Date de publication : 2019-01-25
Code postal : 44240

Grand débat - fiscalité et dépenses publiques

1. Quelles sont toutes les choses qui pourraient être faites pour améliorer l'information des citoyens sur l'utilisation des impôts ?

Un bilan annuel, simple, expliquant officiellement et toute transparence quelles sont les dépenses faites dans l'année, politique publique par politique publique (Sur 100 € de dépenses, xx € ont été dépensé sur l'éducation), les sommes totales dépensées, le montant des déficits ou excédents pour chaque politique publique, les imprévus. Exemplarité et transparence dans les dépenses, en particulier celles des élus et gouvernement qui sont des symboles et se doivent d'être exemplaires ? Imposer une transparence sur le modèle des pays nordiques ? Si les élus n'ont rien à se reprocher, pourquoi seraient-ils contre ? S'ils ne sont pas vertueux, pourquoi le reste de la population devrait faire des efforts ?

2. Que faudrait-il faire pour rendre la fiscalité plus juste et plus efficace ?

Aujourd'hui une part importante de la population ne paie pas ou peu d'impôt sur le revenu que ce soit faute de revenus suffisants ou du fait de défiscalisations importantes. Pourtant, tout le monde utilise l'ensemble des services publics. Doit-on réserver l'accès aux services publics aux seuls contributeurs ? Ca n'est pas acceptable... Doit-on continuer à toujours demander aux mêmes de tout payer pour tout le monde en solidarité avec ceux qui ne peuvent pas ? Ca n'est plus acceptable. Tout le monde devrait payer un impôt, même symbolique... Nous sommes tous usagers et heureux de trouver des services publics qui ont un coût pour l'ensemble de la population. Que chacun en finance une partie à hauteur de ses moyens, mais arrêtons les exonérations totales. Une fiscalité basée sur tous les revenus (salaire, pensions, immobilier, bourse, etc.) et pas sur le statut social : pourquoi, à revenu égal, un retraité payerait moins de CSG qu'un actif ? Autre point : imposer un budget à l'équilibre pour l'Etat. On ne peut dépenser que ce que l'on a. Emprunter pour rembourser les intérêts de la dette n'est pas une solution. C'est en grande partie ce qui a conduit le bloc de l'Est à sa chute en 1989. Et plus la dette augmente, plus les marges de manœuvre se réduisent, plus le mécontentement augmente puisque le niveau de service diminue, plus on a besoin d'emprunts pour financer ce qui existe, plus la dette augmente, etc. Jusqu'où irons-nous ? Et nous ne sommes pas le seul pays... CSG : pourquoi conserver une taxe injuste ? Aujourd'hui cette taxe est comptée dans le revenu imposable... On paye 2 fois ! Une réforme serait sans doute nécessaire pour que ce soit un peu plus juste : payer des impôts sur des impôts n'est pas très juste.

3. Quels sont selon vous les impôts qu'il faut baisser en priorité ?

Aucun malheureusement vu l'Etat de la dette publique et le degré d’exigence croissant de la part de la population et matière de services. Sans argent, on ne fait rien.

4. Afin de financer les dépenses sociales, faut-il selon vous...

Revoir les conditions d'attribution de certaines aides sociales

5. S'il faut selon vous revoir les conditions d'attribution de certaines aides sociales, lesquelles doivent être concernées ?

Suppression des allocations familiales pour tous pour lutter contre la surpopulation. Arrêter les primes de rentrée, primes de Noël, primes pour l'emploi et autres dispositifs de ce type : est-ce à la collectivité de financer les revenus non accordés par les employeurs et de pallier aux non augmentations de salaire ? Aucune aide sociale, aucune aide au logement avant 5 ans passés en France et sans justification d'un emploi stable. Faire en sorte que le cumul des aides sociales ne dépasse pas le niveau d'un SMIC : on ne peut pas gagner plus en restant chez soi qu'en travaillant.

6. Quels sont les domaines prioritaires où notre protection sociale doit être renforcée ?

La santé : arrêtons le massacre, sauvons notre système de santé ! La protection environnementale.

