Date de publication : 2019-02-27
Code postal : 77160

Grand débat - fiscalité et dépenses publiques

1. Quelles sont toutes les choses qui pourraient être faites pour améliorer l'information des citoyens sur l'utilisation des impôts ?

Les rendre public et accessibles facilement.

2. Que faudrait-il faire pour rendre la fiscalité plus juste et plus efficace ?

La fiscalité de notre pays est écrasante pour tous, elle est injuste pour tous et inefficace car elle bloque la société. Elle déborde de la casserole depuis de nombreuses années et l'État ne fait que d'augmenter le feux. Comment se fait-il qu'elle n'a cessé d'augmenter ces 40 dernières années alors que la dette n'a cessé de faire de même ? Il faut la simplifier et réduire les domaine fiscaux. Il faudrait que les différentes structures de l'État se mettent à faire des économies.

3. Quels sont selon vous les impôts qu'il faut baisser en priorité ?

La redevance télé est à supprimer

4. Afin de financer les dépenses sociales, faut-il selon vous...

Augmenter le temps de travail

5. S'il faut selon vous revoir les conditions d'attribution de certaines aides sociales, lesquelles doivent être concernées ?

Elles doivent être données en échange uniquement... le receveur doit être dans l'obligation de faire une activité peu importe laquelle, même du bénévolat pour une association ou un service public.

6. Quels sont les domaines prioritaires où notre protection sociale doit être renforcée ?

L'aide aux victimes peu importe lesquelles ou la raison

7. Pour quelle(s) politique(s) publique(s) ou pour quels domaines d'action publique, seriez-vous prêts à payer plus d'impôts ?

Ce qui est du domaine de l'humanité, mais non démagogique.

8. Y a-t-il d'autres points sur les impôts et les dépenses sur lesquels vous souhaiteriez vous exprimer ?

Les problèmes en France existent au moins depuis la première crise du pétrole sous Giscard. Raymond Barre « s'arrachait déjà les cheveux » avec le chômage. Depuis cette période, le chômage ne s'est jamais amélioré, la dette du pays a explosé, les impôts ont fait de même. Depuis cette date, la France n'a jamais eu une période « fast ». Mitterand disait aux français qu'ils pouvaient aller au restaurant sans payer la note, Chirac a eu peur de tout. Cette période de 26 ans (même durée que 1789-1815 !) a jeté à terre les valeurs de notre pays. Hollande en se préoccupant uniquement de démolir ce qu'avait fait son prédécesseur et éviter qu'il puisse se représenter, démolir nos régions, nos valeurs, s'est contenté d'enfoncer le couteau dans la plaie. Le comportement de l'État depuis 40 ans a été particulièrement malhonnête, et s'est avéré gravement incompétent en matière de gestion, pour lui même, et pour les autres entreprises pour lesquelles, il a eu la prétention de prendre la main : Le Crédit Lyonnais, France Télécom, Air France, SNCM... Les malaises que l'on retrouve dans notre société, et pour une part dans le terrorisme, sont la conséquence du comportement de l'État depuis tant d'année. La relation entre un état et son peuple est le même qu'entre des parents et leurs enfants. Le peuple prend exemple sur l'État, c'est le rôle de l'État de montrer la bonne voie. Il est inutile de changer les tuiles d'un toit lorsque la charpente est en mauvais état, de changer la charpente lorsque les murs sont fissurés, de réparer les murs lorsque les fondations ont bougé. La maison France est dans cette situation. 1.Donc ma 1ère doléance, serait d'avoir un compte rendu précis des comptes de l'État depuis 40 ans, et comprendre les causes de l'endettement de notre pays. Connaître le coût de l'impact des 35 heures, les raisons du coût de l'éducation nationale (une dès plus chère et une dès moins bonne), le problème des retraites... Cette période a été marquée par le trou de la sécurité sociale. Trou récurrent. Durant toutes ces années de nombreuses mesures ont été prises pour y remédier. L'essentiel de ces mesures a consisté à réduire les remboursements. Mais jamais la question du coût de la gestion de la Sécurité sociale n'a été posé. 2.Connaître le coût de la gestion de la sécurité sociale et son évolution durant toute cette période de 40 ans. 3.Je souhaiterai que toutes les structures gérées directement ou indirectement par l'état : une mairie, une communauté de commune, un syndicat de gestion des eaux ou des déchets... aient l'obligation de publier leurs comptes annuellement. Les rendre public et accessibles à tous, sans avoir besoin d'en faire la demande. il faudrait faire la même choses pour les PLUs, les comptes rendus de réunions... Dans ma région, les déchetteries sont gérées par un syndicat. Autrefois une simple carte, obtenue simplement avec un justificatif de domicile, suffisait pour accéder aux déchetteries. Depuis, tout a été complexifié. Des cartes à points, des barrières, des panneaux lumineux, et pour obtenir une première carte, il faut se déplacer loin, jusqu'au syndicat... Toutes ces mesures, ces dépenses n'ont aucune utilité hormis celle de dépenser de l'argent public supplémentaire et augmenter leur propre budget. Ce qui prouve que ce type de sous structures de l'État ne se préoccupe absolument pas de faire des économies !! De plus, les habitants en dehors du périmètre de ce syndicat n'ont pas le droit d'accès. Résultat à proximité des villages exclus, où leurs propres déchetteries attitrées sont beaucoup plus éloignées, on retrouve des déchetteries sauvages ! 4.Permettre l'accès aux déchetteries à tous, peu importe son lieu d'habitation. 5.Contrôler les dépenses abusives de ces structures. La moralité de l'État a été mis à mal ces dernières années. On retrouve ce comportement non seulement dans celui du peuple mais aussi dans ses représentants : des commissaires priseurs faisant de fausses enchères, des liquidateurs judiciaires se gavant des restes des sociétés dont ils ont la charge, et se préoccupant avant tout de vider la caisse... 6.Rétablir la moralité de l'État. L'État doit montrer l'exemple. L'État doit arrêter la politique systématique du bâton. Une punition devrait être appliquée uniquement après plusieurs rappels. Ces dernières années, l'organisation de la France a été profondément bouleversée. Elle est représentée par des régions qui ne signifient plus rien. La France devrait être organisée de deux manières : une organisation administrative : le département, une organisation historique : Les régions. Pour permettre dans le deuxième cas, le développement de l'histoire et des cultures locales. Elles sont tellement riches! 7.Réorganiser la France sous une forme administrative et historique. Dans le fonctionnement de l'État, à tous les niveaux, l'intervention, la rémunération de personnages âgées (> 70 ans) qui devraient être à la retraite, sont nombreuses. Même si, bénéficier d'une expérience est une bonne chose, souvent il y a en arrière plan la soif de pouvoir. Le sénat ressemble à une maison de retraite de luxe pour politiciens. Pour une démocratie, et un système qui veut évoluer, c'est à limiter et rendre exceptionnel. 8.Après un certain âge, interdire la rémunération des personnes intervenant pour l'État. 9.Obliger les structures de l'État a être représentatives du peuple. La gestion des retraites est scandaleuse. Sous couvert d'un sytème par répartition, d'une fausse solidarité, certains ponctionnent tout au profit des autres qui n'ont presque plus rien. 10.Définir un âge fixe de départ à la retraite, à l'exception pour ceux qui ont commencé plus tôt à travailler, ou subit une réel pénibilité dans leur travail. 11.Les corporations qui souhaitent que leurs membres partent plus tôt doivent, seuls, assumer cette retraite anticipée.

