1- Pour chaque type d'impôt (perçu par l'Etat, la Région, le Département, l'Intercommunalité ou la Commune) faire connaître (par grosses masses) la destination des budgets (votés en début d'année et réalisés en fin d'exercice) 2- Informer et sensibiliser l'utilisateur des services publics sur le coût effectif des "prestations" reçues (école, hôpital, etc...) Par exemple, si le "patient" connaissait le coût pour la société d'un séjour aux urgences hospitalières, peut-être hésiterait-il à y recourir pour des cas bénins. De même, connaitre le coût réel d'une chimiothérapie, d'un séjour en service psychiatrique ou en EPHAD, ou d'une année d'enseignement favoriserait le consentement à l'impôt ou aux cotisations. 3- Fixer et faire connaitre les objectifs d'économies et en assurer le suivi
Lutter contre la fraude (fiscale ou aux prestations sociales) Prendre en compte les avis/résolutions des cours des Comptes
1-L'impôt sur les sociétés (supprimer notamment les taxes sur le chiffre d'affaires ou sur l'activité et n'imposer que leurs bénéfices. 2-L’impôt sur le revenu Toute baisse d'impôts doit être compensée par une baisse de dépenses (si possible supérieure en valeur pour réduire l'endettement). dans cette optique, supprimer tous les comités et commissions inutiles, réduire l'aide aux syndicats et aux associations supprimer les doubles rémunérations ou les plafonner, réduire dans la durée les allocations et avantages accordés aux anciens Présidents de la République, aux anciens Premiers Ministres et Ministres de l'Intérieur, supprimer les voitures de fonction avec chauffeur des hauts fonctionnaires, présidents d’université, etc...
Reculer l'âge de la retraite|Augmenter le temps de travail|Revoir les conditions d'attribution de certaines aides sociales|Traquer la fraude.
Exclure les clandestins du bénéfice des aides. Conditionner certaines aides à une durée minimale de séjour sur le territoire (3 ans?)
La dépendance
Enseignement professionnel Sécurité (police et gendarmerie) Défense nationale Recherche scientifique Dépendance
1- Il est impératif de réduire les dépenses de l'Etat, en premier lieu en "chassant le gaspi" et en confiant au privé ce qu'il ferait mieux (et pour moins cher). que le public, Dans la même optique,ne plus accorder le statut de fonctionnaire aux personnels recrutés pour une mission particulière. Faire l'effort sur les domaines régaliens. 2- Assurer une stabilité fiscale 3- Supprimer les taxes qui ont été crées par opportunisme et qui au fil du temps n'ont plus de raison d'être. 4- Supprimer les impôts mis en place par dogmatisme ou démagogie et qui s'avèrent contre-productifs. 5- Concernant l'IFI, sortir la résidence principale de l'assiette.. 6- Concernant l'ISF, il s'agit d'un impôt dogmatique et spoliatif puisqu'il s'applique à des patrimoines qui ont déjà subi les droits de succession (pour la plupart), l'impôt sur le revenu, l'imposition des plus-values, les différents impôts locaux et qui subiront des droits de succession de 45%.. Si l'on veut la justice fiscale, pourquoi ne pas imposer tous les patrimoines dès le premier millier d'euros?
Tous les élus, pourvu qu'ils aient conscience des difficultés locales
Oui
Oui, si lesdites associations et organisations voient avant tout le bien commun, et non des intérêts catégoriels ou pire personnels. Dans le cas contraire on aboutira à un niveau de blocage supplémentaire.
Enseigner le dialogue, l'écoute et le respect d'autrui (soit le contraire de ce à quoi l'on assiste sur les plateaux de télévision notamment celui des chaines d'information en continu)
Une mauvaise chose
Ça a coupé le lien entre l'état et les territoires
Rien: que ceux qui veulent être représentés fassent l'effort de convaincre . Que ceux qui ne représentent rien, ou si peu, restent où ils sont.
