Personne.
Oui
A des associations qui connaissent bien le terrain et les difficultés de fonctionnement.
Faire une formation a chaque personne venant d'être élue pour bien définir leur rôle, les former à la vie politique, leur apprendre les compétences de base pour mener à bien leur mission. Par exemple, un maire est-il formé en gestion ? est-il formé en management lorsqu'il doit gérer une grosse équipe ? Un élu régional est-il formé sur tous les rouages administratifs ? Un élu national est-il formé à écouter pour comprendre la vie des gens ? En entreprise, on nous demande d'être formé et expérimenté. Malgré la bonne volonté de certain élu, et à tous les échelons, beaucoup n'ont pas toutes les compétences pour mener à bien la mission confiée. Pourquoi ne pas envisager un mois de formation pour chaque nouvel élu ?
Une bonne chose
On ne peut pas mener plusieurs missions importantes et le faire bien. De plus, cela permet de bien séparer les missions de chacun (pas de mélange d'intérêts).
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Non
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Les citoyens s'intéresseront aux élections lorsqu'ils verront une utilité à leur vote. Obliger les personnes à voter n'est pas une solution selon moi, il faut travailler en amont pour que les personnes aient envie d'aller voter.
Oui
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Je ne suis pas pour des référendums nationaux mais pour des concertations régulières et locales. Des consultations régulières via internet comme avec ce questionnaire, mais sur des thèmes plus précis, avec des questions précises (et peut-être plus simples pour une compréhension de tout le monde) qui permettrait de connaître des tendances et de ne pas prendre de décisions qui pourraient heurter une majorité de personnes. Des concertations locales (départementales ou régionales) sur des sujets proches des gens qui permettraient de se sentir vraiment concerné. Un référendum national me paraît risqué : le brexit n'est pas un exemple convaincant de décision du peuple, il y a des sujets graves sur lesquels les citoyens doivent être interrogés mais il est compliqué de prendre une décision suite à un vote de personnes qui ne comprennent pas forcément tous les enjeux de cette décision. Il faut garder à l'esprit qu'un citoyen ne dispose pas toujours de moyens intellectuels, de temps, de moyens d'accès aux informations, pour étudier un sujet compliqué, chacun ne prend pas forcément la peine de faire des recherches ou d'écouter différents médias pour se faire une idée sur un sujet. Le vote est alors induit pas des intuitions, par des réseaux sociaux, et la réponse n'est pas toujours pertinente.
Je ne sais pas
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Oui
Leurs représentants doivent mieux connaître les besoins des citoyens, il doit y avoir plus de personnes de la société civile qui connaissent la "vraie vie".
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Je suis pour le service national obligatoire pour tous les jeunes, pour rappeler ou apprendre à tous les valeurs de la République et apprendre le vivre ensemble.
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Je me pose la question : faut-il promouvoir les comportements civiques (ce qui devrait être une norme) ou faut-il intervenir sur les comportements non civiques ? dans ce cas, pas de punitif mais des actions éducatives...
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Eduquer. Il me semble que de nombreuses personnes n'ont plus de valeurs, de cadre. Les parents sont dépassés parfois par leurs enfants. Ne faudrait-il pas aider les parents pour ensuite aider les enfants (futurs citoyens) ? Peut-être faut-il apprendre à être parents ? n'est-ce pas le métier le plus difficile et pour lequel il n'existe aucune formation ?
Les faire remarquer au lieu de tourner la tête en faisant penser que l'on n'a pas vu. Mais pour cela, il faut que les citoyens se sentent protégés afin d'oser s'interposer.
Les discriminations sociales : des personnes nées dans un milieu aisé et qui ont des moyens bien supérieurs aux nôtres et une vie bien plus confortable, pour bien moins de travail donné.
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Oui
Les accompagnements (social ou professionnel) me paraissent une contrepartie intéressante pour donner une chance de s'en sortir à ceux qui le souhaitent. Aucune contrepartie n'incitera certaines personnes qui ne souhaitent pas plus que de vivre avec des minima sociaux. Dans ce cas, il faut peut-être surveiller un peu plus leurs activités (travail non déclaré).
Il faut continuer à protéger des personnes qui ne peuvent plus vivre dans leur pays pour des raisons de guerre ou de mauvais traitements. Il faut limiter les entrées de personnes qui migrent pour des situations économiques.
Il est difficile de fixer des objectifs pour des personnes qui ont vraiment besoin d'être protégées. Le problème est l'afflux de personnes qui ne risquent pas leur vie dans leur pays mais qui cherche une vie meilleure et plus confortable. Pour cela, il faut absolument réduire les temps d'attente de réponse des demandeurs d'asile, notamment pour les "migrants économiques". Des personnes qui attendent pendant des mois, voire un ou 2 ans, s'installent en France, s'européanisent, adoptent nos modes de vie, de confort, rencontrent des gens. Il est très difficile ensuite de leur demander de rentrer dans leur pays. Vous imaginez-vous vivre dans une maison rudimentaire, envoyer vos enfants dans des écoles mal équipées en personnel et matériel, survivre avec des salaires de misère et une mafia qui vous raquette puis passer un an et demi en France dans un centre d'hébergement avec tout le confort, scolariser vos enfants dans des écoles françaises, se soigner de tous les maux et après avoir été débouté dire "je retourne dans ma vie précédente" ? Cela me semble inconcevable, humainement difficile à vivre dans tous les cas. Il faut donc réduire au minimum les temps de réponse aux demandes d'asile afin de faire repartir rapidement les personnes ne nécessitant pas de protection.
Des moyens supplémentaires à l'OFPRA pour traiter les demandes d'asile.
Les cours de français sont indispensables. Ils devraient commencer pendant la demande d'asile car il est ensuite difficile de s'intégrer rapidement lorsque le statut de réfugié est donné mais qu'il n'y a pas maîtrise de la langue. Cela sous-entend que nous formerons des personnes qui n'auront pas le statut de réfugié et qui seront déboutés de leur droit d'asile et inviter à retourner dans leur pays. L'apprentissage de la langue française sera un acquis pour eux, une ouverture d'esprit. Cela permet d'apprendre des notions importantes telles que la citoyenneté, la paix, le vivre-ensemble,... des notions qu'ils ramèneront dans leur pays et qui ne seront qu'un plus pour tous.
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