Transparence des impôts de tous, comme en Norvège, cela éviterait bien des écarts indécents Information annuelle sur la répartition de devenir de l'argent collecté par grand thème ( santé, éducation, retraite, défense...)
La France n'est pas pauvre, il faudrait déjà aller chercher l'argent là où il existe (l'optimisation fiscale, les paradis fiscaux n'existent que pour ceux qui ont de l'argent..., la différence d'imposition grandes entreprises/PME) sinon ce sont toujours ceux qui ne sont pas assez riches pour être respectés et ou pas assez pauvres pour ne pas être tondus qui sont pressurisés. Et si un cadeau type suppression de l'ISF est fait, au moins demander une contrepartie évaluable en investissement dans les entreprises... Revoir les tranches d'imposition.
CSG: la même chose pour tous, cesser de l'augmenter sans cesse, sur une année, c'est une somme d'impôts en fait très importante Impôt sur le revenu pour les classes moyennes qui payent pour tous TVA sur produits de première nécessité Ne pas supprimer la taxe d'habitation pour certains... quand d'autres voient la leur augmenter, fiscalité sur le logement à redéfinir dans son ensemble
Revoir les conditions d'attribution de certaines aides sociales|certaines mutuelles proposent déjà dans leur contrat un volet dépendance
Certaines ( CAF) peuvent être modulées selon les revenus, voire imposées. Il n'est pas normal de mieux vivre avec les allocations qu'avec de petits salaires, et de ne pas participer à ce qui les rend possible Implication dans des tâches d'intérêt général, ou comme stagiaire, pour les personnes au RSA, cela permet aussi de reprendre pied, d'avoir des liens sociaux Aides au logement, certains logements sociaux ont des bénéficiaires depuis des années qui ne relèvent pas de ce cadre dans de nombreuse grandes villes. A envisager dans une régulation plus globale des loyers devenus fous dans les grandes métropoles Simplifier le nombre d'aides possibles rendrait l'aide et les attributions plus lisibles
Santé, retraite et modalités d'accompagnement des personnes âgées
Eventuellement, ce qui concerne la prise en compte de l'écologie, en dernier recours, car ce sont avant tout des choix politiques qui peuvent faire infléchir les choix des entreprises, de l'agroalimentaire ... il ne faut pas se tromper de cible Ce sont peut-être les industriels, les transporteurs sans aucune conscience écologique qu'il conviendrait de taxer avant le citoyen lambda, sans doute en les accompagnant dans la transition nécessaire
Les dépenses du train de vie de l'état et de ses représentants: supprimer ce qui relève de privilèges. Leur "recyclage" sans souci entre deux fonctions dans des structures étatiques ( le conseil d'état p.ex) peu utiles; leur retour à la vie professionnelle civile serait un bon élément de réalité pour eux; Ne pas, à travers la politique fiscale, monter les générations les unes contre les autres, la façon dont une société traite ses aînés témoigne de sa civilité Dans le contexte actuel, ils contribuent souvent à aider et les jeunes et les anciens, et eux mêmes ont payé leur cote-part en leur temps
les élus de proximité
Oui
Les syndicats, en particulier, ont une fonction de tiers. ils sont en capacité de faire remonter les idées, les soucis de la base et de travailler pour aboutir à des solutions acceptables. Les associations reflètent plus les courants qui traversent la société, ce qui en est aussi la limite, ce peut-être parfois à la limite du lobbying.
Qu'ils nous représentent vraiment, plus d'écoute et d'attention aux idées, quel que soit l'horizon d'où elles viennent, personne n'a le monopole des bonnes idées. Pour ensuite, de par leur fonction, aider à les intégrer dans un projet qui, nécessairement, aura un axe puisque pour un pays. Qu'ils connaissent le terrain de leur lieu d'exercice. Moins de déconnexion par rapport à la vie réelle.
