est pas lu..quoique!) Le débat démocratie participative/ démocratie représentative ou comment faire avec les personnes plutôt que pour elles, a comme enjeu de remettre les citoyens au centre de la vie de leur territoire ( du plus petit - la commune- à la nation. Il s'agit de donner la possibilité de co-construire voir de mettre en œuvre ( fonction des sujets bien sûr) tout en légitimant la décision qui revient, seule, aux élus Donner la parole peut redonner envie et réconcilier les acteurs chacun dans leurs rôles si ceux-ci sont clarifier ( cf ma réponse à la première question)
Oui
Il s'agit d'un premier pas vers la remobilisation des électeurs. En outre il servira d'indicateur important sur la "représentativité" des candidat(e)s et des idées qu'elles ou ils portent
Dans un premier temps avoir le débat que je propose sur l'articulation démocratie représentative/ démocratie participative. Il s'agit de clarifier le rôle de chacun (élus, syndicats, associations, citoyens) aux XXIème siècle. Les "gilets jaunes" crient qu'ils ne se sentent plus exister dans l'organisation démocratique qui est la nôtre. Mais au-delà des personnes qui manifestent il y a tous les citoyens qui ne votent pas (tant lors des élections politiques que professionnelles) car ils considèrent (parfois avec raison) que les élus comme les syndicats sont davantage intéressés par leurs intérêts propres que pour le projet ou l'objet dont ils sont porteurs Une fois cette clarification faite il faut déterminer les moyens donner à cette démocratie modernisée pour exister (si elle ne l'est pas différents totalitarismes se mettront en place) Le principe: Faire AVEC et plus seulement POUR Il s'agit aussi de définir dans quels cadres ou/et pour quels objets il y a participation (co construction) ou concertation ou juste information Les moyens? ce sont peut-être des structures existantes (commissions paritaires, CESE, CESER, groupes de travail divers) mais également des conférences citoyennes ( il est étonnant pour certains de constater comment un citoyen tiré au sort accepte de passer du temps à être formé à un sujet qu'il méconnaît pour donner son avis; En fait lui demander de participer c'est reconnaître qu'il existe et donc il est partant), des comités de projet, la généralisation d'instances participatives telles qu'elles existent dans certaines collectivités etc. Quelque soit les modalités il est fondamental que le décisionnaire ( dans le cadre de ce sujet il s'agit du politique) explicite sa décision comme pour un jugement du tribunal ( attendus,arguments des parties, motivations, décision). Il est IMPERATIF que les parties prenantes aux travaux en amont soient reconnus dans leur paroles. Il faut réaffirmer qu'elles existent.La très grande majorité des avis et rapports rendus aux politiques par les différents conseils nationaux ou régionaux , ou même parles commissions particulières (pourtant créés exprès) ne sont suivis d'aucun retour aux acteurs ayant participer aux travaux voire ne sont purement et simplement pas lus Le sentiment de mépris vient aussi de cela et ne concerne pas uniquement des porteurs de gilets
Je ne sais pas
Non car le référendum pose une question dont la réponse doit être par nature binaire alors que nous sommes dans un monde complexe Non car, malheureusement, le vote exprimera moins une réponse à la question qu'un rejet ou un soutien aux élu(e)s qui la porte Oui sur des sujets de société pour lequel un avis binaire est possible ( ce qui rare, même pour la peine de mort!)
Inviter des citoyens tirés au sort dans les commissions ou assemblées qui ont comme objet le suivi des projets ou des engagements
il ne s'agit pas forcément de changer le rôle mais que celui-ci soit expressément et explicitement pris en compte (cf ci-dessus sur la motivation des décisions et les rapports non lus!!))
Oui
D'une certaine façon oui: Il faudrait que la composition des dites assemblées soit le reflet des personnes et organisations qui constituent la société et que le mandat de leurs membres (personnes physiques ne soient pas renouvelable au delà de deux fois par exemple et que leurs compositions ( CESE/CESER) soient revues tout les 4 mandats par exemple pour être sûr qu'ils reflètent la société au temps T
Interdiction de tout signe religieux dans les espaces publics. La croyance est affaire personnelle et n'a pas à être montrer
élever le citoyen au rang d'acteur incontournable ( cf ci-dessus) intégrer le citoyen dans des processus républicains c'est lui donner le sens et le sentiment d'appartenance
cf participation- concertation etc (démocratie représentative /participative)
cf participation- concertation etc (démocratie représentative /participative)
cf participation- concertation etc (démocratie représentative /participative)
cf participation- concertation etc (démocratie représentative /participative) décision explicite
None
None
None
None
None
None
None
None
None
None
None
None
la question est mal posée. il faut sortir du confort intellectuel qui consiste à raisonner en thématique dissociée ( une case= un sujet donc c'est clair!!) La pollution de l'air est une, si non la, cause des dérèglements climatiques, par ailleurs les problématiques de la biodiversité sont inséparables de la pollution de l'air dans la mesure où ce sont les incontournables du futur (ou non ) des générations futures
taxation carbone européenne( montant du prix plancher de la tonne carbone à 100 $ à augmenter progressivement ) y compris et de façon indissociable sur les produits importés Biodiversité: poser enfin la question de quelle agriculture pour quoi, pour qui? Il n'est plus possible de considérer de la même façon tant dans les contraintes que dans les aides l'agriculture dont les produits sont à destinations industrielles de celle dont les produits sont à destination de l'exportation d'aliments de celle enfin dont les produits concourent à l'auto suffisance alimentaire d'un territoire
Oui
les conséquences de l'amplification des phénomènes naturelles ( vent, pluie, température) sur la santé et l'habitat
Oui
économie d'eau, pas de pesticide dans le jardin, faire durer ( réparation) les machines et objet, rouler raisonnablement, limitation de la quantité de produits (alimentaires ou non) acheter
chauffage: augmentation importante de la source énergétique ( fuel, gaz, électricité) couplée à une aide à l'isolation totale et globale du bâtiment. Concernant la mobilité, peu de solutions en dehors de l'augmentation importante ( et inéluctable ) du pétrole couplée à la mise en place de chauffeur avec voiture électrique pour les déplacements ruraux
la prise de conscience de l'avenir que nous, adultes, réservons à nos enfants et générations futures. Pas cher, très difficile mais le plus efficace
Oui
aides à l'isolation globale de la maison ( l'énergie pas dépensée est la meilleure des solutions)
Oui
dans la campagne les solutions alternatives ne sont pas simple à mettre en œuvre même si une modification de nos habitudes individuelles ('limiter nos déplacements à ceux qui sont nécessaires, acheter localement couplée à un transport à la demande ou/et encore au regroupement géographique de certains services (épicerie locale qui fait également poste et banque par exemple) peut limiter nos déplacements Les réseaux numériques (minimum adsl ) et les services qu'ils permettent sont également des solutions parmi les plus efficace
Le transport à la demande
aux collectivités territoriales (commune ou interco)
respecter les accords de Paris
Il manque évidemment (compte tenu de la "cible " du grand débat) tout le volet production et donc producteurs ( entreprises et services y compris de l'Etat)
Votre message a bien été envoyé.