expliquer la composition de la dépense publique (États, collectivités locales, administrations, etc.), expliquer les variations d'une année à l'autre.
Aligner la fiscalité des revenus du patrimoine sur la fiscalité des revenus (suppression du PFU). Suppression de l'IFI. Aligner la fiscalité des retraités sur la fiscalité des actifs. Évaluer la possibilité d'une TVA plus élevée sur les produits de luxe, les produits peu sain (e.g. aliments transformés, cigarettes, alcool), d'une TVA plus réduite sur les produits de première nécessité (e.g. produits hygiéniques, alimentation de base). Remettre à plat les niches fiscales : évaluation de chaque niche fiscale (i.e. coût pour l'état, bénéfice pour l'état, quelle population bénéficie de la niche fiscale), évaluation de la possibilité de fusion / simplification des niches fiscales, suppression des niches fiscales inefficaces. Si possible remplacement des niches fiscales par une forte de revenu universel.
Aucun : la priorité est à la réduction des dépenses publiques et à la réduction de la dette publique. Une réorientation de la fiscalité (cf. supra). Éventuellement, évaluer la possibilité d'une réduction de la fiscalité sur les successions : cette dernière est élevée pour les patrimoines moyen-supérieurs, mais n'impacté que marginalement les très hauts patrimoines.
Reculer l'âge de la retraite|Augmenter le temps de travail|Revoir les conditions d'attribution de certaines aides sociales
Envisager, pour les allocations chômages et la retraite, d'introduire un niveau de rémunération unique. les hauts revenus pouvant par ailleurs cotiser à des assurances privées qui compenseraient leur perte. Réforme à introduire très progressivement, après évaluation préalable et comparaison avec les modèles sociaux existants par ailleurs en Europe.
Aucun : la France est l'un des pays, sinon le pays, où la redistribution des richesses est la plus efficace, où l'assurance chômage est la plus protectrice, où la retraite commence le plus tôt, et où les dépenses de santé sont le mieux couvertes.
Aucun : les prélèvements obligatoires en France sont permis les plus élevés des pays développés. La priorité n'est pas l'augmentation des impôts mais leur réduction, via la baisse de la dépense publique, ou, a minima, sa réorientation vers l'éducation et la formation, au détriment de la défense et de la protection sociale (des assurances privées pouvant prendre le relais sur les très hauts revenus).
La dépense publique ne devrait pas évoluer plus vite que l'inflation sur une période suffisamment longue (e.g. 10 ans?) : renforcer l'utilisation des programmations pluri-annuelles pour libérer des marges de manoeuvre budgétaire et laisser le temps à l'État, collectivités territoriales, etc. de déployer des investissements et (ii) renforcer l'évaluation de la dépense publique. Définir des cibles budgétaires, s'y tenir, renforcer le pouvoir d'évaluation et de sanction de la Cour des Comptes.
L'assemblée nationale
Non
None
Interdire / encadrer le cumul des mandats (à la fois par type de mandat, et dans le temps), par exemple pas de cumul de mandat local et national, pas plus de deux mandats nationaux, pas plus de deux mandats locaux. Il faut favoriser le renouvellement de la classe politique.
Une bonne chose
Il permet un renouvellement de la classe politique.
N/A les différentes sensibilités sont bien représentées dans le débat national. Les élections permettent de définir une majorité, qui doit alors gouverner. La proportionnelle risque d'entraîner une paralysie du pays en forçant la formation de coalitions peu stables.
Oui
Les élus locaux (conseillers municipaux, régionaux). le bon niveau de décision semble être le département.
Il faudrait rendre obligatoire (dans la mesure du possible, et en fonction des natures d'élections) la participation des citoyens. Il faudrait reconnaître le vote blanc et nul (cf. infra).
Oui
Introduire des quorums de suffrages exprimés (ni blanc ni nul) permettant de valider le résultat des élections. Seuils suffisamment significatifs, afin que les élus soient légitimes. Couplée à un vote obligatoire, cela permettrait de renforcer la légitimité des élus.
Il faudrait envisager un remplacement du Sénat ou du CESE par une assemblée citoyenne : désignation des citoyens par tirage au sort, pour une durée de 6 mois (par exemple), mise en disponibilité de l'entreprise ou de l'administration et prise en charge de la rémunération par l'État (ou versement d'un salaire minimum, e.g. SMIC, si pas de revenus), vote sur chacune des mesures proposées par le parlement. Envisager que cette assemblée soit "digitale" ou délocalisée : pas de mobilité obligatoire des participants.
