Date de publication : 2019-02-19
Code postal : 78360

Grand débat - fiscalité et dépenses publiques

1. Quelles sont toutes les choses qui pourraient être faites pour améliorer l'information des citoyens sur l'utilisation des impôts ?

Sortir les retraites par répartition des dépenses sociales car si on contisait à un système par capitalisation obligatoire (ex UK), elles n'y figureraient pas. Il devrait être interdit à un gouvernement de prendre l'argent des pensions de retraite pour combler le déficit du budget général. Que l'on puisse contrôler de façon simple qui a réellement profité des impôts et taxes

2. Que faudrait-il faire pour rendre la fiscalité plus juste et plus efficace ?

Que chaque taxe aille à l'affectation prévue et ne soit pas diluée dans le budget général. Que cette taxe soit supprimée au bout d'un an si elle n'a pas prouvé son efficacité par rapport à ce qui était attendu.

3. Quels sont selon vous les impôts qu'il faut baisser en priorité ?

Taxes sur l'énergie. supprimer les taxes sur les taxes (ex TVA sur Taxes énergie)

4. Afin de financer les dépenses sociales, faut-il selon vous...

Réduire la masse salariale de la fonction publique en réduisant les trop nombreuses strates de la hiérarchie en ne remplaçant qu'1 fonctionnaire catégorie A+ sur 3 qui partent à la retraite et 1 fonctionnaire sur 2 pour la catégorie A (pour la catégorie A tant qu'ils ne sont pas au service directe du publique). Supprimer les salaires abhérants de certains fonctionnaires et hauts fonctionnnaires (assemblée nationale, finances, sénat,...)

5. S'il faut selon vous revoir les conditions d'attribution de certaines aides sociales, lesquelles doivent être concernées ?

None

6. Quels sont les domaines prioritaires où notre protection sociale doit être renforcée ?

None

7. Pour quelle(s) politique(s) publique(s) ou pour quels domaines d'action publique, seriez-vous prêts à payer plus d'impôts ?

Les Français payent déjà un maximum d'impôt et de taxes par rapport aux autres pays donc il n'est pas question d'augmenter les impôts sans en supprimer d'autres.

8. Y a-t-il d'autres points sur les impôts et les dépenses sur lesquels vous souhaiteriez vous exprimer ?

Macron ruine les retraités de façon injuste et indigne en s’attaquant aux SALAIRES DIFFÉRÉS que sont les RETRAITES. Les retraités ne veulent pas l’aumône, ils ont acquis des droits en fonction de leurs cotisations sur leurs salaires. Ces salaires différés sont un dû, lié à un contrat bâti entre les citoyens et l’ETAT. Pour respecter le contrat, Macron, en tant que premier représentant de l’ETAT doit changer de cap, en :  Supprimant l'augmentation de 1,7%de la CSG pour les retraités  Rétablissant l'indexation des retraites sur l'inflation  Votant une loi qui interdise au premier gouvernement venu de changer les règles du système par répartition sans concertation avec les partenaires sociaux  Rétablissant l'égalité devant la fiscalité pour les retraités : suppression de la CASA et déduction de la complémentaire santé du revenu imposable, comme les salariés. La France est le seul pays d'Europe où un gouvernement sacrifie les retraités pour enrichir les 1% les plus riches. Elle est aussi le seul pays d'Europe à désindexer les retraites sur l'inflation. Elle devient invivable pour bon nombre de retraités à cause de la politique progressiste de Macron. Pour pouvoir ruiner les retraités en toute tranquillité, Macron les désigne faussement comme des privilégiés et comme la cause du faible pouvoir d'achat des salariés!!! Non, monsieur le Président, les retraités ne sont pas les plus riches : un retraité "aisé" selon Macron c'est 1200€ net par mois, un Français "aisé" selon l'Observatoire des inégalités c'est 3700 € et selon l'INSEE 8900 € par mois. Il y a 40% des retraités qui gagnent moins de 1200 € mais ce ne sont que 9% des salariés qui gagnent moins de 1200 €. Les pensions de retraite ne sont pas les plus élevées d'Europe : France 1200 €, Suède 1800, Pays-Bas 2900 €, Royaume Uni .1800 €... Avec Macron pour 2019, les 1% des Français les plus riches gagnent +6% de pouvoir d'achat alors que 98 % des retraités ont une baisse de 1% à plus de 3% (source IPP).Seuls les 1% des retraités les plus riches sont gagnant avec 5,5% d'augmentation. Cela prouve que Macron ne donne surtout qu'aux très riches qu'ils soient actifs ou retraités. La politique ségrégationniste de Macron massacre le pouvoir d'achat des retraités. Pour eux c'est: - le quasi-gel des retraites de 2018 à 2021, 3 années de perte de pouvoir d'achat (3 à 5% de perte), du jamais vu dans tous les pays d'Europe, qui au contraire augmentent actuellement les retraites. En France, même les retraités en dessous du seuil de pauvreté subissent une baisse importante de pouvoir d'achat (3%). - alors que Macron détourne l'argent des caisses de retraite pour le donner aux 1% les plus riches, il ose écrire: "Chez nous, ceux qui travaillent financent les pensions des retraités". Jamais un chef d'état n'avait présenté le système de retraite par répartition de façon aussi fausse, tendancieuse et indigne. De plus ce système de retraite par répartition n'est pas que français mais majoritaire dans l'union européenne, complété ou non par des systèmes par capitalisation. - le pillage de la caisse de retraite sous des prétextes fallacieux : Le gouvernement prend déjà, pour son budget général, les excédents de la caisse de retraite (CNAV) et les 2100 € du Fond de Réserve des Retraites. Comme cela ne lui suffit pas pour payer les cadeaux fiscaux faits aux riches, il désindexe les retraites sur l'inflation. Pour le justifier, Madame Buzyn a répété à 3 reprises que "c'est pour augmenter le minimum vieillesse". Or, pour 2019, le coût de l'augmentation du minimum vieillesse est de 20 M€, qui sont soi-disant payés par la désindexation des retraites, qui rapporte en réalité à l'état 2900 M€. Où vont les 2880 M€ restant ? - la discrimination des retraités avec la non compensation de l'augmentation d e1,7% de la CSG pour les retraités et l'établissement de plusieurs taux (CSG progressive uniquement pour les retraités), avec un arbitraire total pour la détermination des seuils (pourquoi 1200€, 2000€ ?). C'est de l'inégalité pure devant l'impôt.