7. Pour quelle(s) politique(s) publique(s) ou pour quels domaines d'action publique, seriez-vous prêts à payer plus d'impôts ?

Le remboursement de la dette : tant que le problème ne sera pas réglé, tout le reste ne sera pas efficace... La transition écologique (et pas seulement énergétique) : c'est une question de survie.

8. Y a-t-il d'autres points sur les impôts et les dépenses sur lesquels vous souhaiteriez vous exprimer ?

A quand une fiscalité européenne harmonisée pour éviter les effets de dumping ?

Grand débat - démocratie et citoyenneté

1. En qui faites-vous le plus confiance pour vous faire représenter dans la société et pourquoi ?

Les élus : ils sont nos représentants même si certains ont tendances à ne pas s'en souvenir...

2. En dehors des élus politiques, faut-il donner un rôle plus important aux associations et aux organisations syndicales et professionnelles ?

Non

3. Si oui, à quel type d'associations ou d'organisations ? Et avec quel rôle ?

Les associations ont le plus souvent un point de vue orienté et agissent le plus souvent comme des lobbies, parfois incapables de chercher un compromis. Il est parfois compliqué d'avoir un débat constructif quand on a affaire à des militants qui ne veulent comprendre que leur propre position sans se soucier de l'avis des autres parties...

4. Que faudrait-il faire pour renouer le lien entre les citoyens et les élus qui les représentent ?

Transparence totale dans les décisions prises par les élus, dans leurs actions, dans leurs dépenses. Respect des programmes qui ne doivent pas servir qu'à être élus. Retour à la réalité du quotidien, ne pas être déconnecté de la vraie vie. Des élus qui agissent au mieux pour le bien collectif et pas uniquement pour être réélus. Le nombre de mandats successifs sur un même poste ou dans une même collectivité, à l'image de la Présidence, devrait être réduit à 2 maximum pour avoir des élus qui agissent au lieu d'élus qui sont là uniquement pour se faire réélire.

5. Le non-cumul des mandats instauré en 2017 pour les parlementaires (députés et sénateurs) est :

Une bonne chose

6. Pourquoi ?

Elu est un acte à plein temps. On ne peut pas être efficace en courant plusieurs lièvres à la fois. Un élu ne peut pas se contenter de faire acte de présence : il doit décider, prendre connaissance des dossiers, être présent et ça demande du temps !

7. Que faudrait-il faire pour mieux représenter les différentes sensibilités politiques ?

Le système actuel me convient. Les sensibilités politiques seraient peut-être mieux représentées si le vote était obligatoire, rendant de fait tout élu totalement légitime.

8. Pensez-vous qu'il serait souhaitable de réduire le nombre d'élus (hors députés et sénateurs) ?

Non

9. Si oui, lesquels ?

None

10. Que pensez-vous de la participation des citoyens aux élections et comment les inciter à y participer davantage ?

Rendons le passage par les urnes obligatoires. L'abstention est un réel problème : comment légitimer une décision ou un élu avec des taux d'abstentions records ? On aura une masse de plus en plus importantes de citoyens qui ne se sentiront pas représentés. Le vote est un devoir !

11. Faut-il prendre en compte le vote blanc ?

Non

12. Si oui, de quelle manière ?

None

13. Que faudrait-il faire aujourd'hui pour mieux associer les citoyens aux grandes orientations et à la décision publique ? Comment mettre en place une démocratie plus participative ?

C'est compliqué : comment faire une démocratie participative quand une minorité (celle qui fait le plus de bruit) l'emporte sur la majorité ou sur des processus pourtant bien validés (notre dame des landes, écotaxe, etc.) ? Les réunions publiques et autres concertations rassemblent généralement les mécontents ou les lobbies : le débat est forcément biaisé. De nos jours, chacun a son avis et ne supporte pas qu'un autre ou une majorité ait un avis différent : comment débattre ou prendre des décisions dans ce contexte ? Je n'ai pas la solution mais si on développe plus encore la concertation et la démocratie participative, alors à quoi servent les élus ?