Grand débat - démocratie et citoyenneté

1. En qui faites-vous le plus confiance pour vous faire représenter dans la société et pourquoi ?

Pas évident aujourd'hui de trouver quelqu'un de confiance. La moralité de l'État a été mis à mal ces dernières années. On retrouve ce comportement non seulement dans celui du peuple mais aussi dans ses représentants : des commissaires priseurs faisant de fausses enchères, des liquidateurs judiciaires se gavant des restes des sociétés dont ils ont la charge, et se préoccupant avant tout de vider la caisse... - Rétablir la moralité de l'État. L'État doit montrer l'exemple. L'État doit arrêter la politique systématique du bâton. Une punition devrait être appliquée uniquement après plusieurs rappels.

2. En dehors des élus politiques, faut-il donner un rôle plus important aux associations et aux organisations syndicales et professionnelles ?

Non

3. Si oui, à quel type d'associations ou d'organisations ? Et avec quel rôle ?

None

4. Que faudrait-il faire pour renouer le lien entre les citoyens et les élus qui les représentent ?

Qu'ils soient face à leurs responsabilités

5. Le non-cumul des mandats instauré en 2017 pour les parlementaires (députés et sénateurs) est :

Une mauvaise chose

6. Pourquoi ?

Je pense que le cumul de deux mandats : un mandat local et un mandat national est une bonne chose. Elle permet à un élu national d'être moins déconnecté de sa base. Mais le nombre de ré-élections devrait être limité.

7. Que faudrait-il faire pour mieux représenter les différentes sensibilités politiques ?

le parlement doit être la représentation des français à un instant donné ce qui n'est pas du tout le cas aujourd'hui et depuis longtemps. Une dose de proportionnelle serait beaucoup plus juste, de 50%.

8. Pensez-vous qu'il serait souhaitable de réduire le nombre d'élus (hors députés et sénateurs) ?

Non

9. Si oui, lesquels ?

None

10. Que pensez-vous de la participation des citoyens aux élections et comment les inciter à y participer davantage ?

Une bonne chose, rendre le pouvoir accessible sans qu'il devienne la propriété d'une personne. Limiter le nombre de ré-élections. Dans le fonctionnement de l'État, à tous les niveaux, l'intervention, la rémunération de personnages âgées (> 70 ans) qui devraient être à la retraite, sont nombreuses. Même si, bénéficier d'une expérience est une bonne chose, souvent il y a en arrière plan la soif de pouvoir. Le sénat ressemble à une maison de retraite pour politiciens. Pour une démocratie, et un système qui veut évoluer c'est à limiter et rendre exceptionnel. - Après un certain âge, interdire la rémunération des personnes intervenant pour l'État. - Obliger les structures de l'État a être représentatives du peuple.

11. Faut-il prendre en compte le vote blanc ?

Oui

12. Si oui, de quelle manière ?

Le vote blanc devrait être pris en compte. C'est un choix d'électeur. Un vote blanc devrait permettre l'annulation d'une élection s'il est majoritaire. Mais nous sommes dans une démocratie donc le vote doit rester libre et non obligatoire, ne pas voter est aussi un choix.

13. Que faudrait-il faire aujourd'hui pour mieux associer les citoyens aux grandes orientations et à la décision publique ? Comment mettre en place une démocratie plus participative ?

Faire appel au parlement. Un juge, face à un cas imprévu, devrait pouvoir faire faire appel au parlement pour lui soumettre le problème. De même un français se posant une question, remarquant aussi un problème, devrait aussi pouvoir faire la même chose. Que toutes les structures gérées directement ou indirectement par l'état : une mairie, une communauté de commune, un syndicat de gestion des eaux ou des déchets... aient l'obligation de publier leurs comptes annuellement. Les rendre public et accessibles à tous, sans avoir besoin d'en faire la demande. il faudrait faire la même choses pour les PLUs, les comptes rendus de réunions...

14. Faut-il faciliter le déclenchement du référendum d'initiative partagée (le RIP est organisé à l'initiative de membres du Parlement soutenu par une partie du corps électoral) qui est applicable depuis 2015 ?

Non

15. Si oui, comment ?

None

16. Que faudrait-il faire pour consulter plus directement les citoyens sur l'utilisation de l'argent public, par l'Etat et les collectivités ?

Je ne crois pas que ce soit une bonne chose. Mais le citoyen doit avoir un droit de regard, l'utilisation de l'argent public devrait être obligatoirement affichée ou publiée.

17. Quel rôle nos assemblées, dont le Sénat et le Conseil économique, social et environnemental, doivent-elles jouer pour représenter nos territoires et la société civile ?

un rôle de régulation et de contrôle.

18. Faut-il les transformer ?

Oui

19. Si oui, comment ?

Ces dernières années, l'organisation de la France a été profondément bouleversée. Elle est représentée par des régions qui ne signifient plus rien. La France devrait être organisée de deux manières : une organisation administrative : le département, une organisation historique : Les régions. Pour permettre dans le deuxième cas, le développement de l'histoire et des cultures locales. Elles sont tellement riches! Réorganiser la France sous une forme administrative et historique.

20. Que proposez-vous pour renforcer les principes de la laïcité dans le rapport entre l'Etat et les religions de notre pays ?

inciter les différentes communautés à s'ouvrir aux autres

21. Comment garantir le respect par tous de la compréhension réciproque et des valeurs intangibles de la République ?

Faire évoluer l'éducation nationale. L'éducation nationale se base uniquement sur la capacité à mémoriser, et la capacité a ne pas se tromper. Pourtant l'intelligence, ce n'est pas, en avoir plein le crâne mais c'est l'art d'utiliser sa tête. Et la conséquence, est une élite qui a peur de l'erreur, qui la renie, et génère une irresponsabilité que l'on retrouve partout dans notre société. - Apprendre à gérer ses erreurs, à faire face à ses responsabilités, à développer les moyens que l'on a. Juger par rapport à sa capacité à les assumer. Le problème de la pluralité, du respect des différences, est le conflit. Le conflit en est une conséquence naturelle. Malheureusement notre éducation nous permet facilement de passer de l'amour à la haine, mais il nous est très difficile de faire le chemin inverse. La gestion des conflits devrait faire partie de notre éducation alors qu'elle en est totalement absente. Ajouter la gestion des conflits dans les programmes scolaires.