Non
Non! Comment allier proximité locale et augmentation du nombre d'électeurs à représenter?
Que ceux qui veulent s'exprimer fassent l'effort de voter! On pourrait envisager le vote électronique, mais est-on sûr de l'inviolabilité des systèmes?
Oui
Un vote blanc est un vote qui s'exprime, mais ne trouve pas ce qu'il cherche dans l'offre politique. La prise en compte du vote blanc ne va toutefois pas conduire à l'élection de candidats "du vote blanc". C'est donc un vote négatif. Peut-on imaginer, pour prendre en compte la réalité du vote blanc, des répercussions financières pour les partis politiques qui ne percevraient pas la totalité des subventions accordées, mais uniquement au prorata? Cela contribuerait peut-être à rapprocher l'offre politique de la demande citoyenne.
Mettre en place des consultations locales ou régionales pour des questions d'ordre local ou régional. Pour les enjeux nationaux, faisons confiance aux élus nationaux!
Je ne sais pas
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Rien: le budget de la Nation fait l'objet d'un vote par le Parlement. C'est déjà, j'imagine suffisamment difficile à arbitrer actuellement, que consulter les citoyens ne pourra que complexifier les choses, et à frustrer ceux qui se seront exprimés. Par contre, rien n'empêche les élus de consulter leurs électeurs sur tel ou tel aspect.
Le Sénat doit conserver son rôle actuel (contre-pouvoir comme on l'a vécu au cours de diverses législatures antérieures, représentativité des territoires.
Oui
Non pour le Sénat. Par contre, on devrait pouvoir supprimer le CESE, dont tout le monde ignore le rôle (sauf qu'il sert à recaser les perdants, les syndicalistes et les copains) sans que le fonctionnement de la démocratie soit altéré.
Appliquer les mêmes règles à toutes les religions, que ce soit en matière de financement, de possibilité d'enseignement. LA LOI DE LA RÉPUBLIQUE DOIT TOUJOURS PRIMER SUR LES COUTUMES RELIGIEUSES.
L'école a un grand rôle à jouer dans la transmission des valeurs de tolérance. Les journalistes également, qui devraient éviter d'être les idiots utiles!
C'est l'affaire de chacun: s'investir réclame du temps et beaucoup d'abnégation face aux critiques et insultes qui ne manqueront pas de s'exprimer. Une rétribution serait la pire des choses, qui contribuerait à professionnaliser le volontariat.
Inculquer le Respect de l'Autre
Réprimer les comportements non civiques (selon les cas pénalement, administrativement ou financièrement). Pourquoi pas à l'école maternelle et élémentaire rétablir les "bons points" et autres récompenses
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Tolérance zéro pour tous. Faire payer les dégradations du patrimoine collectif aux parents d'un mineur ou au majeur responsable, au besoin en supprimant les allocations familiales correspondant au mineur impliqué
Promouvoir et appliquer la tolérance zéro
Intervenir!
Probablement les discriminations à l'embauche en fonction de critères non professionnels 'patronyme, adresse, etc...)
Convaincre plutôt qu'imposer. Mais ce doit être réciproque (attention aux interdits que les minorités, par leurs relais médiatiques, font subir au reste de la population qui est par conséquent la majorité), seule façon de parvenir au "vivre-ensemble".
Oui
Toute allocation mérite contrepartie, comme toute peine mérite salaire.
Refouler les clandestins. Définir des capacités annuelles d'accueil Eviter les mesures qui créent un appel d'air qui renforce l'immigration. Reconnaître et valoriser les comportements visant à l'intégration. Eviter les ghettos urbains.
Oui, en fonction d'objectifs et besoins économiques.
Favoriser le développement économique et démocratique des pays d'émigration, en s'assurant que les subsides ne vont pas être détournés par les potentats locaux.
