Date de publication : 2019-03-03
Code postal : 69160

Grand débat - fiscalité et dépenses publiques

1. Quelles sont toutes les choses qui pourraient être faites pour améliorer l'information des citoyens sur l'utilisation des impôts ?

Information et formation des contribuables à chaque changement par le biais des médias nationaux et par des FONCTIONNAIRES des impôts pour éviter toute dérive d’interprétation politicienne. Rétablir systématiquement la vérité par rapport aux "fausses nouvelles" (ex. : l'ISF n'a pas été supprimé, mais modifié. Réexpliquer les modalités).

2. Que faudrait-il faire pour rendre la fiscalité plus juste et plus efficace ?

Que tous les citoyens paient l'impôt sur le revenu. C'est une question de responsabilité. Avec des tranches très larges et une contribution symbolique pour les revenus les plus bas. Valoriser les gros contribuables pour leur contribution aux besoins collectifs. Aligner l'imposition des professions non salariées sur les professions salariées : transparence et équité.

3. Quels sont selon vous les impôts qu'il faut baisser en priorité ?

La question n'est pas de baisser les impôts, mais que tout citoyen ait un revenu suffisant pour acquitter sa contribution. C'est une question de dignité. S'il faut baisser, c'est la TVA sur les consommations de base : nourriture, loyers etc.........

4. Afin de financer les dépenses sociales, faut-il selon vous...

Revoir les conditions d'attribution de certaines aides sociales|Rationaliser l'existant d'un point de vue économique ET aussi social : abandonner les critères de rentabilité du privé pour la gestion du service public. Ce système aboutit à des abérations et au gaspillage : fermer un hôpital de proximité pour une question de rentabilté de l'établisseùent génère des coûts ENORMES pour la collectivité : transports en hélicoptère en urgence, en taxi pour des soins récurents plus les déplacements des familles vis à vis des malades. Nécessité d'avoir une vision globale du raport coût / efficacité économique ET social.

5. S'il faut selon vous revoir les conditions d'attribution de certaines aides sociales, lesquelles doivent être concernées ?

Centraliser les aides et les plafonner, pour les revenus qui en sont issus ne soient pas supérieurs à un revenu du travail. Faire la différence en la matière entre l'aide au nécessaire et le superflu.

6. Quels sont les domaines prioritaires où notre protection sociale doit être renforcée ?

La couverture santé pour tous et un revenu minimum décent pour les retraités.

7. Pour quelle(s) politique(s) publique(s) ou pour quels domaines d'action publique, seriez-vous prêts à payer plus d'impôts ?

La santé accessible à tous et pour que les retraités aient un revenu décent pour assurer leurs vieux jours. C'est une question de dignité et de solidarité.

8. Y a-t-il d'autres points sur les impôts et les dépenses sur lesquels vous souhaiteriez vous exprimer ?

Mettre sous contrôle stricte et efficace les dépenses des collectivités locales qui répondent trop souvent au clientélisme électorale plus qu'au besoins réel des populations et dans ce domaine contraindre à la mutualisation chaque fois que c'est possible. Imposer dans la transition écologique le transport aérien, les porte-conteneurs, les paquebots de croisière géants, le matériel agricole polluant.

Grand débat - démocratie et citoyenneté

1. En qui faites-vous le plus confiance pour vous faire représenter dans la société et pourquoi ?

Les députés élus sur un programme, à condition qu'ils en rendent compte.

2. En dehors des élus politiques, faut-il donner un rôle plus important aux associations et aux organisations syndicales et professionnelles ?

Non

3. Si oui, à quel type d'associations ou d'organisations ? Et avec quel rôle ?

None

4. Que faudrait-il faire pour renouer le lien entre les citoyens et les élus qui les représentent ?

Que les élus aient l'OBLIGATION de rendre compte régulièrement de l'exécution de leur mandat auprès des électeurs. Obligation régulière et complète. Ceci pour que les citoyens soient concernés tout au long de la mandature et non pas uniquement le jour du vote.