22. Que faudrait-il faire aujourd'hui pour renforcer l'engagement citoyen dans la société ?

Il faudrait un peu plus de respect de l'état vis à vis des citoyens, pour générer plus de confiance et d'intérêts. Il faut aussi un état moins compliqué, avec moins de papiers, se basant plus sur la discussion que sur la loi du bâton.

23. Quels sont les comportements civiques qu'il faut promouvoir dans notre vie quotidienne ou collective ?

le respect, la morale...

24. Que faudrait-il faire pour favoriser le développement de ces comportements civiques et par quels engagements concrets chacun peut-il y participer ?

Il faut que l'état montre l'exemple, et l'éducation scolaire doit les intégrer dans ses programmes

25. Que faudrait-il faire pour valoriser l'engagement citoyen dans les parcours de vie, dans les relations avec l'administration et les pouvoirs publics ?

?

26. Quelles sont les incivilités les plus pénibles dans la vie quotidienne et que faudrait-il faire pour lutter contre ces incivilités ?

Les médisances gratuites ou par contrariété, les comportements qui consiste à jeter ses papiers par terre, le mauvais comportement des automobilistes.

27. Que peuvent et doivent faire les pouvoirs publics pour répondre aux incivilités ?

éduquer et alerter puis pénaliser si nécessaire.

28. Quel pourrait être le rôle de chacun pour faire reculer les incivilités dans la société ?

?

29. Quelles sont les discriminations les plus répandues dont vous êtes témoin ou victime ?

Il n'y en a pas tant que ça, surtout une discrimination de métier. Le regard et le comportement change énormément en fonction du métier que l'on fait et du niveau scolaire.

30. Que faudrait-il faire pour lutter contre ces discriminations et construire une société plus solidaire et plus tolérante ?

Arrêter de mettre de l'huile sur le feu (voir à la fin)

31. Pensez-vous qu'il faille instaurer des contreparties aux différentes allocations de solidarité ?

Oui

32. Si oui, lesquelles ?

L'argent ne doit pas être donné gratuitement. Inciter à rester actif au moins en participant bénévolement à des associations.

33. Que pensez-vous de la situation de l'immigration en France aujourd'hui et de la politique migratoire ? Quelles sont, selon vous, les critères à mettre en place pour définir la politique migratoire ?

Elle reste convenable, il faut former ceux qui arrivent, leurs apprendre nos valeurs et les lois

34. En matière d'immigration, une fois nos obligations d'asile remplies, souhaitez-vous que nous puissions nous fixer des objectifs annuels définis par le Parlement ?

non

35. Que proposez-vous afin de répondre à ce défi qui va durer ?

Aider ou intervenir dans les pays d'où provienne ces populations

36. Quelles sont, selon vous, les modalités d'intégration les plus efficaces et les plus justes à mettre en place aujourd'hui dans la société ?