L'école publique, si elle dispense un enseignement rassembleur et prône les valeurs républicaines. L'entreprise qui, contre incitations financières, peut jouer un rôle social (formation, apprentissage de la langue
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L'Etat, comme les administrations centralisées, ne sont ni omniscients, ni infaillibles. Leur niveau d'intervention doit se limiter d'une part à ce qu'il est convenu d'appeler les missions régaliennes, et d'autre part à "l'harmonisation de la vie des Français et des territoires" pour éviter de trop grandes disparités. Par contre, qui, connait mieux les problèmes de l'Alsace, de la Corse, de la Bretagne, etc. que leurs habitants et les représentants locaux qu'ils ont élus. Laissons donc les territoires respirer, et décider par eux-mêmes
Oui
Que les collectivités territoriales décident, gèrent, et naturellement financent, ce qui leur semble nécessaire au bien-être et à l'épanouissement des habitants. Naturellement, une discussion entre élus et habitants s'impose pour discuter des grandes orientations, avec pourquoi pas des référendums locaux (commune, département, région selon le niveau de compétences). Par exemple les transports au niveau régional, la politique éducative (dans le respect des directives, décrets et lois définis au niveau national) au niveau départemental, voire communal ou intercommunal pour les réglages fins, la politique sociale au niveau départemental, etc... Mais, je le répète, ces politiques doivent être autofinancées, ce qui augmentera les impôts locaux, mais devrait diminuer les impôts nationaux (IR notamment).
Oui
Habitant d'une grande ville, je n'ai pas les problèmes d'autres Français, mais je les comprends.
SVP: développés sans "e"(service n'est pas féminin). Le maximum possible, à condition que cela n'empêche pas l'accès à ces services pour ceux qui ne pratiquent pas internet, et notamment les personnes âgées, et que cela contribue à la diminution du nombre de fonctionnaires et agents publics.
Oui
Oui
Avant d'envisager le "tout-internet", veillons à la couverture du territoire, et à la formation des citoyens.
Sécurité sociale, services fiscaux, la Poste
URSSAF pour l'accueil, l'efficacité et l'amabilité. Police nationale pour la disponibilité, mais ils ont tant de choses à faire!
Oui
Non
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Oui
Oui, si l'autonomie est définie dans un périmètre précis, et connu du public, avec une possibilité de recours simple et rapide en cas de litige. Par exemple, le silence de l'administré vaut acceptation de la décision qui lui est appliquée. Tout litige est porté devant le niveau hiérarchique supérieur. Ce n'est qu'après qu'interviennent les recours devant les juridictions administratives. NB: C'est probablement ce qui existe déjà avec les recours amiables.
Oui
L'agent de l'administration ne doit pas être le "gardien du temple", ni considérer son interlocuteur comme un "usager" de ses services, mais comme un "client" et un citoyen qui le fait vivre avec ses impôts et qui a droit à une certaine considération. A titre d'exemple, Il n'est rien de plus horripilant que d'entendre un téléphone sonner dans le vide alors qu'un agent est à proximité immédiate et pourrait décrocher, ou de voir des services se renvoyer un dossier sans qu'une réponse soit apportée. Des formations pourraient être menées dans ce sens du respect du client.
Probablement par ce qui est déjà engagé: fonctionnaires nationaux ou territoriaux "multicartes" à même d'effectuer les opérations courantes des principales administrations qu'il représenterait. Cela passe par une formation, et naturellement par une augmentation de salaire. L'école pose un problème particulier: une école qui ferme est un village qui meurt. Ne pourrait-on pas prévoir un télé-enseignement regroupant les élèves de plusieurs communes, avec un instituteur itinérant qui assurerait une permanence dans chaque village à des jours différents de la semaine. Naturellement, des investissements sont à prévoir pour le matériel télématique et des réseaux internet performants!
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Excellente disponibilité de la CNAV des Yvelines
Aucun problème, sauf quand on est contraint (panne de télétransmission carte Vitale) de reprendre les anciennes feuilles de SS dont le traitement est très long (est-ce volontaire?).
