Date de publication : 2019-03-07
Code postal : 91

Grand débat - fiscalité et dépenses publiques

1. Quelles sont toutes les choses qui pourraient être faites pour améliorer l'information des citoyens sur l'utilisation des impôts ?

Il faudrait réaliser un tableau, comme celui réalisé dans la fiche explicative "Fiscalités et dépenses publiques", après chaque vote du budget réalisé en début d'année afin d'expliquer à l'ensemble des citoyens de manière simplifiée comment seront organisés les dépenses publiques prévues pour l'année en cours. De même, réaliser en fin d'année un tableau récapitulant les sommes effectivement versées aux différents postes évoqués dans le tableau précédent afin de regarder comment a évoluer le budget prévisionnel par rapport aux budget réel. Ces tableaux simplifiés pourraient être diffusé sur les différents médias utilisés par l'ensemble de la population (journaux télévisés public, journaux papier, réseaux sociaux). Un autre moyen de diffusion consisterait à mettre ces informations directement sur les feuilles d'impôts sur le revenu envoyés aux citoyens chaque année, en préambule de la déclaration. L'idée est surtout de proposer un moyen clair, et surtout avec un standard identique sur l'ensemble des supports de diffusion, en évitant de changer de terminologie pour chaque moyen de diffusion. De même, sur la fiche de paie, il est possible de constater un montant salarial et un montant patronal. Or en tant que citoyen, nous regardons peu les charges patronales, alors qu'en réalité, c'est autant d'argent prélevé sur le salaire du salarié. Quand on y pense, une entreprise est un ensemble de citoyens, donc quand l'entreprise paient des charges, c'est en réalité l'ensemble des citoyens de l'entreprise qui paient des charges, ce qui revient à peu près à la même chose. Pourquoi ne pas encore clarifier le bulletin de paie en ne mettant qu'une seule colonne avec l'ensemble des charges. Ça permettrait aux salariés de mieux comprendre que sur un salaire d'un montant N (salaire brut + charges patronales), on lui enlève X% pour arriver directement sur son salaire net (celui après impôt sur le revenu). Car personnellement, je pense que différencier charges salariales et patronales et une manière déguisée de dire : "regarder, on ne prend pas de l'argent sur votre salaire mais sur l'entreprise", sauf que l'entreprise in fine répercute ces charges sur le salaire.

2. Que faudrait-il faire pour rendre la fiscalité plus juste et plus efficace ?

Afin de rendre la fiscalité plus efficace et plus juste, il faudrait une remise à plat de l'ensemble des taxes, impôts et défiscalisation, dont la multitude fait que seulement ceux qui s'y connaissent en fiscalité (en général justement ceux en profite sont ceux qui ont déjà un large patrimoine) peuvent en profiter. Cette multitude fait également nécessairement apparaître des niches fiscales qui permettent à certain de s'enrichir aux détriment des autres. Réduire leur nombre (taxes, etc.) semblent donc être une solution qui permettrait d'y voir clair, tout en simplifiant la fiscalité, ce qui permettrait aussi de faire des économies concernant leur gestion. Il pourrait également être intéressant de mettre en place un moyen (par exemple un site web) qui pourrait recenser pour chaque contribuable toutes les aides de l'état et des collectivités que celui-ci pourrait recevoir. Encore aujourd'hui, de nombreuses personnes ne savent pas qu'elles peuvent obtenir telle ou telle aide, uniquement parce que le système est trop complexe ou bien l'information mal communiquée.

3. Quels sont selon vous les impôts qu'il faut baisser en priorité ?

Pas d'impôts en particulier.

4. Afin de financer les dépenses sociales, faut-il selon vous...

Reculer l'âge de la retraite|Revoir les conditions d'attribution de certaines aides sociales

5. S'il faut selon vous revoir les conditions d'attribution de certaines aides sociales, lesquelles doivent être concernées ?