14. Faut-il faciliter le déclenchement du référendum d'initiative partagée (le RIP est organisé à l'initiative de membres du Parlement soutenu par une partie du corps électoral) qui est applicable depuis 2015 ?

Non

15. Si oui, comment ?

Si on commence à provoquer des référendums sur tout et n'importe quoi, sur la base de petites minorités de mécontents, alors le débat public n'avancera plus et plus aucune réforme, plus aucun projet, plus rien ne sera possible.

16. Que faudrait-il faire pour consulter plus directement les citoyens sur l'utilisation de l'argent public, par l'Etat et les collectivités ?

Libre accès au budget et aux dépenses (investissement et fonctionnement), contrôlable en temps réel par l'ensemble des citoyens.

17. Quel rôle nos assemblées, dont le Sénat et le Conseil économique, social et environnemental, doivent-elles jouer pour représenter nos territoires et la société civile ?

Sans avis

18. Faut-il les transformer ?

None

19. Si oui, comment ?

Sans avis

20. Que proposez-vous pour renforcer les principes de la laïcité dans le rapport entre l'Etat et les religions de notre pays ?

La France est un Etat laïc garantissant à tous la liberté de culte. Il n'est en revanche pas admissible, qu'au nom de la liberté religieuse, certaines personnes tentent d'imposer des modifications de nos modes de vie et valeurs. Interdiction de tout aménagement d'horaire, de menu ou autre pour tenir compte des contraintes religieuses dans les services publics (cantines, piscines, etc.) et application stricte de la loi. Arrêter de prêter une attention trop forte au communautarisme : c'est le meilleur moyen de l'entretenir.

21. Comment garantir le respect par tous de la compréhension réciproque et des valeurs intangibles de la République ?

Ca passe par l'éducation et par l'école en grande partie. La question se pose pour le nouveaux arrivés dans notre pays : un stage de citoyenneté ou de laïcité pour leur expliquer le mode de fonctionnement de la République serait sans doute nécessaire si ça n'existe pas encore. Peut-être également imposer une formation obligatoire pour tous les prêtres, imams, rabbins et autres afin de bien s'assurer que les messages transmis aillent bien dans ce sens.

22. Que faudrait-il faire aujourd'hui pour renforcer l'engagement citoyen dans la société ?

Limiter à 2 le nombre de mandats consécutifs, une meilleures transparence sur l'utilisation des deniers publics.

23. Quels sont les comportements civiques qu'il faut promouvoir dans notre vie quotidienne ou collective ?

Laïcité, entre-aide, respect et écoute, respect de la démocratie et du vote, respect de la notion d'intérêt public, respect du bien public, respect des institutions et de leurs représentants (élus et agents de la fonction publique), respect du citoyen. Exemplarité des élus qui sont nos représentants : si eux passent outre, comment la population doit-elle interpréter le message ?

24. Que faudrait-il faire pour favoriser le développement de ces comportements civiques et par quels engagements concrets chacun peut-il y participer ?

L'éducation civique, à l'école, est une, si ce n'est la base. Elle est aussi importante que les maths ou le français alors que la place qui lui est accordée est ridicule... Envoyer systématiquement la facture aux casseurs et autres fauteurs de troubles, la reporter sur leurs ayants droits s'ils ne sont pas solvables. Condamner systématiquement les comportements inciviques d'où qu'ils viennent. Suppression de l'immunité parlementaire et présidentielle pour des élus exemplaires.

25. Que faudrait-il faire pour valoriser l'engagement citoyen dans les parcours de vie, dans les relations avec l'administration et les pouvoirs publics ?

Aucune idée

26. Quelles sont les incivilités les plus pénibles dans la vie quotidienne et que faudrait-il faire pour lutter contre ces incivilités ?

Ne serait-ce qu'apprendre à dire bonjour, au revoir, s'il vous plait et merci nous ferait déjà tous bien progresser. Les incivilités les plus pénibles à mon sens concernent les dégradations de bien publics (on envoie la factures aux responsables des dégradations), l'intolérance à la laïcité ou aux autres religions, le refus d'intégration.