5. Le non-cumul des mandats instauré en 2017 pour les parlementaires (députés et sénateurs) est :

Une bonne chose

6. Pourquoi ?

Le mandat d'élu, quel qu’il soit est un service auprès de la collectivité. En aucun cas une possibilité de faire carrière. Dans cette optique : le mandat ne devrait être renouvelable qu'une fois. Ceci permettrait une rotation et un renouvellement des personnalités, et par conséquence une meilleure prise en compte de l'évolution de notre société. Remise en place pour la Présidentielle du septennat pour donner le temps de faire. Peut être non renouvelable.

7. Que faudrait-il faire pour mieux représenter les différentes sensibilités politiques ?

Une chambre (pourquoi pas le Sénat) élu à la proportionnelle et ayant pouvoir de contrôle sur les députés et l'exécutif.

8. Pensez-vous qu'il serait souhaitable de réduire le nombre d'élus (hors députés et sénateurs) ?

Non

9. Si oui, lesquels ?

None

10. Que pensez-vous de la participation des citoyens aux élections et comment les inciter à y participer davantage ?

Le citoyen ne vote plus, car il ne se sent pas respecté et pris en compte quand on fait appel à lui que lors du vote et qu'ensuite il est considéré que comme inexistant. Le lien peut se reformer si l'élu a l'obligation de rendre compte régulièrement et complètement de l'exécution de son mandat aux électeurs. A cette occasion, il doit avoir un rôle d'informateur et de formateur sur les questions dont il a à connaitre et sur lesquelles il travaille pour présenter des lois, règlements ou autres solutions. La contrainte au vote est inefficace pour faire participer le citoyen. Il faut qu'il se sente concerné dans la durée et associé.

11. Faut-il prendre en compte le vote blanc ?

Oui

12. Si oui, de quelle manière ?

En rapportant les pourcentages des résultats au nombre d'électeurs pour avoir une vision réelle de la représentativité des élus. Ceci évitera de se référer à de fausses majorités et ensuite d'avoir dans la rue en contestation la majorité de ceux qui ont voté blanc ou se sont abstenus.

13. Que faudrait-il faire aujourd'hui pour mieux associer les citoyens aux grandes orientations et à la décision publique ? Comment mettre en place une démocratie plus participative ?

INFORMER ET FORMER. Il est indispensable que les élus aient l’obligation de maintenir un contact régulier avec leurs électeurs tout au long de leur mandature. La démocratie participative n'existe que s'il y a écoute, prise en compte et explication des mises en œuvre.

14. Faut-il faciliter le déclenchement du référendum d'initiative partagée (le RIP est organisé à l'initiative de membres du Parlement soutenu par une partie du corps électoral) qui est applicable depuis 2015 ?

Non

15. Si oui, comment ?

Le RIP est un effet d'annonce qui est parfaitement inopérant.

16. Que faudrait-il faire pour consulter plus directement les citoyens sur l'utilisation de l'argent public, par l'Etat et les collectivités ?

Diffuser de façon simple et pédagogique les résultats des contrôles de la (et des) Cours des comptes et obliger les politiques à une réponse assujettie des mesures prises. Mettre en place un contrôle préventif, notamment sur la mise en œuvre des budgets des collectivités locales qui répond trop souvent à un souci de clientélisme électoral et anticiper les gaspillages avec l'obligation de mutualiser les solutions.

17. Quel rôle nos assemblées, dont le Sénat et le Conseil économique, social et environnemental, doivent-elles jouer pour représenter nos territoires et la société civile ?

Pour avoir plus de poids, fusionner le Sénat et le CES avec des élus au suffrage universel pour partie issue des élus locaux (comme le Sénat actuellement) et pour partie issus des organismes sociaux économiques existants. Donner à cette assemblée un pouvoir de propositions étayées, à l'assemblée et à l'exécutif. Ces derniers devant impérativement y répondre. Associer au pouvoir de proposition un pouvoir de contrôle : les députés et l’exécutif ayant obligation de rendre compte à cette assemblée des suites données.

18. Faut-il les transformer ?

Oui

19. Si oui, comment ?

Voir supra : fusion et représentativité complémentaire. Pouvoir de proposition et de contrôle. Devoir de rendre compte.

20. Que proposez-vous pour renforcer les principes de la laïcité dans le rapport entre l'Etat et les religions de notre pays ?

