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Il faut rendre la fiscalité équitable, faire en sorte qu'elle pèse sur chacun selon ses ressources, qu'il s'agisse de fiscalité des ménages ou des entreprises. Le fonctionnement actuel des finances publiques françaises nourrit les inégalités sociales et économiques en générant aussi des inégalités territoriales.
Aujourd'hui l'état est le principal collecteur de l'impôt et les recettes sont redistribuées selon son bon vouloir. Le résultat est une mise sous tutelle de l'ensemble des collectivités territoriales et une difficulté grandissante pour elles à mener leurs propres politiques. Cette gestion centralisée des finances publiques va de pair avec un scandaleux favoritisme territorial : la région parisienne bénéficie en proportion de beaucoup plus d'investissements publics que le reste du territoire, d'où la concentration de l'emploi autour de la capitale au détriment des autres régions.
déconcentrer les emplois en décentralisant la France amènera plus d’homogénéité et d'équilibre dans la répartition des budgets publics.
Le problème n'est pas là il est dans la gestion de la France par les gouvernement successifs qui n'est pas adapté à la vie actuelle.
Les soins et l'accueil à l'hôpital. La démocratisation de l'hospitalisation à domicile et l'accompagnement des malades.
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Le recouvrement de l'impôt doit être partagé ainsi que les recettes selon les compétences exercées par chacune des collectivités. C'est de cette manière qu'il sera possible à celles-ci de se développer et d'être plus à l'écoute des acteurs locaux et en premier lieu des petites et moyennes entreprises qui sont le cœur de l'économie locale. Les multinationales échappent trop souvent à l'impôt alors que les petites et moyennes entreprises sont lourdement taxées. Il faut rationaliser la taxation, réduire l'optimisation fiscale et l'évasion fiscale qui est un vol qui garantirait des ressources qui aujourd'hui font cruellement défaut pour assurer le fonctionnement des services publics, notamment la santé et l'éducation.
Malheureusement en personne car pour moi la France est un état centralisé où l'ensemble des pouvoirs y est concentré. Pouvoir judiciaire, économique, financier, médiatique... la France vit au rythme de sa capitale, Paris. La capitale a drainé et draine encore vers elle l'ensemble des forces vives et des richesses du pays, ce qui fragilise d'autant les autres territoires. Dévolution, fédéralisme, régionalisation, décentralisation, autonomie sont des termes étrangers à nos politiques.
Oui
Pour la Bretagne je verrais bien la création d'une Assemblée de Bretagne qui doterait la Bretagne d'un statut particulier. Idem pour les autres régions fortes qui le souhaiteraient. Mais pour cela il faut engager une modification de la constitution, donner de l'autonomie aux régions et s'inspirer des états fédéraux en Allemagne.
Construire une France et une Europe fédérales avec des statuts particuliers pour certaines régions qui auraient ainsi plus d'autonomie.
Une bonne chose
Il peut y avoir des ingérences avec des cumuls de mandats et il n'est pas normal que différentes décisions à des degrés différents puissent être prises par les mêmes personnes. Le cumul des mandats est un affront à la démocratie et un abus de pouvoir.
Les règles électorales et notamment le mode de financement des formations politiques ont été imaginées au bénéfice de quelques formations nationales au détriment des autres, ce qui favorise la domination/propagation idéologique de leurs idées ainsi que la mainmise des institutions liée à un vote opportuniste (chaque citoyen souhaite que son vote soit "utile"). L'injustice du système politique conduit les citoyens à dénigrer de plus en plus les outils permettant justement de se réapproprier le débat public et donc la démocratie. Ces outils sont les syndicats, les partis politiques, la presse, contre-pouvoirs à l'état qui est centralisateur et autoritaire.
Oui
Le mille-feuille administratif est absolument incroyable et il y aurait un nombre de strates à éliminer qui ne servent de toute manière à rien sinon à jeter l'argent public par les fenêtres. Exemple des départements. Les gens qui y travaillent sont atterrés par l'inutilité et le gaspillage d'argent.
La participation aux élections est de plus en plus faible. La plupart du temps il n'y a même pas a moitié des votants qui se déplacent. Les gens en ont marre. S'il y avait une réelle refonte des institutions peut-être que cela inciterait un peu plus les gens à aller voter. Cette refont devra prendre en compte l'autonomie des régions avec un fédéralisme différencié pour des régions différentes.
Oui
Les votes blancs de plus en plus nombreux devraient pouvoir représenter les citoyens mécontents. Il est inconcevable qu'ils ne soient pas encore pris en compte à notre époque. C'est un déni de démocratie car le vote blanc reconnu peut ouvrir à une vraie crise de légitimité de la part des élus.
Il faut modifier la constitution et rendre du pouvoir aux régions. Dévolution, fédéralisme, régionalisation sont les maîtres mots du changement.
Oui
En l'axant sur une modification de la constitution si l'on veut vraiment qu'il y ai un changement.
Changer la constitution
Sans changement de la constitution il ne peut y avoir d'amélioration.
Oui
- En moralisant la vie politique, en démocratisant les conseils municipaux, en instaurant un financement régional des partis, en instaurant la proportionnelle aux élections, en dénationalisant les scrutins régionaux, en abaissant les plafonds de remboursements électoraux, en systématisant "l'open data" (transparence de la vie publique avec des données libres d'accès), etc.
Revaloriser l'éducation populaire
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Peut-être plus sensibiliser les enfants tout au long de la scolarité sur l'engagement citoyen.
Les crottes de chien sur les trottoirs, mégots de cigarette jetés, papiers etc. Il faudrait verbaliser plus comme sur la route.