L'allocation chômage devrait être distribuer avec bien plus de contrôle et sur de moins longues durée. Aujourd'hui, le marché de l'emploi présente de nombreux postes vacants dans certains domaine, et certains ne demandent d'ailleurs que peu de qualifications afin d'être pourvu. Néanmoins, le système de refus est encore trop simple aujourd'hui et les allocations données sur une trop longue durée. Lorsqu'une personne est au chomage, elle pourrait travailler temporairement en dehors de son champ de compétence en attendant de trouver un poste qui lui convient. Un avantage supplémentaire est que lorsqu'un poste est proposé et qui correspond à ses compétences, cette personne recevrait l'offre en priorité avant d'autres personnes qui n'ont fait qu'attendre sans travailler. Cela permettrait de revaloriser le travail (après tout cette personne a été prête à faire un boulot qui n'est pas de son domaine en attendant de lui trouver un poste qui convient). De plus, pour une allocation chômage ou même du RSA de longue durée, il devrait être mis en place un contrôle des dépenses pour éviter les dépenses extravagantes par rapport à la situation de la personne. Après tout, un employé d'une entreprise ne fait pas ce qu'elle veut de l'argent de son employeur; dans le cas d'un allocataire, l'employeur c'est l'état et il devrait avoir son droit de regard sur les dépenses de son "salarié".

6. Quels sont les domaines prioritaires où notre protection sociale doit être renforcée ?

Il n'y a pas de domaine particulier où notre protection sociale doit être renforcée, il faut surtout faire en fonction des moyens à notre disposition, et savoir s'adapter à l'actualité.

7. Pour quelle(s) politique(s) publique(s) ou pour quels domaines d'action publique, seriez-vous prêts à payer plus d'impôts ?

La politique pour la transition écologique. De plus, il est certainement possible de gérer la transition écologique pour transférer des emplois de domaines réputés polluant vers des domaines plus écologiques. La transition écologique peut en effet s'effectuer sans dépenses supplémentaires et sans réduire le confort des citoyens.

8. Y a-t-il d'autres points sur les impôts et les dépenses sur lesquels vous souhaiteriez vous exprimer ?

Lorsque l'état subventionne des sommes pour les collectivités, associations, etc., il devrait y avoir plus de contrôle effectué sur la manière dont est utilisée cet argent. Sans forcément demander des rapports d'une centaine de pages, des contrôles simples pourraient être effectués : suivi de facture (et vérification succinte de l'entreprise à laquelle a été versée l'argent), l'idée est plus dans le suivi de où va l'argent plutôt que du choix stratégique employé par la collectivité pour la nécessité de construire ou subventionné tel ou tel chose. Cela permettrait d'éviter les dérives (facture surévaluée) ou le détournement d'argent. Des contrôles aléatoires pourraient également être menés pour dissuader d'éventuel fraudeur.

Grand débat - démocratie et citoyenneté

1. En qui faites-vous le plus confiance pour vous faire représenter dans la société et pourquoi ?

Je ne fais pas confiance à quelqu'un en particulier.

2. En dehors des élus politiques, faut-il donner un rôle plus important aux associations et aux organisations syndicales et professionnelles ?

Oui

3. Si oui, à quel type d'associations ou d'organisations ? Et avec quel rôle ?

Aux associations humanitaires comme rôle de conseil et d'expert auprès de l'état.

4. Que faudrait-il faire pour renouer le lien entre les citoyens et les élus qui les représentent ?

L'idée du grand débat est une bonne chose, et devrait être prolongé au-delà de sa date de fin de par sa forme. Il devrait y avoir plus souvent des réunions publiques incluant les différents élus sur des sujets nationaux, ou même des sujets locaux. Ça permet d'un côté aux élus de discuter avec les personnes de leurs circonscriptions, et aux citoyens de disposer d'un moyen supplémentaire et concret de participer à la vie démocratique. Pour cela, il faut évidemment que ces réunions publiques servent à quelque chose, et qu'il en découle des actions concrètes. Les idées de QCM en ligne sont également de bonnes choses. Il faut par contre vérifier que ces questionnaires ne soient pas biaisés pour orienter vers une réponse, et ensuite vérifier quelles sont les personnes qui y participent afin d'éviter les réponses multiples d'une seule personne, ou même la participation de personnes étrangères.