Simplement présenter et utiliser la loi de 1905 comme une loi de liberté et de respect de l'autre avec l'obligation de réprimer fermement tout dérapage en la matière. Vigilance permanente par rapport aux dérives anti religieuses ou philosophiques, notamment le dévoiement de la loi consistant à assimiler laïcité et négation de pratiquer philosophie et religion (si elles ne dérogent pas à l'ordre public) et de vouloir imposer le "laïcisme" comme religion d’État

21. Comment garantir le respect par tous de la compréhension réciproque et des valeurs intangibles de la République ?

Informer, informer, informer. Expliquer, expliquer, expliquer. Apprendre le respect de l'autre à l'école et dans les organismes de jeunesse.

22. Que faudrait-il faire aujourd'hui pour renforcer l'engagement citoyen dans la société ?

Mettre en avant les actes de solidarité et de fraternité existants. Valoriser les actions des personnes et des organismes qui pratiquent l'engagement. Écouter, prendre en compte et expliquer la valeur de la place de chacun dans notre démocratie. Valoriser le rôle et les actions des "plus humbles". Responsabiliser les citoyens quant à leurs actes : Pays des droits de l'homme, oui; mais aussi des DEVOIRS.

23. Quels sont les comportements civiques qu'il faut promouvoir dans notre vie quotidienne ou collective ?

Respect de soi. Respect de l'autre. Refus de l'individualisme. Respect du bien public et collectif. Respect des règles sociales et démocratiques. Respect des fonctions publiques.

24. Que faudrait-il faire pour favoriser le développement de ces comportements civiques et par quels engagements concrets chacun peut-il y participer ?

Valoriser tout comportement qui prend en compte l'autre et RÉPRIMER sévèrement tout individualisme coupable ex : une personne agressée dans les transports publics ne doit pas être livrée à ses agresseurs dans l'indifférence générale. Les indifférents doivent être poursuivis pour non assistance. L'éducation nationale est RESPONSABLE d'apprendre aux enfants le respect de l'autre et l'obligation d'assistance aux plus faibles : handicapés, vieillards, plus jeunes................

25. Que faudrait-il faire pour valoriser l'engagement citoyen dans les parcours de vie, dans les relations avec l'administration et les pouvoirs publics ?

Un service civique national et universel d'une durée suffisante pour former les citoyens aux valeurs et aux institutions de notre pays et de l'Europe, à l'adhésion aux symboles représentatifs de ces dernières tels que le drapeau, l'hymne etc..... Quant aux administrations et aux pouvoirs publics : conserver suffisamment de proximité des usagers garante d'une relation humaine dans les rapports. Rendre au temps de relation l'importance du respect de la personne. Le désert français des services publics est une réalité dont souffre 50 millions de citoyens par rapport à la non prise en compte par le "parisianisme" des dirigeants et gouvernants technocratiques qui concerne les 15 millions de citoyens de l'Ile de France. Il y a un ressenti de mépris doublé d'une méconnaissance et d'une incompétences par rapport aux problèmes locaux.

26. Quelles sont les incivilités les plus pénibles dans la vie quotidienne et que faudrait-il faire pour lutter contre ces incivilités ?

L'individualisme forcené et généralisé qui entraine le non respect de l'autre. L'indifférence aux personnes et aux évènements qui nous entourent au quotidien. Que les organismes publics et d’éducation apprennent au citoyen la conscience de soi préalable à la prise de conscience de l'autre ET le respect des personnes, des biens et de l’environnement. Nous sommes individuellement responsables du collectif.

27. Que peuvent et doivent faire les pouvoirs publics pour répondre aux incivilités ?

Intégrer une "morale civique" à l'enseignement de l'école et des mouvements éducatifs. Donner aux fonctionnaires le droit de refuser ses services aux personnes inciviles et la possibilité d'obtenir des sanctions vis à vis de ces dernières. Avoir une tolérance "0" (pédagogique et pas systématiquement répressive) vis à vis des incivilités. Avoir le temps de pouvoir effectuer un accueil bienveillant de l'usager au lieu trop souvent lui renvoyer un comportement impersonnel et agressif. ATTENTION, la réintégration de l'humain dans les relations nécessite de disposer du temps suffisant. D'où l'obligation de bannir une rentabilité "économique" de l'acte administratif en prenant conscience que le coût social d'un rapport dégradé sera économiquement beaucoup plus important pour la société.

