Date de publication : 2019-02-03
Code postal : 33600

Grand débat - fiscalité et dépenses publiques

1. Quelles sont toutes les choses qui pourraient être faites pour améliorer l'information des citoyens sur l'utilisation des impôts ?

Publier en ligne tous les comptes et bilans financiers des institutions publiques, administrations, assemblées, etablissements publics

2. Que faudrait-il faire pour rendre la fiscalité plus juste et plus efficace ?

Interdiction du lobbying : qui devrait être considéré comme un délit de trafic d’influence. Intensifier la lutte contre l’évasion fiscale. Les revenus perçus par les multinationales en France et/ou par des sociétés de droit français et/ou pour du commerce avec des ressortissants français sont intégralement imposables en France (GAFA…). Interdiction de l’organisation du déficit en France par le jeu de filiales à l’étranger. Réaffirmer le principe énoncé dans la déclaration universelle des droits de l'Homme Art. 13. "Pour l'entretien de la force publique, et pour les dépenses d'administration, une contribution commune est indispensable : elle doit être également répartie entre tous les citoyens, en raison de leurs facultés" = EN RAISON DE LEURS FACULTÉS Simplification du mille feuilles fiscal : regroupement des impôts et taxes en une seule imposition proportionnelle aux facultés de chacun. Imposition des parlementaires selon le même régime que n'importe quel citoyen sur ses indemnités. Suppression des niches fiscales.

3. Quels sont selon vous les impôts qu'il faut baisser en priorité ?

TVA

4. Afin de financer les dépenses sociales, faut-il selon vous...

Considérant que la possession et l’utilisation d’un compte bancaire sont de facto obligatoires et imposés : réforme du système bancaire et taxation des profits de ces dernières pour financer la solidarité. Les comptes courants bancaires sont rémunérés au minimum au taux de l’inflation et les frais de gestion et d’incidents sont fixés règlementairement par les pouvoirs publics

5. S'il faut selon vous revoir les conditions d'attribution de certaines aides sociales, lesquelles doivent être concernées ?

None

6. Quels sont les domaines prioritaires où notre protection sociale doit être renforcée ?

Aide à la dépendnce, au handicape, à la scolarisation de tous et au maintien à domicile. Aide à la précarité.

7. Pour quelle(s) politique(s) publique(s) ou pour quels domaines d'action publique, seriez-vous prêts à payer plus d'impôts ?

Résorption de la précarité et de la pauvreté. Aide à la dépendance, au handicape, à la scolarisation de tous

8. Y a-t-il d'autres points sur les impôts et les dépenses sur lesquels vous souhaiteriez vous exprimer ?

None

Grand débat - démocratie et citoyenneté

1. En qui faites-vous le plus confiance pour vous faire représenter dans la société et pourquoi ?

« La devise de la République est « Liberté, Égalité, Fraternité ». « Son principe est : gouvernement du peuple, par le peuple et pour le peuple. » Gouvernement participatif accrue et direct : gouvernement du peuple, par le peuple et pour le peuple : - Les modifications constitutionnelles sont de la seule compétence du peuple français qui seul peut les ratifier par voie référendaire - Le congrès ne peut pas voter à l’encontre du vote exprimé par le peuple par voie référendaire

2. En dehors des élus politiques, faut-il donner un rôle plus important aux associations et aux organisations syndicales et professionnelles ?

Oui

3. Si oui, à quel type d'associations ou d'organisations ? Et avec quel rôle ?

Associations et organisations syndicales et professionnelles : missions identiques aux missions du conseil économique et social

