En dehors des médias, je ne vois guère d'autre possibilité. Via Internet, il faut une source facile à reconnaître et facile à trouver. Mais restera toujours l'inconvénient de la confiance. Vous ne pourrez jamais empêcher un citoyen de ce poser la question : Tout ce qui vient de l'État ou du gouvernement est-t-il vrai? Ne nous cachent-ils pas certaines choses?
Il n'est pas question de supprimer des impôts mais de mieux les répartir. C'est cela une fiscalité plus juste. Aujourd'hui, nous avons des milliardaires qui ne paient pas ou peu. C'est un problème de proportion par rapport à un salarié qui vit avec plus ou moins de facilité et qui paie plein pot. Les Français acceptent de payer des impôts dès lors qu'ils ont le sentiment qu'il n'y a aucun privilège, ou qu'il y a un réel équilibre. Moi je rêve de payer beaucoup d'impôts, car c'est un signe que je gagne bien ma vie. Faites en sorte que les Français gagnent bien leur vie et vous aurez beaucoup d'argent dans les caisses de l'État.
Je pense plutôt aux taxes, car elles sont injustes par définition. Un produit taxé coûte le même prix pour un riche comme pour un pauvre. Or on crée des taxes pour un oui pour un non dès qu'un problème surgit. La taxe essence à déclenché la colère car le salarié à 800 €uros par mois paiera autant que celui qui gare sa Rolls devant une pompe à essence. Idem pour la nourriture et tous les produits de première nécessité. Parlons plutôt de justice. Il faut lutter contre la fraude fiscale en votant une loi qui ne permet pas d'échapper à l'impôt. Quel que soit le lieu du monde où un Français habite, il paiera des impôts dans le pays correspondant à sa nationalité. Je pense à l'exemple de Ghosn qui paie ses impôts au Pays-Bas, où il demeure. C'est un peu trop facile.
Augmenter les impôts|Quand je dis augmenter les impôts, je veux dire les citoyens dont la richesse se compte en millions ou en milliards. Ils n'en mourront pas de payer un ou deux pour cent de plus. Un impôt sur la fortune personnelle, mais pas sur les entreprises (sur leurs bénéfices). Il ne faut pas les surcharger. Mais si elles ne jouent pas le jeu, si elles n'embauchent pas ou licencient alors qu'elles gagnent beaucoup d'argent, il faut les sanctionner.
Uniquement celles qui sont accordées à des ménages qui n'en ont pas besoin, dès lors qu'elles ont un certain niveau de revenus, à définir. Je dirais 10 000 €uros.
Les maladies graves, les lunettes, les dents.
Pour l'éducation et la santé.
Sur le plan social, je pense qu'il faut distinguer celui que vous abordez de celui qui concerne politique sociale dans l'économie. Dans les entreprises, l'humain doit l'emporter sur la finance. L'économie, l'argent, n'ont un intérêt que s'ils ont un impact sur la vie quotidienne de ceux qui travaillent (ou non). L'économie doit avoir pour but d'améliorer la vie et non être la simple accumulation de richesses dont personne ne profite, à part une très faible minorité. Ce qui est de plus en plus le cas.
Démocratie à tous les étages
Oui
Les syndicats devraient être perçus comme des partenaires, avec lesquels on réfléchi ensemble. Les syndicats sont souvent les plus à même de dire ce qui se passe sur le terrain, notamment dans le domaine de l'organisation du travail. Le pdg, là-haut au siège et sur son siège, ne mesure pas forcément les disfonctionnements. Une bonne organisation n'est qu'un plus pour tous. le salarié est celui qui mesure le mieux la qualité du travail et c'est lui qui sait le mieux ce qui pourrait améliorer les choses. Les associations sont elles aussi au fait de la vie dans la rue, qu'il s'agisse d'associations à caractère social ou culturel.
Un contact plus étroit entre les élus et les citoyens. Une fois élus, les politiques s'éloignent inexorablement du terrain, ne se voient plus qu'entre eux, discutent entre eux, pensent entre eux, décident entre eux, ne se fréquentent plus qu'entre-eux, bref ne connaissent plus que leur milieu, soit aux assemblées, soit dans les salles de réunion locales ou régionales. Ils doivent organiser des consultations publiques, soumettre certains projets à ceux qui paieront ou subiront les dits projets.
Une mauvaise chose
Un mandat de ministre ou de député européens, pour ne citer que ceux-là, éloignent l'élu encore plus des réalités, risque de le couper des dites réalités. Un mandat local est indispensables pour ces cas-là. Par contre, pas de cumul si c'est pour être maire et conseiller départemental, par exemple.
