Date de publication : 2019-03-02
Code postal : 93210

Grand débat - fiscalité et dépenses publiques

1. Quelles sont toutes les choses qui pourraient être faites pour améliorer l'information des citoyens sur l'utilisation des impôts ?

Expliquer sans cesse à quoi servent les impôts. Sur 100€, combien vont à l'éducation, la défense, la santé, la dette, les entreprises, etc. Etablir un barème montrant ce que me rapporte concrètement les impôts. et/ou montrer l'équivalent du coût pour moi si tout était privatisé : combien cela me coûterait pour l'éducation de mes enfants, ma santé, ma sécurité, mon assurance chômage, ma retraite, etc.

2. Que faudrait-il faire pour rendre la fiscalité plus juste et plus efficace ?

Revoir complètement les niches fiscales, pour les particuliers comme pour les entreprises et remettre de la progressivité dans l'impôt sur le revenu.

3. Quels sont selon vous les impôts qu'il faut baisser en priorité ?

Question mal posée qui traduit un positionnement politique. Il ne s'agit pas de baisser les impôts par principe mais de les réformer pour qu'ils soient plus justes et plus progressifs, et à partir de là, ils baisseront pour certains et augmenteront pour d'autres. Ce qui est insupportable, ce n'est pas de payer des impôts, c'est de voir que certains qui en ont pourtant les moyens payent en proportion moins d'impôts que d'autres (particuliers et entreprises).

4. Afin de financer les dépenses sociales, faut-il selon vous...

Lutter contre la fraude et l'évasion fiscale, notamment des plus grandes entreprises qui échappent à l'impôt alors qu'elles font des bénéfices en France. Autre exemple, réformer le CICE pour qu'il soit attribué à des entreprises qui en ont réellement besoin et obliger les entreprises qui détruisent de l'emploi en France ou ne payent pas leurs impôts en France à rembourser le CICE reçu (+ une taxe de 10%).

5. S'il faut selon vous revoir les conditions d'attribution de certaines aides sociales, lesquelles doivent être concernées ?

Il faut évaluer d'abord à quoi elles servent, combien elles coûtent et voir si elles remplissent ou non leur rôle. On peut éventuellement les plafonner et supprimer celles qui ne servent à rien mais lesquelles ? Lesquelles sont réellement contre-productives ?

6. Quels sont les domaines prioritaires où notre protection sociale doit être renforcée ?

La santé et la retraite.

7. Pour quelle(s) politique(s) publique(s) ou pour quels domaines d'action publique, seriez-vous prêts à payer plus d'impôts ?

L'éducation et la santé pour revaloriser et améliorer l'éducation publique, le métier d'enseignant, et avoir plus de professionnels de santé dans les hôpitaux et les EHPAD.

8. Y a-t-il d'autres points sur les impôts et les dépenses sur lesquels vous souhaiteriez vous exprimer ?

Auditez et réformez totalement la formation professionnelle que ce soit pour les personnes en emploi comme pour les personnes au chômage. Des formations utiles ne sont pas financées pendant que d'autres totalement inutiles faites par des organismes privés sont financées avec de l'argent publique. Il faut donc revoir entièrement la formation professionnelle en associant les entreprises à l'offre de formation professionnelle, et financer les formations qui débouchent sur un secteur pourvoyeur d'emplois, celles qui permettent aux salariés et aux chômeurs de se former aux nouvelles technologies par exemple. Et arrêter de financer des formations inutiles qui sont du gaspillage d'argent public. En France, on considère trop que le(s) diplôme(s) acquis entre 18 et 25 ans suffisent. Alors que la formation professionnelle, tout au long de la vie est indispensable pour évoluer, s'adapter, progresser, changer de métier. Elle doit être intelligemment encouragée.

Grand débat - démocratie et citoyenneté

1. En qui faites-vous le plus confiance pour vous faire représenter dans la société et pourquoi ?

En certains acteurs politiques (élus ou non) et en certaines organisations de la société civile (associations, ONG) car ils défendent des idées, des valeurs et des projets que je partage.

2. En dehors des élus politiques, faut-il donner un rôle plus important aux associations et aux organisations syndicales et professionnelles ?