Non
None
Soumettre, lors des élections législatives et locales, à un vote contraignant un budget pluri-annuel (sur la durée de la mandature). En cas de modification de plus de 2% de ce budget, re-soumettre au vote. Permettre les arbitrages, à dépenses constantes, entre les différents postes de dépenses proposés dans le budget (i.e. chaque citoyen vote individuellement sur la répartition des dépenses, en toute liberté). Soumettre à un référendum ou à un vote d'une assemblée citoyenne toute dépenses nouvelle qui entraînerait un accroissement du déficit ou de la charge fiscale sur les entreprises ou les ménages, après revue et validation du projet par la Cour des Comptes.
None
Oui
Envisager leur remplacement par des assemblées citoyennes, renouvelées régulièrement et délocalisées.
Pour l'ensemble des religions, aligner les principes de la fiscalité, des subventions, de l'encadrement et de la formation des religieux.
Éducation, égalité.
Le service national universel est une bonne mesure.
None
None
None
None
None
None
None
None
Oui
Service associatif, public, etc., en fonction des moyens (physiques, intellectuels, autres) de chacun. Par exemple, renforcer le mécénat de compétence, inciter des chômeurs à participer à des associations.
Convenable. Il faudrait envisager la mise en place de quota d'immigration en fonction des besoins (e.g. par type de qualification, main d'oeuvre, etc.).
Oui
À l'aide d'experts, évaluer les dispositifs les plus à même de répondre aux enjeux de l'immigration (il n'est pas sûr par exemple que l'aide directe aux États soit la meilleure réponse?). Peut être faut-il renforcer les partenariats éducatifs, mettre en place des quotas fermes?
L'école, l'éducation, la formation, et l'insertion professionnelle (association, entreprise, etc.)
Nous avons besoin de l'immigration. Néanmoins, il est important de l'encadrer. La situation actuelle n'est pas catastrophique mais il faut anticiper les déséquilibres futurs.
Les dérèglements climatiques (crue, sécheresse)
Afin de réduire les émissions carbones, il faudrait d'abord investir massivement dans des énergies peu / pas polluantes, en s'appuyant éventuellement sur le nucléaire comme énergie de transition (limiter l'usage de la "biomasse"). Cela pourrait passer par des partenariats publics / privés, des subventions, qui permettraient de progressivement décarbonner l'économie. En parallèle, introduire une fiscalité sur les entreprises polluantes (principe du pollueur / payeur) sur leur production en France et sur leurs importations de pays qui ne respecteraient pas les mêmes contraintes que la France (afin de limiter les déséquilibres compétitifs). Aussi, favoriser (après revue, remise à plat des niches fiscales existantes et simplification des dispositifs d'aide) les travaux d'entretien / rénovation des bâtiments (logements en priorité) pour réduire leur consommation énergétique. (e.g. inciter à l'installation de panneaux solaires sur les toits des immeubles, remplacement des chaudières, remise à niveau de l'isolation) Enfin, sur les mobilités, favoriser l'acquisition de véhicules avec une emprunte carbone faible (par forcément les véhicules électriques, dont les composantes sont issues d'industries polluantes, mais plutôt les petits véhicules, les véhicules peu polluants), favoriser l'usage des transports en commun dans les zones urbaines, par exemple via la mise en place d'un péage urbain.
Non
None
Oui
Par exemple : Consommer local dans la mesure du possible, limiter la consommation d'eau (douche plutôt que bain), usage des transports en commun quand c'est possible.
Une fiscalité incitative : e.g. pouvoir déduire des impôts le coût de l'entretien d'une chaudière à une fréquence donnée, déduction qui dépendrait du montant des revenus du foyer, apporter des subventions pour les rénovations qui permettent de réduire l'empreinte carbone des bâtiments. Ces modifications doivent se faire sans impact sur la fiscalité globale (le taux de prélèvement obligatoire en France est parmi les plus élevés des pays développés).
1) convertir une partie des impôts sur le revenu (CSG/CRDS + IRPP) en fiscalité écologique, avec un solde globalement nul. les foyers écologiquement vertueux bénéficieraient d'une réduction de leurs impôts, les autres foyers seraient pénalisés. cette solution paraît compliquée à mettre en place. 2) remplacer une portion de la TVA actuelle par une TVA écologique : taux réduits pour les produits écologiquement soutenables, taux majorés pour les autres.
Non
None
Je n'utilise pas la voiture pour des déplacements quotidiens
None
None
None
Favoriser l'adoption de normes communes à la majorité qualifiée plutôt qu'à l'unanimité. Introduire des taxes sur les importations de produits écologiquement moins soutenables que les produits équivalents disponibles en France.
None
Votre message a bien été envoyé.