4. Que faudrait-il faire pour renouer le lien entre les citoyens et les élus qui les représentent ?

- Il est fait obligation aux parlementaires d’assister aux votes des textes qui leur sont soumis faute de quoi leur indemnité doit être suspendue. Pour cela les sessions du parlement doivent être compatibles avec un rythme raisonnable (fin des séances de nuit interminables avec vote au petit matin avec 15 parlementaires présents. Absences devant être justifiées. - Les budgets des institutions et notamment celui de la Présidence, des ministères et des assemblées sont contrôlés par la cour des comptes qui publie chaque année un rapport aboutissant à des plans d’action de mise en conformité - Abolition des privilèges républicains : a) Calquer notre vie politique sur le modèle d’Europe du nord ou la séparation entre vie publique et vie privée des dirigeants politiques est exemplaires notamment pour ce qui concerne les frais et dépenses professionnelles. b) Faire une différence entre frais liée à la fonction et dépenses courantes qui relève du commun de chaque citoyen c) Arrêter les traitements de faveur et autres avantages en alignant ces derniers sur ceux de la population d) Appliquer le même principe aux élus e) Limitation des transports privés et utilisation des transports en commun et lignes régulières pour les élus et responsables politiques et/ou exerçant une fonction officielle - Les salaires des personnels des assemblées et institutions républicaines sont alignées sur les salaires de la fonction publique. Une infirmière faisant des nuits, des we, gagne 1400 € par mois en début de carrière, 1700€ en milieu de carrière, 2200€ en fin de carrière… Combien gagnent les agents du Sénat et de l’assemblée nationale ??? * Un agent de base du Sénat (nettoyage, accueil, lingère…) touche en début de carrière un salaire mensuel brut de 3 000 euros. Ce salaire passe à 4000 euros par mois en milieu de carrière et monte jusqu’à 6250 euros par mois en fin de carrière. * Un jardinier du Luxembourg touche en début de carrière un salaire mensuel brut de 3 000 euros. Ce salaire passe à 4000 euros par mois en milieu de carrière et monte jusqu’à 6250 euros par mois en fin de carrière. * Une secrétaire de direction du Sénat bénéficie d’un salaire mensuel brut moyen de 3 500 euros. Ce salaire passe à 4000 euros par mois en milieu de carrière et monte jusqu’à 7170 euros par mois en fin de carrière. * Un chauffeur du Sénat touche un salaire mensuel brut moyen de 6000 euros. * Un administrateur adjoint du Sénat dispose d’un salaire mensuel brut moyen de 4 080 euros en début de carrière, puis de 5 420 euros en milieu de carrière, pour enfin terminer à 8 500 euros en fin de carrière. * Un administrateur du Sénat touche un salaire mensuel brut moyen de 5 000 euros en début de carrière, de 7 920 euros en milieu de carrière. Ce salaire passe à 13 330 euros par mois en fin de carrière. * En plus de leurs salaires, les employés du Sénat bénéficient de nombreux avantages: emploi garanti à vie, 32 heures de travail hebdomadaire, 11 semaines de congés payés minimum par an, une prime de nuit pour tout le monde, ainsi qu’une prime individuelle de chauffage

5. Le non-cumul des mandats instauré en 2017 pour les parlementaires (députés et sénateurs) est :

Une bonne chose

6. Pourquoi ?

- Interdiction du cumul des mandats et fonctions diverse et des rémunérations qui en découlent en dehors d’un mandat d’élu local et d’un mandat national. Certaines mandats et fonctions sont incompatibles avec tout cumul : maire d’une ville de 50000 habitants, ministres et secrétaires d’état, présidents des assemblées… etc. - Les mandats électifs sont limités à 2 mandatures de 5 ans

7. Que faudrait-il faire pour mieux représenter les différentes sensibilités politiques ?

- Si chacun peut exprimer ses choix individuels lors du vote, ce dernier étant un devoir civique, le vote est rendu obligatoire - L’obligation du vote, entraine de facto, la reconnaissance du vote blanc (bulletin blanc) comme un suffrage exprimé, comptabilisé et inclus dans le calcul des résultats. Sont considérés comme vote nuls les bulletins non conformes et les votes sans bulletins : n’intègrent pas le calcul des résultats. Les suffrages exprimés sont comptabilisés en incluant les votes blancs comme un vote à part entière. - Les élections, représentant le suffrage de chaque citoyen, les scrutins sont proportionnels ou mixte en assurant une majorité au vainqueur, en permettant des alliances entre les deux tours et en donnant une représentation aux minoritaires. Ainsi, à l’issue du deuxième tour, la liste en tête obtient la moitié des sièges, l’autre moitié étant répartie à la proportionnelle entre toutes les listes ayant rassemblé au moins 5% des suffrages.