Oui

3. Si oui, à quel type d'associations ou d'organisations ? Et avec quel rôle ?

Des associations ou organisations reconnues d'intérêt général qui ont démontré leurs connaissances et compétences sur une thématique et surtout qu'elles agissaient dans l'intérêt général et pas dans la défense d'intérêts privés.

4. Que faudrait-il faire pour renouer le lien entre les citoyens et les élus qui les représentent ?

Les élus doivent agir en toute transparence vis-à-vis des citoyens et rendre des comptes. Sur leurs actions, leurs décisions, leurs rencontres, leurs dépenses, leurs votes. On vote pour eux pour qu'ils nous représentent. Ce n'est pas un chèque en blanc pendant 5 ans. On veut savoir ce qu'ils font concrètement, pourquoi ils le font et comment ils le font. Les moyens de communication sont suffisamment développés aujourd'hui pour qu'ils puissent rendre des comptes en toute transparence. Et pas seulement pour communiquer sur une inauguration de rond-point ou de salle des fêtes. Ils doivent expliquer leur travail, leurs prises de position et leurs votes (et leurs absences).

5. Le non-cumul des mandats instauré en 2017 pour les parlementaires (députés et sénateurs) est :

Une bonne chose

6. Pourquoi ?

Le travail parlementaire est trop prenant pour être partagé avec un autre mandat. On veut des parlementaires qui travaillent et prennent en conscience des décisions pour voter ou non une loi. La mission des parlementaires au-delà de l'élaboration et du vote des lois est aussi de contrôler l'action du gouvernement (notamment par les commissions d'enquêtes parlementaires). C'est un rôle essentiel dans une démocratie. Et cela prend du temps. Impossible de cumuler avec un autre mandat local.

7. Que faudrait-il faire pour mieux représenter les différentes sensibilités politiques ?

1) Aligner le calendrier de l'élection présidentielle et des élections législatives pour accroître la représentativité de l'Assemblée nationale. Votons le même jour ! Il n'est pas normal que depuis l'instauration du quinquennat l'Assemblée nationale soit totalement soumise au résultat de l'élection présidentielle. Depuis 3 mandats, on se rend compte que ce système ne marche pas. Un Président élu avec 25%-30% (ou moins) de voix au 1er tour de la Présidentielle, se retrouve avec 60% de députés à l'Assemblée et pourtant il est détesté moins d'un an après son élection. Avoir une majorité écrasante à l'Assemblée (avec souvent des députés godillots) n'accroît pas la représentativité, bien au contraire, cela accentue le fossé entre élus et citoyens qui ne se sentent pas représentés. En votant le même jour pour le Président et les députés on réduirait cette surreprésentation de la majorité présidentielle et permettrait d'avoir une assemblée plus représentative du panorama politique. 2) Il est nécessaire d'introduire une part de proportionnelle (25% par exemple) lors des élections législatives afin d'accroître la représentativité de l'Assemblée. L'Assemblée Nationale doit mieux représenter le panorama politique du pays. Sans retomber dans l'instabilité de la IVe République, l'argument de la gouvernabilité ne peut se faire au détriment de la représentativité et du débat parlementaire.

8. Pensez-vous qu'il serait souhaitable de réduire le nombre d'élus (hors députés et sénateurs) ?

Oui

9. Si oui, lesquels ?

On ne peut pas avoir des élus locaux qui cumulent avec l'intercommunalité, plus des élus départementaux, plus des élus régionaux, plus de parlementaires nationaux et européens. Réduisons d'au moins de moitié un des échelons, par exemple les élus départementaux. On pourrait même supprimer l'échelon du département. On réduit de moitié les élus départementaux, et la moitié des élus restant deviennent des élus régionaux représentants les départements. Les Régions récupèrent les fonctions et les dotations des départements et conservent une représentation au service des citoyens dans chaque département.