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Pas de problème particulier. J'ai créé une société de conseil sans aucun souci, mais j'ai été aidé par mon comptable.
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Là encore, pas de problème (pour l'instant), j'ai cessé mon activité au 31 décembre 2018.
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Prévoir le reclassement et la formation d'agents appartenant à des administrations pléthoriques pour les rediriger vers des administrations déficitaires. Appliquer le salaire au mérite, pour éviter la démotivation de ceux qui veulent bien faire.
Les dérèglements climatiques (crue, sécheresse)
Le problème étant essentiellement mondial, ce ne sont pas les actions menées à la petite échelle de la France qui auront un impact. Par contre, l'exemple de la France peut entraîner les pays européens, sud-américains et africains. Pour ce qui concerne les gros pollueurs (USA, Chine Inde) seules la diplomatie mondiale et les opinions publiques peuvent avoir un effet. Il est donc indispensable que les politiques menées en France ne soient pas le fruit d'un dogmatisme qui ne peut-être qu'un repoussoir pour les autres. Par exemple, le "mix" énergétique doit être équilibré entre énergies fossiles, énergie nucléaire et énergies renouvelables. Faisons un effort de R&D pour industrialiser des solutions compétitives au plan économique et qui puissent être implantées dans les pays en voie de développement. Les technologies amenant des économies d'énergie en font partie.
Non
Même si ma vie quotidienne n'est pas touchée à l'heure actuelle, elle le sera à court et moyen termes par: - la répétition de phénomènes extrêmes (sécheresses, canicules, tempêtes),; - l'élévation progressive de la température moyenne modifiera les écosystèmes végétaux et animaux.
Oui
Vaste question qui englobe de nombreux aspects: lutte contre le réchauffement climatique, lutte contre la pollution visuelle à l'approche des villes ( zones industrielles et commerciales, copiées sur le modèle nord-américain qu'il est difficile de dépasser en laideur, panneaux publicitaires se succédant sur plusieurs centaines de mètres, ...), lutte contre les nuisances sonores, lutte contre la désertification des campagnes et des montagnes, préservation de l'eau (diminution des cultures réclamant un arrosage intense, dépollution des sols, restauration de haies lorsque c'est possible. A soi seul, aucun résultat ne peut-être obtenu Par contre, sans opposer les citoyens entre-eux (industriels et consommateurs, écologistes et agriculteurs/éleveurs)et sans tomber sous la domination de lobbies quels qu'ils soient, il serait bon de commencer à discuter pour identifier des améliorations raisonnables et atteignables. Ce devrait être une des orientations post-grand débat.
Je viens de changer de chaudière au profit d'une chaudière moins consommatrice. Je l'aurais fait en l'absence d'incitations fiscales, mais elles sont néanmoins bienvenues. Pour le reste, il est plus important de mettre en place des incitations plutôt que des politiques répressives (à condition que le citoyen joue le jeu-cf les radars-).Un réseau de transport en commun à coût modéré est certainement plus efficace qu'un péage à l'entrée des villes, ou la chasse à l'automobiliste. Créons des pistes cyclables, mais pas à contre-sens dans des rues étroites ou à proximité de couloirs de bus...
Incitations fiscales
Oui
Aucune de ces solutions ne serait esthétique.
Oui
Parkings à proximité des gares (à des coûts modérés)
Le transport à la demande|Les transports en commun
La région ou les intercommunalités.
Voir plus haut
Exiger des études d'impact pour les décisions controversées: ex. Faut-il continuer à protéger des insectes xylophages comme le grand capricorne qui est à l'origine de la mort de chênes centenaires qui contribuent à l'assimilation du CO2 atmosphérique? Faut-il retarder ou interdire la construction d'une route pour préserver une espèce végétale, au risque de contribuer à l'augmentation des polluants automobiles?
Votre message a bien été envoyé.