28. Quel pourrait être le rôle de chacun pour faire reculer les incivilités dans la société ?

Bannir l'individualisme et l'indifférence dans son comportement et se sentir responsable d'un devoir d'intervention chaque fois que nécessaire.

29. Quelles sont les discriminations les plus répandues dont vous êtes témoin ou victime ?

Impolitesse, mépris quand on ne sait pas. Condescendance liée à la différence d'âge, de statut, de situation.........

30. Que faudrait-il faire pour lutter contre ces discriminations et construire une société plus solidaire et plus tolérante ?

Voir supra : Respect et responsabilité

31. Pensez-vous qu'il faille instaurer des contreparties aux différentes allocations de solidarité ?

Non

32. Si oui, lesquelles ?

Si elles sont pérennes, justifiées et contrôlées. Oui si elles sont ponctuelles et tendent à être transformées en durable par le bénéficiaire.

33. Que pensez-vous de la situation de l'immigration en France aujourd'hui et de la politique migratoire ? Quelles sont, selon vous, les critères à mettre en place pour définir la politique migratoire ?

Il n'y a pas en France de problème d'immigration, mais un problème d'accueil. Diffuser largement les chiffres de l'immigration réelle par rapport à la population français afin de systématiquement contrer les dérives hystérisantes des politiques populistes. Asile : pas de critères quantitatifs Économique : critères qualitatifs en fonction de nos besoins Droit d'aller et venir et de s'installer où l'on veut en toute liberté : critères quantitatifs

34. En matière d'immigration, une fois nos obligations d'asile remplies, souhaitez-vous que nous puissions nous fixer des objectifs annuels définis par le Parlement ?

Oui, voir supra.

35. Que proposez-vous afin de répondre à ce défi qui va durer ?

Doubler les politiques d’accueil de politique d'actions volontaires sur les causes d'immigration. La France doit avoir une parole forte dans ce domaine, car un individu ou une famille ne quitte jamais son pays, son histoire, les siens par plaisir.

36. Quelles sont, selon vous, les modalités d'intégration les plus efficaces et les plus justes à mettre en place aujourd'hui dans la société ?

La prise de position rapide de l'administration (dans des conditions descentes) afin que nos délais ne créent pas des "sans papiers" et l'exécution immédiate de la décision : rejet ou intégration. La possession de la langue. L'adhésion solennelle, après formation et information, aux valeurs et institutions de la République. L'accès à l'éducation et le regroupement familiale.

37. Y a-t-il d'autres points sur la démocratie et la citoyenneté sur lesquels vous souhaiteriez vous exprimer ?

Bannir le "parisianisme" (centralisme typiquement français) de nos modes de fonctionnement et s'affranchir du scrutin majoritaire existant qui crée de fausses majorité et la non légitimité.

Grand débat - organisation de l'Etat et des services publics

1. Que pensez-vous de l'organisation de l'Etat et des administrations en France ? De quelle manière cette organisation devrait-elle évoluer ?

Globalement, comparer à d'autres pays, l'administration française fonctionne plutôt bien. Par contre, le centralisme et le "parisianisme" typiquement français tue l'adaptation de l'administration aux différentes réalités du terrain. L'administration centrale édicte des règles générales pour l'ensemble du territoire et contrôle leurs respect. Mais il est indispensable d'avoir plus de latitude quant à la mise en œuvre locale, car la diversité de nos régions, tant économique, culturelle que sociale implique qu'une solution de détail conçu à Paris est rarement pertinente pour l'application locale. D'où délais anormaux, incompréhension, gaspillage qui entrainent un sentiment d'abandon des provinces (50 millions de français) par rapport à Paris (15 millions de français !). Pour obtenir une cohésion sociale, l'évolution doit se faire vers - une plus grande décentralisation des services : proximité de l'usagé. - une plus grande autonomie d'action et de décision au niveau local - la reconnaissance des besoins régionaux spécifiques. Le centralisme tend à l'uniformisation qui est en complet décalage avec la réalité. - le développement de moyens adaptés, efficaces et contrôlés au niveau local. Les dégâts collatéraux d'une centralisation court terme et uniquement rationnelle pécuniairement, sont extrêmement importants à terme pour la collectivité. A quoi sert de supprimer un hôpital de proximité pour supprimer quelques coûts court terme, si cela engendre des coût de déplacements en urgence et pour les soins récurrents extrêmement élevés (hélicoptère, ambulances, taxi.......), sans compter les déplacements générés pour le personnel et les familles des malades : coût des investissements, des infrastructure, du temps perdu, du bilan écologique, du stress, de l’insatisfaction etc. etc.... ??????? - Il est indispensable de raisonner global et non pas sectoriel, de façon intelligente et solidaire et non pas individualiste onéreux puisque c'est la collectivité qui paie.