5. Le non-cumul des mandats instauré en 2017 pour les parlementaires (députés et sénateurs) est :

Une bonne chose

6. Pourquoi ?

Je ne trouve pas normal d'avoir plusieurs postes à son actif (c'est interdit pour les employés du privé dans le cas d'un temps plein), de toucher les diverses rémunérations à chaque poste et en fait de n'y consacrer qu'un pourcentage de temps à chacun (le volume horaire de travail de la personne n'augmente pas lui). Et quand on sort un argument comme quoi le statut de député peut par exemple donner des avantages à son poste de maire, en réalité, cela provoque des inégalités vis-à-vis des autres maires qui eux n'auraient pas un poste de député.

7. Que faudrait-il faire pour mieux représenter les différentes sensibilités politiques ?

None

8. Pensez-vous qu'il serait souhaitable de réduire le nombre d'élus (hors députés et sénateurs) ?

None

9. Si oui, lesquels ?

Aucune idée.

10. Que pensez-vous de la participation des citoyens aux élections et comment les inciter à y participer davantage ?

La participation est bien trop faible et les gens qui n'ont pas voté devraient avoir moins de droit pour protester. Une solution pour les inciter à participer davantage serait de rendre le vote obligatoire sous peine d'amende, mais impose en contre partie de reconnaître le vote blanc car sinon, ça voudrait que l'on force une personne à voter quelqu'un pour qui elle n'a pas envie.

11. Faut-il prendre en compte le vote blanc ?

Oui

12. Si oui, de quelle manière ?

Il faudrait laisser le mode d'organisation actuellement défini (1er tour avec plusieurs candidats, puis second tour avec 2 voir 3 candidats). Il faudrait alors prendre en compte le vote blanc lors du premier tour des élections. Si, lors du premier tour, le vote blanc a représenté le groupe ayant le plus de voix par rapport aux autres candidats, alors cela exprime un désaccord des citoyens par rapport à l'ensemble des candidats qui se présentent, car aucun ne les satisfait. Ça impliquerait que la personne élue par cette élection verrait son pouvoir diminuer, notamment par l'obligation d'organiser des référendums sur des sujets qui concernent l'ensemble de la population de manière concrète et ayant une portée seulement limitée sur la France (ne pas discuter de sujets internationaux en somme). Ces sujets qui doivent être débattus serait décidé par un conseil indépendant (un peu comme le conseil constitutionnel ou la cour des comptes).

13. Que faudrait-il faire aujourd'hui pour mieux associer les citoyens aux grandes orientations et à la décision publique ? Comment mettre en place une démocratie plus participative ?

Il faut prendre exemple sur le modèle Suisse où des référendums sont proposés en même temps que les élections, ce qui donne au citoyens des raisons supplémentaires d'aller aux urnes. Et ces référendums doivent poser des questions simples auxquels chaque citoyen peux y réfléchir. L'exemple du référendum pour le traité de l'Europe était une erreur dans le sens où peu de personnes étaient en mesure de comprendre le véritable enjeu et les conséquences de ce traité.

14. Faut-il faciliter le déclenchement du référendum d'initiative partagée (le RIP est organisé à l'initiative de membres du Parlement soutenu par une partie du corps électoral) qui est applicable depuis 2015 ?

Oui

15. Si oui, comment ?

Oui, dans la mesure où celui proposé actuellement est quasi impossible à déclencher. Notamment l'obligation d'avoir au moins 185 parlementaires, ce qui n'est possible uniquement que par le parti majoritaire, ce dernier pouvant déjà faire accepter les lois étant donné qu'il est majoritaire. Il faudrait diminuer ce seuil à un nombre qui permet à une minorité de parlementaire de déclencher un RIC. Ce nombre pourrait être par exemple de 15 parlementaires, ce même nombre qui permet de constituer un groupe à l'assemblée nationale.

16. Que faudrait-il faire pour consulter plus directement les citoyens sur l'utilisation de l'argent public, par l'Etat et les collectivités ?

Oui, dans la mesure où celui proposé actuellement est quasi impossible à déclencher. Notamment l'obligation d'avoir au moins 185 parlementaires, ce qui n'est possible uniquement que par le parti majoritaire, ce dernier pouvant déjà faire accepter les lois étant donné qu'il est majoritaire. Il faudrait diminuer ce seuil à un nombre qui permet à une minorité de parlementaire de déclencher un RIC. Ce nombre pourrait être par exemple de 15 parlementaires, ce même nombre qui permet de constituer un groupe à l'assemblée nationale.