27. Que peuvent et doivent faire les pouvoirs publics pour répondre aux incivilités ?

Envoyer la facture à ceux qui dégradent : malheureusement une bonne partie de la population ne comprend que ça ! Afficher le coût réel de ce qui est dégradé ou détruit pour faire prendre conscience de la valeur des choses.

28. Quel pourrait être le rôle de chacun pour faire reculer les incivilités dans la société ?

Ne serait-ce qu'apprendre à dire bonjour, au revoir, s'il vous plait et merci nous ferait déjà tous bien progresser.

29. Quelles sont les discriminations les plus répandues dont vous êtes témoin ou victime ?

None

30. Que faudrait-il faire pour lutter contre ces discriminations et construire une société plus solidaire et plus tolérante ?

None

31. Pensez-vous qu'il faille instaurer des contreparties aux différentes allocations de solidarité ?

Oui

32. Si oui, lesquelles ?

Obligation de rechercher un emploi ou d'accepter ce qu'on vous propose, obligation de formation et de reconversion professionnelle, suppression des aides en cas de dégradations. Pour le handicap, arrêter de demander tous les ans des justificatifs pour certains handicaps incurables (un aveugle ne risque pas de retrouver la vue d'une année sur l'autre).

33. Que pensez-vous de la situation de l'immigration en France aujourd'hui et de la politique migratoire ? Quelles sont, selon vous, les critères à mettre en place pour définir la politique migratoire ?

Apprentissage obligatoire de la langue, des valeurs de la République, des modes de vies et coutumes principales. Ne plus accepter l'immigration économique et arrêter de faire croire que la France est un paradis. Pas de prime au retour : renvoi direct sans indemnités. Pratiquer une immigration choisie uniquement avec solution d'emploi et logement dès l'arrivée à l'initiative du demandeur, retour à la frontière pour tous les autres. Ne plus accorder systématiquement la nationalité française à la naissance, uniquement la nationalité des parents.

34. En matière d'immigration, une fois nos obligations d'asile remplies, souhaitez-vous que nous puissions nous fixer des objectifs annuels définis par le Parlement ?

Oui

35. Que proposez-vous afin de répondre à ce défi qui va durer ?

Participer au développement et à l'éducation dans les pays d'origine. Retour systématique à la frontière.

36. Quelles sont, selon vous, les modalités d'intégration les plus efficaces et les plus justes à mettre en place aujourd'hui dans la société ?

Apprentissage obligatoire de la langue, des valeurs de la République, des modes de vies et coutumes principales. Ne plus accepter le communautarisme et l'entre soi qui ne sont pas des facteurs d'intégration. Rappeler que nous avons tous des droits mais aussi et surtout des devoirs !

37. Y a-t-il d'autres points sur la démocratie et la citoyenneté sur lesquels vous souhaiteriez vous exprimer ?

None

Grand débat - organisation de l'Etat et des services publics

1. Que pensez-vous de l'organisation de l'Etat et des administrations en France ? De quelle manière cette organisation devrait-elle évoluer ?

Une clarification des compétences et une suppression des doublons est nécessaires (communes - intercommunalités par exemple).

2. Selon vous, l'Etat doit-il aujourd'hui transférer de nouvelles missions aux collectivités territoriales ?

Non

3. Si oui, lesquelles ?

L'Etat a déjà transféré et inventé beaucoup de compétences, d'agents, de patrimoine sans forcément donner les moyens financiers qui vont avec. Il arrive un moment où les collectivités, avec des moyens financiers en baisse, ne peuvent plus suivre...

4. Estimez-vous avoir accès aux services publics dont vous avez besoin ?

Oui

5. Si non, quels types de services publics vous manquent dans votre territoire et qu'il est nécessaire de renforcer ?

RAS

6. Quels nouveaux services ou quelles démarches souhaitez-vous voir développées sur Internet en priorité ?

Pas d'avis

7. Avez-vous déjà utilisé certaines de ces nouvelles formes de services publics ?

Non

8. Si oui, en avez-vous été satisfait ?

None

9. Quelles améliorations préconiseriez-vous ?

None

10. Quand vous pensez à l'évolution des services publics au cours des dernières années, quels sont ceux qui ont évolué de manière positive ?