Une bonne chose
On ne peut être partout, au risque de ne pas faire grand chose, et trop de pouvoir en une seule main est source d'abus de pouvoir
une part de proportionnelle sur les sujets importants, regrouper dans des groupes de travail, des représentants de toutes les sensibilités
Non
None
Les concitoyens ne participent que peu, car ils ont le sentiment d'être peu pris en considération. Au niveau local, ou régional, il serait assez simple de consulter les gens pour des décisions très tangibles qui concernent tout le monde dans leur quotidien. Cela habituerait à s'impliquer avec le sentiment que leur avis est pris en compte et à en mesurer les effets. Donc à accepter aussi parfois des contraintes pour un objectif qu'ils auraient contribué à définir
Oui
Le compter, et s'il dépasse un certain %, ce qui a un sens, trouver une manière de reconsidérer les résultats, voire de revoter
Des référendums au niveau local, sur des points concrets, dont le résultat aura des effets dans la vie de tous les jours. Trouver une manière, avec une certaine régularité, d'inviter à exprimer les questionnements, insatisfactions, à donner son avis sur des situations concrètes, de faire part de ses idées sur tel ou tel sujet, puis de prendre en compte ces éléments dans les propositions politiques, soumises ensuite au vote. Quand cela est possible, associer les concitoyens, s'ils le souhaitent, ou en fonction de leur savoir faire, à la réalisation de telle ou telle initiative. Evaluation de la réalisation des projets par les citoyens.
Je ne sais pas
None
Etre déjà précisément informé sur où va l'argent, pourquoi, à quelle hauteur par rapport à un budget global, quelle réévaluation éventuelle et pourquoi. Quand il s'agit d'argent public, rendre des comptes marche dans les deux sens.
Elles doivent être des courroies de transmission entre les concitoyens et l'exécutif, et ils doivent faire vivre, dans leurs débats en assemblée, une dimensions dialectique qui reflète la diversité de la société qu'ils représentent. Au sein des assemblées, travailler ensemble, quelle que soient les obédiences, pour parvenir à des propositions acceptables en retour par le plus grand nombre, qui se sentirait ainsi représenté.
Oui
Nécessité d'espaces, en amont, où les représentants soient proches des concitoyens, ces lieux d'échanges pourraient être des creusets d'idées et de prise de température de l'état de la société. Ces lieux devraient également fonctionner pour faire un retour des débats et décisions prises en assemblée. Il ne faut surtout pas que ce ne soit qu'un brassage de cerveaux stérile qui ne serve qu'à cautionner ce qui serait en fait déjà décidé;
Déjà l'application stricte de la loi sur la laïcité. Parvenir à impliquer les responsables religieux des différentes confessions, dans leur propre responsabilité vis à vis de leur communauté, mais aussi ensemble, les principes de laïcité garantissent aussi leur liberté religieuse, dans leur diversité
Au niveau de l'école, des communes (comme le conseil des enfants), mettre en place des espaces de débat où des choix et les implications qui en découlent soient vécus concrètement par les enfants/adolescents. Des temps de découverte, des chantiers pour les plus grands en dehors de leur milieu habituel. Pour les adultes qui demandent à devenir français, enseigner si besoin la langue, faire découvrir et partager la civilisation française, susciter une adhésion aux valeurs du pays auquel ils demandent à appartenir avant qu'ils ne deviennent français. Les aider à en devenir fiers
Déjà valoriser les métiers qui, en soi, reposent sur un engagement vis à vis des autres, qu'ils soient "visibles" , il n'y a pas que les jobs rentables car dans le business ou la finance. Ces jobs sont nécessaires mais pourquoi de tels écarts de rémunérations à niveau de formation et de responsabilité égal?? Quelles valeurs pour quel monde ? cela passe aussi par l'assise et la reconnaissance des métiers qui fondent et garantissent la qualité d'une société ( éducation, santé, justice, police..) Permettre et donner les moyens, dans un premier temps à titre expérimental, à de petites initiatives de se réaliser, qui pourraient (ou non) ensuite être reprises à une autre échelle, redonner aux citoyens l'idée qu'on ne pense pas à leur place. Ce soutien permettrait à la fois leur réalisation, mais aussi une évaluation et leur diffusion lorsque cela peut se faire ailleurs.
