Il faut informer les français sur les dépenses effectuées avec nos impôts. Mais aussi informer sur la façon dont sont prélevés les impôts, que les français prennent conscience que celui qui gagne plus paie plus, cela casserait peut-être l'image du méchant riche...
Avec le système de tranches, on a déjà un impôt sur le revenu juste car on peut enlever plus à celui qui a plus. En revanche, l'impôt sur les entreprises n'est pas juste, car c'est l'inverse : ceux qui génèrent beaucoup d'argent paient bien moins que les petites sociétés. Les PME devraient être taxées en fonction de l'utilisation du chiffre d'affaire : décote pour celui qui embauche ou qui forme. Au contraire, les grands groupes devraient être davantage taxés s'ils donnent la priorité aux actionnaires car de nos jours beaucoup d'entreprises préfèrent enrichir leurs actionnaires au lieu d'investir dans l'entreprise. Pour créer des emplois, c'est l'investissement qui est le plus important, et c'est qu'il faudrait encourager fiscalement. Il s'agit au final de récompenser les entreprises qui permettent d'alléger les charges de l'Etat.
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Il faut revoir la façon de fonctionner : on n'a pas de sous pour faire une prévention efficace, alors on paye beaucoup plus cher les conséquences de l'absence de prévention
Il faut revoir la gratuité des aides sociales, car c'est créer de l'assistanat : chaque droit doit donner lieu à un devoir, même petit. Il ne faut pas oublier qu'il y a une valorisation personnelle à être jugé capable de faire, il n'y a pas que l'argent qui aide, mais aussi le regard positif de la société
Dans la prévention : par exemple 1/4 des SDF viennent de l'ASE. Conclusion : en n'investissant pas suffisamment dans l'ASE, on se retrouve à devoir aider 1/4 des SDF pendant toute leur vie... Dans les investissements valables : par exemple : louer un appartement HLM coûte 10x moins cher que de mettre des familles dans des hôtels. En ce sens Solibail est déjà un bon début, à renforcer J'ai l'impression qu'en France, beaucoup de protection sociale revient à du colmatage de brèche au lieu d'avoir un système réellement efficace (car économe et permettant aux personnes de s'affranchir des protections sociales)
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Il faut que chaque pôle de dépense revienne à ce pourquoi il a été créé : - la sécurité sociale est là pour couvrir les dépenses liées aux maladies, et rien d'autre - les frais de fonctionnement doivent être vraiment utiles pour le fonctionnement Et reprendre les choses à l'envers : partir du terrain, du budget vraiment nécessaire aux actions les plus concrètes et couper en haut, dans ce qui est administratif et abstrait
En personne, car les députés que nous élisons ne sont pas libres de s'exprimer comme ils le souhaitent, ils sont soumis à la pression de leur groupe parlementaire...
Non
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Faire en sorte que les élus représentent réellement les citoyens électeurs et non le parti politique auquel ils appartiennent. Autoriser les députés à organiser une consultation dans leur circonscription afin de connaître la position de leurs électeurs sur certaines lois et les voter en conséquence. Obliger les élus à garder un lien fort avec la population Obliger les élus à siéger effectivement dans les assemblées pour lesquelles ils sont élus (afin que les citoyens constatent que leurs représentants travaillent) Et pour cela, repenser peut-être l'aménagement de l'emploi du temps des élus
Une bonne chose
Car on ne peut pas avoir 2 mandats et les mener à bien de façon correcte.
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La non participation des citoyens aux élections montre que les Français n'ont pas le sentiment que leur vote puisse avoir un impact quelconque sur leur vie. Il faut rehausser le débat, sortir des querelles d'écoliers (t'es pas de mon parti alors je t'aime pas et tout ce que tu dis est nul) car c'est vraiment fatigant, et que les Français sentent que les élus s'investissent pour la France et non pour leur ambition personnelle ou celle de leur parti.
Oui
Le vote blanc ne peut être gagnant d'une élection, il faut que cela reste sur la majorité des voix ayant voté pour quelqu'un d'effectif, mais il faut que le vote blanc soit pris en compte afin que les politiques comprennent la défiance qu'il peut y avoir vis-à-vis d'eux, et qu'ils sachent si le soutien populaire est faible et qu'ils puissent agir en conséquence.
En permettant aux élus d'interroger localement leurs électeurs. En permettant aux citoyens volontaires d'être tirés au sort afin de faire partie d'une commission de contrôle (si les commissions de contrôle sont nommés par l'Etat, on est en droit de se poser la question sur l'autonomie du contrôle)
Oui
Baisser le nombre de parlementaires qui peuvent être à l'initiative du réferendum (un groupe parlementaire, quel que soit sa taille, devrait avoir la possibilité de déclencher le RIP. Les sujets sur lesquels le RIP peut s'appliquer doivent être élargis.