Verbaliser
Dans les quartiers sensibles il faudrait proposer des activités au jeunes inactifs. Théâtre, foot, jeux,. Mettre en place des actions de prévention avec les associations qui sont aux premières loges.
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Non
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L'immigration n'est pas un drame, c'est l'émigration qui l'est ! S'ils avaient le choix les migrants resteraient pour la plupart chez eux. Nous devons cesser les pratiques de spoliation et post-colonialisme avec la néocolonialisation qui se matérialise par exemple par l'achat des terres des paysans locaux, notamment en Afrique. La question de l'accueil
La question de l'accueil es primordiale mais avant cela il faut se poser la question de la solution. Ce n'est pas en arrosant financièrement les dictatures en place comme la Turquie ou la Libye que les populations resteront chez elles.
Les diplomaties française et européenne seraient bien plus inspirées de proposer aux instances internationales d'imposer aux multinationales des conditions de travail minimales décentes.
L'immigration est généralement le produit des inégalités et de l'exploitation des populations sur le plan mondial et les immigrés en sont les premières victimes. La priorité d'une politique de l'immigration ne doit pas être la chasse aux sans-papiers.
Il faudrait régulariser les sans-papiers progressivement pour ne pas laisser subsister sur notre territoire une population privée de droits. Assurer la prise en charge des demandeurs d'asile, assurer un statu spécifique aux produits alimentaires, refuser les traités de libre-échange inéquitables.
Il faut que cette organisation évolue et passe à une république fédérale et parlementaire. L'était français est doublement autoritaire : parce-que présidentiel et centralisé. La démocratie réelle comme le souci d'efficacité imposent au contraire de partager le pouvoir à l'intérieur des institutions, en rendant son pouvoir au parlement et en limitant le rôle du président de la république. Il faudrait également retirer à la capitale sa prééminence excessive pour rendre pouvoirs et moyens à toutes les régions, pays ou peuples de la république française. Les régions recevront des pouvoirs et des moyens budgétaires renforcés.
Oui
Un grand nombre de missions peuvent être transférées aux régions mais il faut avant tout réorganiser en créant un sénat des régions, des assemblées régionales comme par exemple une assemblée de Bretagne, etc.
Oui
j'ai la chance de vivre en ville et n'ai pas de problèmes mais ce n'est pas le cas d'un grand nombre de citoyens vivant en campagne et périphérie.
La solution n'est pas internet, il faut garder des services physiques pour que les gens n'aient pas l'impression de se sentir abandonnés.
Non
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Cela pourrait être une bonne solution dans les campagnes mais il faut former les gens et ce n'est pas aussi simple que ça en a l'air.
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La politique portée par l'état et lui seul est paternaliste et déresponsabilisante, elle ne permet pas l'émancipation. Ces missions devraient revenir aux régions si elles étaient plus autonomes financièrement. Une dévolution est nécessaire pour obtenir cette autonomie.
Oui
Non
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Oui
L'autonomie est la règle de l'émancipation. Si l'on ne fait pas confiance aux gens ils ne travailleront pas bien. Plus d'autonomie rend les personnes plus efficaces en général.
Oui
En supprimant l'ENA qui forme la plupart des énarques qui nous gouvernent.
Dévolution, autonomie, fédéralisme différencié, décentralisation sont les maîtres mots et la solution à pas mal de situations problématiques.
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Insatisfaction par rapport à Pôle Emploi qui est vraiment à réorganiser.
Trop de confusion et pas assez d'explications claires concernant les retraites. C'est vraiment le foutoir.
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Il faut œuvrer pour une démocratisation des institutions et la construction d'une France et d'une Europe fédérales dans lesquelles les territoires qui le souhaiteraient seraient dotés d'un statut particulier.
Les 4 ne peuvent être comparés ou mis par ordre d'importance ils ont chacun leur urgence
Interdire les pesticides chimiques, créer un conservatoire public des semences végétales et animales, décontaminer les sites pollués, contrôler de façon plus importante la pêche à pied, financer les campagnes d'arrachage des plantes invasives, poursuivre et réactualiser les atlas régionaux de la biodiversité, mieux soutenir les associations gestionnaires des espaces naturels, accélérer la reconstitution des talus.
Oui
Hivers beaucoup plus doux
Oui
J'essaye de me rapprocher le plus possible du zéro déchet en achetant en vrac. Je fais le tri collectif mis à disposition par ma commune. Je marche ou fais du vélo au lieu de prendre ma voiture pour des petits trajets. J'utilise aussi le bus car j'habite en ville.
Je fais déjà tout cela.
Je suis déjà consciente que les comportements doivent changer et j'y travaille au jour le jour.
Oui
Une aide financière significative pour changer de mode de chauffage.
Je n'utilise pas la voiture pour des déplacements quotidiens
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La région devrait être capable si elle avait plus d'aides financières de l'état de remettre en service des petites lignes SNCF au lieu de les supprimer. Encore une fois l'autonomie des région est indispensable pour y arriver avec un fédéralisme différencié pour des régions différentes.
Une décentralisation du gouvernement français ferait avancer les idées et projets concernant les alternatives qui ne sont pour l'instant pas très viable du fait de la centralisation. Redonner du pouvoir aux régions (régionalisation), vivre dans un état fédéraliste ferait réellement avancer le problème;
Il faut vouloir mettre en place une réelle politique de transition écologique avec par exemple l'utilisation de la taxe sur le carburant pour la mise en place de réelles alternatives. Sortie du nucléaire et du pétrole impératif pour y parvenir mais cela passera aussi par la relocalisation de l'économie et la souveraineté énergétique et alimentaire des territoires. Le principe de pollueur/payeur doit être généralisé. La dévolution doit être mise en place pour doter les régions de pouvoirs normatifs
Votre message a bien été envoyé.