Ne pas abandonner à eux-mêmes ces populations

37. Y a-t-il d'autres points sur la démocratie et la citoyenneté sur lesquels vous souhaiteriez vous exprimer ?

L'égalité ou légalité ? Égalité, qu'est ce que c'est ? Il faudrait plus que quelques lignes pour en discuter. Mais s'agit-il : D'avoir le droit de choisir sa religion ou d'avoir tous la même religion ? D'avoir le droit de choisir sa couleur de peau ou d'avoir tous la même couleur de peau ? ... L'égalité est présente dans chacun des cas, mais pas sous la même forme. Le problème de l'égalité, c'est la confusion entre : égalité de droit et égalité de personne. Le premier est particulièrement bon, le deuxième particulièrement mauvais. Les sociétés se revendiquant égalitaires ont fini pour la plus part en catastrophe avec au mieux la faillite du pays avec des valeurs morales démolies, ou au pire en tragédie. Rares sont ceux qui arrivent à limiter l'égalité à un problème de droit, sans que ça finisse par déraper en problème d'égalité de personnes. La peur de l'autre, la peur de ses différences amène les sociétés, les cultures à faire de l'égalité de personne et non de l'égalité de droit. Le conséquence, en tout temps, depuis des milliers d'années, est la disparition tragique de cultures, de l'esclavagisme, du sexisme, de l'homophobie, et bien d'autres...Il faut apprendre à apprécier l'autre, non comme on voudrait qu'il soit, mais comme il voudrait qu'il soit. Récemment, dans notre société : Le 'mariage pour tous'. Le mariage entre deux personnes de même sexe ne regarde qu'eux, et c'est un problème d'égalité de droit. Mais d'appeler 'mariage pour tous' (c'est juste un problème de nom) transforme ce droit en problème de personne en mettant tout le monde dans le même sac. Et de fait, déstabilise la société, ses valeurs, et provoque une incitation à la haine. Cette réforme a été particulièrement maladroite et surtout irresponsable. De même, concernant la parité numérique homme/femme. Le but n'est pas qu'il ai 50% d'hommes et 50% femmes à chaque élection ou représentation, ou dans d'autres domaines, mais de donner à chacun le droit de se faire élire avec impartialité, ou la possibilité de pouvoir le faire. Compter les fraises dans l'assiette de l'autre est mauvais. La conséquence de cette règle, est l'impossibilité de faire une liste électorale pour certaines communes, de l'impossibilité d'avoir plusieurs listes, donc de voir disparaître la démocratie, et donc l'intérêt d'aller voter, ou de forcer certaines femmes à servir de bouche trou. Ça créé aussi des aberrations : Sur la photo du gouvernement, il n'y a pas parité sur le premier rang (remarque de la presse), il faudrait peut-être vérifier les diagonales...Il y a des domaines comme l'administration où il y a plus de femmes et même pas un seul homme doit-on les équilibrer ? Et s'il y a un nombre impair, faire des mi-temps ?...Et les personnes de couleur souvent plus mal représentées ? Et pourquoi pas une règle pour les roux, les frisés, les yeux vairons... Une dès conséquence de cette confusion d'égalité, est la transformation de notre société est en société unisexe. Certaines femmes préférant sacrifier leur féminité pour ressembler aux hommes. C'est triste. Je suis persuadé de la corrélation entre la violence, et l'augmentation des égalités de personnes. Les problèmes européens ravivant les nationalismes reposent aussi sur ce problème. L'égalité ne correspond pas à copier l'autre mais devrait permettre à chacun de s'exprimer soi-même, tel qu'on est, librement sans reproche. Mais ça nécessite aussi d'être responsable de soi-même, de respecter l'autre, et ne pas l'obliger à être pareil. Les minorités n'ont pas à être exclus de leurs responsabilités. La seule exception devrait être par rapport au handicap. On doit permettre à chacun d'avoir les mêmes droits tout en respectant ses propres différences. La beauté de la vie repose sur les différences non sur des égalités, et l'harmonie repose sur un équilibre entre chacunes d'elles. Lorsqu'on cherche à combler des problèmes d'inégalité, on devrait toujours se poser la question au préalable : S'agit-il d'un problème de droit ou de personne ? On aurait jamais dû écrire « Liberté - Égalité - Fraternité » mais « Liberté - Légalité - Fraternité ». Il faudrait : 1.Supprimer l'égalité homme/femme sous la forme de la parité numérique. Par contre, que l'État intervienne ponctuellement en faveur d'une minorité (ou non), mais mal représentée, serait à mon sens une meilleure chose. Et uniquement dans une démarche incitative, par décret jetable. Ça pourrait même être localisée. Par exemple : En Nouvelle Calédonie, pour une élection donnée définir un taux minimum de représentants kanak... 2.Permettre l'intervention ponctuelle de l'État en faveur d'une minorité mal représentée. La PMA, d'après ce que l'on entend, il y a eu des débats ! Lesquels? Je suis surpris de la désinvolture du traitement de ce sujet si important, le mépris des personnes, de nos valeurs, juste... pour respecter un engagement de campagne. Cette méthode est aussi une excellente manière de déstabiliser notre société et ses valeurs, une de plus, et génèrent aussi de l'incitation à la haine. Trois points sont choquant : Il y a d'abord un problème de responsabilité. Que deux hommes ou deux femmes décident de faire leur vie ensemble, ça les regarde. Mais ils ne pourront jamais créer une famille naturellement. Doit-on trafiquer la vie pour un problème de choix individuel ? Le deuxième point, est la transformation de l'enfant en bien de consommation. Jamais l'intérêt de l'enfant n'a été pris en compte. Un enfant a besoin de sa mère et de son père pour être équilibré et s'épanouir. La pluralité est une des clé de la vie. Il devrait être écrit dans les droits de l'homme, le droit à chacun de connaître son passé. Le troisième point consiste dans un type d'inceste consenti. Si un homme de 20 ans fait un don et si de ce don il nait une fille. Cet homme, 20 ans plus tard peut très bien tomber amoureux d'une jeune fille de 20 ans qui serait en faite sa fille...De même, si ce même homme à 20 ans, a un enfant, un garçon. 20 ans plus tard ce garçon peut très bien tomber amoureux de cette jeune fille qui est en faite sa sœur... Pour éviter cette problématique, il n'y a qu'une seule solution, les dons ne peuvent pas être anonymes. L'administration, et l'enfant qui naitra doivent être au courant. De même, les naissances sous X devraient aussi respecter ce type de règle. 3.Permettre la levée de l'anonymat sur les dons de sperme ou les naissances sous X, pour l'administration et l'enfant. Le problème de la pluralité, du respect des différences, est le conflit. Le conflit en est une conséquence naturelle. Malheureusement notre éducation nous permet facilement de passer de l'amour à la haine, mais il nous est très difficile de faire le chemin inverse. La gestion des conflits devrait faire partie de notre éducation alors qu'elle en est totalement absente. 4.Ajouter la gestion des conflits dans les programmes scolaires. Moeurs et violences : Il y a quelques mois, je suis allé voir avec mes deux enfants (10 et 13 ans) Kingsman 2. À priori, il est classifié pour tous avec avertissement uniquement, mais c'est écrit nul part, et j'ai eu beaucoup de mal à trouver sa classification! Pourtant on voit un homme passer dans un hachoir à viande, transformé en steak et mangé. Les critiques parlent d'ultra-violence pour rire ! Moi et mes deux enfants, nous avons été choqué, et surtout je n'ai pas apprécié de ne pas avoir été prévenu. Ce film n'est qu'un exemple mais il n'est pas le seul. Comment peut-on alors reprocher la violence dans nos rues dans ces conditions ! On vit encore dans une société qui accepte sans problème de voir deux personnes qui s'entretuent alors que de voir deux personnes ayant une relation sexuelle est considéré comme pire ! Que d'hypocrisie ! Je suis sûr qu'il y aurai eu un bout de sein dans ce film il aurait été interdit pour de jeunes enfants. C'est une attitude qui m'a toujours surpris. On recherchant la classification de ce film, j'ai vu qu'il était déconseillé aux – 14 ans au Portugal, -15 ans en Angleterre, -16 en Suisse, -17 ans aux USA ! Donc on peut dire que la commission d'évaluation des films en France est à coté de ses pompes. 5.Revoir la classification de la violence et cette commission d'évaluation 6.Faire une classification européenne 7.Démystifier la sexualité 8.Réglementer enfin la prostitution, et protéger ces femmes.

Grand débat - organisation de l'Etat et des services publics

1. Que pensez-vous de l'organisation de l'Etat et des administrations en France ? De quelle manière cette organisation devrait-elle évoluer ?

Ces dernières années, l'organisation de la France a été profondément bouleversée. Elle est représentée par des régions qui ne signifient plus rien. La France devrait être organisée de deux manières : une organisation administrative : le département, une organisation historique : Les régions. Pour permettre dans le deuxième cas, le développement de l'histoire et des cultures locales. Elles sont tellement riches! Les régions et les départements n'ont pas à avoir forcément de lien, et les régions devraient dépendre du ministère de la culture. Améliorer les liens avec les DOM/TOM. Créer des jumelages entre villes de métropoles (ou communautés de communes !)et des DOM/ TOM, permettre des facilités de transport et d'accueil.

2. Selon vous, l'Etat doit-il aujourd'hui transférer de nouvelles missions aux collectivités territoriales ?

Oui

3. Si oui, lesquelles ?

Il est difficile de les connaître, mais plus proches les décisions sont prises des français, du peuple, meilleures elles sont.

4. Estimez-vous avoir accès aux services publics dont vous avez besoin ?

Non

5. Si non, quels types de services publics vous manquent dans votre territoire et qu'il est nécessaire de renforcer ?

La justice, les greffes ! Elle a été regroupée à 50klm, trajet qu'il faut faire pour y accéder maintenant. Il devrait y avoir des cellules intermédiaires proches.