Une proportionnelle, reflet de l'opinion publique, même si elle est malléable (elle est manipulée de toute façon, quelque soit la tendance). la proportionnelle impose aux élus une politique adaptée aux demandes.
Oui
Il pourrait par exemple n'y avoir que deux députés et deux sénateurs par département. En contrepartie, ils doivent avoir plus de pouvoir par rapport aux décisions gouvernementales qui sont prises par des gens non élus, non choisis par le peuple, faut-il le rappeler? Les sénateurs doivent élus par le peuple et leur rôle d'arbitre renforcé, afin d'incité l'assemblée nationale à voter des lois pointues, à l'exemple de la loi sur la laïcité, une des plus belles réussites dans ce domaine, une référence, un véritable étalon. Les conseils (constitutionnel, d'État et autres...) ne doivent pas être des refuges de fin de carrière tout juste bons pour la rémunération qu'ils procurent.
Il faut rendre le vote obligatoire. Le peuple ne peut pas passer son temps à vomir sur ses élus et en même temps ne pas voter. Il faut qu'il assume ses votes.
Oui
Nous avons eu l'exemple deux fois, avec Chirac et avec Macron. Face à une situation où on ne veut aucun des deux candidats au deuxième tour, le vote blanc permet de trancher. J'ai personnellement voté Macron non parce que j'approuvais son programme (ce qui n'était pas la cas), mais parce que je ne voulais pas de Le Pen. Il n'a donc pas été élu pour ses promesses, mais par défaut. Nous sommes bien là face à une fausse démocratie, puisque seulement un quart des Français préférait Macron au départ. Si le vote blanc avait été majoritaire, le message était clair: nous ne voulons d'aucun de vous, il faut refaire des élections. Il ne faut pas qu'une élection se transforme en fausse majorité. Le vote blanc est le rejet des candidats, le plus souvent choisis par les militants. Le message qui leur est envoyé est limpide: choisissez un autre candidat!
Il devrait y avoir un référendum chaque année, sur un projet lourd, qui aura des conséquences sur la vie quotidienne des gens. Il faudrait un système de transmission des alertes venant des associations, bien les étudier, et en tenir compte. Comme il y a une assemblée annuelle des maires, il pourrait y avoir une assemblée annuelle des associations pour prendre la température de certains problèmes de terrain, et ajouter pourquoi pas une sorte de comité représentatif de citoyens tirés au sort comme le sont les jurés d'assises, dont la liste est renouvelée tous les deux ans, afin d'assurer un roulement, dans le but de participer à ce grand débat annuel.
Oui
Sur la base de ce que j'ai dit précédemment.
Je pense avoir déjà répondu à cette question. Il faut des comités citoyens de contrôle.
Ils jouent leur rôle, mais comme pour les élus, en restant éloignés du terrain. Ils regardent la France depuis Paris, sans jamais réellement prendre la température, sans tenir compte de l'opinion publique.
Oui
C'est moins une question de transformation que d'utilité. Le nombre de conseils est impressionnant et ne parle par aux citoyens. C'est très mystérieux pour eux. Aucune pédagogie dans ce domaine, c'est le moins qu'on puisse dire.
Je ne vois pas pourquoi il faudrait renforcer la laïcité. La loi est parfaite. Il suffit de l'appliquer, sans faire de distinction. On ne va tout de même pas faire des lois en fonction des religions ou pour faire plaisir à des religions. Ce serait contraire aux principes de la laïcité : la foi est libre mais n'impose pas son dogme! Point.
Votre question est déjà incompréhensible pour le citoyen lambda. Mettez-vous à sa place: c'est quoi les valeurs intangibles de la Républiques? Il faudrait peut être commencer par expliquer ça. Aujourd'hui, on y met n'importe quoi dans ses "valeurs de la République". C'est un fourre-tout pour échapper aux dures réalités de la vie. Un type qui crève de faim, sans logement et sans boulot, il ne voit pas trop ce que ça lui apporte et à quoi ça correspond. Il faut adopter un autre langage que celui-là, sans pour autant oublier ce que veut dire le mot République (mot à expliquer sans langue de bois dans les écoles).
J'ai l'impression que nous tournons en rond. Si vous voulez qu'il s'engage, commencez par lui donner l'impression qu'il existe et qu'il n'est pas qu'un numéro ou un vulgaire mouton devant se plier à la volonté de ceux qu'il a élu (le comble en fait: les élus oublient à qui ils doivent leur poste). Ni mépris ni condescendance, mais proposer des moyens d'expression.
