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1- Je ne crois qu’on ne puisse faire autre chose que retoucher encore le système actuel, basé pour une grosse part sur la TVA et l’impôt sur le revenu (pour 47 % des contribuables). 2- Le système idéal aurait été : Un impôt sur le revenu pour tous, calculé avec 2 coefficients applicables l’un aux revenus, l’autre à la fortune. Les coefficients augmenteraient selon un barème croissant avec l’augmentation des revenus et de la fortune, sans devenir spoliateurs. La suppression de tous les impôts directs actuels yc la CSG. La baisse générale des taux de TVA beaucoup trop élevés (qui favoriserait la consommation) Ce serait plus simple, plus juste et compréhensif par tous. 3- Globalement, il faudrait réduire l’imposition quel que soit le système.
- La TVA et la CSG - L’impôt des sociétés.
Reculer l'âge de la retraite/Proposer à des retraités volontaires de la commune des travaux bénévoles d’intérêt général.
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L'éducation. La jeunesse doit trouver sa place dans la société.
Il y a beaucoup à faire (Education, Aide à l’économie, Sécurité, Transports, ..) mais en économisant sur les dépenses.
1- Il faut songer à rembourser la dette qui est préoccupante. 2- Désépaissir le « mille-feuille » administratif et aller vers une véritable décentralisation. Les responsabilités s’entremêlent avec des subventions à la clé. Le but serait de diminuer les dépenses publiques avec moins de fonctionnaires dans la « boucle ». 3- Beaucoup de personnes demandent des solutions à l’Etat, qui ne relèvent pas de la solidarité nationale. Comment faisait-on quand il n’y avait la sécurité sociale ? Il y a des lois pour la solidarité enfants-parents. Il faudrait les revoir pour élargir cette obligation de solidarité (par ex aux frères et sœurs). La solidarité doit d’abord provenir des proches. Ce n’est pas normal qu’une famille ignore une mère célibataire ou un très proche avec une trop petite retraite. Beaucoup de parents aident déjà leurs enfants longtemps après leur majorité. Des enfants aident aussi leurs vieux parents. C’est à l’Etat d’agir pour activer la solidarité familiale. 4- L’idéologie islamique, c’est aussi « saigner » financièrement les Démocraties. Avec l’interprétation que l’on a de l’État de droit, elle va encore couter très cher. Le nombre de détenus et les attentats vont augmenter les prochaines années. Les comptes complets (morts, blessés, justice, forces de police, surveillance à l’extérieur, dégâts mobiliers et immobiliers, dé-radicalisation) de cette idéologie en 2018, comparés à ceux de 2008 et 1998 sont évidemment « explosés » pour l’État. N’est-il pas temps d’emprisonner les personnes convaincues de radicalité dans un centre comme celui de Guantanamo avec des moyens informatiques pour éviter tout contact avec les détenus beaucoup moins couteux, avec la conformité juridique et les oublier? Prison illimitée, pas de visite, procès uniquement si les familles paient d’avance les coûts complets (pas seulement de justice). La radicalité est un choix. Ce n’est pas aux contribuables de payer. Il faudra adapter les lois de la République en conséquence. 5- Il faudrait mieux lutter contre la casse des biens publics, relatives aux incivilités (mobilier urbain abimé, tags, voitures brulées et autres dégradations) en demandant l’aide de la population à la radio ou par affichage dans les communes et plus de caméras. Il y a des gens qui savent. La police n’y arrivera jamais seule. 6- Il faudrait baisser l’impôt de succession entre frères et sœurs. Le taux de 45% et l’abattement associé sont une véritable spoliation quand on n’a pas d’enfants.
Au député.
Non
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Recevoir du député une fois par an par émail un compte rendu succinct de ses activités au Parlement et un questionnaire pour demander notre position sur tel ou tel sujet à venir. L'élu doit cependant rester libre dans l'exercice de son mandat.
Une mauvaise chose
Ce qu'il fallait limiter, c'était les rémunérations des différents mandats. Par ex, un député-maire ne devrait n'avoir que la rémunération de député. S'il est aussi élu président de région. Alors, il ne devrait avoir que la rémunération de président de région s'il peut faire les 3. Ce système permettrait d'avoir des élus au Parlement et présents dans la commune, préférable à des élus au Parlement sans mandat local. Ce système limiterait les abus.