Aucun : chute des moyens partout, chute du service pour tous partout... Mieux vaut ne pas être malade ou pressé pour une démarche.

11. Quels sont les services publics qui doivent le plus évoluer selon vous ?

None

12. Connaissez-vous le "droit à l'erreur", c'est-à-dire le droit d'affirmer votre bonne foi lorsque vous faites un erreur dans vos déclarations ?

Oui

13. Si oui, avez-vous déjà utilisé ce droit à l'erreur ?

Non

14. Si oui, à quelle occasion en avez-vous fait usage ?

None

15. Pouvez-vous identifier des règles que l'administration vous a déjà demandé d'appliquer et que vous avez jugées inutiles ou trop complexes ?

Le dossier MDPH annuel : c'est fastidieux, long et vexant de devoir tous les ans justifier de son handicap (voire de devoir le rejustifier en cas de refus) alors que le handicap en question ne pourra pas s'effacer... Sans doute y-a-t'il moyen d'économiser du temps et de l'argent pour un traitement plus humain des personnes concernées.

16. Faut-il donner plus d'autonomie aux fonctionnaires de terrain ?

None

17. Si oui, comment ?

Je ne comprends pas cette notion.

18. Faut-il revoir le fonctionnement et la formation de l'administration ?

None

19. Si oui, comment ?

Qu'est-ce que "l'administration" ? Que met-on derrière cette notion alors qu'il existe plusieurs fonctions publiques, plusieurs centaines de types d'emplois différents, plusieurs types d'organisation en fonction des collectivité ou des lieux, etc. Revoir le fonctionnement pour qui (les agents ? le public ? les élus ?) et pour quoi (optimisation ? économie ? renforcement des services ?). Difficile de répondre à cette question que je ne comprends pas...

20. Comment l'Etat et les collectivités territoriales peuvent-ils s'améliorer pour mieux répondre aux défis de nos territoires les plus en difficulté ?

En laissant un peu plus d'autonomie aux collectivités et en arrêtant de les infantiliser ou de leur en demander toujours plus à moyens constants ou en baisse...

21. Si vous avez été amené à chercher une formation, pouvez-vous indiquer les éléments de satisfaction et/ou les difficultés rencontrés en précisant, pour chaque point, l'administration concernée :

None

22. Si vous avez été amené à scolariser votre enfant, pouvez-vous indiquer les éléments de satisfaction et/ou les difficultés rencontrés en précisant, pour chaque point, l'administration concernée :

La demande d'AVS pour enfant handicapé : le parcours du combattant pour justifier de l'utilité face à un manque de moyens criants pour donner satisfaction à tout le monde. On est encore loin de l'égalité des chances...

23. Si vous avez été amené à chercher un emploi, pouvez-vous indiquer les éléments de satisfaction et/ou les difficultés rencontrés en précisant, pour chaque point, l'administration concernée :

None

24. Si vous avez été amené à préparer votre retraite, pouvez-vous indiquer les éléments de satisfaction et/ou les difficultés rencontrés en précisant, pour chaque point, l'administration concernée :

None

25. Si vous avez été amené à demander un remboursement de soins de santé, pouvez-vous indiquer les éléments de satisfaction et/ou les difficultés rencontrés en précisant, pour chaque point, l'administration concernée :

None

26. Si vous avez été amené à faire une demande d'aide pour une situation de handicap, pouvez-vous indiquer les éléments de satisfaction et/ou les difficultés rencontrés en précisant, pour chaque point, l'administration concernée :

Le dossier MDPH annuel : c'est fastidieux, long et vexant de devoir tous les ans justifier de son handicap (voire de devoir le rejustifier en cas de refus) alors que le handicap en question ne pourra pas s'effacer... Sans doute y-a-t'il moyen d'économiser du temps et de l'argent pour un traitement plus humain des personnes concernées. On est encore très loin de l'égalité des chances pour tous : le handicap n'est pas un choix, il est subit. Rendez-le plus humain à vivre !