6. Quels nouveaux services ou quelles démarches souhaitez-vous voir développées sur Internet en priorité ?

Un service de proximité qui permet d'obtenir un visa pour aller dans un pays étranger

7. Avez-vous déjà utilisé certaines de ces nouvelles formes de services publics ?

Non

8. Si oui, en avez-vous été satisfait ?

None

9. Quelles améliorations préconiseriez-vous ?

/

10. Quand vous pensez à l'évolution des services publics au cours des dernières années, quels sont ceux qui ont évolué de manière positive ?

La déclaration des revenus par Internet et la visualisation que l'on peut en tirer

11. Quels sont les services publics qui doivent le plus évoluer selon vous ?

La justice et l'éducation nationale : L'éducation nationale est mauvaise. Les multiples réformes en 40 ans n'ont fait qu'empirer les choses. Les différents ministres se battant plus pour avoir le meilleur résultat au bac... Sous prétexte d'une égalité pervertie, elle a baissé le niveau pour tenter de cacher les lacunes de ceux qui ne pouvaient pas suivre. À la sortie de l'école primaire, les parents ne connaissent même plus le niveau réel de leurs enfants. Ne peuvent plus s'y adapter. Les enfants sont poussés sur des filières longues alors que l'école n'est pas leur truc. La méthode qui consiste à cacher la vérité est mauvaise, et irresponsable. L'éducation nationale se base uniquement sur la capacité à mémoriser, et la capacité a ne pas se tromper. Pourtant l'intelligence, ce n'est pas, en avoir plein le crâne mais c'est l'art d'utiliser sa tête. Et la conséquence, est une élite qui a peur de l'erreur, qui la renie, incapable de descendre de son trottoir, et génère une irresponsabilité que l'on retrouve partout dans notre société. Il faudrait -Rétablir la notation traditionnelle. -Revaloriser les filières courtes. -Apprendre à gérer ses erreurs, à faire face à ses responsabilités, à développer les moyens que l'on a. Juger par rapport à sa capacité à les assumer. La justice : Les médias disent souvent : Les français ont voulu une justice indépendante. C'est totalement faux. La seule chose que ne veulent pas les français, c'est une justice intégrée dans les magouilles politiques. Un juge ne doit pas être influencé par un homme politique, ou la situation politique. Un juge faisant de la politique ne devrait pas être possible. Les métiers de juge et de chirurgien ont ceci en commun. Ce sont des métiers d'art, la qualité est exigée et l'erreur interdite. Les personnes représentants ces métiers doivent être des personnes exceptionnelles. Ils doivent avoir la qualité pour assumer l'importance de la tâche, en être responsables, et devraient obligatoirement en rendre compte aux français lorsqu'il le demande. Les personnes approximatives, ou priorisant leurs idées n'y ont pas leur place. Depuis plusieurs années, la justice par ses bévues fait régulièrement la Une des journaux. L'affaire d'Outreau. Alors que l'on met à perpétuité des personnes qui font moins de dégâts. La boucle entre le mur des cons et Bedos. L'homme, qui a fait des moqueries de cours d'école, sa vie. L'affaire Jacqueline Sauvage, la justice voulant la mettre à genou. Il y a peu de temps, la voiture d'une de mes voisines a eu les 4 pneus crevés au supermarché. Le coupable s'est fait attraper. Il a eu juste un rappel à l'ordre ! Sans même devoir rembourser les pneus ! Toutes les affaires éventées dans la presse. L'intervention de la justice lors de la campagne présidentielle. … Puis cache ses erreurs en limitant les révisions de procès. La justice devrait être sensée sanctionner les coupables et donner les moyens à la victime d'obtenir réparation. Mais aujourd'hui, dans l'idée de chacun, la justice est un système qui marche sur la tête, et les victimes se sentent oubliées. Elle a une attitude qui ressemble encore trop souvent à la chasse aux sorcières. C'est un système trop obscure. La justice ne pourra exister sérieusement que le jour où l'on pourra la mettre devant ses responsabilités, où l'on pourra juger un juge. Non, la justice n'a pas à être indépendante, elle doit nous rendre compte. Elle doit être au service de la France et des français. Il faudrait : 1.Pouvoir juger un juge. 2.Interdire un juge de faire de la politique. 3.Interdire une remise de peine, si la victime n'a pas eu réparation, ou ne s'en est pas remise. 4.Un témoingnage ne devrait être pris en compte uniquement pour alourdir ou allèger une peine. 5.Une revision de procès ne devrait pas être décidé par la justice. Dans le cadre des divorces, les hommes sont souvent injustement dépouillés, les intérêts des enfants mis de coté. Seul compte, l'intérêt de la femme, du fait qu'elle conservera les enfants, et de la somme souvent considérable qu'elle pourra ponctionner à son ex-mari. Encore une fois le comportement de la justice est lamentable. Représentée souvent par des femmes qui utilisent le poste qu'on leur a confié pour exprimer leur propre opinion, leurs propres rancunes ou haine de l'homme. 6.Revoir le fonctionnement du divorce, considérer l'intérêt de l'enfant comme une priorité, et améliorer l'équilibre des jugements. 7.Contrôler la conformité des décisions de justice Parmi les faits divers de justice de ces dernières années, plusieurs sont des problèmes de société : - La perpétuité réelle pour des délits particulièrement important. - La fin de vie. - La légitime défense Un juge, face à un cas imprévu ou face à un de ces cas, devrait pouvoir faire faire appel au parlement pour lui soumettre le problème. De même un français se posant une question, remarquant aussi un problème, devrait pouvoir faire la même chose. 8.Possibilité de faire appel au parlement. 9.Supprimer la grâce présidentielle au profit d'une grâce parlementaire. 10.Permettre la fin de vie à ceux qui le désire ou aux familles qui en font la demande Toute personne doit pouvoir se défendre si nécessaire. C'est un droit de vie ! Si elle est menacée, si l'État est au courant, s'il n'agit pas, cette personne doit avoir le droit de se défendre avec les moyens qu'elle a. 11.Assouplir la légitime défense Les enfants aujourd'hui n'ont pas le droit d'accès au casier judiciaire de leurs ascendants décédés. Il n'est pas normal qu'ils ne puissent pas avoir connaissance du passé de leurs parents. 12.Autoriser l'accès au casier judiciaire complet des ascendants décédés.

12. Connaissez-vous le "droit à l'erreur", c'est-à-dire le droit d'affirmer votre bonne foi lorsque vous faites un erreur dans vos déclarations ?

Oui

13. Si oui, avez-vous déjà utilisé ce droit à l'erreur ?

Non

14. Si oui, à quelle occasion en avez-vous fait usage ?

...On parle du droit à l'erreur...mais le droit à l'erreur de l’administration ? Il faudrait permettre au français de se défendre plus facilement contre elle, et non que ce soit toujours le pot de terre contre le pot de fer.