10. Que pensez-vous de la participation des citoyens aux élections et comment les inciter à y participer davantage ?

La participation aux élections baisse car les citoyens ont l'impression de n'être ni écouté, ni pris en compte, ni représenté par leur élus. Donc la première réforme à faire vient des élus eux-mêmes ! Avant de vous présenter à une élection, écoutez les gens, leurs problèmes, leurs demandes. Réfléchissez. Pensez à des solutions, sans idéologie, ni esprit partisan. Rédigez une lettre d'engagement en 10 points concrets (et vérifiable) qui seront votre priorité pendant votre mandat. Une fois élus, conservez le contact avec les citoyens. Rendez des comptes. Ne décidez pas seul pendant 5 ans dans votre coin. Sur des thématiques fortes, prenez le temps de consulter les citoyens qui vous ont élu. Organisez des référendums locaux ou des consultations sur des thématiques précises. Organisez une consultation par an (ou à mi-mandat) pour recueillir l'avis et les priorités des citoyens. C'est en les associant à votre mandat que vous les inciterez à participer aux élections suivantes.

11. Faut-il prendre en compte le vote blanc ?

Oui

12. Si oui, de quelle manière ?

On le comptabilise et s'il y a plus de 50% de vote blanc, 1) Soit on refait une élection un mois après, en changeant une partie des candidats. Tous les candidats qui n'auraient pas atteint les 10% à la 1ère élection ne peuvent pas se représenter. 2) Soit on organise une élection en soumettant au vote que les 10 engagement précis sur les programmes des candidats. Les électeurs choisissent 10 mesures parmi toutes celles figurant sur les programmes proposés, avec la possibilité de panacher entre les programmes. On voit quelles sont les 10 mesures recueillant le plus de votes. Est élu le candidat qui compte le plus de propositions parmi les 10, et il s'engage à mettre en place les 10 mesures les plus plébiscitées (même si certaines viennent d'un autre programme que le sien).

13. Que faudrait-il faire aujourd'hui pour mieux associer les citoyens aux grandes orientations et à la décision publique ? Comment mettre en place une démocratie plus participative ?

En consultant les citoyens sur des décisions d'importance qui font débat. On pourrait organiser une ou deux fois par an, une journée de consultation au niveau national et local pour consulter les citoyens.

14. Faut-il faciliter le déclenchement du référendum d'initiative partagée (le RIP est organisé à l'initiative de membres du Parlement soutenu par une partie du corps électoral) qui est applicable depuis 2015 ?

Oui

15. Si oui, comment ?

Le RIP n'a jamais été utilisé. Il repose en paix. Preuve de son inutilité. Inversons son déclenchement, tout en l'encadrant. Si 20% du corps électoral demandent un référendum sur une question précise, le Parlement est obligé de se prononcer sur son organisation. Et pour l'interdire, les Parlementaires doivent réunir une majorité qualifiée des 3/5 (AN + Sénat).

16. Que faudrait-il faire pour consulter plus directement les citoyens sur l'utilisation de l'argent public, par l'Etat et les collectivités ?

Communiquer aux citoyens le détail des 20 plus importants postes de dépenses de chaque entité publique (ministère, collectivités locales, entreprises publiques) en indiquant à quoi ils servent, l'avantage et le coût pour la collectivité. Voir comment on peut les rationaliser. Éventuellement, les soumettre au vote.

17. Quel rôle nos assemblées, dont le Sénat et le Conseil économique, social et environnemental, doivent-elles jouer pour représenter nos territoires et la société civile ?

Pour représenter nos territoires faut-il encore que leur mode d'élection et de désignation associent réellement les territoires et la société civile. Et ne soit pas que des arrangements loin des yeux des citoyens.

18. Faut-il les transformer ?

Oui

19. Si oui, comment ?

D'abord réformer le mode de désignation des Sénateurs et des membres du CESE pour que ces deux assemblées soient plus transparentes, représentatives et démocratiques. L'élection des Sénateurs ne peut plus être un marchandage entre partis politiques auxquels les citoyens ne sont pas associés. La désignation des membres du CESE ne peut plus être un fait du/des prince(s) pensée dans le seul but de récompenser des "amis" politiques. Par exemple, pourquoi les membres du CESE ne seraient pas plutôt une assemblée composée à 80% de professeurs d'Université, de chercheurs, de spécialistes et à 20% de représentants d'ONG/association d'intérêt général ?