27. Si vous avez été amené à créer une entreprise, pouvez-vous indiquer les éléments de satisfaction et/ou les difficultés rencontrés en précisant, pour chaque point, l'administration concernée :

None

28. Si vous avez été amené à recruter du personnel, pouvez-vous indiquer les éléments de satisfaction et/ou les difficultés rencontrés en précisant, pour chaque point, l'administration concernée :

None

29. Si vous avez été amené à former du personnel, pouvez-vous indiquer les éléments de satisfaction et/ou les difficultés rencontrés en précisant, pour chaque point, l'administration concernée :

None

30. Si vous avez été amené à rémunérer du personnel, pouvez-vous indiquer les éléments de satisfaction et/ou les difficultés rencontrés en précisant, pour chaque point, l'administration concernée :

None

31. Si vous avez été amené à mettre fin à votre activité, pouvez-vous indiquer les éléments de satisfaction et/ou les difficultés rencontrés en précisant, pour chaque point, l'administration concernée :

None

32. Si vous avez été amené à recruter une personne portant un handicap, pouvez-vous indiquer les éléments de satisfaction et/ou les difficultés rencontrés en précisant, pour chaque point, l'administration concernée :

None

33. Y a-t-il d'autres points sur l'organisation de l'Etat et des services publics sur lesquels vous souhaiteriez vous exprimer ?

La recherche continue des économies et d'optimisation, le nivellement par le bas commencent à atteindre leurs limites sur certains postes de dépenses (puisque nous sommes dans une logique comptable et non plus de service au public) : santé, éducation, police, etc. ne peuvent plus remplir correctement leur mission. La population augmente, les besoins et attentes augmentent, les effectifs et les moyens diminuent, personne ne veut payer... Cherchez l'erreur. On ne peut pas promettre toujours plus ou le maintien du service public à niveau de recette ou de dette égal (voire en diminution avec la suppression de la taxe d'habitation) : il va falloir faire des choix et les assumer pour réduire la qualité ou le nombre de services rendus au public pour répondre à la logique financière... Les décideurs et la population devront assumer ces choix en toute connaissance de cause. On ne peut pas d'un côté demander la diminution des prélèvements et de l'autre l'accroissement ou le maintien de tous les services publics. Merci également de ne plus stigmatiser les agents de la fonction publique : nombre d'entre eux font leur travail avec conscience et application pour le service au public, passent leur temps à se faire reprocher qu'ils sont payés bien cher pour ce qu'ils font tant de la part de la population que de la part des élus, passent leur temps à s'entendre dire qu'ils sont trop nombreux ou jamais assez quand il le faut. Il faut être solide pour supporter cela et on note le développement d'un malaise profond. Ce malaise se renforce devant le mépris dont certains décideurs peuvent faire preuve tel M. Dussopt : « Une augmentation du point n’est pas notre choix pour traiter des questions salariales, explique M. Dussopt. Lorsqu’on l’augmente de 1 %, cela coûte 2 milliards d’euros et représente à peine 15 euros par mois pour un agent à 2 000 euros net. » . Certes, sur une seule augmentation, c'est 15€ par mois. Mais multiplié par les quelques années sans augmentation du point d'indice ça donne quoi par mois ???? Alors oui, on comprend tous les besoins d'économie, mais s'il vous plait, arrêtez de nous faire passer pour des parasites et d'être méprisants.