Cette partie est décidément à sens unique. Il faut faire culpabiliser les citoyens, c'est ça? Retourner la situation en les accusant d'être la cause de tous les problèmes? Et quand va-t-on exiger un comportement citoyen des élus ou des gens désignés à des postes de pouvoir? Sont-ils citoyens dans leurs comportements? Montrent-ils l'exemple? Le comportement citoyen est à l'image du comportement politique.
Commencez par respecter vos engagements si vous voulez que les citoyens respectent ceux que vous exigez d'eux. Si les citoyens pensent qu'un élu est un voleur, il trouvera normal d'être un voleur. S'il pense qu'un chef d'entreprise, un banquier ou un élu est un voyou, il se comportera lui-même en voyou. Si un citoyen n'a pas de quoi vivre décemment, il volera peut-être pour survivre. Si les prisons se remplissent de plus en plus, c'est parce que les gens vivent de plus en plus mal et qu'ils cherchent à résoudre leur problèmes par le mal, si on doit appeler ça le mal.
On reste sur la même incompréhension. Ceux qui ont rédigé ce questionnaire sont manifestement ignorants de la réalité de cette société. C'est à l'administration de mieux se comporter avec les citoyens, c'est à elle, via l'État et la qualité de sa politique, à s'adapter aux besoins des citoyens.
L'incivilité est un baromètre de l'état d'une société. Les gens ne respectent plus ceux qui ne les respectent pas. Cela dit, l'incivilité se règle dès la petite enfance, à l'école, puis en entreprise et enfin par l'information, toujours plus d'information.
Je suis sidéré! Les bras m'en tombent! Punir, punir, punir à tour de bras, c'est ça? Légiférer? Renforcer la répression, mettre des caméras partout? mettre un policier à chaque coin de rue? Mettre un policier dans chaque classe?
Mais bon sang, c'est le comportement de chacun qui est la cause des incivilités. On laisse les communautés s'enfermer dans des ghettos: religieux, ethniques... Chacun voit chez l'autre toutes les causes de son malheur sans mesurer ce que ses propres comportements ont comme conséquences pour d'autres personnes de "genre" différent. Bref, c'est pas moi c'est l'autre. Comment voulez-vous qu'on s'en sorte. On tourne en rond. On n'est pas raciste mais on ne veut pas de ça chez nous, parce qu'ils sont... inciviques. Et du coup, on est inciviques avec eux.
Justement ce que je viens de dire: un racisme latent et pervers. On n'aime pas les noirs, les arabes, les juifs, les musulmans, mais on n'aime pas non plus les pauvres, les chômeurs, les SDF, les gens de gauche, les gens de droite, les intellectuels, les journalistes, les plombiers ou je ne sais quoi... Notre seul tort à tous: être différent du voisin.
Pas seulement légiférer, mais appliquer. Quand quelqu'un traite quelqu'un de sale juif, ne le mettez pas en prison, c'est inutile, mais faites lui payer une amende de 50 000 €. Là, on est certain qu'il va réfléchir à deux fois. Quand ça fait mal au portefeuille... ça fait mal!
Non
On n'a pas à demander à des pauvres gens de contreparties. Faisons plutôt en sorte qu'ils n'aient pas besoin de solidarité. Aidons-les à s'en sortir au lieu de les enfoncer encore un peu plus.
Il faut que l'intégration soit naturelle. La terre est une seule et même nation. Je ne me sens pas propriétaire du territoire sur lequel je vis. Les frontières n'existent pas. Elles ont été créées par l'homme.
je ne veux surtout pas entendre parler de chiffres, d'objectifs. Affirmer d'un côté qu'il faut développer la libre circulation des biens, de la finance et de l'économie, et de l'autre limiter la libre circulation des populations est une hérésie, une contradiction incroyable.
Le défi est planétaire, parce que les migrations seront de plus en plus importantes et de plus en plus rapides, à cause du climat, entre autres choses (je mets de côté les dictatures). Il faudra bien que ces gens-là trouvent refuge quelque part. Il faudra bien la partager cette planète.
Nous acceptons l'idée de nous installer dans un pays d'Afrique sans contrepartie, et nous devrions, nous, en exiger? Je comprends que s'il y a des millions de gens qui arrivent nous serons confrontés à un réel problème, mais tout le monde sait bien que c'est une légende: ça n'arrivera pas.
Cessez la langue de bois et la mauvaise foi, et nous aurons ainsi fait de sérieux progrès. C'est ce qui exaspère le plus la population. Quand Macron a été élu, tout le monde a dit: "Enfin, plus de baratin de la droite, plus de baratin de la gauche. On va changer avec un parti sans étiquette, neuf et jeune." Résultat: les discours sont strictement les mêmes, voire pires. On ne progresse pas, on régresse. On en parle sur les plateaux de télé comme les autres avant. Bref, rien ne change, rien ne bouge réellement. Ou quand ça bouge, c'est pour taper sur les Français, tous coupables de tous les maux de la terre.