2. Selon vous, l'Etat doit-il aujourd'hui transférer de nouvelles missions aux collectivités territoriales ?

Oui

3. Si oui, lesquelles ?

Transférer des "missions" ne consiste pas à transférer des coûts et des charges qui étaient centralisés. Le transfert nécessite une organisation différentes et le transfert des pouvoirs correspondants. Transférer une mission avec des objectifs : oui, mais laisser la complète liberté de mise en œuvre à celui qui l'applique. Transfert dans les domaines de la santé, de l'aide à la personne, de la gestion écologique, des transports publics, des infrastructures locales, de la culture, de la formation professionnelle par rapport aux besoins locaux. En bref, ne garder au niveau central que les missions d’État.

4. Estimez-vous avoir accès aux services publics dont vous avez besoin ?

Non

5. Si non, quels types de services publics vous manquent dans votre territoire et qu'il est nécessaire de renforcer ?

Santé, poste, transports publics, commerces de proximité qui dans certaines régions deviennent une nécessité publique pour vivre normalement sur place.

6. Quels nouveaux services ou quelles démarches souhaitez-vous voir développées sur Internet en priorité ?

Tout ce qui est déclarations administratives.

7. Avez-vous déjà utilisé certaines de ces nouvelles formes de services publics ?

Non

8. Si oui, en avez-vous été satisfait ?

None

9. Quelles améliorations préconiseriez-vous ?

Leur généralisation

10. Quand vous pensez à l'évolution des services publics au cours des dernières années, quels sont ceux qui ont évolué de manière positive ?

le service des impôts information, déclaration, recouvrement.

11. Quels sont les services publics qui doivent le plus évoluer selon vous ?

La santé, l'éducation et la formation.

12. Connaissez-vous le "droit à l'erreur", c'est-à-dire le droit d'affirmer votre bonne foi lorsque vous faites un erreur dans vos déclarations ?

Oui

13. Si oui, avez-vous déjà utilisé ce droit à l'erreur ?

Oui

14. Si oui, à quelle occasion en avez-vous fait usage ?

Vis à vis du fisc

15. Pouvez-vous identifier des règles que l'administration vous a déjà demandé d'appliquer et que vous avez jugées inutiles ou trop complexes ?

Gestion de la taxe de séjour en cas de location d'un bien saisonnier. Pour des sociétés publiques : absence d'interlocuteur à l'écoute dans les litiges avec la Poste ou la SNCF : on nous fait tourner en rond sur leur application internet de réclamation. Par définition, l'usager a tors.

16. Faut-il donner plus d'autonomie aux fonctionnaires de terrain ?

Oui

17. Si oui, comment ?

En les formant sur leur degré de liberté pour la mise en œuvre des directives. Les former à l'accueil de l'usagé. Avoir un réel pouvoir de décision dans leur domaine de délégation.

18. Faut-il revoir le fonctionnement et la formation de l'administration ?

Oui

19. Si oui, comment ?

Voir supra

20. Comment l'Etat et les collectivités territoriales peuvent-ils s'améliorer pour mieux répondre aux défis de nos territoires les plus en difficulté ?

En instaurant une organisation et une information ascendante (le central au service du local) au lieu du système actuel descendant ( le local aux ordres du central) Cessé de faire des statistiques pour ce justifier au lieu de valoriser une obligation de résultat.

