Un bilan annuel, simple, expliquant officiellement et toute transparence quelles sont les dépenses faites dans l'année, politique publique par politique publique (Sur 100 € de dépenses, xx € ont été dépensé sur l'éducation), les sommes totales dépensées, le montant des déficits ou excédents pour chaque politique publique, les imprévus. Exemplarité et transparence dans les dépenses, en particulier celles des élus et gouvernement qui sont des symboles et se doivent d'être exemplaires ? Imposer une transparence sur le modèle des pays nordiques ? Si les élus n'ont rien à se reprocher, pourquoi seraient-ils contre ? S'ils ne sont pas vertueux, pourquoi le reste de la population devrait faire des efforts ?
Aujourd'hui une part importante de la population ne paie pas ou peu d'impôt sur le revenu que ce soit faute de revenus suffisants ou du fait de défiscalisations importantes. Pourtant, tout le monde utilise l'ensemble des services publics. Doit-on réserver l'accès aux services publics aux seuls contributeurs ? Ca n'est pas acceptable... Doit-on continuer à toujours demander aux mêmes de tout payer pour tout le monde en solidarité avec ceux qui ne peuvent pas ? Ca n'est plus acceptable. Tout le monde devrait payer un impôt, même symbolique... Nous sommes tous usagers et heureux de trouver des services publics qui ont un coût pour l'ensemble de la population. Que chacun en finance une partie à hauteur de ses moyens, mais arrêtons les exonérations totales. Une fiscalité basée sur tous les revenus (salaire, pensions, immobilier, bourse, etc.) et pas sur le statut social : pourquoi, à revenu égal, un retraité payerait moins de CSG qu'un actif ? Autre point : imposer un budget à l'équilibre pour l'Etat. On ne peut dépenser que ce que l'on a. Emprunter pour rembourser les intérêts de la dette n'est pas une solution. C'est en grande partie ce qui a conduit le bloc de l'Est à sa chute en 1989. Et plus la dette augmente, plus les marges de manœuvre se réduisent, plus le mécontentement augmente puisque le niveau de service diminue, plus on a besoin d'emprunts pour financer ce qui existe, plus la dette augmente, etc. Jusqu'où irons-nous ? Et nous ne sommes pas le seul pays... CSG : pourquoi conserver une taxe injuste ? Aujourd'hui cette taxe est comptée dans le revenu imposable... On paye 2 fois ! Une réforme serait sans doute nécessaire pour que ce soit un peu plus juste : payer des impôts sur des impôts n'est pas très juste.
Aucun malheureusement vu l'Etat de la dette publique et le degré d’exigence croissant de la part de la population et matière de services. Sans argent, on ne fait rien.
Revoir les conditions d'attribution de certaines aides sociales
Suppression des allocations familiales pour tous pour lutter contre la surpopulation. Arrêter les primes de rentrée, primes de Noël, primes pour l'emploi et autres dispositifs de ce type : est-ce à la collectivité de financer les revenus non accordés par les employeurs et de pallier aux non augmentations de salaire ? Aucune aide sociale, aucune aide au logement avant 5 ans passés en France et sans justification d'un emploi stable. Faire en sorte que le cumul des aides sociales ne dépasse pas le niveau d'un SMIC : on ne peut pas gagner plus en restant chez soi qu'en travaillant.
La santé : arrêtons le massacre, sauvons notre système de santé ! La protection environnementale.
Le remboursement de la dette : tant que le problème ne sera pas réglé, tout le reste ne sera pas efficace... La transition écologique (et pas seulement énergétique) : c'est une question de survie.
A quand une fiscalité européenne harmonisée pour éviter les effets de dumping ?
Les élus : ils sont nos représentants même si certains ont tendances à ne pas s'en souvenir...
Non
Les associations ont le plus souvent un point de vue orienté et agissent le plus souvent comme des lobbies, parfois incapables de chercher un compromis. Il est parfois compliqué d'avoir un débat constructif quand on a affaire à des militants qui ne veulent comprendre que leur propre position sans se soucier de l'avis des autres parties...