17. Quel rôle nos assemblées, dont le Sénat et le Conseil économique, social et environnemental, doivent-elles jouer pour représenter nos territoires et la société civile ?

None

18. Faut-il les transformer ?

None

19. Si oui, comment ?

None

20. Que proposez-vous pour renforcer les principes de la laïcité dans le rapport entre l'Etat et les religions de notre pays ?

Rien de plus

21. Comment garantir le respect par tous de la compréhension réciproque et des valeurs intangibles de la République ?

Pas d'idée

22. Que faudrait-il faire aujourd'hui pour renforcer l'engagement citoyen dans la société ?

Pas d'idée

23. Quels sont les comportements civiques qu'il faut promouvoir dans notre vie quotidienne ou collective ?

La participation a des associations humanitaires et de manière générale les comportements altruistes.

24. Que faudrait-il faire pour favoriser le développement de ces comportements civiques et par quels engagements concrets chacun peut-il y participer ?

Il faudrait donner un avantage à ceux qui participe aux associations en donnant de leur temps plutôt que de l'argent (il y a déjà des défiscalisations pour ceux qui font des dons). Ces bénévoles contribuent en effet à la société et sans avoir de contrepartie de quelques manières que ce soit.

25. Que faudrait-il faire pour valoriser l'engagement citoyen dans les parcours de vie, dans les relations avec l'administration et les pouvoirs publics ?

Pas d'idée

26. Quelles sont les incivilités les plus pénibles dans la vie quotidienne et que faudrait-il faire pour lutter contre ces incivilités ?

es déchets jetés dans la nature et les incivilités sur la route. Les constats de jets de déchets dans la nature devraient être punis plus sévèrement, même celle constatée par vidéos. Je pense également des fouilles dans les poubelles devraient être réalisées pour en retrouver les auteurs. Enfin, je pense qu'il faudrait généraliser un système où les gens payent une certaine somme définie au cours de l'année pour l'ensemble de leurs déchets, et que ceux qui dépassent se verrait facturer une somme supplémentaire. Ça incite d'un côté à ne plus jetés ses déchets dans la nature puisque de toute façon, un minimum a déjà été payé, mais contribue aussi à réduire ses déchets. Des initiatives locales pourraient être menées, comme par exemple fixer un objectif à une commune de réduction de ses déchets, c'est-à-dire faire passer la chose par le jeu. Les incivilités sur la route sont également très pénibles pour les gens qui prennent la route tous les jours et qui conduisent correctement. On pourrait par exemple donner des avantages aux personnes qui ne font pas d'infraction au code de la route sur une certaine durée (quelques années), comme une minoration de leur futures amendes (qui remet le compteur de durée à zéro évidemment) ou même la possibilité de monter son compteur de points à une valeur supérieure à 12 de manière définitive, ce qui permettrait à cette personne de ne pas se sentir condamné au même titre les récidivistes sur la route. Évidemment ces avantages seraient d'office supprimé en cas de délit.

27. Que peuvent et doivent faire les pouvoirs publics pour répondre aux incivilités ?

La verbalisation semble malheureusement être un des seuls moyens qui soit efficace, mais plutôt qu'une somme bien précise, celle-ci pourrait être directement un pourcentage du salaire de la personne (ou de ses parents dans le cas de mineurs) avec néanmoins un seuil minimal. Ceci permettrait notamment de diminuer le sentiment d'impunité des plus aisés.

28. Quel pourrait être le rôle de chacun pour faire reculer les incivilités dans la société ?

La vigilance de chacun, sans que cela devienne du flicage, est une solution. On devrait pouvoir plus facilement indiquer aux pouvoir publics le constat d'une incivilité, comme par exemple au moyen d'une application mise en place par sa ville ou son département. Les gens pourraient signaler des évènement assez rapidement, et on pourrait garder une certaine dose d'anonymat (seule le pouvoir public pourrait voir qui à signaler quoi).