8. Pensez-vous qu'il serait souhaitable de réduire le nombre d'élus (hors députés et sénateurs) ?

Oui

9. Si oui, lesquels ?

- Rendre les régions plus autonomes en rétablissant les 22 régions et en supprimant les départements (fusion région-département) - Suppression du mille-feuilles local en favorisant les communes et en regroupant en communauté d’agglomération celles de moins de 5000 habitants. Choix entre commune et métropole pour les villes de plus de 50000 habitants - Les deux assemblées sont maintenues avec une diminution du nombre de parlementaires

10. Que pensez-vous de la participation des citoyens aux élections et comment les inciter à y participer davantage ?

None

11. Faut-il prendre en compte le vote blanc ?

Oui

12. Si oui, de quelle manière ?

- Si chacun peut exprimer ses choix individuels lors du vote, ce dernier étant un devoir civique, le vote est rendu obligatoire - L’obligation du vote, entraine de facto, la reconnaissance du vote blanc (bulletin blanc) comme un suffrage exprimé, comptabilisé et inclus dans le calcul des résultats. Sont considérés comme vote nuls les bulletins non conformes et les votes sans bulletins : n’intègrent pas le calcul des résultats. Les suffrages exprimés sont comptabilisés en incluant les votes blancs comme un vote à part entière. En cas de vote blanc majoritaire, le scrutin invalide les candidats et il est procédé à un nouveau scrutin dont les modalités restent à définir dans la constitution

13. Que faudrait-il faire aujourd'hui pour mieux associer les citoyens aux grandes orientations et à la décision publique ? Comment mettre en place une démocratie plus participative ?

- Modification de l’article 11 de la constitution en vue de la création du referendum d’initiative citoyenne : Prévu à l’article 11 de la Constitution, le référendum d’initiative populaire complète le référendum à l’initiative du président de la République. Toutefois, cette procédure tient plutôt du référendum d’initiative… parlementaire. En effet, si les électeurs sont appelés à apporter leur concours dans cette procédure, c’est afin de soutenir la proposition de loi d’un cinquième des parlementaires (soit 184 députés ou sénateurs). L’initiative appartient donc au législateur, qui devra d’abord s’assurer du soutien d’un dixième des inscrits sur les listes électorales (soit actuellement environ 4,5 millions d’électeurs). - Les conditions de déclenchement d’un référendum d’initiative citoyenne sont ainsi modifiées : a) 250 à 500 signatures d’élus (quel qu’il soit) sont nécessaires pour soutenir la demande b) 5% des électeurs inscrits sur les listes électorales sont nécessaires - De plus, l’article 11 al. 5 qui prévoit que « si la proposition de loi n’a pas été examinée par les deux assemblées dans un délai fixé par la loi organique, le Président de la République la soumet au référendum. » est supprimé. En effet, le référendum n’interviendrait donc qu’en l’hypothèse où la proposition de loi n’arrivait pas à être adoptée en des termes identiques par les deux chambres du Parlement, dans un délai d’un an après la déclaration de constitutionnalité de la proposition de loi par le Conseil constitutionnel. - Suppression des dispositions de l’article 11 al. 3 précisant que ce référendum ne peut porter que « sur l’organisation des pouvoirs publics, sur des réformes relatives à la politique économique, sociale ou environnementale de la Nation et aux services publics qui y concourent, ou tendant à autoriser la ratification d’un traité qui, sans être contraire à la Constitution, aurait des incidences sur le fonctionnement des institutions. » afin de rendre possible pour une partie des électeurs de prendre l’initiative de lois dans des domaines à portée très générale. - Confirmation du fait que l’initiative « ne peut avoir pour objet l’abrogation d’une disposition législative promulguée depuis moins d’un an » (al. 3). Exclue aussi donc, la possibilité pour l’opposition de faire du référendum l’instrument d’appel au peuple en vue de « contre-légiférer » rapidement après l’adoption d’une loi impopulaire. - Confirmation que le Conseil constitutionnel sera amené à contrôler la proposition de loi. Si les Sages se refusent à contrôler la constitutionnalité d’une loi référendaire, se rangeant ainsi à la conception selon laquelle le référendum est l’expression directe de la souveraineté nationale, l’article 61 de la Constitution prévoit que « […] les propositions de loi mentionnées à l’article 11 avant qu’elles ne soient soumises au référendum […] doivent être soumis au Conseil constitutionnel. » Ce « filtre » doit permettre d’éviter que sous le coup de circonstances particulières, une loi violant les droits et libertés ou l’organisation des pouvoirs garantis par la Constitution ne soit soumise à référendum.