20. Que proposez-vous pour renforcer les principes de la laïcité dans le rapport entre l'Etat et les religions de notre pays ?

1) Arrêter d'instrumentaliser la laïcité. La loi sur la laïcité et celle sur la séparation de l'église et de l'Etat sont suffisamment claires et équilibrées en l'état. Il faut l'appliquer strictement, sans préjugé ni faiblesse mais sans arrière pensée. 2) Enseigner ce qu'est la laïcité, et les lois de la République (liberté de croire ou de ne pas croire, respect des religions, etc) à tous. 3) Dialoguer avec toutes les religions pour convenir d'un texte commun sur l'exercice pratique et concret du culte et son financement.

21. Comment garantir le respect par tous de la compréhension réciproque et des valeurs intangibles de la République ?

Par l'éducation et l'information. Sans démagogie, sans instrumentalisation.

22. Que faudrait-il faire aujourd'hui pour renforcer l'engagement citoyen dans la société ?

Que l'engagement citoyen c'est à dire au service des autres et de la société soit faciliter et valoriser symboliquement comme financièrement.

23. Quels sont les comportements civiques qu'il faut promouvoir dans notre vie quotidienne ou collective ?

Les comportements de respect, d'entraide, de solidarité, de bienveillance.

24. Que faudrait-il faire pour favoriser le développement de ces comportements civiques et par quels engagements concrets chacun peut-il y participer ?

Les valoriser et les récompenser, symboliquement comme financièrement. Par exemple, le bénévolat et l'engagement pour une cause utilise à la société pourrait être récompensé par une baisse d'impôt ou une journée de congés supplémentaire par exemple. Ou faciliter par un jour par mois offert par l'entreprise.

25. Que faudrait-il faire pour valoriser l'engagement citoyen dans les parcours de vie, dans les relations avec l'administration et les pouvoirs publics ?

Créer des comités citoyens qui représentent les usagers auprès des administrations. Chaque citoyen pourrait transmettre ses remarques (positives et négatives) à ce comité qui se réunirait avec l'administration en question.

26. Quelles sont les incivilités les plus pénibles dans la vie quotidienne et que faudrait-il faire pour lutter contre ces incivilités ?

Les dégradations, les violences, les insultes.

27. Que peuvent et doivent faire les pouvoirs publics pour répondre aux incivilités ?

Eduquer, prévenir, sanctionner.

28. Quel pourrait être le rôle de chacun pour faire reculer les incivilités dans la société ?

None

29. Quelles sont les discriminations les plus répandues dont vous êtes témoin ou victime ?

Les discriminations les plus courantes dont je suis témoin sont celles dont sont victimes les femmes (inégalité de salaires), des étrangers (considérés comme des citoyens de seconde zone) et des personnes de confession musulmane (ou supposée de confession musulmane).

30. Que faudrait-il faire pour lutter contre ces discriminations et construire une société plus solidaire et plus tolérante ?

Eduquer. Informer. Favoriser le dialogue.

31. Pensez-vous qu'il faille instaurer des contreparties aux différentes allocations de solidarité ?

Non

32. Si oui, lesquelles ?

None

33. Que pensez-vous de la situation de l'immigration en France aujourd'hui et de la politique migratoire ? Quelles sont, selon vous, les critères à mettre en place pour définir la politique migratoire ?

La France par sa situation géographique, politique et culturelle a toujours été une terre d'immigration. Qu'on le veuille ou non, la France attire des personnes étrangères. Et c'est tant mieux. Mieux vaut être un pays qui attire qu'un pays qu'on fui. Mais depuis 30 ans, l'immigration en France n'est vue que négativement et n'est associée qu'à des problèmes (insécurité, chômage, intégrisme, terrorisme, etc). D'après ces discours, les immigrés seraient les responsables de tous les maux de notre société. Alors qu'ils sont nombreux à contribuer positivement à l'économie, à la culture et au rayonnement de notre pays. Bien sûr qu'il faut une politique migratoire mais elle doit être basée et pensée sur des critères objectifs et sur le long terme. Pour réussir le défi de l'immigration, il faut une volonté réelle de comprendre l'immigration (pourquoi des personnes étrangères choisissent la France ?) et une volonté politique d'intégration. Ce n'est pas en étant en permanence sur la défensive et dans le rejet de l'autre qu'on réussira ce défi. Fixons des objectifs clairs, précis et objectifs d'intégration, associés à des droits et à des devoirs en France comme en Europe.