Le respect de l'autre et la courtoisie. L'écoute mutuelle L'entraide Ne pas couper, monter les générations entre elles
Favoriser cela dans le monde du travail ( avec moins de brutalité dans la gouvernance) en faisant confiance aux gens pour inventer des espaces et de nouveaux modes de relation : plus d'écoute, de respect, de tolérance, sans doute une certaine souplesse d'organisation, du moment que ce qui doit être effectué est fait. Le valoriser dès la petite enfance. Ecouter, s'autoriser à exprimer ce que l'on pense dans le respect de l'autre, puis inviter à proposer et faire en sorte que les propositions se réalisent dans le concret du quotidien A des échelles très humaines, créer des lieux avec échanges de services, qui pourraient également contribuer à l'entraide pour celles et ceux que l'on sait en avoir besoin, et favoriser le lien social Faire en sorte que les gens se connaissent: les petits et les anciens, les différents milieux sociaux, cela peut passer par l'aménagement des espaces à vivre, l'école, l'accessibilité de lieux culturels, des potagers collectifs dans les villes... tout ce qui crée et du lien et un cadre et de la joie
None
Grossièreté, insultes, dégradation des espaces publics, marcher sur la tête de l'autre, violences au volant...: petites violences du quotidien. Ne pas laisser passer, et éduquer: si sanction, aider à la prise de conscience et au changement ( comme cela se fait pour ceux qui perdent les points du permis de conduire)
P.ex dans les transports public, quand il y a des agents pour laisser descendre/ bourrer les wagons, qu'ils invitent les gens à se positionner par ordre et à attendre leur tour, puis à rentrer chacun leur tour deux par deux.... comme au Japon. La sanction, avec la dimension de réparation, est sans doute parfois nécessaire, la tolérance frise parfois la complicité
Etre soi-même respectueux ;;; de soi-même et de l'autre. Cela se transmet et s'apprend très tôt. L'implication dans l'éducation ( en famille, via les espaces de socialisation des enfants), car ces valeurs s'apprennent tôt et par imprégnation. L'importance du creuset familial: soutenir les familles défaillantes afin d'éviter des dysfonctionnements "claniques", qu'ils ne prennent leur loi familiale pour la loi et ne restent en autarcie Couplé à un accueil collectif de qualité dès la petite enfance
Manque de respect des femmes Racisme, homophobie
Beaucoup de choses passent par l'éducation En cas d'atteinte grave, entendre ceux qui en ont été victimes, et punir, en aidant à réfléchir lorsqu'il y a sanction ( la personne peut être dans l'erreur, mais il faut réparer et admettre, comprendre l'erreur pour ne pas persister)
Oui
Demander une implication dans des services liés à la collectivité: être utiles, et créer des liens est un expérience importante Se former Apprendre le français Ces aides devraient être un tremplin pour ouvrir sa route
Nécessité d'un cadre légal, en France, mais aussi de politiques partagées au moins en Europe. La situation ne peut simplement toucher tel ou tel pays de par sa plus grande facilité d'accès sur les routes migratoires, comme c'est le cas de l'Italie ou de la Grèce. Les positions prises par notre pays ne sont pas sans responsabilité dans ce qui se passe dans d'autres pays.
Mais par rapport à quels critères de choix seraient fixés ces objectifs? Sans ces précisions, impossible de répondre.
Que ce problème soit appréhendé dans un cadre plus large que le cadre national Développer des collaborations avec les pays d'où sont originaires les migrants, afin qu'ils puissent rester y vivre décemment Car l'accueil, l'intégration ne sont possibles que s'il y a de réelles possibilités de construire sa vie dans le pays d'accueil: apprentissage de la langue, logement décent, travail, accueil des enfants... Dans le cadre de l'émigration légale, poser des exigences par rapport aux demandes à vivre en France: quel projet, quelle adhésion aux valeurs du pays d'accueil, quelle implication pour s'intégrer. Accueillir oui, dans le respect de l'autre, quand cela est possible, mais il faut également faire un pas pour vivre et s'intégrer en France.