14. Faut-il faciliter le déclenchement du référendum d'initiative partagée (le RIP est organisé à l'initiative de membres du Parlement soutenu par une partie du corps électoral) qui est applicable depuis 2015 ?

Oui

15. Si oui, comment ?

- Modification de l’article 11 de la constitution en vue de la création du referendum d’initiative citoyenne : Prévu à l’article 11 de la Constitution, le référendum d’initiative populaire complète le référendum à l’initiative du président de la République. Toutefois, cette procédure tient plutôt du référendum d’initiative… parlementaire. En effet, si les électeurs sont appelés à apporter leur concours dans cette procédure, c’est afin de soutenir la proposition de loi d’un cinquième des parlementaires (soit 184 députés ou sénateurs). L’initiative appartient donc au législateur, qui devra d’abord s’assurer du soutien d’un dixième des inscrits sur les listes électorales (soit actuellement environ 4,5 millions d’électeurs). - Les conditions de déclenchement d’un référendum d’initiative citoyenne sont ainsi modifiées : a) 250 à 500 signatures d’élus (quel qu’il soit) sont nécessaires pour soutenir la demande b) 5% des électeurs inscrits sur les listes électorales sont nécessaires - De plus, l’article 11 al. 5 qui prévoit que « si la proposition de loi n’a pas été examinée par les deux assemblées dans un délai fixé par la loi organique, le Président de la République la soumet au référendum. » est supprimé. En effet, le référendum n’interviendrait donc qu’en l’hypothèse où la proposition de loi n’arrivait pas à être adoptée en des termes identiques par les deux chambres du Parlement, dans un délai d’un an après la déclaration de constitutionnalité de la proposition de loi par le Conseil constitutionnel. - Suppression des dispositions de l’article 11 al. 3 précisant que ce référendum ne peut porter que « sur l’organisation des pouvoirs publics, sur des réformes relatives à la politique économique, sociale ou environnementale de la Nation et aux services publics qui y concourent, ou tendant à autoriser la ratification d’un traité qui, sans être contraire à la Constitution, aurait des incidences sur le fonctionnement des institutions. » afin de rendre possible pour une partie des électeurs de prendre l’initiative de lois dans des domaines à portée très générale. - Confirmation du fait que l’initiative « ne peut avoir pour objet l’abrogation d’une disposition législative promulguée depuis moins d’un an » (al. 3). Exclue aussi donc, la possibilité pour l’opposition de faire du référendum l’instrument d’appel au peuple en vue de « contre-légiférer » rapidement après l’adoption d’une loi impopulaire. - Confirmation que le Conseil constitutionnel sera amené à contrôler la proposition de loi. Si les Sages se refusent à contrôler la constitutionnalité d’une loi référendaire, se rangeant ainsi à la conception selon laquelle le référendum est l’expression directe de la souveraineté nationale, l’article 61 de la Constitution prévoit que « […] les propositions de loi mentionnées à l’article 11 avant qu’elles ne soient soumises au référendum […] doivent être soumis au Conseil constitutionnel. » Ce « filtre » doit permettre d’éviter que sous le coup de circonstances particulières, une loi violant les droits et libertés ou l’organisation des pouvoirs garantis par la Constitution ne soit soumise à référendum.

16. Que faudrait-il faire pour consulter plus directement les citoyens sur l'utilisation de l'argent public, par l'Etat et les collectivités ?

None

17. Quel rôle nos assemblées, dont le Sénat et le Conseil économique, social et environnemental, doivent-elles jouer pour représenter nos territoires et la société civile ?