Il faudrait que ce soit un groupe de citoyen qui approuve le budget du parlement. Il n'est pas normal qu'un groupe vote son propre budget et son application... les seuls moments où tous les députés sont d'accord lors des votes, c'est lorsqu'ils votent leur propre augmentation...
Je pense que les assemblées ont été créées pour représenter pleinement les territoires et la société civile, mais leur utilisation a été détournée au profit des partis, des copinages et des ambitions personnelles. Il suffit de revenir à la base de ce qui était pensé.
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L'éducation pour ceux qui sont nés français. Encourager le mélange social, par le service civique, ou d'autres actions, la rencontre de l'autre est la seule façon de lutter contre la ghettoïsation La vérification du respect et de la compréhension de ces principes pour ceux qui veulent être naturalisés.
Favoriser une meilleure compréhension du fonctionnement de notre société Mettre l'action sur l'éducation et la prévention Faire en sorte que la population "s'approprie" le lieu où elle vit : on respecte, si on considère que cela a de la valeur, et qu'on sait que cela nous a coûté un effort (par les impôts, ou un autre engagement) : rendre localement les gens acteurs de leur environnement (associer à cela l'école, les associations de quartier ou autre etc. ne surtout pas oublier d'impliquer les jeunes)
Le respect (de l'autre, dans sa personne physique, de son opinion mais aussi matériellement, des institutions et des personnes qui les représentent, ainsi que de ce qui les représente) Si on arrive à avoir un vrai respect de l'autre, on aura déjà bouleversé le fonctionnement de notre société, qui est remplie de haine et de mépris.
Par l'éducation, dès le plus jeune âge : apprendre à mettre des mots sur les émotions (celles que je ressens, et celles que l'autre ressent), apprendre que chaque acte, chaque parole a une conséquence, apprendre à réfléchir avant d'agir. Et pour ceux qu'on ne peut plus éduquer, car déjà trop âgés, baisser le nombre de sanctions pécuniaires et augmenter les TIG en rapport avec l'infraction commise, afin d'ouvrir les regards vers l'autre et le tort qui a pu être fait. Mettre en place des actions civiques ponctuelles au niveau local, des actions réalisées dans une ambiance festive et qui permettent également de créer du lien social
Je ne pense pas qu'il faille mettre en place des systèmes de récompense... il faut juste que la personne en face prenne acte de l'engagement citoyen par un sourire ou un merci. Revenir à l'élémentaire des relations humaines...
Les incivilités les plus pénibles sont celles qui montrent un manque de respect. Il faut éduquer...
On ne peut pas mettre un gendarme derrière chaque personne... Il faut que l'Etat responsabilise au lieu d'infantiliser la population La seule chose qu'on peut demander aux pouvoirs publics, c'est d'avoir un comportement irréprochable, afin de montrer l'exemple. Et ce n'est malheureusement pas toujours le cas.
Même chose, il faut faire comprendre que chacun est responsable de son comportement, au lieu d'aller regarder et pointer du doigt les incivilités des autres. Si chacun s'occupait de soi et de sa propre civilité, cela enlèverait déjà pas mal de commentaires négatifs et incivils. On en revient à l'éducation, la prévention, et la prise en considération que je ne suis pas responsable de l'incivilité de l'autre, mais de la réponse que je donne, qui peut être civile ou incivile (et dans ce cas, j'ai autant tort que l'autre!)
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Oui
Une implication citoyenne, la vérification que tout est mis en oeuvre dans le cadre de l'allocation donnée (pour l'allocation familiale, obligation de suivre les préconisations du médecin ou de l'école en terme de suivi au CMP/CMPP etc., pour le RSA, implication dans une association, une formation etc.). Il n'y a aucune raison que l'Etat donne de l'argent gratuitement.
Ce n'est pas l'immigration en tant que tel qui est problématique en France, c'est l'absence d'intégration de ces immigrants, dès qu'ils arrivent sur le sol français (car à ce moment là, ils sont en règle générale pleins de bonne volonté pour s'intégrer, contrairement à ceux qui sont là depuis des années et déjà blasés) L'autorisation à rester en France doit être fondée à la fois sur la situation de la personne et des ressources mise en oeuvre pour s'intégrer en France (apprentissage du français, du système institutionnel, des principes fondateurs tels les droits de l'homme, la laïcité etc., recherche d'emploi ou de formation)
Les objectifs ne doivent pas être quantitatifs mais qualitatifs : est-ce que nous accueillons bien ceux qui vont rester en France ? Lorsqu'on voit que ce sont les 2ème ou 3ème générations qui nous posent le plus de problème d'intégration, on peut se poser de sérieuses questions sur notre capacité à accueillir et assimiler correctement !
Mettre l'accent sur le rôle de l'école (de la primaire à l'université car nous accueillons surtout des adultes), sur le rôle des municipalités qui intègrent localement ces personnes (penser à mettre en place des partenariats entre communes, afin par exemple de proposer des colonies de vacances avec une forte mixité sociale). Ce n'est pas au niveau de l'Etat que l'immigration doit être pensée, mais au niveau des territoires, en lien avec les associations, là où se trouvent les personnes.