29. Quelles sont les discriminations les plus répandues dont vous êtes témoin ou victime ?

Pas certaines plus que d'autres.

30. Que faudrait-il faire pour lutter contre ces discriminations et construire une société plus solidaire et plus tolérante ?

Il faut tenter de se mettre à la place de la victime, et surtout de prendre en compte la préjudice morale rencontré par la victime, qui est rarement prise en compte encore aujourd'hui (certaines ne demandent même pas forcément une condamnation de leurs agresseurs mais ont d'autres demandes pour se sentir apaisées intérieurement).

31. Pensez-vous qu'il faille instaurer des contreparties aux différentes allocations de solidarité ?

Oui

32. Si oui, lesquelles ?

Oui, il faut des contrôles supplémentaires pour vérifier que ces allocations sont employées à bon escient.

33. Que pensez-vous de la situation de l'immigration en France aujourd'hui et de la politique migratoire ? Quelles sont, selon vous, les critères à mettre en place pour définir la politique migratoire ?

L'immigration doit surtout se faire en pensant à qu'il faille intégrer ses personnes dans la société (trouver un travail, respect des autres). Nous n'avons pas forcément besoin d'un compteur au sens stricte du terme, mais on devrait faciliter l'intégration de ceux qui acceptent des offres d'emploi où il manque de la main d’œuvre, tant que celle-ci est rémunéré au même titre que les autres travailleurs.

34. En matière d'immigration, une fois nos obligations d'asile remplies, souhaitez-vous que nous puissions nous fixer des objectifs annuels définis par le Parlement ?

Oui, notamment sur l'intégration des immigrés dans la société (combien ont un emploi stable, ne bénéficie plus d'aides de l'état).

35. Que proposez-vous afin de répondre à ce défi qui va durer ?

Il faut avant tout proposer des solutions aux pays d'origine des immigrés. Dans la réalité, la plupart n'auraient pas souhaité quitté leur pays d'origine, et c'est directement là-bas qu'il faudrait agir. La politique interventionniste dans un autre pays n'est pas forcément la solution, par contre leur proposer des solutions pour que leurs peuples ne quittent pas leur pays devrait être une responsabilité des pays dits "stables".

36. Quelles sont, selon vous, les modalités d'intégration les plus efficaces et les plus justes à mettre en place aujourd'hui dans la société ?

Les modalités d'intégration les plus efficaces sont celles qui consistent à avoir un emploi et d'être considéré au même titre que n'importe quelle autre personne qui travaillent.

37. Y a-t-il d'autres points sur la démocratie et la citoyenneté sur lesquels vous souhaiteriez vous exprimer ?

None

Grand débat - organisation de l'Etat et des services publics

1. Que pensez-vous de l'organisation de l'Etat et des administrations en France ? De quelle manière cette organisation devrait-elle évoluer ?

L’organisation de l’Etat et des administrations en France est organisé en de trop nombreuses strates inutiles. On en arrive à certains postes qui n’ont pas réellement beaucoup de sens, ou de personnes payé de manière disproportionné pour un travail qui ne leur prend pas beaucoup de temps. Je pense de plus qu’il faudrait dissocier les agents publics qui travaillent dans l’administration (qui servent au bon déroulement du mécanisme de l’Etat et collectivités), des agents publics tel que les enseignants, les pompiers, gendarmes, etc. qui eux font un travail directement lié à la vie des citoyens. C’est dans la première catégorie qu’il faudrait en priorité faire des réformes pour une meilleure organisation, éviter par exemple les commissions obscures et inutiles la plupart du temps et optimiser si possible le temps de travail de ces agents publics pour éviter de faire du travail redondant ou qu’un service empiète sur celui d’un autre. Une clarification permettrait également au citoyen de mieux s’y retrouver, et in fine de gagner du temps en démarches adminstratives.

2. Selon vous, l'Etat doit-il aujourd'hui transférer de nouvelles missions aux collectivités territoriales ?

Non

3. Si oui, lesquelles ?

None

4. Estimez-vous avoir accès aux services publics dont vous avez besoin ?

Oui

5. Si non, quels types de services publics vous manquent dans votre territoire et qu'il est nécessaire de renforcer ?

None

6. Quels nouveaux services ou quelles démarches souhaitez-vous voir développées sur Internet en priorité ?

Pas de nouveaux services ou démarches en particulier.