34. En matière d'immigration, une fois nos obligations d'asile remplies, souhaitez-vous que nous puissions nous fixer des objectifs annuels définis par le Parlement ?

Non. Mesure purement démagogique. Le défi de l'immigration mérite une réponse plus ambitieuse et mieux pensée qu'un simple chiffre voté au Parlement.

35. Que proposez-vous afin de répondre à ce défi qui va durer ?

La méfiance, le rejet, l'intolérance n'ont jamais permis ni de mieux contrôler ni d'empêcher l'immigration. Dans la grande majorité des cas, on ne quitte pas son pays et sa famille par plaisir mais par nécessité et dans l'espoir d'une vie meilleure. La France et l'Europe font figure d'Eldorado pour nombre d'étrangers en quête d'une vie meilleure. Soit la situation dans leur pays d'origine s'améliore soit ils continueront à chercher ailleurs ce qu'ils n'ont pas/plus dans leur pays d'origine. Que faire ? Se coordonner au niveau européen sur des règles, des objectifs, des droits et des devoirs en matière d'immigration et d'intégration.

36. Quelles sont, selon vous, les modalités d'intégration les plus efficaces et les plus justes à mettre en place aujourd'hui dans la société ?

L'école, l'éducation, la formation. A la langue et à la culture française. Enseigner les règles, les droits et les devoirs de chacun. Pourquoi ne pas créer des "référents" ou des "tuteurs d'intégration" pendant la première année sur le territoire ? Leur rôle serait justement d'aider à l'intégration, à la compréhension de notre société, de son histoire, et de son fonctionnement, de ce qu'on peut faire et ne pas faire.

37. Y a-t-il d'autres points sur la démocratie et la citoyenneté sur lesquels vous souhaiteriez vous exprimer ?

None

Grand débat - organisation de l'Etat et des services publics

1. Que pensez-vous de l'organisation de l'Etat et des administrations en France ? De quelle manière cette organisation devrait-elle évoluer ?

None

2. Selon vous, l'Etat doit-il aujourd'hui transférer de nouvelles missions aux collectivités territoriales ?

None

3. Si oui, lesquelles ?

None

4. Estimez-vous avoir accès aux services publics dont vous avez besoin ?

Oui

5. Si non, quels types de services publics vous manquent dans votre territoire et qu'il est nécessaire de renforcer ?

None

6. Quels nouveaux services ou quelles démarches souhaitez-vous voir développées sur Internet en priorité ?

L'Etat civil, à condition que cela fonctionne. Un exemple. Pour obtenir une attestation de Pacs, il fallait auparavant se rendre physiquement au Tribunal de Grande instance du département où avait été signé le Pacs. ça n'était pas très pratique mais cela fonctionnait. Depuis fin 2017, le service a été regroupé/déplacé à Nantes. Sauf que ce service n'a, les premiers mois, pas été capable de fournir l'attestation de Pacs demandée.

7. Avez-vous déjà utilisé certaines de ces nouvelles formes de services publics ?

Non

8. Si oui, en avez-vous été satisfait ?

None

9. Quelles améliorations préconiseriez-vous ?

None

10. Quand vous pensez à l'évolution des services publics au cours des dernières années, quels sont ceux qui ont évolué de manière positive ?

None

11. Quels sont les services publics qui doivent le plus évoluer selon vous ?

None

12. Connaissez-vous le "droit à l'erreur", c'est-à-dire le droit d'affirmer votre bonne foi lorsque vous faites un erreur dans vos déclarations ?

None

13. Si oui, avez-vous déjà utilisé ce droit à l'erreur ?

None

14. Si oui, à quelle occasion en avez-vous fait usage ?

None

15. Pouvez-vous identifier des règles que l'administration vous a déjà demandé d'appliquer et que vous avez jugées inutiles ou trop complexes ?