L'intégration ne peut avoir lieu que lorsqu'il y a 2 parties : les personnes à intégrer, bien sûr, mais aussi des personnes qui intègrent. Rendre les Français acteurs de l'intégration.
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Très pyramidale, pas assez de souplesse. Il faut que l'Etat et les administrations s'adaptent aux territoires. On ne peut pas administrer de la même manière une métropole comme la Région Parisienne, ou Lyon qu'un département rural comme la Creuse ou la Lozère... et pourtant les administrations ne sont pas conçues comme ça.
Oui
Tout ce qui régit la vie directe de la population doit être pensé au niveau local.
Non
La formation pour adulte n'est pas présente dans mon territoire, il faut aller dans une grande ville pour pouvoir se former. La santé n'est actuellement pas bien prise en charge, notre territoire devient un désert médical
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Non
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Il me semble aucun
Tous, mais pas forcément quantitativement, il y a aussi un problème qualitatif, dû à la complexité et la lourdeur administrative
Non
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Par exemple, pour l'attestation de domicile : les factures étant au nom de mon mari, je dois constamment lui demander une attestation d'hébergement...
Oui
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Oui
Faire le tri entre les formations utiles et inutiles : ne pas former de la même manière un fonctionnaire qui change d'échelon, et a déjà une connaissance du métier, qu'un fonctionnaire nouvellement nommé. En France tout doit rentrer dans la même case, alors que ce n'est pas forcément correct... il peut y avoir des cases différentes. On en revient au même point : souplesse et adaptation...
Avoir une oreille plus attentive pour ces territoires en difficulté, prendre en compte les forces et les faiblesses pour donner une réponse adaptée, ne pas chercher à cocher une liste pour voir si le territoire a le droit à une aide ou non.
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Ils sont tous importants car corrélés
Les dérèglements climatiques : arrêter de modifier la nature : couper le sommet d'une colline a un impact sur l'évolution des nuages (cf route construite du côté de Saverne) La nature étant un équilibre fragile, le moindre relief ayant de l'importance, il faut remettre des digues, des arbres autour des champs (par exemple), ce sont des remparts naturels aux crues. De même, il y a une érosion du littoral qui est naturelle, et parfois elle est accélérée par notre action sur les digues présentes et la flore qui permet à la digue de tenir. Pour toute extension de ville, tout nouveau quartier construit, il devrait y avoir une réflexion sur la place de la biodiversité, et l'obligation de créer une "réserve" dans laquelle les animaux pourraient continuer à vivre (par exemple avec une "coulée verte". Ceci permettrait également de recréer le lien entre les humains et la nature.
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Je ne suis pas en mesure de dire qu'est-ce qui est dû au changement climatique dû à nos activités et qu'est-ce qui est dû à la variation climatique naturelle (de tout temps il y a eu des années de sécheresses, des années de grand froid etc.)
Oui
- Rentabiliser mes déplacements - Limiter la température intérieure de la maison - Consommer local (circuits courts) - Eviter les matières plastiques (prendre des bouteilles en verre consignées)
A part pour descendre dans le village (et je ne prends pas ma voiture pour ça), toutes les distances à parcourir sont égales ou supérieures à 15 km... et il n'y a pas de transport en commun, hormis le ramassage scolaire. Je ne peux donc me passer de ma voiture.
Il n'y a pas que le côté financier, il y a également le côté pratique : même si le car de ramassage scolaire devient gratuit, je ne l'emprunterai pas pour aller faire mes courses en ville... question de place pour les courses dans le car et d'horaire de passage.
Oui
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Non
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Le covoiturage et l'auto partage doit être organisé entre particuliers, éventuellement à l'aide d'associations, des entreprises ou de plateformes numériques. Les transports en commun relèvent de l'organisation du territoire (intercommunalité, département, voire région), mais il faut être certain qu'ils seront utilisés : faire tourner des bus à vide aurait un impact écologique trop important
Il faudrait déjà que la France commence par faire appliquer ses choix en France, à chaque pays de trouver les choix cohérents avec son environnement. Si les choix de la France sont efficaces et peu coûteux, ils seront naturellement observés.
Il faut inciter les industriels à bannir le suremballage. Cela a été fait en Suisse il y a maintenant plus de 20 ans, avec autorisation des consommateurs à laisser les suremballages dans les magasins : - Les céréales sont toutes dans un sac en plastique au lieu de carton + plastique comme certaines marques le proposent aussi en France - Les yaourts sont vendus à l'unité ou par petites plaques (donc aussi moins de gaspillage alimentaire), pas de carton autour - les bouteilles sont vendues à l'unité (pas de plastique pour les mettre par lot de 6) etc.
Votre message a bien été envoyé.