L'accès à la langue et à la culture du pays d'accueil, le travail pour les adultes, les crèches et l'école pour les enfants. Ne pas concentrer les gens dans des lieux ghettos Que la demande de devenir français soit accompagnée, il faut qu'ils se reconnaissent dans ce choix et y adhèrent, peut-être la laisser mûrir et la formaliser. En suscitant une prise de conscience par rapport à leur projet de vie en France pour eux et pour leur famille: que leur choix, au départ souvent contraint, devienne un réel souhaite de vivre en France, pas simplement pour les aides que cela permet, mais aussi pour participer dès qu'ils le peuvent à ce qui construit la France. C'est le meilleur moyen de se sentir intégré quelque part.
Que l'égalité hommes femmes se concrétise encore plus ainsi que les mesures allant dans le sens de la non violence à l'égard des enfants
Beaucoup de pesanteur, de bureaucratie, souvent des parcours du combattant. peu d'interlocuteurs et s'il y en a, rarement aimables
Oui
Si elles existent, c'est pour avoir des moyens et des fiches de route à réaliser, ce sont elles les mieux à même d'évaluer les priorités sur leur territoire. Disons que les missions nationales pourraient avoir une déclinaison régionale, que la région ait une marge de choix possibles une forme d'autonomie de choix dans un cadre général commun.
Oui
None
Internet c'est bien, si par ailleurs, en cas de question ou de problème, il est possible d'avoir un interlocuteur en face à face, sur Rendez Vous p.ex., car Internet ne répond pas toujours aux questions. Quant aux plate formes téléphoniques ou questions réponses standardisées via Internet, c'est tout simplement l'enfer, on est jamais dans la bonne case!
Non
None
Proximité, accessibilité et qualité de l'accueil: ne pas mettre une personne derrière un ordinateur, comme cela s'est vu pour la prime d'activité, quand elle n'est pas en mesure de s'en servir. Du personnel formé en face de nous.
Le service des impôts. Le site fonctionne bien (pas la peine cependant de changer sans cesse la présentation) et il est possible d'être reçu à l'Hôtel des impôts. L'accès à l'état civil, au casier judiciaire via internet est très pratique et fonctionne très bien
Sécu, CNAV
Oui
Non
None
Dans le cadre de l'exercice du travail (santé), le poids de l'administratif s'est développé au point de peser sur les pratiques, avec pour interlocuteurs des personnes extrêmement loin des réalités et des priorités vécues. Rendre des comptes de l'argent public, c'est normal, mais passer beaucoup trop de temps pour faire rentrer des éléments de sa pratique dans des logiciels dont il faut d'abord avoir compris la logique pour ne pas se faire piéger, cela vire à l'absurde et c'est chronophage. A la fin çà empêche de penser, à moins que ce ne soit le but? Car la logique in fine est purement gestionnaire, aucune illusion. Sans compter le mépris des interlocuteurs au niveau administratif
Oui
Dans un travail de lien avec les citoyens ( dans les choix et les projets pour les réaliser) Fonction de relais entre les citoyens et l'état: ce que souhaitent les citoyens, et aussi les contraintes de l'état Possibilités d'initiatives locales
Oui
Ne pas former des énarques gestionnaires, complètement à côté des réalités, et qui savent tout sur tout, mieux que vous. Une expérience de terrain, à la place et dans les conditions de ceux qui y sont, ferait revoir bien des copies. Avoir une connaissance du domaine dans lequel ils vont ensuite exercer, et pas simplement des connaissances abstraites théoriques et économiques qu'ils appliquent à tout, quel que soit le domaine. Leur apprendre à savoir apprendre des autres. Arrêter avec les normes et la (pseudo?) transparence, qui étouffent tout, mais former des gens créatifs, à l'écoute et respectueux des autres. En partant des besoins et des propositions des citoyens, ils seraient sans doute plus ajustés et cela éviterait des dialogues de sourds, sachant que de toutes façons tout est plié d'avance. Moins de superpositions de systèmes administratifs.
Qu'il y ait une concertation entre l'état et les différentes collectivités territoriales pour décider ensemble des priorités repérées à tel ou tel endroit et des moyens à y mettre. Peut-être des péréquations entre territoires, décidées ensemble à intervalles de temps réguliers afin de permettre des ajustements en souplesse? Ne pas perdre un contact local avec les populations, quelles que soient les modalités proposées qui peuvent être différentes selon les lieux. Pour les citoyens, les territoires restent une réalité à leur mesure. Là aussi une marge d'autonomie serait souhaitable, toutes les régions ne sont pas des copiés collés.