15. Pouvez-vous identifier des règles que l'administration vous a déjà demandé d'appliquer et que vous avez jugées inutiles ou trop complexes ?

Dans un cas général, il y a trop de paperasse, et une absence d'information claire sur les démarches, peu importe laquelle, il devrait au moins y avoir une centralisation de toutes les démarches possibles.

16. Faut-il donner plus d'autonomie aux fonctionnaires de terrain ?

Non

17. Si oui, comment ?

Non car il est déjà difficile de se défendre contre un fonctionnaire qui se trompe, il y a déjà beaucoup d'absence de contrôle, si ce n'est aucun. Notre démocratie est vacillante, elle disparaîtrait. Ceux qui représentent l'État ont tendance à abuser de leur situation.

18. Faut-il revoir le fonctionnement et la formation de l'administration ?

Oui

19. Si oui, comment ?

Il existe un fossé entre l'administration et ceux qui n'en font pas partie. La politique du bâton priorisée par l'État ne fait que l'accentuer. Il faudrait que l'État devienne plus honnête et plus moral.

20. Comment l'Etat et les collectivités territoriales peuvent-ils s'améliorer pour mieux répondre aux défis de nos territoires les plus en difficulté ?

ça dépend de la difficulté ou du type de difficulté ! Chaque difficulté doit être analysée, et l'État doit s'adapter à chacune d'entre elle. Légiférer globalement apporte rarement de bonnes solutions. : Donner des facilités de transport, des facilités d'implantation d'entreprises, des facilités de déménagement....

21. Si vous avez été amené à chercher une formation, pouvez-vous indiquer les éléments de satisfaction et/ou les difficultés rencontrés en précisant, pour chaque point, l'administration concernée :

En général satisfait mais le problème des formations est leur emplacement, il faudrait qu'elles puissent se déplacer.

22. Si vous avez été amené à scolariser votre enfant, pouvez-vous indiquer les éléments de satisfaction et/ou les difficultés rencontrés en précisant, pour chaque point, l'administration concernée :

Au niveau des accès : très satisfait, les transports scolaires fonctionnant très bien. Au niveau de l'apprentissage : l'éducation nationale a très mal évoluée (voir plus haut), elle n'est plus à la hauteur.

23. Si vous avez été amené à chercher un emploi, pouvez-vous indiquer les éléments de satisfaction et/ou les difficultés rencontrés en précisant, pour chaque point, l'administration concernée :

Le comportement de l'administration est satisfaisant, mais ces dernières années pôle emploi s'est emmuré et elle est devenue trop tatillonne. Il y a une absence de contact, d'empathie avec les gens.

24. Si vous avez été amené à préparer votre retraite, pouvez-vous indiquer les éléments de satisfaction et/ou les difficultés rencontrés en précisant, pour chaque point, l'administration concernée :

/

25. Si vous avez été amené à demander un remboursement de soins de santé, pouvez-vous indiquer les éléments de satisfaction et/ou les difficultés rencontrés en précisant, pour chaque point, l'administration concernée :

satisfait

26. Si vous avez été amené à faire une demande d'aide pour une situation de handicap, pouvez-vous indiquer les éléments de satisfaction et/ou les difficultés rencontrés en précisant, pour chaque point, l'administration concernée :

/

27. Si vous avez été amené à créer une entreprise, pouvez-vous indiquer les éléments de satisfaction et/ou les difficultés rencontrés en précisant, pour chaque point, l'administration concernée :

Il y a tout à revoir ! C'est bien trop de papier pour créer, modifier ou supprimer une entreprise. Souvent les administrations, le CFE et surtout le greffe de commerce est désuet, trop tatillon, hors du temps. Et l'entrepreneur est toujours en tord, il doit toujours payer, et il lui est impossible de se défendre ou s'est extrêmement difficile. Il faudrait ne plus être en relation directe avec les multiples services administratifs, dont le comportement n'est pas toujours à la hauteur. Il faudrait avoir un point d'accès ou ces services piochent ou réclament les informations dont ils ont besoin. L'insee pourrait très bien être ce point d'accès...

28. Si vous avez été amené à recruter du personnel, pouvez-vous indiquer les éléments de satisfaction et/ou les difficultés rencontrés en précisant, pour chaque point, l'administration concernée :

non mais je m'y suis intéressé. Un entrepreneur lorsqu'il veut embaucher pour la première fois, ne sait pas comment faire, ne connaît pas les risques, les conseils qu'il trouve restent très aléatoires, mais...restent sous sa responsabilité. Pourtant certains services de l'État connaissent les réponses, mais ne les utilisent que pour tomber une fois de plus sur l'entrepreneur ! L'Urssaf ne devrait pas avoir qu'un seul rôle de contrôle mais aussi de conseil et de prévention. L'entrepreneur devrait pouvoir faire appel à ses services. --Faire évoluer le rôle de l'Urssaf

29. Si vous avez été amené à former du personnel, pouvez-vous indiquer les éléments de satisfaction et/ou les difficultés rencontrés en précisant, pour chaque point, l'administration concernée :

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30. Si vous avez été amené à rémunérer du personnel, pouvez-vous indiquer les éléments de satisfaction et/ou les difficultés rencontrés en précisant, pour chaque point, l'administration concernée :

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31. Si vous avez été amené à mettre fin à votre activité, pouvez-vous indiquer les éléments de satisfaction et/ou les difficultés rencontrés en précisant, pour chaque point, l'administration concernée :

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32. Si vous avez été amené à recruter une personne portant un handicap, pouvez-vous indiquer les éléments de satisfaction et/ou les difficultés rencontrés en précisant, pour chaque point, l'administration concernée :

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33. Y a-t-il d'autres points sur l'organisation de l'Etat et des services publics sur lesquels vous souhaiteriez vous exprimer ?