1- Changer la manière de constituer le gouvernement et institutionnaliser le principe de la coalition dans l’attribution des ministères. Hors quelques postes dont ceux de 1er ministre et de ministre de l'économie, il faudrait une règle pour attribuer des ministères dans toute la représentation nationale et dans la société civile. Le Président et les ministres seraient hors Parti temporairement, le temps de leur fonction dans l'exécutif, et pourraient y retourner lorsqu'ils quittent l'exécutif. Ce système permettrait d'avoir en permanence des ministres de sensibilités différentes dans l'exécutif, permettant des discussions internes plus riches, un consensus meilleur sur les décisions du gouvernement et une continuité des politiques publiques. 2- Une dose de proportionnalité en veillant à ne pas revenir à l'instabilité de la 4ème République. Le Président doit pouvoir mener la politique pour laquelle il a été élu jusqu'à la fin de son mandat sans être contraint à des changements fréquents de gouvernement
Oui
Non, pour les élus locaux bénévoles (le plus grand nombre). Oui, pour les députés et sénateurs. Je ne sais pas combien. Le nombre de 925 parlementaires me parait trop important pour 67 millions d'habitants.
Les hommes (et femmes) politiques en permanence, alignés sur leur parti et avec des phrases en trompe l’œil, décrédibilisent la politique. Tous gagneraient beaucoup à un comportement plus constructif. Si les hommes politiques opposés étaient plus fréquemment d'accord sur des mesures, les citoyens reprendraient goût avec la politique.
Non
Nulle part on voit un élu, élu avec moins de 50%. Il serait décrédibilisé. En revanche, un vote blanc important devrait inciter à une coalition, l'opposition s'engageant à contribuer à la politique du Président (et à son succès).
Je suis très réservé sur la mise en place du RIC au niveau national Le plus souvent, il répondra à des mouvements d’opinion et le résultat sera manipulé par des fortes personnalités, des lobbys ou des médias. Je pense qu’il serait utile pour une Démocratie de permettre à des citoyens (nombre à définir) de s’exprimer, pas forcément par un vote, mais par l’organisation officielle de débats ouverts à tous, sur des sujets particuliers. Les conclusions seraient alors remises au Parlement qui devrait apporter une réponse adaptée selon l’ampleur du nombre de signataires.
Oui
En abaissant les seuils à partir duquel il peut être demandé. Les questions devront être simples et accompagnées d’une brochure de peu de pages pour informer de la position du gouvernement et de tous les différents partis politiques représentés au Parlement. Il reviendra au gouvernement de mettre en œuvre le choix des citoyens. Les questions impliquant l’étude d’un dossier trop complexe doivent être exclues du référendum.
Accompagner les rapports officiels sur les comptes de la Nation, d’annexes ciblées sur l’évolution significative de certaines dépenses sur une durée de 10 ou 20 ans, choisies pour leur pertinence à expliquer l’évolution des dépenses publiques dans un sens ou l’autre.
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Oui
Au Conseil économique, social et environnemental, il n'y a pas d'élus. Je ne sais pas à quoi il sert. Il y a des noms qui, dans le passé, m'avaient étonné. Peut-être peut-on se réorganiser sans lui ?
Les principes de laïcité sont mis à mal depuis la forte immigration de la dernière décennie. Les migrants proviennent, pour le plus grand nombre, de pays où l’Islam s’impose. Dans ces conditions, l’Islam essaie de s’imposer aussi dans notre pays. Or, l’Islam n’est pas une religion comme les autres de la loi de 1905. Pour mémoire, beaucoup de pays ont été conquis au 8/9ème siècle par des armées arabes. Les peuples n'ont eu d'autres choix que de se convertir à l'Islam et d'adopter la langue arabe, permettant ainsi de fédérer des peuples différents. Ceux, qui ne se sont pas convertis, ont fui. D’autres sont restés à leurs risques et périls (aujourd’hui au Moyen Orient et en Égypte). L’Islam est aussi un régime politique avec ses lois et son mode de fonctionnement propre. Aucun pays n’est vraiment parvenu à revenir en arrière. Aujourd’hui, la Turquie qui a imposé la laïcité, la traduction du Coran en langue turque, est en train de faire un retour en arrière à un État non laïc. En faisant une place à cette religion, elle s’imposera dans 2 ou 3 générations. Les français devront alors abandonner la laïcité, la langue française, se convertir ou quitter le pays comme partout où elle s’est installée. C’est ce qui est arrivé, il y a 60 ans, aux français d’Algérie.