Grand débat - démocratie et citoyenneté

1. En qui faites-vous le plus confiance pour vous faire représenter dans la société et pourquoi ?

None

2. En dehors des élus politiques, faut-il donner un rôle plus important aux associations et aux organisations syndicales et professionnelles ?

None

3. Si oui, à quel type d'associations ou d'organisations ? Et avec quel rôle ?

None

4. Que faudrait-il faire pour renouer le lien entre les citoyens et les élus qui les représentent ?

None

5. Le non-cumul des mandats instauré en 2017 pour les parlementaires (députés et sénateurs) est :

None

6. Pourquoi ?

None

7. Que faudrait-il faire pour mieux représenter les différentes sensibilités politiques ?

None

8. Pensez-vous qu'il serait souhaitable de réduire le nombre d'élus (hors députés et sénateurs) ?

None

9. Si oui, lesquels ?

None

10. Que pensez-vous de la participation des citoyens aux élections et comment les inciter à y participer davantage ?

None

11. Faut-il prendre en compte le vote blanc ?

None

12. Si oui, de quelle manière ?

None

13. Que faudrait-il faire aujourd'hui pour mieux associer les citoyens aux grandes orientations et à la décision publique ? Comment mettre en place une démocratie plus participative ?

None

14. Faut-il faciliter le déclenchement du référendum d'initiative partagée (le RIP est organisé à l'initiative de membres du Parlement soutenu par une partie du corps électoral) qui est applicable depuis 2015 ?

None

15. Si oui, comment ?

None

16. Que faudrait-il faire pour consulter plus directement les citoyens sur l'utilisation de l'argent public, par l'Etat et les collectivités ?

None

17. Quel rôle nos assemblées, dont le Sénat et le Conseil économique, social et environnemental, doivent-elles jouer pour représenter nos territoires et la société civile ?

None

18. Faut-il les transformer ?

None

19. Si oui, comment ?

None

20. Que proposez-vous pour renforcer les principes de la laïcité dans le rapport entre l'Etat et les religions de notre pays ?

None

21. Comment garantir le respect par tous de la compréhension réciproque et des valeurs intangibles de la République ?

None

22. Que faudrait-il faire aujourd'hui pour renforcer l'engagement citoyen dans la société ?

None

23. Quels sont les comportements civiques qu'il faut promouvoir dans notre vie quotidienne ou collective ?

None

24. Que faudrait-il faire pour favoriser le développement de ces comportements civiques et par quels engagements concrets chacun peut-il y participer ?

None

25. Que faudrait-il faire pour valoriser l'engagement citoyen dans les parcours de vie, dans les relations avec l'administration et les pouvoirs publics ?

None

26. Quelles sont les incivilités les plus pénibles dans la vie quotidienne et que faudrait-il faire pour lutter contre ces incivilités ?

None

27. Que peuvent et doivent faire les pouvoirs publics pour répondre aux incivilités ?

None

28. Quel pourrait être le rôle de chacun pour faire reculer les incivilités dans la société ?

None

29. Quelles sont les discriminations les plus répandues dont vous êtes témoin ou victime ?

None

30. Que faudrait-il faire pour lutter contre ces discriminations et construire une société plus solidaire et plus tolérante ?