Maintien du rôle de nos assemblées - Réforme du conseil économique et social afin d'améliorer sa représentativité en dehors des nominations "politiques"

18. Faut-il les transformer ?

Oui

19. Si oui, comment ?

- Réformer (ou supprimer) le conseil économique et social qui a montré son inefficacité dans l’accomplissement de ses missions en réduisant drastiquement le nombre et en changeant le système de recrutement : a) Conseiller le Gouvernement et le Parlement et participer à l’élaboration de la politique économique, sociale et environnementale ; b) Favoriser, à travers sa composition, le dialogue entre les catégories socioprofessionnelles dont les préoccupations, différentes à l’origine, se rapprochent dans l’élaboration de propositions d’intérêt général ; c) Contribuer à l’évaluation des politiques publiques à caractère économique, social et environnemental ; d) Promouvoir un dialogue constructif et une coopération avec les assemblées consultatives créées auprès des collectivités territoriales et auprès de ses homologues européens et étrangers ; e) Contribuer à l’information des citoyens. f) Indemnité mensuelle à revoir notamment en cas de cumul : 3 832,32 € bruts par mois qui comprend la rémunération à proprement parler (1 860,35 €), une indemnité de résidence (55,81 €), et une indemnité de frais de représentation (1 916,16 € bruts par mois). Président du Conseil économique, social et environnemental : 7 664,64 € bruts par mois.

20. Que proposez-vous pour renforcer les principes de la laïcité dans le rapport entre l'Etat et les religions de notre pays ?

La législation actuelle me semble suffisante

21. Comment garantir le respect par tous de la compréhension réciproque et des valeurs intangibles de la République ?

cours d'instruction civique en élémentaire-collège-lycée

22. Que faudrait-il faire aujourd'hui pour renforcer l'engagement citoyen dans la société ?

None

23. Quels sont les comportements civiques qu'il faut promouvoir dans notre vie quotidienne ou collective ?

le respect, la solidarité, le bénévolat, l'engagement

24. Que faudrait-il faire pour favoriser le développement de ces comportements civiques et par quels engagements concrets chacun peut-il y participer ?

None

25. Que faudrait-il faire pour valoriser l'engagement citoyen dans les parcours de vie, dans les relations avec l'administration et les pouvoirs publics ?

None

26. Quelles sont les incivilités les plus pénibles dans la vie quotidienne et que faudrait-il faire pour lutter contre ces incivilités ?

None

27. Que peuvent et doivent faire les pouvoirs publics pour répondre aux incivilités ?

None

28. Quel pourrait être le rôle de chacun pour faire reculer les incivilités dans la société ?

None

29. Quelles sont les discriminations les plus répandues dont vous êtes témoin ou victime ?

None

30. Que faudrait-il faire pour lutter contre ces discriminations et construire une société plus solidaire et plus tolérante ?

None

31. Pensez-vous qu'il faille instaurer des contreparties aux différentes allocations de solidarité ?

Oui

32. Si oui, lesquelles ?

Engagements solidaires, travaux d'utilité collective, participation à des associations bénévoles

33. Que pensez-vous de la situation de l'immigration en France aujourd'hui et de la politique migratoire ? Quelles sont, selon vous, les critères à mettre en place pour définir la politique migratoire ?

La France c'est le multiculturalisme et la France s'est construite grâce aux immigrations au cours du temps. Les différences font notre richesse.

34. En matière d'immigration, une fois nos obligations d'asile remplies, souhaitez-vous que nous puissions nous fixer des objectifs annuels définis par le Parlement ?

None

35. Que proposez-vous afin de répondre à ce défi qui va durer ?

None

36. Quelles sont, selon vous, les modalités d'intégration les plus efficaces et les plus justes à mettre en place aujourd'hui dans la société ?

l'Éducation me semble essentielle et notamment dans l'apprentissage du civisme et des valeurs de la république.

37. Y a-t-il d'autres points sur la démocratie et la citoyenneté sur lesquels vous souhaiteriez vous exprimer ?

None

Grand débat - organisation de l'Etat et des services publics

1. Que pensez-vous de l'organisation de l'Etat et des administrations en France ? De quelle manière cette organisation devrait-elle évoluer ?