Transparence totale dans les décisions prises par les élus, dans leurs actions, dans leurs dépenses. Respect des programmes qui ne doivent pas servir qu'à être élus. Retour à la réalité du quotidien, ne pas être déconnecté de la vraie vie. Des élus qui agissent au mieux pour le bien collectif et pas uniquement pour être réélus. Le nombre de mandats successifs sur un même poste ou dans une même collectivité, à l'image de la Présidence, devrait être réduit à 2 maximum pour avoir des élus qui agissent au lieu d'élus qui sont là uniquement pour se faire réélire.
Une bonne chose
Elu est un acte à plein temps. On ne peut pas être efficace en courant plusieurs lièvres à la fois. Un élu ne peut pas se contenter de faire acte de présence : il doit décider, prendre connaissance des dossiers, être présent et ça demande du temps !
Le système actuel me convient. Les sensibilités politiques seraient peut-être mieux représentées si le vote était obligatoire, rendant de fait tout élu totalement légitime.
Non
None
Rendons le passage par les urnes obligatoires. L'abstention est un réel problème : comment légitimer une décision ou un élu avec des taux d'abstentions records ? On aura une masse de plus en plus importantes de citoyens qui ne se sentiront pas représentés. Le vote est un devoir !
Non
None
C'est compliqué : comment faire une démocratie participative quand une minorité (celle qui fait le plus de bruit) l'emporte sur la majorité ou sur des processus pourtant bien validés (notre dame des landes, écotaxe, etc.) ? Les réunions publiques et autres concertations rassemblent généralement les mécontents ou les lobbies : le débat est forcément biaisé. De nos jours, chacun a son avis et ne supporte pas qu'un autre ou une majorité ait un avis différent : comment débattre ou prendre des décisions dans ce contexte ? Je n'ai pas la solution mais si on développe plus encore la concertation et la démocratie participative, alors à quoi servent les élus ?
Non
Si on commence à provoquer des référendums sur tout et n'importe quoi, sur la base de petites minorités de mécontents, alors le débat public n'avancera plus et plus aucune réforme, plus aucun projet, plus rien ne sera possible.
Libre accès au budget et aux dépenses (investissement et fonctionnement), contrôlable en temps réel par l'ensemble des citoyens.
Sans avis
None
Sans avis
La France est un Etat laïc garantissant à tous la liberté de culte. Il n'est en revanche pas admissible, qu'au nom de la liberté religieuse, certaines personnes tentent d'imposer des modifications de nos modes de vie et valeurs. Interdiction de tout aménagement d'horaire, de menu ou autre pour tenir compte des contraintes religieuses dans les services publics (cantines, piscines, etc.) et application stricte de la loi. Arrêter de prêter une attention trop forte au communautarisme : c'est le meilleur moyen de l'entretenir.
Ca passe par l'éducation et par l'école en grande partie. La question se pose pour le nouveaux arrivés dans notre pays : un stage de citoyenneté ou de laïcité pour leur expliquer le mode de fonctionnement de la République serait sans doute nécessaire si ça n'existe pas encore. Peut-être également imposer une formation obligatoire pour tous les prêtres, imams, rabbins et autres afin de bien s'assurer que les messages transmis aillent bien dans ce sens.
Limiter à 2 le nombre de mandats consécutifs, une meilleures transparence sur l'utilisation des deniers publics.
Laïcité, entre-aide, respect et écoute, respect de la démocratie et du vote, respect de la notion d'intérêt public, respect du bien public, respect des institutions et de leurs représentants (élus et agents de la fonction publique), respect du citoyen. Exemplarité des élus qui sont nos représentants : si eux passent outre, comment la population doit-elle interpréter le message ?
L'éducation civique, à l'école, est une, si ce n'est la base. Elle est aussi importante que les maths ou le français alors que la place qui lui est accordée est ridicule... Envoyer systématiquement la facture aux casseurs et autres fauteurs de troubles, la reporter sur leurs ayants droits s'ils ne sont pas solvables. Condamner systématiquement les comportements inciviques d'où qu'ils viennent. Suppression de l'immunité parlementaire et présidentielle pour des élus exemplaires.
Aucune idée
Ne serait-ce qu'apprendre à dire bonjour, au revoir, s'il vous plait et merci nous ferait déjà tous bien progresser. Les incivilités les plus pénibles à mon sens concernent les dégradations de bien publics (on envoie la factures aux responsables des dégradations), l'intolérance à la laïcité ou aux autres religions, le refus d'intégration.