Grand débat - transition écologique

1. Quel est aujourd'hui pour vous le problème concret le plus important dans le domaine de l'environnement ?

La biodiversité et la disparition de certaines espèces

2. Que faudrait-il faire selon vous pour apporter des réponses à ce problème ?

Plusieurs options : - Modifier nos pratiques agricoles en profondeur : suppression des pesticides et autres produits en priorité, modification du travail de la terre pour un travail moins en profondeur (préservation des micro organismes, qualité de la terre et des sols). Un plan Marshall de l'agriculture est indispensable et très urgent (pas dans 10 ans, tout de suite) sur la base de principes du type permaculture (économe en eau et surface, bon rendement, protection des sols). - Reboiser et arrêter de déboiser : retour des haies et du bocage, développer la verdure en milieu urbain, etc. Fixer des linéaires minimum à l'hectare de surface cultivée ? Les haies permettent d'offrir un habitat à la faune, régulent l'écoulement des eaux et limitent l'érosion. - Action sur l'éclairage public : imposer la suppression de tout éclairage public entre 22h00 et 6h00 - Protection et sauvegarde de tous les pollinisateurs : sans eux, pas de végétal, pas de culture et nous sommes tous morts. - Protection des cours d'eau, des captages, des milieux océaniques : arrêtons les rejets (volontaires et involontaires) qu'ils soient chimiques ou de déchets de toute sorte. Sans eau pas de vie possible...

3. Diriez-vous que votre vie quotidienne est aujourd'hui touchée par le changement climatique ?

Oui

4. Si oui, de quelle manière votre vie quotidienne est-elle touchée par le changement climatique ?

Vagues de chaleur estivales de plus en plus importante, dérèglement saisonnier, modification de la pluviométrie avec des sécheresses qui semblent plus importantes et fréquentes.

5. À titre personnel, pensez-vous pouvoir contribuer à protéger l'environnement ?

Oui

6. Si oui, que faites-vous aujourd'hui pour protéger l'environnement et/ou que pourriez-vous faire ?

J'utilise mon vélo pour aller au travail (18 km aller-retour tous les jours), j'essaie de moins utiliser mon véhicule, j'amène mes enfants à pied à l'école, utilisation des transports collectifs, je limite au maximum l'utilisation de véhicules au travail. Je limite au maximum ma consommation d'eau.

7. Qu'est-ce qui pourrait vous inciter à changer vos comportements comme par exemple mieux entretenir et régler votre chauffage, modifier votre manière de conduire ou renoncer à prendre votre véhicule pour de très petites distances ?

Seule la contrainte semble efficace, nous n'avons plus les moyens de donner des primes pour tout : taxe sur les carburants, plans de circulations complexe, réduction drastique des vitesses maximales autorisées en zone agglomérée (généralisation du 30 en remplacement du 50), développement de l'autopartage, un plan covoiturage national fort, développement d'un réseau cyclable fort et intercommunal, limitation des capacités de stationnement voiture sur l'espace public au profit des piétons - cyclistes - transports en communs (sans stationnement difficile d'utiliser sa voiture), etc.

8. Quelles seraient pour vous les solutions les plus simples et les plus supportables sur un plan financier pour vous inciter à changer vos comportements ?

Remettre la taxe carbone et poursuivre l'évolution prévue de la taxation du coût des carburants, taxer le fuel lourd et le kerozene fortement. Si on continue à avoir des solutions supportables et peu douloureuses, nous n'avancerons pas...

9. Par rapport à votre mode de chauffage actuel, pensez-vous qu'il existe des solutions alternatives plus écologiques ?

Oui

10. Si oui, que faudrait-il faire pour vous convaincre ou vous aider à changer de mode de chauffage ?

Des explications sur le bon mode de chauffage à choisir, émises par un organisme indépendant et non partisan qui ne soit pas dépendant des lobbies énergétiques. Pour le moment c'est une jungle, chacun défend son procédé et au final on ne sait que choisir...

11. Avez-vous pour vos déplacements quotidiens la possibilité de recourir à des solutions de mobilité alternatives à la voiture individuelle comme les transports en commun, le covoiturage, l'auto-partage, le transport à la demande, le vélo, etc. ?

Oui

12. Si oui, que faudrait-il faire pour vous convaincre ou vous aider à utiliser ces solutions alternatives ?

Je le fais déjà au quotidien avec mon vélo. Pour le covoiturage c'est déjà plus compliqué (barrière psychologique à franchir).