Mille feuilles à simplifier. Suppression des agences et missions pour tout et n'importe quoi d'autant plus quand chaque membres touchent des subsides publiques. Se limiter aux agences strictement indispensables. Abolition des privilèges républicains. Calquer notre vie politique sur le modèle d’Europe du nord ou la séparation entre vie publique et vie privée des dirigeants politiques est exemplaires notamment pour ce qui concerne les frais et dépenses professionnelles. Faire une différence entre frais liée à la fonction et dépenses courantes qui relève du commun de chaque citoyen. Arrêter les traitements de faveur et autres avantages en alignant ces derniers sur ceux de la population. Appliquer le même principe aux élus. Limitation des transports privés et utilisation des transports en commun et lignes régulières pour les élus et responsables politiques et/ou exerçant une fonction officielle. Interdiction du cumul des mandats et fonctions diverse et des rémunérations qui en découlent en dehors d’un mandat d’élu local et d’un mandat national. Certaines mandats et fonctions sont incompatibles avec tout cumul : maire d’une ville de 50000 habitants, ministres et secrétaires d’état, présidents des assemblées… etc. Les mandats électifs sont limités à 2 mandatures de 5 ans.

2. Selon vous, l'Etat doit-il aujourd'hui transférer de nouvelles missions aux collectivités territoriales ?

Oui

3. Si oui, lesquelles ?

A définir lors d'états généraux des collectivités locales et territoriales.

4. Estimez-vous avoir accès aux services publics dont vous avez besoin ?

Oui

5. Si non, quels types de services publics vous manquent dans votre territoire et qu'il est nécessaire de renforcer ?

None

6. Quels nouveaux services ou quelles démarches souhaitez-vous voir développées sur Internet en priorité ?

None

7. Avez-vous déjà utilisé certaines de ces nouvelles formes de services publics ?

Oui

8. Si oui, en avez-vous été satisfait ?

Oui

9. Quelles améliorations préconiseriez-vous ?

Ne pas tout passer en traitement en ligne pour éviter d'exclure encore les plus faibles qui n'utilisent pas l'informatique ou ne savent pas l'utiliser (certaines personnes agées)

10. Quand vous pensez à l'évolution des services publics au cours des dernières années, quels sont ceux qui ont évolué de manière positive ?

services fiscaux

11. Quels sont les services publics qui doivent le plus évoluer selon vous ?

services préfectoraux - caisses d'allocations familiales...

12. Connaissez-vous le "droit à l'erreur", c'est-à-dire le droit d'affirmer votre bonne foi lorsque vous faites un erreur dans vos déclarations ?

Oui

13. Si oui, avez-vous déjà utilisé ce droit à l'erreur ?

Non

14. Si oui, à quelle occasion en avez-vous fait usage ?

None

15. Pouvez-vous identifier des règles que l'administration vous a déjà demandé d'appliquer et que vous avez jugées inutiles ou trop complexes ?

None

16. Faut-il donner plus d'autonomie aux fonctionnaires de terrain ?

None

17. Si oui, comment ?

None

18. Faut-il revoir le fonctionnement et la formation de l'administration ?

None

19. Si oui, comment ?

None

20. Comment l'Etat et les collectivités territoriales peuvent-ils s'améliorer pour mieux répondre aux défis de nos territoires les plus en difficulté ?

Reinvestir dans les services publics dans les petites localités : mutualisation administrative au sein de "maisons administratives" locales

21. Si vous avez été amené à chercher une formation, pouvez-vous indiquer les éléments de satisfaction et/ou les difficultés rencontrés en précisant, pour chaque point, l'administration concernée :

None

22. Si vous avez été amené à scolariser votre enfant, pouvez-vous indiquer les éléments de satisfaction et/ou les difficultés rencontrés en précisant, pour chaque point, l'administration concernée :

None

23. Si vous avez été amené à chercher un emploi, pouvez-vous indiquer les éléments de satisfaction et/ou les difficultés rencontrés en précisant, pour chaque point, l'administration concernée :

None

24. Si vous avez été amené à préparer votre retraite, pouvez-vous indiquer les éléments de satisfaction et/ou les difficultés rencontrés en précisant, pour chaque point, l'administration concernée :

None

25. Si vous avez été amené à demander un remboursement de soins de santé, pouvez-vous indiquer les éléments de satisfaction et/ou les difficultés rencontrés en précisant, pour chaque point, l'administration concernée :

None

26. Si vous avez été amené à faire une demande d'aide pour une situation de handicap, pouvez-vous indiquer les éléments de satisfaction et/ou les difficultés rencontrés en précisant, pour chaque point, l'administration concernée :