Il faut faire respecter la laïcité en agissant partout en France métropolitaine et ultra-marine. La police doit se réapproprier tous les quartiers et villes où l’insécurité conduit des familles à déménager. On ne parle même plus français dans certains lieux publics. Les jeunes doivent réapprendre à l’école les lois fondamentales de la République, et le respect de toutes les religions. Les entreprises doivent être condamnées lorsqu’elles promeuvent l’idéologie islamique pour commercer plus (certains vêtements ne sont pas seulement des signes religieux, mais aussi politique). L’Etat doit sanctionner tous les délits et incivilités, voire expulser si les responsables sont d’étrangers, avec l’aide de tous les citoyens si besoin.
Rendre aux enfants la fierté d’être français. Cesser la repentance permanente à la TV (Il ne faut pas s’étonner que des français d’origine étrangère, prennent les armes contre la France) Revaloriser le rôle civilisateur de la France dans le Monde à l’école et dans les médias. Ne pas avoir honte de rappeler tout ce que la France a apporté à différents pays et la responsabilité des dirigeants qui ont mis leur pays et leurs peuples dans la misère après leur Indépendance, en particulier les pays d’émigration. Revaloriser la culture française qui sait intégrer d’autres cultures, et cessons de vanter une société multiculturelle qui n’a rien de multiculturelle.
On va vers un Monde plus dur. On ne peut pas demander à la police de se substituer à tous. Faire de la publicité à la TV et à l'affichage sur les murs des rues pour promouvoir le comportement citoyen de tous, et le devoir de chacun de dénoncer les incivilités aux autorités. Profiter du nouveau service prévu pour notre jeunesse pour lui apprendre un comportement plus citoyen, protecteur des personnes et des biens
Réapprendre à l’école le respect d'autrui, à ne pas gaspiller, à ne pas casser, à ne pas harceler dans la rue ou par internet. Agir sévèrement auprès des parents lorsque des enfants sont responsables d’incivilités.
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1- La casse des biens publics et l’insécurité qui conduit aux départs de familles de certains quartiers. Il faudrait sensibiliser les jeunes (à l'école) et les adultes à un comportement citoyen, remettre de la police là où la sécurité fait défaut. Il faut demander la collaboration des citoyens là où se produisent fréquemment des incivilités. 2- Une autre manière de lutter serait de faire ressortir dans les comptes des communes et au niveau de l’État, le coût des incivilités de l'année, en indiquant aussi les remboursements d'assurances. Les voitures brulées, le mobilier urbain, les saccages de magasin, etc. sont une spécificité française. Ce n'est pas une fatalité. Les français doivent savoir combien coute cette spécificité.
La police est submergée par la petite et grande délinquance. La Justice est aussi dépassée. Les sanctions et peines de prison sont minimums et ne sont plus de nature à effrayer les délinquants. La délinquance progresse chaque année. 1- Il faudrait définir des moyens (éducatifs, policiers, judiciaires) à déployer et faire un affichage sur les murs des villes pour rappeler les comportements civiques de chacun et en particulier le devoir de dénoncer les incivilités aux autorités. 2- Il faudrait lutter contre le communautarisme source, parmi d’autres, de délinquances dès le plus jeune âge. L’Etat doit réinvestir les quartiers difficiles, réaffirmer l’ordre républicain, reconsidérer la vie dans ces quartiers avec des écoles, des magasins, des associations, des activités pour les jeunes, des transports publics et la police.
Chacun devrait avoir un comportement plus citoyen, à savoir assurer une surveillance et dénoncer les responsables d'incivilités s’il les connait. C’est aux parents de dénoncer leurs enfants coupables d’incivilités. C’est pédagogique. On pourrait demander à des retraités volontaires et (totalement) bénévoles d’assurer une présence dans des rues avec mission de dénoncer les responsables d’incivilités quand ils en sont témoins.
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C'est à l'école, au collège et au lycée et à la maison que tout se joue. Il ne faut pas hésiter à mettre en cause la famille lorsqu’un jeune commet une incivilité ou un délit. Il faudra une génération pour voir des résultats. Il faut sanctionner.
Oui
Les maires se plaignent de la suppression d’emplois aidés. Les personnes bénéficiant de ces aides pourraient temporairement prendre ces postes libérés (à temps plein ou à temps partiel) dans la mesure où ils ont les compétences pour assurer ces emplois. Ce serait meilleur pour la santé des personnes aidées, souvent esseulées. Ce serait aussi une économie sur les budgets des communes.