L'entreprise : Le créateur d'entreprise est un passionné, dont la passion l'amène à prendre des risques sur ses propres biens, sa famille ou sa santé. Il est seul face à lui-même. L'État le sait, mais n'utilise pas sa passion pour le soutenir, mais au contraire pour lui tomber dessus. Car si le créateur perd, il perd tout, sans même obtenir le chômage. C'est pour l'État, une proie facile. Et pour le créateur d'entreprise, l'État est un mur inflexible. Quelques exemples récents : Les nombreux changements de ces dernières années dus aux dématérialisations imposées par Bercy ont obligé l'entrepreneur à s'adapter immédiatement. Bercy, en aucun cas, s'est soucié des problèmes générés, n'a laissé aucun délais d'adaptation, et s'est précipité pour amender. Si l'entrepreneur décide de favoriser son entreprise et de ne pas se payer, ce qui est une démarche courante, il payera quand même des charges sociales ! Charges sociales qui ont hypocritement cette année été greffées de deux contributions supplémentaires pour la formation professionnelle (118 euros *2) ! Encore une fois l'État se sert dans la caisse personnelle de l'entrepreneur et de son entreprise sans qu'il n'est le choix, et sans se poser la question de la situation même de ses propres finances. Cette année 2018, un nouveau document relatif au bénéficiaire effectif a été réclamé par le Greffe. Coût plus de 50 euros ! Alors que toutes les informations étaient déjà en possession du Greffe ! Il s'agit encore d'une méthode malhonnête pour ponctionner les entreprises, et dont le tarif sort de nul part. Greffe qui a chaque erreur, si petite soit elle, ne prend pas son téléphone, ne vous écrit pas par mail, vous renvoie vos documents et profite pour vous ponctionner de quelques euros supplémentaires. Et ne prend même pas la peine de décrocher son téléphone lorsqu'on l'appelle, ou de vider sa messagerie pleine. … Il faudrait : 1.Changer le comportement de l'État vis à vis du créateur d'entreprise 2.Supprimer les charges sociales par défaut 3.Arrêter d'amender pour des raisons futiles, et sans préavis 4.Supprimer la pénalité de 50% lorsque l'entrepreneur ne fait pas appel à un CGA 5.Rendre facultatif l'amortissement comptable 6.Simplifier et centraliser la création ou la modification des entreprises, le CFE n'ayant que très peu intérêt hormis de payer encore plus, évidemment ! 7.Simplifier le traitement des impayés, en permettant aux huissiers de faire des injonctions de payer. 8.Interdire aux entreprises d'offrir des avantages à perte à leurs salariés Lorsqu'une entreprise est faible ou qu'elle va mal, elle doit respecter les mêmes règles que les autres. L'État ne fait preuve d'aucune complaisance. Si sa situation se détériore, elle doit continuer à respecter les acquis obtenus par ses salariés. Le bateau coule mais certains continuent à danser...Que chacun profite de l'entreprise lorsque tout va bien, oui, mais lorsque le vent tourne, de nouvelles conditions devraient être adaptés immédiatement pour permettre à l'entreprise de faire face. Lorsqu'une entreprise va mal, il faudrait mieux pour l'État d'abandonner toutes charges pour permettre son redressement, que de voir de nombreux salariés au chômage. Il faudrait créer un indice permettant de donner une valeur instantanée de la situation de l'entreprise. Indice simple, en fonction du résultat net immédiat, et du nombre de salariés : Un indice 0 serait une entreprise qui gagne rien un indice négatif serait une entreprise en perte un indice positif serait une entreprise gagnant de l'argent, et plus l'indice est important plus les gains le seraient. Le nombre de salariés devrait permettre d'alourdir l'indice en positif et de l'accélérer en négatif. Avec possibilité de faire des indices intermédiaires dans l'année. Donc de faire des exercices courts. Il serait alors possible de créer tout un tas de curseurs associés à cet indice. Curseurs pouvant dépendre de la situation économique ou politique. Par exemple : 1) les charges sociales ou patronales : indice <= 0 : pas de charges indice > 0 et < 10 : charges progressives indices >= 10 : 100% de charges 2) Temps de travail : indice < 10 : 39 heures indice 10 < 20 : 38 heures indice 20 < 30 : 37 heures indice 30 < 40 : 36 heures indice 40 > : 35 heures. 3) Inversement les trimestres de retraite pourraient être plus court avec un indice faible. : indice < 9 : T 110% indice 10 < 19 : T 107,5% indice 20 < 29 : T 105% indice 30 < 39 : T 102,5% indice 39 > : T 100% ...et les curseurs peuvent être nombreux Ainsi une entreprise faible ou en mauvais état verrait ses charges baisser et des salariés travaillant plus, et dans le cas contraire des charges augmentées et des salariés profitant de leur entreprise. 9.Création d'un indice donnant une valeur instantanée de la situation de l'entreprise et création de curseurs en fonction de cet indice. Le créateur d'entreprise, le repreneur, le PDG nommé par des actionnaires mais ayant fait sa vie dans l'entreprise, le PDG nommé par les actionnaires mais venant d'ailleurs... sont des gestionnaires d'entreprise à la mentalité totalement différente. Le créateur va se défoncer pour la vie de son entreprise et la considèrera comme son enfant. Alors que le PDG nommé et venant d'ailleurs, n'a que le but de satisfaire des actionnaires et dans un même temps son augmentation (avec un salaire souvent déjà démesuré), il n'existe aucun lien affectif entre lui et son entreprise. L'État devrait en tenir compte. 10.Pondérer l'IS, les amendes, ou certaines charges en fonction du type de chef d'entreprise Les PDG d'entreprise, nommés par des actionnaires, ont pour objectif principal de satisfaire les actionnaires. Donc, toute action sera entreprise que s'il y a assurément profit. La place au risque est limitée. L'implication est une montée de l'argent inexorablement. Certes l'entreprise ne peut vivre que si elle fait des profits, mais dans ce cas les gains sortent de l'entreprise. 11.Limiter le taux de redistribution des gains de l'entreprise aux actionnaires. 12.Permettre un allégement aux actionnaires qui réinvestissent la totalité de leurs gains dans le pays. Ainsi l'argent reste dans le pays. Nombreux sont ceux qui vivent en France, entreprises ou individus, faisant leurs affaires dans notre pays, et payant leurs impôts ailleurs! C'est indécent ! 13.Obliger les entreprises et individus a payer leurs impôts en France par rapport aux gains acquis dans notre pays. Dans le cadre des différentes pollutions dues aux entreprises, un indicateur devrait leur être attribué, et elles devraient obligatoirement l'afficher. Cet indicateur devrait être sous la forme de l'indicateur standard passant du vert au rouge et de la lettre A à E. Cet indicateur devrait tenir compte : du niveau des fournisseurs, de la fabrication des produits, de leur commercialisation, du recyclage. 14.Création d'un indicateur écologique pour les entreprises. L'État devrait encourager les entreprises avec un bon indicateur, et pénaliser les entreprises avec un mauvais indicateur, en créant un bonus ou un malus de TVA. Par exemple une entreprise de type A pourrait obtenir un bonus de 50% de TVA, c'est à dire conserver la moitié de la TVA récoltée. Et à l'inverse une entreprise de type E pourrait obtenir un malus de TVA de 50% en payant 50% de plus par rapport à la TVA récoltée. 15.Création d'un bonus/malus de TVA L'état a lancé les Services à la personne, il y a une dizaine d'année, avec beaucoup de publicité. La loi Borloo était très mal montée, elle a été modifiée par la suite, au gré des politiciens, n'importe comment. En résumé, l'État a poussé des français à se lancer dans les services à la personne puis a tiré la trappe. La loi était mal montée pour plusieurs raisons : De nombreuses conditions difficiles à appliquer Des inégalités de droit entre les entreprises et les associations L'absurdité des tickets CESU Des charges sociales pour les particuliers trop importantes malgré la déduction fiscale Mais surtout la déclinaison en activités et non en métiers. 16.Création de métiers des services à la personnes dont certaines activités seraient déductibles et d'autres non. 17.Création d'un CAP homme toutes mains avec possibilité de faire d'autres activités comme par exemple : le ramonage, le montage d'un radiateur électrique, le nettoyage et vidage de combles... 18.Supprimer les différences de droit entre les entreprises et les associations Il est surprenant, comme dans le cas des services à la personnes, que des associations puissent exister dont les acteurs principaux sont payés ! Normalement le principe de l'association est le bénévolat. Du coup, ces associations se retrouvent à cheval avec une entreprise, font une concurrence déloyale, et elles se permettent de moins bien gérer leurs affaires grâce aux subventions qu'elles peuvent obtenir. Donc elles génèrent un coût supplémentaire pour la société. 19.Revoir le statut des associations dont les acteurs principaux sont payés. Un entrepreneur lorsqu'il veut embaucher pour la première fois, ne sait pas comment faire, ne connait pas les risques, les conseils qu'il trouve restent très aléatoires et onéreux, mais...restent sous sa responsabilité. Pourtant certains services de l'État connaissent les réponses, mais ne les utilisent que pour tomber une fois de plus sur l'entrepreneur ! L'Urssaf ne devrait pas avoir qu'un seul rôle de contrôle mais aussi de conseil et de prévention. L'entrepreneur devrait pouvoir faire appel à ses services. 20.Faire évoluer le rôle de l'Urssaf