Envoyer la facture à ceux qui dégradent : malheureusement une bonne partie de la population ne comprend que ça ! Afficher le coût réel de ce qui est dégradé ou détruit pour faire prendre conscience de la valeur des choses.
Ne serait-ce qu'apprendre à dire bonjour, au revoir, s'il vous plait et merci nous ferait déjà tous bien progresser.
None
None
Oui
Obligation de rechercher un emploi ou d'accepter ce qu'on vous propose, obligation de formation et de reconversion professionnelle, suppression des aides en cas de dégradations. Pour le handicap, arrêter de demander tous les ans des justificatifs pour certains handicaps incurables (un aveugle ne risque pas de retrouver la vue d'une année sur l'autre).
Apprentissage obligatoire de la langue, des valeurs de la République, des modes de vies et coutumes principales. Ne plus accepter l'immigration économique et arrêter de faire croire que la France est un paradis. Pas de prime au retour : renvoi direct sans indemnités. Pratiquer une immigration choisie uniquement avec solution d'emploi et logement dès l'arrivée à l'initiative du demandeur, retour à la frontière pour tous les autres. Ne plus accorder systématiquement la nationalité française à la naissance, uniquement la nationalité des parents.
Oui
Participer au développement et à l'éducation dans les pays d'origine. Retour systématique à la frontière.
Apprentissage obligatoire de la langue, des valeurs de la République, des modes de vies et coutumes principales. Ne plus accepter le communautarisme et l'entre soi qui ne sont pas des facteurs d'intégration. Rappeler que nous avons tous des droits mais aussi et surtout des devoirs !
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Une clarification des compétences et une suppression des doublons est nécessaires (communes - intercommunalités par exemple).
Non
L'Etat a déjà transféré et inventé beaucoup de compétences, d'agents, de patrimoine sans forcément donner les moyens financiers qui vont avec. Il arrive un moment où les collectivités, avec des moyens financiers en baisse, ne peuvent plus suivre...
Oui
RAS
Pas d'avis
Non
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Aucun : chute des moyens partout, chute du service pour tous partout... Mieux vaut ne pas être malade ou pressé pour une démarche.
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Oui
Non
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Le dossier MDPH annuel : c'est fastidieux, long et vexant de devoir tous les ans justifier de son handicap (voire de devoir le rejustifier en cas de refus) alors que le handicap en question ne pourra pas s'effacer... Sans doute y-a-t'il moyen d'économiser du temps et de l'argent pour un traitement plus humain des personnes concernées.
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Je ne comprends pas cette notion.
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Qu'est-ce que "l'administration" ? Que met-on derrière cette notion alors qu'il existe plusieurs fonctions publiques, plusieurs centaines de types d'emplois différents, plusieurs types d'organisation en fonction des collectivité ou des lieux, etc. Revoir le fonctionnement pour qui (les agents ? le public ? les élus ?) et pour quoi (optimisation ? économie ? renforcement des services ?). Difficile de répondre à cette question que je ne comprends pas...
En laissant un peu plus d'autonomie aux collectivités et en arrêtant de les infantiliser ou de leur en demander toujours plus à moyens constants ou en baisse...
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La demande d'AVS pour enfant handicapé : le parcours du combattant pour justifier de l'utilité face à un manque de moyens criants pour donner satisfaction à tout le monde. On est encore loin de l'égalité des chances...
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Le dossier MDPH annuel : c'est fastidieux, long et vexant de devoir tous les ans justifier de son handicap (voire de devoir le rejustifier en cas de refus) alors que le handicap en question ne pourra pas s'effacer... Sans doute y-a-t'il moyen d'économiser du temps et de l'argent pour un traitement plus humain des personnes concernées. On est encore très loin de l'égalité des chances pour tous : le handicap n'est pas un choix, il est subit. Rendez-le plus humain à vivre !