None

31. Pensez-vous qu'il faille instaurer des contreparties aux différentes allocations de solidarité ?

None

32. Si oui, lesquelles ?

None

33. Que pensez-vous de la situation de l'immigration en France aujourd'hui et de la politique migratoire ? Quelles sont, selon vous, les critères à mettre en place pour définir la politique migratoire ?

None

34. En matière d'immigration, une fois nos obligations d'asile remplies, souhaitez-vous que nous puissions nous fixer des objectifs annuels définis par le Parlement ?

None

35. Que proposez-vous afin de répondre à ce défi qui va durer ?

None

36. Quelles sont, selon vous, les modalités d'intégration les plus efficaces et les plus justes à mettre en place aujourd'hui dans la société ?

None

37. Y a-t-il d'autres points sur la démocratie et la citoyenneté sur lesquels vous souhaiteriez vous exprimer ?

Macron ruine les retraités de façon injuste et indigne en s’attaquant aux SALAIRES DIFFÉRÉS que sont les RETRAITES. Les retraités ne veulent pas l’aumône, ils ont acquis des droits en fonction de leurs cotisations sur leurs salaires. Ces salaires différés sont un dû, lié à un contrat bâti entre les citoyens et l’ETAT. Pour respecter le contrat, Macron, en tant que premier représentant de l’ETAT doit changer de cap, en :  Supprimant l'augmentation de 1,7%de la CSG pour les retraités  Rétablissant l'indexation des retraites sur l'inflation  Votant une loi qui interdise au premier gouvernement venu de changer les règles du système par répartition sans concertation avec les partenaires sociaux  Rétablissant l'égalité devant la fiscalité pour les retraités : suppression de la CASA et déduction de la complémentaire santé du revenu imposable, comme les salariés. La France est le seul pays d'Europe où un gouvernement sacrifie les retraités pour enrichir les 1% les plus riches. Elle est aussi le seul pays d'Europe à désindexer les retraites sur l'inflation. Elle devient invivable pour bon nombre de retraités à cause de la politique progressiste de Macron. Pour pouvoir ruiner les retraités en toute tranquillité, Macron les désigne faussement comme des privilégiés et comme la cause du faible pouvoir d'achat des salariés!!! Non, monsieur le Président, les retraités ne sont pas les plus riches : un retraité "aisé" selon Macron c'est 1200€ net par mois, un Français "aisé" selon l'Observatoire des inégalités c'est 3700 € et selon l'INSEE 8900 € par mois. Il y a 40% des retraités qui gagnent moins de 1200 € mais ce ne sont que 9% des salariés qui gagnent moins de 1200 €. Les pensions de retraite ne sont pas les plus élevées d'Europe : France 1200 €, Suède 1800, Pays-Bas 2900 €, Royaume Uni .1800 €... Avec Macron pour 2019, les 1% des Français les plus riches gagnent +6% de pouvoir d'achat alors que 98 % des retraités ont une baisse de 1% à plus de 3% (source IPP).Seuls les 1% des retraités les plus riches sont gagnant avec 5,5% d'augmentation. Cela prouve que Macron ne donne surtout qu'aux très riches qu'ils soient actifs ou retraités. La politique ségrégationniste de Macron massacre le pouvoir d'achat des retraités. Pour eux c'est: - le quasi-gel des retraites de 2018 à 2021, 3 années de perte de pouvoir d'achat (3 à 5% de perte), du jamais vu dans tous les pays d'Europe, qui au contraire augmentent actuellement les retraites. En France, même les retraités en dessous du seuil de pauvreté subissent une baisse importante de pouvoir d'achat (3%). - alors que Macron détourne l'argent des caisses de retraite pour le donner aux 1% les plus riches, il ose écrire: "Chez nous, ceux qui travaillent financent les pensions des retraités". Jamais un chef d'état n'avait présenté le système de retraite par répartition de façon aussi fausse, tendancieuse et indigne. De plus ce système de retraite par répartition n'est pas que français mais majoritaire dans l'union européenne, complété ou non par des systèmes par capitalisation. - le pillage de la caisse de retraite sous des prétextes fallacieux : Le gouvernement prend déjà, pour son budget général, les excédents de la caisse de retraite (CNAV) et les 2100 € du Fond de Réserve des Retraites. Comme cela ne lui suffit pas pour payer les cadeaux fiscaux faits aux riches, il désindexe les retraites sur l'inflation. Pour le justifier, Madame Buzyn a répété à 3 reprises que "c'est pour augmenter le minimum vieillesse". Or, pour 2019, le coût de l'augmentation du minimum vieillesse est de 20 M€, qui sont soi-disant payés par la désindexation des retraites, qui rapporte en réalité à l'état 2900 M€. Où vont les 2880 M€ restant ? - la discrimination des retraités avec la non compensation de l'augmentation de 1,7% de la CSG pour les retraités et l'établissement de plusieurs taux (CSG progressive uniquement pour les retraités), avec un arbitraire total pour la détermination des seuils (pourquoi 1200€, 2000€ ?). C'est de l'inégalité pure devant l'impôt.