13. Si non, quelles sont les solutions de mobilité alternatives que vous souhaiteriez pouvoir utiliser ?

None

14. Et qui doit selon vous se charger de vous proposer ce type de solutions alternatives ?

Les collectivités à un échelon intercommunal à minima. Pour plus de cohérence la réflexion devrait se faire à l'échelle des bassins de vie et dépasser les limites administratives telles que nous les connaissons. Cela ne peut pas se faire sans volonté et implication forte de l'Etat.

15. Que pourrait faire la France pour faire partager ses choix en matière d'environnement au niveau européen et international ?

Etre exemplaire, agir au lieu de parler, expliquer les choses simplement et avec pédagogie à sa population, arrêter d'attendre que les autres bougent. Nous devons être moteurs et aller de l'avant, nous n'avons plus le temps d'attendre. Changeons nos habitudes sans attendre les autres, et tant pis pour eux s'ils ne suivent pas tout de suite : si on arrive à montrer que c'est possible, alors ils nous suivront. Faisons le nécessaire chez nous au lieu de donner des leçons et de gesticuler : l'exemplarité sera plus efficace même si elle demande un courage que nous n'avons peut-être pas aujourd'hui collectivement.

16. Y a-t-il d'autres points sur la transition écologique sur lesquels vous souhaiteriez vous exprimer ?

- Quid de la production énergétique en France et dans le monde, devons-nous continuer sur le nucléaire (qui va par ailleurs couter une fortune à démanteler sans parler des risques d'accident : les japonais aussi étaient confiants...) ? Des solutions de production d'énergie à partir d'autres ressources telles que le CO2 ne sont-elles pas envisageables ? - Quand l'Etat et les collectivités seront-ils vertueux ? L'exemplarité est indispensable pour provoquer le changement de comportement. Si rien ne vient du haut, si les élus et autres dirigeants ne montrent pas l'exemple, alors la population ne chargera pas. Nous sommes tous dans la même barque, c'est nous tous qui devons faire un effort et pas seulement une petite majorité. Comment convaincre les pays les plus pauvres de ne pas reproduire nos erreurs si nous ne faisons rien ? On ne peut pas se contenter de rester des donneurs de leçon... A un moment il va falloir bouger et arrêter de compter sur les autres ou de les attendre ! - Posons-nous la question des déplacements : la voiture électrique est-elle la solution ? D'où viennent les ressources pour produire les batteries ? Combien de centrales nucléaires pour faire le plein ? Quel recyclage ? - A quand des actions fortes sur le recyclage ? Nous n'allons clairement pas assez loin aujourd'hui et nous gaspillons beaucoup trop !!! Faut-il attendre la fin et une pénurie massive pour changer ? - A quand l'interdiction des bananes, fruits de la passion et autres produits alimentaires venant de l'autre bout de la planète ? A quand le respect des saisons et la fin des fraises en hiver ? Privilégier les circuits courts ça passe aussi par l'arrêt de l'importation de ce genre de produits. - A quand la fin de l'importation massive de produits à pas cher (textile, électronique, etc.) et généralement jetables, généralement générateurs d'une surconsommation de matière première, d'énergie, d'eau, etc. et causes d'une sur-consommation effarante dont je suis moi même acteur... ? - A quand un discours clair sur la surpopulation : nous sommes trop nombreux sur terre, la population continue de monter. Il n'y en a pas assez pour tout le monde... Mettons fin la natalité galopante, fin des allocations familiales et des politiques natalistes. - A quand un discours clair sur les méfaits de la consommation à outrance et sur notre mode de vie destructeur ? Comment ferons-nous quand l'humanité toute entière fera comme nous ? Il n'y a qu'une planète, nous allons avoir du mal à aller voir ailleurs ou à pousser les murs. - A quand la fin de l'humanité si nous continuons sur le rythme actuel ? Avant nous la planète se débrouillait très bien et elle le fera après nous. Je ne pense pas voir la fin de l'humanité de mon vivant, je n'en dirais pas autant de mes enfants. Une chose est sûre, nous sommes sur le début de la fin et personne ne semble vouloir se bouger pour sauver un tant soit peu les meubles. Mais après-tout, c'est peut-être le moins pire qui puisse arriver au reste de la biodiversité. - Remettons l'entre-aide au coeur du débat.