None

27. Si vous avez été amené à créer une entreprise, pouvez-vous indiquer les éléments de satisfaction et/ou les difficultés rencontrés en précisant, pour chaque point, l'administration concernée :

None

28. Si vous avez été amené à recruter du personnel, pouvez-vous indiquer les éléments de satisfaction et/ou les difficultés rencontrés en précisant, pour chaque point, l'administration concernée :

None

29. Si vous avez été amené à former du personnel, pouvez-vous indiquer les éléments de satisfaction et/ou les difficultés rencontrés en précisant, pour chaque point, l'administration concernée :

None

30. Si vous avez été amené à rémunérer du personnel, pouvez-vous indiquer les éléments de satisfaction et/ou les difficultés rencontrés en précisant, pour chaque point, l'administration concernée :

None

31. Si vous avez été amené à mettre fin à votre activité, pouvez-vous indiquer les éléments de satisfaction et/ou les difficultés rencontrés en précisant, pour chaque point, l'administration concernée :

None

32. Si vous avez été amené à recruter une personne portant un handicap, pouvez-vous indiquer les éléments de satisfaction et/ou les difficultés rencontrés en précisant, pour chaque point, l'administration concernée :

None

33. Y a-t-il d'autres points sur l'organisation de l'Etat et des services publics sur lesquels vous souhaiteriez vous exprimer ?

Interdiction du lobbying : qui doit être considéré comme un délit de trafic d’influence. Intensifier la lutte contre l’évasion fiscale. Les revenus perçus par les multinationales en France et/ou par des sociétés de droit français et/ou pour du commerce avec des ressortissants français sont intégralement imposables en France (GAFA…). Interdiction de l’organisation du déficit en France par le jeu de filiales à l’étranger.

Grand débat - transition écologique

1. Quel est aujourd'hui pour vous le problème concret le plus important dans le domaine de l'environnement ?

les 4 à la fois

2. Que faudrait-il faire selon vous pour apporter des réponses à ce problème ?

None

3. Diriez-vous que votre vie quotidienne est aujourd'hui touchée par le changement climatique ?

Oui

4. Si oui, de quelle manière votre vie quotidienne est-elle touchée par le changement climatique ?

None

5. À titre personnel, pensez-vous pouvoir contribuer à protéger l'environnement ?

Oui

6. Si oui, que faites-vous aujourd'hui pour protéger l'environnement et/ou que pourriez-vous faire ?

Tri des déchets - compostage - achat de produits en circuit court - consommation raisonnée - favoriser l'agriculture bio...

7. Qu'est-ce qui pourrait vous inciter à changer vos comportements comme par exemple mieux entretenir et régler votre chauffage, modifier votre manière de conduire ou renoncer à prendre votre véhicule pour de très petites distances ?

None

8. Quelles seraient pour vous les solutions les plus simples et les plus supportables sur un plan financier pour vous inciter à changer vos comportements ?

None

9. Par rapport à votre mode de chauffage actuel, pensez-vous qu'il existe des solutions alternatives plus écologiques ?

Oui

10. Si oui, que faudrait-il faire pour vous convaincre ou vous aider à changer de mode de chauffage ?

Solaire - Éolien. Pouvoir gagner suffisamment pour pouvoir investir ou réhabiliter mon vieux logements

11. Avez-vous pour vos déplacements quotidiens la possibilité de recourir à des solutions de mobilité alternatives à la voiture individuelle comme les transports en commun, le covoiturage, l'auto-partage, le transport à la demande, le vélo, etc. ?

Non

12. Si oui, que faudrait-il faire pour vous convaincre ou vous aider à utiliser ces solutions alternatives ?

J'utilise transports en commun chaque fois que c'est possible.

13. Si non, quelles sont les solutions de mobilité alternatives que vous souhaiteriez pouvoir utiliser ?

Le transport à la demande

14. Et qui doit selon vous se charger de vous proposer ce type de solutions alternatives ?

Collectivités territoriales pour le transport à la demande ou covoiturages : plateformes publiques

15. Que pourrait faire la France pour faire partager ses choix en matière d'environnement au niveau européen et international ?

Montrer l'exemple

16. Y a-t-il d'autres points sur la transition écologique sur lesquels vous souhaiteriez vous exprimer ?

None