7. Avez-vous déjà utilisé certaines de ces nouvelles formes de services publics ?

Non

8. Si oui, en avez-vous été satisfait ?

None

9. Quelles améliorations préconiseriez-vous ?

None

10. Quand vous pensez à l'évolution des services publics au cours des dernières années, quels sont ceux qui ont évolué de manière positive ?

L’évolution des préfectures vers le numérique a considérablement simplifié les démarches simples tel que des demandes d’extraits de naissance, ou encore le changement des cartes grises, évitant les longues files d’attente à la préfecture ainsi que les horaires d’ouverture qui sont justement celles où la plupart des gens travaille.

11. Quels sont les services publics qui doivent le plus évoluer selon vous ?

Pas de service en particulier

12. Connaissez-vous le "droit à l'erreur", c'est-à-dire le droit d'affirmer votre bonne foi lorsque vous faites un erreur dans vos déclarations ?

Oui

13. Si oui, avez-vous déjà utilisé ce droit à l'erreur ?

Non

14. Si oui, à quelle occasion en avez-vous fait usage ?

None

15. Pouvez-vous identifier des règles que l'administration vous a déjà demandé d'appliquer et que vous avez jugées inutiles ou trop complexes ?

Non

16. Faut-il donner plus d'autonomie aux fonctionnaires de terrain ?

Oui

17. Si oui, comment ?

J’entends par « fonctionnaire de terrain » les fonctionnaires qui travaillent directement aux contact des gens. Pour ces personnes, je pense en effet qu’elles devraient avoir plus d’autonomie, notamment pour pouvoir régler des problèmes ou des cas qui ne sont pas dans une procédure définie. Ça éviterait en effet de se voir balader entre les différentes administrations pour un problème qui en fait ne possède pas de solution.

18. Faut-il revoir le fonctionnement et la formation de l'administration ?

Oui

19. Si oui, comment ?

Les échanges entre les différentes administrations me semblent en général assez longues alors qu’elles pourraient être facilité, ce qui améliorerait en général la vitesse de résolution de certains problèmes, et donc son coût.

20. Comment l'Etat et les collectivités territoriales peuvent-ils s'améliorer pour mieux répondre aux défis de nos territoires les plus en difficulté ?

Il s’agit avant tout d’assurer un service minimum dans les régions en difficultés, notamment avec un maillage suffisant, et surtout de garder un exemplaire de chaque service (avoir un service de soins sans pharmacie n’a pas beaucoup de sens par exemple). C’est un ensemble de service qui permet de rester fonctionnel, si un de ses services ferme dans la ville 1, alors le fonctionnement des autres ne s’en trouvent plus assurés. En effet, pour le service fermé en question, les gens vont se déplacer dans la ville 2 pour ce service et en profiter pour réaliser leurs autres services également dans la ville 2. Ceci fait que progressivement, tous les autres services dans la ville 1 perdent de la clientèle, et donc ferment eux-aussi également. Je pense que le problème est le raisonnement à trop court terme et/ou à trop courte visibilité de la rentabilité d’un service. En effet, un des services dans une zone n’est peut-être pas rentable, mais l’ensemble des services lui peut l’être. Par exemple, dans un supermarché, le rayon boucherie est rarement rentable (le gérant perd de l’argent avec ce rayon car il y a un boucher, des serveurs, etc.), mais si le gérant ferme ce rayon, les gens ne viendront plus non plus faire leurs courses dans le supermarché et donc au final c’est le magasin entier qui se met à perdre de l’argent.