None
Difficultés importantes pour les inscriptions postbac, c'est vraiment la roulette russe, et il faut comprendre le système avant de pouvoir utiliser le système, bien compliqué à mon sens pour des jeunes que les parents ne peuvent aider Sinon, pas de soucis particuliers
Une seule fois, et peu de temps: rien à espérer de Pôle emploi. C'est bien, çà fait fuir la situation de chômage déjà inconfortable en soi!
Très lourd et très complexe (CNAV) surtout si l'on est sur plusieurs systèmes. Quasi impossibilité pour avoir un interlocuteur direct compétent en mesure de répondre et une évaluation précise
Le site Ameli s'est amélioré, mais mieux vaut ne pas avoir de questions à poser, car il faut toujours être dans la bonne case, ou ce sont eux qui ne répondent que dans les cases. Cela arrive de jeter l'éponge, tellement le dialogue n'en est pas un, on se pose parfois la question du niveau de compétence des interlocuteurs, comprennent-ils le français? Au final, un courrier recommandé fonctionne mieux, même si cela prend pas mal de temps
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C'est l'ensemble, chaque élément fait souci, et le tout doit être abordé dans sa globalité
Apprendre dès l'enfance ( famille, école...) de petits gestes quotidiens afin d'impacter au minimum l'environnement de notre empreinte au présent, et en pouvant se projetant dans l'avenir, c'est notre monde qu'il faut préserver, en modifiant nos habitudes de vie. Sinon des décisions des états, car cela touche aux intérêts de nombre d'industries, qui devraient revoir leur copie, ce qui au passage, peut aussi créer de nouveaux emplois
Oui
pollution dans les grandes villes, pics caniculaires crues
Oui
Utilisation des alternatives à la voiture, quand c'est possible, mode de conduite. Changer les appareils électroménagers, Hifi, ordi), seulement s'ils ne marchent plus. Porter à la décharge. Attention à la consommation quotidienne ( eau, produits alimentaires). N'acheter que le nécessaire pour la vie quotidienne.
La qualité des transports en commun . Etre plus informés sur les alternatives qui existent à une échelle locale. L'information, étayée sur les risques liés à la dégradation de l'environnement, à l'échelle de notre vie quotidienne. Pouvoir se projeter dans un monde organisé autrement par rapport à ces problèmes: qu'est-ce que çà apporterait en retour en qualité de vie, en ouverture vers de nouveaux métiers, à partir d'éléments concrets.
P.ex d'accord pour ne pas aller en voiture dans les centres villes, mais existence de parkings pratiquant des tarifs bas, aux points d'accès par les transports publics. Aides pour changer de chaudière, voiture si matériel ancien gros pollueur. Soutenir la slow consommation, favoriser les circuits courts et bio ( TVA plus basse p.ex), diminuer ou taxer les importations polluantes. Soutenir un urbanisme vert dans les villes. Développer les infrastructures publiques pour les déplacements en campagne.
Non
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Oui
En ce qui concerne les transports en commun, la qualité et le bon fonctionnement ainsi que la sécurité à certaines heures. L'existence de pistes cyclables. Un espace regroupant les infos sur les solutions alternatives au niveau local.
None
Pourquoi pas une petite structure gérant les infos, propositions... à une échelle municipale. Des newsletters transmettant des infos actualisées, permettant aussi l'échange de propositions innovantes;
Développer des projets Nord-Sud et des collaborations entre pays européens sur la base de projets ancrés dans la réalité. Y impliquer les jeunes à un moment de leurs parcours, que ce soit via un métier ou des études dans la réalisation de projets ou des recherches menées par plusieurs pays conjointement.
Aider à faire percevoir que la transition écologique, c'est la vie de tous dès aujourd'hui et pour nos enfants. Rendre ce "nouveau monde" attrayant pour le citoyen, mais aussi pour convaincre les entreprises concernées
Votre message a bien été envoyé.