Trop de services et réactivité trop longue. Trop de paperasse et trop de démarches. Trop d'obligations et d'exigences.
Oui
Je ne sais pas si transférer les missions aux collectivités locales, déjà surchargées, est une bonne chose. Mais une démarche de proximité pour tous les services administratifs, groupés dans un seul lieu, faciliterait la vie de tous. Au Canada, un seul service regroupe tout ce qui concerne la création d'entreprise ou ses activités. Pourquoi pas pour les citoyens également?
Oui
La santé. Les médecins ne se déplacent plus ou ne sont plus disponibles. Ils nous envoient trop facilement aux urgences, lesquelles sont encombrées, au risque d'incidents à répétition. Il faut des lieux d'accueil de proximité dans dans un rayon de dix à vingt kilomètres. Il faut penser aux gens qui n'ont pas les moyens de se déplacer, soit physiquement, soit pour des raisons budgétaires (nombre de familles n'ont pas les moyens de posséder une voiture). Il faut donc en parallèle des transports en commun qui déposent les gens devant les cabinets médicaux, ou les hôpitaux.
La prise de rendez-vous rapide, l'échange avec un agent, un médecin, un élu...
Non
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j'ai plutôt un sentiment de dégradation. L'aspect humain s'éloigne de plus en plus du fait des usages informatiques ou téléphoniques. Du coup, l'empathie s'éloigne en même temps, parce qu'on ne se voit plus, parce qu'on ne se regarde plus, parce ce qu'on ne lit plus dans le regard de l'autre la compréhension (ou l'incompréhension).
L'éducation (y impliquer les parents, les rendre acteurs), la santé (on en a déjà parlé) et la justice (trop éloignée des citoyens, trop inaccessible, trop mystérieuse).
Oui
Non
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Oui
Pour éviter la rigidité des décisions qu'il prend, souvent mal comprises, parce qu'elles sont sont nuances. Autrement dit quand on applique bêtement, parce que "nous obéissons aux ordres. Je n'ai pas le choix. J'applique les règles" nous-dit-on souvent. Si un agent peut tenir compte d'une situation particulière, s'adapter au cas par cas, agir en son âme et conscience (un peu comme la justice), nous pourrions éviter des drames sociaux. Bref, privilégions encore une fois l'aspect humain.
Oui
je ne connais pas les programmes d'enseignement, mais je pense que, si ce n'est pas encore le cas, il faut enseigner la psychologie et la pédagogie, deux outils de compréhension indispensables.
Justement, c'est bien la question. On installe d'abord des services là où c'est le plus facile, le plus simple: en centre-ville par exemple. Et puis, ensuite, selon le temps, l'humeur, les moyens, on pense, ou non, ou mollement aux recoins de la région. Il faut faire le contraire. Les gens des villes ont plus de facilité de mobilité, commençons donc par les zones en retrait, les plus inaccessibles, les plus pauvres. Installons-y les services de base les plus indispensables. passons ensuite à la ville.
Les chambres de commerce et des métiers, les associations mêmes, répondent assez bien aux demandes pour ceux qui n'ont pas eu un cursus classique.
La difficulté ici concerne l'orientation. On aide très mal un jeune qui veut s'orienter vers quelque chose qui le passionne. On le décourage facilement, ou on l'oriente facilement vers d'autres filières sans trop lui demander son avis. Parfois parce que c'est là et pas assez ailleurs, ou parce qu'un établissement élitiste filtre à mort. Difficile de réussir ou de s'épanouir dans ces conditions.
Pôle emploi fait ce qu'il peut avec les moyens qu'il a. Mais l'emploi est un leurre. La plupart du temps les annonces sont sans rapport avec la réalité ou ne font que donner la vague impressions qu'il y a du travail à offrir. Quand on ai confronté à la recherche d'emploi, on voit à quel point le parcours est compliqué. J'ai vu des gens faire des centaines de demandes sans résultat. Trop d'exigences des employeurs, des filières qui sont toujours les mêmes, sans rapport avec son métier (restauration, hôtellerie, maçonnerie...) ou des salaires de misères (ce qui explique que certaines filières n'arrivent pas à trouver des salariés). C'est une foire très éloignée de la réalité.
Voilà l'exemple où les démarches sont trop longues et trop compliquées. Une seule caisse pour tout serait déjà un sacré progrès.