Grand débat - transition écologique

1. Quel est aujourd'hui pour vous le problème concret le plus important dans le domaine de l'environnement ?

La pollution de l'air

2. Que faudrait-il faire selon vous pour apporter des réponses à ce problème ?

Dans le cadre des différentes pollutions dûes aux entreprises, un indicateur devrait leur être attribué, et elles devraient obligatoirement l'afficher. Cet indicateur devrait être un indicateur traditionnel passant du vert au rouge et de la lettre A à E. Cet indicateur devrait tenir compte : du niveau des fournisseurs, de la fabrication des produits, de leur commercialisation, du recyclage. L'État devrait encourager les entreprises avec un bon indicateur, et pénaliser les entreprises avec un mauvais indicateur, en créant un bonus ou un malus de TVA. Par exemple une entreprise de type A pourrait obtenir un bonus de 50% de TVA, c'est à dire conserver la moitié de la TVA récoltée. Et à l'inverse une entreprise de type E pourrait obtenir un malus de TVA de 50% en payant 50% de plus par rapport à la TVA récoltée. Dans ma région, les déchetteries sont gérées par un syndicat. Autrefois une simple carte, obtenue simplement avec un justificatif de domicile, suffisait pour accéder aux déchetteries. Depuis, tout a été complexifié. Des cartes à points, des barrières, des panneaux lumineux, et pour obtenir une première carte, il faut se déplacer loin, jusqu'au syndicat... Toutes ces mesures, ces dépenses n'ont aucune utilité hormis celle de dépenser de l'argent public supplémentaire et augmenter leur propre budget. Ce qui prouve que ce type de sous structures de l'État ne se préoccupe absolument pas de faire des économies !! De plus, les habitants en dehors du périmètre de ce syndicat n'ont pas le droit d'accès. Résultat à proximité des villages exclus, où leurs propres déchetteries attitrées sont beaucoup plus éloignées, on retrouve des déchetteries sauvages ! Parmi toutes les énergies propres, la géothermie est probablement la moins gênante, et la moins sensible aux évènements climatiques. Pourtant elle est beaucoup moins développée, et moins mise en avant que les autres. - Création d'un indicateur écologique pour les entreprises. - Création d'un bonus/malus de TVA - Permettre l'accès aux déchetteries à tous, peu importe son lieu d'habitation. - Contrôler les dépenses abusives des différentes structures de l'état. - Augmenter le développement de la géothermie

3. Diriez-vous que votre vie quotidienne est aujourd'hui touchée par le changement climatique ?

Oui

4. Si oui, de quelle manière votre vie quotidienne est-elle touchée par le changement climatique ?

sécheresse, pollution

5. À titre personnel, pensez-vous pouvoir contribuer à protéger l'environnement ?

Oui

6. Si oui, que faites-vous aujourd'hui pour protéger l'environnement et/ou que pourriez-vous faire ?

Tri des déchets, limitation des plastiques ou de l'achat de plastiques, mais le problème principal ne se situe pas au niveau des individus mais de l'état et des entreprises

7. Qu'est-ce qui pourrait vous inciter à changer vos comportements comme par exemple mieux entretenir et régler votre chauffage, modifier votre manière de conduire ou renoncer à prendre votre véhicule pour de très petites distances ?

Malheureusement à la campagne on ne pas renoncer à prendre un véhicule sauf si on décide de ressortir les charrettes à cheval. (pourquoi pas !)

8. Quelles seraient pour vous les solutions les plus simples et les plus supportables sur un plan financier pour vous inciter à changer vos comportements ?

il faudrait baisser sévèrement le prix de l'électricité pour pouvoir se chauffer avec, ou développer la géothermie locale pour avoir une énergie à bas prix

9. Par rapport à votre mode de chauffage actuel, pensez-vous qu'il existe des solutions alternatives plus écologiques ?

Oui

10. Si oui, que faudrait-il faire pour vous convaincre ou vous aider à changer de mode de chauffage ?

chauffage au bois actuellement. le chauffage électrique serait possible mais il est beaucoup trop cher

11. Avez-vous pour vos déplacements quotidiens la possibilité de recourir à des solutions de mobilité alternatives à la voiture individuelle comme les transports en commun, le covoiturage, l'auto-partage, le transport à la demande, le vélo, etc. ?

Non

12. Si oui, que faudrait-il faire pour vous convaincre ou vous aider à utiliser ces solutions alternatives ?

None

13. Si non, quelles sont les solutions de mobilité alternatives que vous souhaiteriez pouvoir utiliser ?

Les transports en commun|Le covoiturage|Le transport à la demande

14. Et qui doit selon vous se charger de vous proposer ce type de solutions alternatives ?

les régions ou les communauté de communes

15. Que pourrait faire la France pour faire partager ses choix en matière d'environnement au niveau européen et international ?

Interdire les centrales à charbon, pénaliser les entreprises très polluantes

16. Y a-t-il d'autres points sur la transition écologique sur lesquels vous souhaiteriez vous exprimer ?

Développement de la géothermie locale