21. Si vous avez été amené à chercher une formation, pouvez-vous indiquer les éléments de satisfaction et/ou les difficultés rencontrés en précisant, pour chaque point, l'administration concernée :

On n'est plus dans une collecte du Grand débat, mais dans une enquête statistique de certains services publics. C'est lassant et dommage, car les 3 autres thèmes permettaient une expression intéressante.

22. Si vous avez été amené à scolariser votre enfant, pouvez-vous indiquer les éléments de satisfaction et/ou les difficultés rencontrés en précisant, pour chaque point, l'administration concernée :

IDEM SUPRA

23. Si vous avez été amené à chercher un emploi, pouvez-vous indiquer les éléments de satisfaction et/ou les difficultés rencontrés en précisant, pour chaque point, l'administration concernée :

IDEM SUPRA

24. Si vous avez été amené à préparer votre retraite, pouvez-vous indiquer les éléments de satisfaction et/ou les difficultés rencontrés en précisant, pour chaque point, l'administration concernée :

IDEM SUPRA

25. Si vous avez été amené à demander un remboursement de soins de santé, pouvez-vous indiquer les éléments de satisfaction et/ou les difficultés rencontrés en précisant, pour chaque point, l'administration concernée :

IDEM SUPRA

26. Si vous avez été amené à faire une demande d'aide pour une situation de handicap, pouvez-vous indiquer les éléments de satisfaction et/ou les difficultés rencontrés en précisant, pour chaque point, l'administration concernée :

IDEM SUPRA

27. Si vous avez été amené à créer une entreprise, pouvez-vous indiquer les éléments de satisfaction et/ou les difficultés rencontrés en précisant, pour chaque point, l'administration concernée :

IDEM SUPRA

28. Si vous avez été amené à recruter du personnel, pouvez-vous indiquer les éléments de satisfaction et/ou les difficultés rencontrés en précisant, pour chaque point, l'administration concernée :

IDEM SUPRA

29. Si vous avez été amené à former du personnel, pouvez-vous indiquer les éléments de satisfaction et/ou les difficultés rencontrés en précisant, pour chaque point, l'administration concernée :

IDEM SUPRA

30. Si vous avez été amené à rémunérer du personnel, pouvez-vous indiquer les éléments de satisfaction et/ou les difficultés rencontrés en précisant, pour chaque point, l'administration concernée :

IDEM SUPRA

31. Si vous avez été amené à mettre fin à votre activité, pouvez-vous indiquer les éléments de satisfaction et/ou les difficultés rencontrés en précisant, pour chaque point, l'administration concernée :

IDEM SUPRA En plus des délai et une complexité notamment avec l'URSSAF qui font trainer les choses beaucoup trop longtemps.

32. Si vous avez été amené à recruter une personne portant un handicap, pouvez-vous indiquer les éléments de satisfaction et/ou les difficultés rencontrés en précisant, pour chaque point, l'administration concernée :

IDEM SUPRA

33. Y a-t-il d'autres points sur l'organisation de l'Etat et des services publics sur lesquels vous souhaiteriez vous exprimer ?

Un sujet pour moi extrêmement important pour la cohésion sociale : LE SERVICE NATIONAL OBLIGATOIRE. Lorsque le service national a été supprimé, les décideurs ont raisonné uniquement en terme de coûts budgétaire et ont complètement oublié la "rentabilité" sociale d'un tel service. Combien coûte à la collectivité le manque de mixité sociale et d'éducation civique ??? ÉNORMÉMENT !!! en terme d'assistance, de sécurité, d'incohérence nationale ................... Il me semble indispensable de créer rapidement un service national obligatoire pour tous les jeunes citoyens(filles et garçons) et qu'il soit suffisamment long (un an en continu semble correct) pour être un facteur effectif d'intégration et de cohésion sociale. L'objectif est de développer : - une mixité sociale, - un apprentissage civique et une adhésion aux valeurs et aux institutions de la République, notamment par la compréhension du fonctionnement de nos institutions ainsi que des symboles comme le drapeau, l'hymne nationale etc..... - l'expérience de vie collective avec la prise de conscience de soi et des autres. - le respect de soi, des autres, des règles communes et de prendre conscience que tout citoyen a des DEVOIRS. - La solidarité par un temps de service de la collectivité : les domaines d’intérêt public ne manquent pas entre les actions d'éducation, d'aide sociale, d'actions écologiques etc................... En résumé, développer le sens de l'appartenance à une communauté solidaire.