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La recherche continue des économies et d'optimisation, le nivellement par le bas commencent à atteindre leurs limites sur certains postes de dépenses (puisque nous sommes dans une logique comptable et non plus de service au public) : santé, éducation, police, etc. ne peuvent plus remplir correctement leur mission. La population augmente, les besoins et attentes augmentent, les effectifs et les moyens diminuent, personne ne veut payer... Cherchez l'erreur. On ne peut pas promettre toujours plus ou le maintien du service public à niveau de recette ou de dette égal (voire en diminution avec la suppression de la taxe d'habitation) : il va falloir faire des choix et les assumer pour réduire la qualité ou le nombre de services rendus au public pour répondre à la logique financière... Les décideurs et la population devront assumer ces choix en toute connaissance de cause. On ne peut pas d'un côté demander la diminution des prélèvements et de l'autre l'accroissement ou le maintien de tous les services publics. Merci également de ne plus stigmatiser les agents de la fonction publique : nombre d'entre eux font leur travail avec conscience et application pour le service au public, passent leur temps à se faire reprocher qu'ils sont payés bien cher pour ce qu'ils font tant de la part de la population que de la part des élus, passent leur temps à s'entendre dire qu'ils sont trop nombreux ou jamais assez quand il le faut. Il faut être solide pour supporter cela et on note le développement d'un malaise profond. Ce malaise se renforce devant le mépris dont certains décideurs peuvent faire preuve tel M. Dussopt : « Une augmentation du point n’est pas notre choix pour traiter des questions salariales, explique M. Dussopt. Lorsqu’on l’augmente de 1 %, cela coûte 2 milliards d’euros et représente à peine 15 euros par mois pour un agent à 2 000 euros net. » . Certes, sur une seule augmentation, c'est 15€ par mois. Mais multiplié par les quelques années sans augmentation du point d'indice ça donne quoi par mois ???? Alors oui, on comprend tous les besoins d'économie, mais s'il vous plait, arrêtez de nous faire passer pour des parasites et d'être méprisants.
La biodiversité et la disparition de certaines espèces
Plusieurs options : - Modifier nos pratiques agricoles en profondeur : suppression des pesticides et autres produits en priorité, modification du travail de la terre pour un travail moins en profondeur (préservation des micro organismes, qualité de la terre et des sols). Un plan Marshall de l'agriculture est indispensable et très urgent (pas dans 10 ans, tout de suite) sur la base de principes du type permaculture (économe en eau et surface, bon rendement, protection des sols). - Reboiser et arrêter de déboiser : retour des haies et du bocage, développer la verdure en milieu urbain, etc. Fixer des linéaires minimum à l'hectare de surface cultivée ? Les haies permettent d'offrir un habitat à la faune, régulent l'écoulement des eaux et limitent l'érosion. - Action sur l'éclairage public : imposer la suppression de tout éclairage public entre 22h00 et 6h00 - Protection et sauvegarde de tous les pollinisateurs : sans eux, pas de végétal, pas de culture et nous sommes tous morts. - Protection des cours d'eau, des captages, des milieux océaniques : arrêtons les rejets (volontaires et involontaires) qu'ils soient chimiques ou de déchets de toute sorte. Sans eau pas de vie possible...
Oui
Vagues de chaleur estivales de plus en plus importante, dérèglement saisonnier, modification de la pluviométrie avec des sécheresses qui semblent plus importantes et fréquentes.
Oui
J'utilise mon vélo pour aller au travail (18 km aller-retour tous les jours), j'essaie de moins utiliser mon véhicule, j'amène mes enfants à pied à l'école, utilisation des transports collectifs, je limite au maximum l'utilisation de véhicules au travail. Je limite au maximum ma consommation d'eau.
Seule la contrainte semble efficace, nous n'avons plus les moyens de donner des primes pour tout : taxe sur les carburants, plans de circulations complexe, réduction drastique des vitesses maximales autorisées en zone agglomérée (généralisation du 30 en remplacement du 50), développement de l'autopartage, un plan covoiturage national fort, développement d'un réseau cyclable fort et intercommunal, limitation des capacités de stationnement voiture sur l'espace public au profit des piétons - cyclistes - transports en communs (sans stationnement difficile d'utiliser sa voiture), etc.
Remettre la taxe carbone et poursuivre l'évolution prévue de la taxation du coût des carburants, taxer le fuel lourd et le kerozene fortement. Si on continue à avoir des solutions supportables et peu douloureuses, nous n'avancerons pas...