21. Si vous avez été amené à chercher une formation, pouvez-vous indiquer les éléments de satisfaction et/ou les difficultés rencontrés en précisant, pour chaque point, l'administration concernée :

None

22. Si vous avez été amené à scolariser votre enfant, pouvez-vous indiquer les éléments de satisfaction et/ou les difficultés rencontrés en précisant, pour chaque point, l'administration concernée :

None

23. Si vous avez été amené à chercher un emploi, pouvez-vous indiquer les éléments de satisfaction et/ou les difficultés rencontrés en précisant, pour chaque point, l'administration concernée :

- Point de satisfaction : professionnalisme des agents rencontrés et rapidité de leurs réponses - Administration référente : Pole emploi

24. Si vous avez été amené à préparer votre retraite, pouvez-vous indiquer les éléments de satisfaction et/ou les difficultés rencontrés en précisant, pour chaque point, l'administration concernée :

None

25. Si vous avez été amené à demander un remboursement de soins de santé, pouvez-vous indiquer les éléments de satisfaction et/ou les difficultés rencontrés en précisant, pour chaque point, l'administration concernée :

- Difficultés rencontrées : la télétransmission n’est autorisée que pour une seule mutuelle alors qu’il m’est arrivé d’avoir plusieurs mutuelles, dans le cas où le/la conjoint(e) a une mutuelle familiale - CPAM

26. Si vous avez été amené à faire une demande d'aide pour une situation de handicap, pouvez-vous indiquer les éléments de satisfaction et/ou les difficultés rencontrés en précisant, pour chaque point, l'administration concernée :

None

27. Si vous avez été amené à créer une entreprise, pouvez-vous indiquer les éléments de satisfaction et/ou les difficultés rencontrés en précisant, pour chaque point, l'administration concernée :

None

28. Si vous avez été amené à recruter du personnel, pouvez-vous indiquer les éléments de satisfaction et/ou les difficultés rencontrés en précisant, pour chaque point, l'administration concernée :

None

29. Si vous avez été amené à former du personnel, pouvez-vous indiquer les éléments de satisfaction et/ou les difficultés rencontrés en précisant, pour chaque point, l'administration concernée :

None

30. Si vous avez été amené à rémunérer du personnel, pouvez-vous indiquer les éléments de satisfaction et/ou les difficultés rencontrés en précisant, pour chaque point, l'administration concernée :

None

31. Si vous avez été amené à mettre fin à votre activité, pouvez-vous indiquer les éléments de satisfaction et/ou les difficultés rencontrés en précisant, pour chaque point, l'administration concernée :

None

32. Si vous avez été amené à recruter une personne portant un handicap, pouvez-vous indiquer les éléments de satisfaction et/ou les difficultés rencontrés en précisant, pour chaque point, l'administration concernée :

None

33. Y a-t-il d'autres points sur l'organisation de l'Etat et des services publics sur lesquels vous souhaiteriez vous exprimer ?

None

Grand débat - transition écologique

1. Quel est aujourd'hui pour vous le problème concret le plus important dans le domaine de l'environnement ?

La biodiversité et la disparition de certaines espèces

2. Que faudrait-il faire selon vous pour apporter des réponses à ce problème ?

Il faudrait réduire les ingérences de l’humain dans la vie des autres espèces animales et végétales. Et notamment, il ne faut pas pallier à un problème causé par notre technologie par une réponse encore plus technologique (le déplacement d’une espèce ou encore la délimitation bien précise d’une espèce dans une zone bien définie). Il faut à tout prix réduire l’empreinte de l’humain sur l’environnement, il est toujours possible d’évoluer sans avoir besoin d’écraser son environnement de manière irréversible. L’échelle de temps de l’humain est devenue bien trop rapide par rapport aux rééquilibrages qu’est capable d’effectuer la planète (nous consommons plus rapidement que le remplissage des stocks).

3. Diriez-vous que votre vie quotidienne est aujourd'hui touchée par le changement climatique ?

Oui

4. Si oui, de quelle manière votre vie quotidienne est-elle touchée par le changement climatique ?

Oui, notre vie quotidienne est notamment impactée par la qualité de l’air qui est la cause de nombreuses maladies.

5. À titre personnel, pensez-vous pouvoir contribuer à protéger l'environnement ?

Oui

6. Si oui, que faites-vous aujourd'hui pour protéger l'environnement et/ou que pourriez-vous faire ?

Oui, il est possible de contribuer à protéger l’environnement en réduisant sa consommation d’énergie et d’eau lorsque cela est possible lors des gestes du quotidien (couper le robinet en sa lavant les mains, débrancher les appareils en veille, baisser le chauffage de son habitation lors d’absences, optimiser ses trajets au quotidien lorsqu’on utilise la voiture ou privilégier les magasins proches de chez soi).