Autant la santé se dégrade sur le terrain autant le système de remboursement s'est énormément amélioré et simplifié. Il est aujourd'hui quasiment automatique.
J'ai un voisin de 86 ans qui a perdu une jambe il y a un an. Il habite au septième étage d'un immeuble. Dans le hall, il faut franchir des marches. Impossible pour lui sans aide. Cet immeuble date de 1975. Normes et règlements font qu'il est strictement impossible d'aménager l'entrée. Résultat: le jour où un incendie ravage l'immeuble, cet homme sera sacrifié, parce qu'il sera impossible de l'évacuer (sa femme, à 90 ans, ne pourra pas l'aider). L'indifférence générale deviendra scandale ultra médiatisé, mais quand il sera trop tard (et puis quelques jours suffisent pour penser à autre chose, jusqu'au scandale suivant). Malgré les expériences du passé, je constate qu'on renouvelle malgré tout les même erreurs. L'éternel problème du passage à niveau. Il faut combien de morts pour qu'on agisse? Il est temps de prévoir des solutions pour les handicapés à tous les échelons et il faut surtout qu'elles s'appliquent dans des délais très courts. On n'a pas le droit de jouer avec les vies humaines. Il faut des dérogations pour certains aménagements exceptionnels au non de l'égalité et de la liberté de circuler librement.
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En conclusion, les services publiques doivent s'investir et se donner les moyens d'offrir à chaque citoyen les mêmes chances d'avenir. Outre les moyens financiers et techniques, il faut peut être, en effet, donner plus de pouvoir de décision local, pour gagner du temps et de l'argent (éviter aussi des déplacements), mais aussi parce que localement les décideurs sont plus au fait des problèmes et des besoins. Du coup cette administration là adapterait ses actions en fonction des besoins spécifiques à sa région et non plus avec un regard national. Tout est dans la répartition des moyens. Et puis, l'esprit de solidarité serait peut être plus efficace. Et puis peut être faut-il que les régions les plus riches soutiennent les plus pauvres...
La pollution de l'air
Arrêt pur et simple de la fabrication de moteurs diesel en fixant un délai court (par exemple 1er janvier 2020), et démantèlement progressif des centrales nucléaires d'ici à 2030, comme l'Allemagne a eu le courage de le faire, aide à l'achat de voitures propres, interdiction de tout produit douteux en agriculture.
Oui
Les odeurs des pots d'échappement montent jusqu'à mon balcon. A vélo, aux feux, je m'en prends plein les narines.
Oui
Oui, mais de façon limitée. J'achète des produits bio, des produits de proximité, je prends le moins possible la voiture (une hybride), j'utilise au maximum les transports en commun... Mais que voulez vous que je fasse quand on me vend un paquet de gâteaux avec deux, voire trois emballages. Je ne peux que subir. C'est aux fabricants d'arrêter ce délire.
L'esprit collectif joue un grand rôle. Dans notre immeuble, on a acheté une chaudière neuve, on a installé des baies vitrées double vitrage, on a installé des compteurs de consommation de chauffage pour inciter les gens à faire attention... Mais les investissements ont des limites: celles des moyens financiers de certains habitants. Il faut aider les plus démunis, voire leur permettre l'accès aux économies d'énergie quasiment gratuitement, via la solidarité.
Votre question tend à nous faire comprendre que ce sont les citoyens qui doivent faire des efforts. Mais il faut que l'État et les entreprises montrent l'exemple, ce qui loin d'être le cas. Nous consommons ce qu'on nous vend. la seule solution serait de boycotter les produits polluants ou producteurs de déchets. Mais ça ne marchera pas si l'État ne met pas la pression sur les industriels.
Oui
L'énergie solaire sur le toit de l'immeuble et la végétalisation.
Oui
J'ai déjà répondu à cette question plus haut: vélo, marche et transports en commun. Ma voiture est une hybride, en attendant mieux côté autonomie électrique.
Les transports en commun|Le covoiturage|Le vélo
Je ne vois pas ce que je peux répondre à cette question.
Montrer l'exemple. Et quand l'Europe verra ce qu'on fait, peut être suivra-t-elle. Et quand l'Europe aura montré l'exemple, peut-être le reste du monde réagira-t-il.
Taxer un automobiliste, c'est absurde, parce ce n'est pas lui qui a fabriqué la voiture. Idem pour un paquet de biscuit sur emballé. Bref, ce n'est pas le consommateur qu'il faut taxer, mais celui qui produit des pesticides, des sur emballages, brefs les fabricants qui ne font pas d'efforts.
Votre message a bien été envoyé.