Oui
Des explications sur le bon mode de chauffage à choisir, émises par un organisme indépendant et non partisan qui ne soit pas dépendant des lobbies énergétiques. Pour le moment c'est une jungle, chacun défend son procédé et au final on ne sait que choisir...
Oui
Je le fais déjà au quotidien avec mon vélo. Pour le covoiturage c'est déjà plus compliqué (barrière psychologique à franchir).
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Les collectivités à un échelon intercommunal à minima. Pour plus de cohérence la réflexion devrait se faire à l'échelle des bassins de vie et dépasser les limites administratives telles que nous les connaissons. Cela ne peut pas se faire sans volonté et implication forte de l'Etat.
Etre exemplaire, agir au lieu de parler, expliquer les choses simplement et avec pédagogie à sa population, arrêter d'attendre que les autres bougent. Nous devons être moteurs et aller de l'avant, nous n'avons plus le temps d'attendre. Changeons nos habitudes sans attendre les autres, et tant pis pour eux s'ils ne suivent pas tout de suite : si on arrive à montrer que c'est possible, alors ils nous suivront. Faisons le nécessaire chez nous au lieu de donner des leçons et de gesticuler : l'exemplarité sera plus efficace même si elle demande un courage que nous n'avons peut-être pas aujourd'hui collectivement.
- Quid de la production énergétique en France et dans le monde, devons-nous continuer sur le nucléaire (qui va par ailleurs couter une fortune à démanteler sans parler des risques d'accident : les japonais aussi étaient confiants...) ? Des solutions de production d'énergie à partir d'autres ressources telles que le CO2 ne sont-elles pas envisageables ? - Quand l'Etat et les collectivités seront-ils vertueux ? L'exemplarité est indispensable pour provoquer le changement de comportement. Si rien ne vient du haut, si les élus et autres dirigeants ne montrent pas l'exemple, alors la population ne chargera pas. Nous sommes tous dans la même barque, c'est nous tous qui devons faire un effort et pas seulement une petite majorité. Comment convaincre les pays les plus pauvres de ne pas reproduire nos erreurs si nous ne faisons rien ? On ne peut pas se contenter de rester des donneurs de leçon... A un moment il va falloir bouger et arrêter de compter sur les autres ou de les attendre ! - Posons-nous la question des déplacements : la voiture électrique est-elle la solution ? D'où viennent les ressources pour produire les batteries ? Combien de centrales nucléaires pour faire le plein ? Quel recyclage ? - A quand des actions fortes sur le recyclage ? Nous n'allons clairement pas assez loin aujourd'hui et nous gaspillons beaucoup trop !!! Faut-il attendre la fin et une pénurie massive pour changer ? - A quand l'interdiction des bananes, fruits de la passion et autres produits alimentaires venant de l'autre bout de la planète ? A quand le respect des saisons et la fin des fraises en hiver ? Privilégier les circuits courts ça passe aussi par l'arrêt de l'importation de ce genre de produits. - A quand la fin de l'importation massive de produits à pas cher (textile, électronique, etc.) et généralement jetables, généralement générateurs d'une surconsommation de matière première, d'énergie, d'eau, etc. et causes d'une sur-consommation effarante dont je suis moi même acteur... ? - A quand un discours clair sur la surpopulation : nous sommes trop nombreux sur terre, la population continue de monter. Il n'y en a pas assez pour tout le monde... Mettons fin la natalité galopante, fin des allocations familiales et des politiques natalistes. - A quand un discours clair sur les méfaits de la consommation à outrance et sur notre mode de vie destructeur ? Comment ferons-nous quand l'humanité toute entière fera comme nous ? Il n'y a qu'une planète, nous allons avoir du mal à aller voir ailleurs ou à pousser les murs. - A quand la fin de l'humanité si nous continuons sur le rythme actuel ? Avant nous la planète se débrouillait très bien et elle le fera après nous. Je ne pense pas voir la fin de l'humanité de mon vivant, je n'en dirais pas autant de mes enfants. Une chose est sûre, nous sommes sur le début de la fin et personne ne semble vouloir se bouger pour sauver un tant soit peu les meubles. Mais après-tout, c'est peut-être le moins pire qui puisse arriver au reste de la biodiversité. - Remettons l'entre-aide au coeur du débat.
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