Grand débat - transition écologique

1. Quel est aujourd'hui pour vous le problème concret le plus important dans le domaine de l'environnement ?

avoir une vision claire de l'ensemble des enjeux et conditions d'actions

2. Que faudrait-il faire selon vous pour apporter des réponses à ce problème ?

Avoir une vision globale claire et cohérente : - voiture électrique :oui, mais quid du bilan carbone des batteries ??? - changer son véhicule diesel : oui, mais le bilan carbone et la consommation sont meilleurs que l'essence ??? - changer ma chaudière à fioul contre une chaudière à bois : oui, mais quid des particules plus importantes que le diesel ??? Cette incohérence ou vision partielle dans l'approche, fait que le citoyen qui réfléchit refuse d'engager de l'argent dans des actions non claires qui peuvent être remises en question très rapidement. De plus de telles contradictions sont génératrices d'insécurité qui nourrit la peur des gens et génère des réactions tout azimuthe aussi incohérentes que les solutions partielles. Des actions politiques clairement déclinées dans le temps sont efficaces et responsabilisent.

3. Diriez-vous que votre vie quotidienne est aujourd'hui touchée par le changement climatique ?

Non

4. Si oui, de quelle manière votre vie quotidienne est-elle touchée par le changement climatique ?

None

5. À titre personnel, pensez-vous pouvoir contribuer à protéger l'environnement ?

Oui

6. Si oui, que faites-vous aujourd'hui pour protéger l'environnement et/ou que pourriez-vous faire ?

Convaincre mon environnement de l'importance de la question Engager des dépenses en investissements personnels selon mes moyens dans le sens d'une meilleure contribution

7. Qu'est-ce qui pourrait vous inciter à changer vos comportements comme par exemple mieux entretenir et régler votre chauffage, modifier votre manière de conduire ou renoncer à prendre votre véhicule pour de très petites distances ?

Une vison claire de l’enjeu pour les priorités à ma portée.

8. Quelles seraient pour vous les solutions les plus simples et les plus supportables sur un plan financier pour vous inciter à changer vos comportements ?

Une incitation pécuniaire et/ou fiscale sur les actions prioritaires et à long terme : non remises en question tous les deux ou trois ans.

9. Par rapport à votre mode de chauffage actuel, pensez-vous qu'il existe des solutions alternatives plus écologiques ?

Oui

10. Si oui, que faudrait-il faire pour vous convaincre ou vous aider à changer de mode de chauffage ?

Être certain de la pertinence et de la pérennité des solutions proposées

11. Avez-vous pour vos déplacements quotidiens la possibilité de recourir à des solutions de mobilité alternatives à la voiture individuelle comme les transports en commun, le covoiturage, l'auto-partage, le transport à la demande, le vélo, etc. ?

Oui

12. Si oui, que faudrait-il faire pour vous convaincre ou vous aider à utiliser ces solutions alternatives ?

Desserte des transports en communs adaptée aux besoins en terme de circuits et de d'horaires. Un coût abordable

13. Si non, quelles sont les solutions de mobilité alternatives que vous souhaiteriez pouvoir utiliser ?

None

14. Et qui doit selon vous se charger de vous proposer ce type de solutions alternatives ?

Les collectivités locales

15. Que pourrait faire la France pour faire partager ses choix en matière d'environnement au niveau européen et international ?

Avoir un discours clair et cohérent entre la réalité des questions, le long et le court terme et militer au niveau européen pour avoir une vision globale et dénoncer les hypocrisies nationalistes (l'Allemagne sort du nucléaire : pollue avec le développement de ses centrales à charbon et achète de l'électricité nucléaire à la France !!!)

16. Y a-t-il d'autres points sur la transition écologique sur lesquels vous souhaiteriez vous exprimer ?

None