7. Qu'est-ce qui pourrait vous inciter à changer vos comportements comme par exemple mieux entretenir et régler votre chauffage, modifier votre manière de conduire ou renoncer à prendre votre véhicule pour de très petites distances ?

Concernant les déplacements, il faudrait plus de souplesse au niveau des transports en commun, et notamment réduire le temps d’attente entre les différents transports (rer->bus par exemple). Les trajets mettent en effet jusqu’à 2 fois plus de temps à être réalisé en transport en commun, plutôt qu’en voiture, cette dernière permettant en plus de réaliser son trajet au moment voulu. Un moyen de transport permettant de relier un point A à un point B avec moins de 25% de temps supplémentaires qu’en voiture serait intéressant. Un autre point qui n’incite pas à ne pas prendre sa voiture est le fait que la voiture coute de l’argent même quand on ne s’en sert pas (assurances, usure naturelle, contrôle technique). Il faut donc soit utiliser uniquement les transports en commun ou soit uniquement sa voiture si l’on ne veut pas faire de dépenses supplémentaires en voiture. Un autre point concerne la gestion des déchets. Il est aujourd’hui très courant de trouver un produit avec emballage plus cher que le même produit sans ou avec moins d’emballages (2 paquets de pates de 500g moins cher qu’un paquet de pates de 1kg, ou un lot de 2×4 yaourts avec emballage carton moins cher que d’acheter 1×4 yaourts + 1×4 yaourt qui sont donc sans l’emballage carton). Il devrait être systématiquement être proposé un produit utilisant moins d’emballage, moins cher que le même produit avec emballage.

8. Quelles seraient pour vous les solutions les plus simples et les plus supportables sur un plan financier pour vous inciter à changer vos comportements ?

Il n’y a pas spécialement de solutions financières pour inciter à changer de comportement, je dirai même que de manière générale, la transition écologique permet de faire des économies.

9. Par rapport à votre mode de chauffage actuel, pensez-vous qu'il existe des solutions alternatives plus écologiques ?

Oui

10. Si oui, que faudrait-il faire pour vous convaincre ou vous aider à changer de mode de chauffage ?

Oui, mais en tant que locataire, il est difficile d’entreprendre un changement dans le mode de chauffage.

11. Avez-vous pour vos déplacements quotidiens la possibilité de recourir à des solutions de mobilité alternatives à la voiture individuelle comme les transports en commun, le covoiturage, l'auto-partage, le transport à la demande, le vélo, etc. ?

Oui

12. Si oui, que faudrait-il faire pour vous convaincre ou vous aider à utiliser ces solutions alternatives ?

Oui. Une plus grande souplesse dans les autres modes de transports permettant de se rapprocher des avantages de la voiture individuelle.

13. Si non, quelles sont les solutions de mobilité alternatives que vous souhaiteriez pouvoir utiliser ?

None

14. Et qui doit selon vous se charger de vous proposer ce type de solutions alternatives ?

None

15. Que pourrait faire la France pour faire partager ses choix en matière d'environnement au niveau européen et international ?

Les entreprises tout comme l'Etat

16. Y a-t-il d'autres points sur la transition écologique sur lesquels vous souhaiteriez vous exprimer ?

Il faudrait contribuer à la moindre initiative locale concernant des idées permettant d’effectuer la transition écologique. D’une part le moindre petit effort est une avancée vers la transition écologique, et d’autre part cela permet de motiver les personnes qui ont commencé à faire ce premier pas pour peut-être allé plus loin dans sa démarche. Un autre point serait de limiter les avancées des nouvelles modes lorsque celles-ci ne contribuent pas à la transition écologique. Par exemple, le développement des SUV (grosses voitures très lourdes) va dans le sens inverse de diminuer la pollution, alors qu’on sait faire des voitures bien moins lourdes ayant quasi les mêmes fonctions que les SUV et qui donc utilisent moins de carburant/électricité.