L’immigration est une honte pour l’humanité et surtout pas une chance pour les migrants. Une honte pour l’ONU qui ne fait rien pour condamner les pays d’où proviennent ces flux migratoires et pour stopper cette catastrophe La politique d’immigration actuelle devrait principalement s’orienter vers l’aide aux pays d’émigration, à ne pas dépasser le taux de natalité de 2, à la formation des jeunes qui peuvent contribuer au développement de leur pays, investir (avec contrôle) dans ces pays (comme le fait la Chine), aider les migrants arrivés soit à s’intégrer, soit à retourner pour se réinstaller dans leur pays. En 40 années, les pays asiatiques dont la Chine (qui a limité la croissance de sa population) ont réussi une formidable expansion économique qui a permis une forte élévation du niveau de vie moyen de leur population. Ce qu’ont fait ces pays, les pays d’émigration d’Afrique auraient dû le faire. La France doit adapter sa politique, mais aussi les pays européens et l’ONU. Pour mémoire, lors des précédentes immigrations 2/3 des italiens sont repartis en Italie et 42 % des Polonais en Pologne. Le développement du numérique va accentuer les problèmes d’emploi en France. Le flux migratoire va aggraver la situation. Faute de changement de politique, la France, l’Europe, les pays d’émigration, la Planète vont vers une catastrophe humanitaire plus grande.
Oui, l’objectif devrait être 0 migrant. C’est un nombre théorique respectueux de la vie humaine. Il faudrait intégrer les migrants qui remplissent les conditions de succès à l’intégration, négocier avec les pays concernés pour le retour de ceux difficiles à intégrer et ne laisser aucun migrant hors ces 2 possibilités. La France devrait travailler avec ces pays et investir (avec contrôle) pour le développement de ces pays. Ce serait aussi une source d’emploi pour des français.
La France, l’Europe et l'ONU devraient agir auprès des pays d’émigration dont le taux de natalité dépasse le taux de 2.
Parler la langue française pour être employable et pouvoir s’intégrer en France. Ne pas accorder la nationalité française à des personnes qui ne maitrisent pas la langue française, et jamais avant 10 ans de présence en France. Faire des enquêtes avant d’accorder la nationalité française comme ça se fait pour certaine habilitation. Éduquer les enfants des migrants en leur faisant aimer la France à travers l’histoire de France et son apport à la civilisation. Faire traduire le Coran en français et imposer le dépôt préalable de tous les prêches en préfecture. Fermer les lieux de culte qui prônent la haine et la violence et les écoles coraniques dont le but est de préserver le lien culturel avec le pays d’origine. Contrôler les centres culturels étrangers dont le but est d’assujettir les migrants à leur culture d'origine, en opposition avec les actions d’intégration et voir s’il y a lieu de les fermer.
1- Le droit de manifester m’interroge quand il s’oppose au droit de circuler et de commercer et quand il occasionne au pays, des surcoûts en termes de dégâts et forces de police mobilisées. La République est en danger. 2- Le droit de manifester est légitime pour porter une revendication. Je m’interroge quand il s’agit d’établir un rapport de force, en particulier quand il s’exerce de manière répétée. Dans ce cas, la Démocratie est en danger.
Les dérèglements climatiques (crue, sécheresse)
Limiter la pollution de l'air, faute de la stopper, Préserver la biodiversité et sauver les espèces en danger.
Oui
Les périodes de sécheresse se répètent chaque année, avec des températures élevées qu'on ne voyait pas il y a 15/20 ans.
Oui
Tri des déchets/limitation de la vitesse à 120 km/h sur autoroute, à 80 km/h sur route/ baisse de la température de la maison de 1°/
- Pour le chauffage électrique, une expertise si elle conclut qu'il est possible de moins dépenser avec quelques travaux, - Pour les petits déplacements quotidiens, ce n'est pas possible, habitant un village à la campagne.
- Pour le chauffage électrique, je ne sais pas, - Pour les petits trajets quotidiens, il n'y a pas de solutions simples
Non
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Non
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Les transports en commun
La Région ou le département.
La population mondiale croit fortement (+ 30% de 2018 à 2050 selon la prévision de l'ONU), principalement dans des pays défavorisés sur les plans économique et climatique. Tôt ou tard, la communauté internationale devra freiner cette croissance qui a des conséquences dramatiques (eau, alimentation, besoin de ressources naturelles, énergie, pollution de tout ordre) auxquelles s'ajoutent plus de pauvreté et plus de migrations. Si la croissance de la population mondiale pouvait être stoppée, ce serait meilleur pour la Planète et la transition écologique. Comme pour la dette et le problème écologique, faut-il aussi laisser aux générations suivantes le problème de la croissance de la population ? Le vieillissement de la population est le véritable problème à gérer dans les pays en dessous du taux de renouvellement de la population.
- Réduire le volume de publicité papier dans les boites aux lettres. - Remplacer les sachets en plastique en libre-service dans les supermarchés par des sachets en papier.
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