None

16. Faut-il donner plus d'autonomie aux fonctionnaires de terrain ?

None

17. Si oui, comment ?

None

18. Faut-il revoir le fonctionnement et la formation de l'administration ?

None

19. Si oui, comment ?

None

20. Comment l'Etat et les collectivités territoriales peuvent-ils s'améliorer pour mieux répondre aux défis de nos territoires les plus en difficulté ?

None

21. Si vous avez été amené à chercher une formation, pouvez-vous indiquer les éléments de satisfaction et/ou les difficultés rencontrés en précisant, pour chaque point, l'administration concernée :

La formation professionnelle est un désastre. 1) Les organismes de formation sont trop nombreux (plus de 55 000), difficile de s'y retrouver et de différencier les organismes sérieux des escrocs. 2) Quand on cherche et trouve une formation qui peut nous être utile pour évoluer, acquérir de nouvelles compétences, le plus souvent elles sont chères et il n'y a pas d'aide au financement. 3) Quand on est au chômage, Pôle emploi oriente vers des formations et des ateliers sans intérêt et de mauvaise qualité, déconnectée de la réalité du monde du travail. Conclusion : Il faut revoir totalement le système de formation et son financement en y associant l'Etat, les entreprises et les organismes de formation, (tout en réduisant le nombre d'organismes). Créons des Centres de formations publics dans chaque région en lien avec Pôle emploi, les organismes de formation et les entreprises qui certifieraient le contenu et la qualité des formations. Evaluons les formations : soit elles sont diplômantes, reconnues par les entreprises du secteur, et utiles (parce qu'elles permettent de trouver un emploi, de changer de métier ou d'évoluer dans l'entreprise), dans ce cas elles méritent d'être financées. Soit elles ne servent à rien, dans ce cas, elles ne doivent être ni certifiés ni financées.

22. Si vous avez été amené à scolariser votre enfant, pouvez-vous indiquer les éléments de satisfaction et/ou les difficultés rencontrés en précisant, pour chaque point, l'administration concernée :

None

23. Si vous avez été amené à chercher un emploi, pouvez-vous indiquer les éléments de satisfaction et/ou les difficultés rencontrés en précisant, pour chaque point, l'administration concernée :

Pôle emploi le plus souvent ne permet pas de trouver un emploi. Pour une raison simple : la majorité des offres d'emploi ne passent pas par Pôle emploi. La plupart des entreprises passent par d'autres réseaux/structures/milieux/relations pour faire passer leurs annonces de recrutement. Donc : soit on considère que Pôle emploi est au coeur de la recherche d'emploi et le carrefour de rencontres entre demandeurs d'emploi et offres d'emploi et dans ce cas les entreprises doivent être obligées de transmettre en priorité leurs offres d'emploi à Pôle emploi (comme toute personne au chômage est obligée de s'y inscrire) soit on considère que Pôle emploi n'a pas a recevoir et transmettre les offres, et donc n'est qu'une chambre d'enregistrement pour percevoir l'assurance chômage, dans ce cas, pas la peine de faire croire aux chômeurs que Pôle emploi vous aidera à trouver un travail ni d'avoir autant de conseillers.

24. Si vous avez été amené à préparer votre retraite, pouvez-vous indiquer les éléments de satisfaction et/ou les difficultés rencontrés en précisant, pour chaque point, l'administration concernée :

None

25. Si vous avez été amené à demander un remboursement de soins de santé, pouvez-vous indiquer les éléments de satisfaction et/ou les difficultés rencontrés en précisant, pour chaque point, l'administration concernée :

None

26. Si vous avez été amené à faire une demande d'aide pour une situation de handicap, pouvez-vous indiquer les éléments de satisfaction et/ou les difficultés rencontrés en précisant, pour chaque point, l'administration concernée :

None

27. Si vous avez été amené à créer une entreprise, pouvez-vous indiquer les éléments de satisfaction et/ou les difficultés rencontrés en précisant, pour chaque point, l'administration concernée :

None

28. Si vous avez été amené à recruter du personnel, pouvez-vous indiquer les éléments de satisfaction et/ou les difficultés rencontrés en précisant, pour chaque point, l'administration concernée :

None

29. Si vous avez été amené à former du personnel, pouvez-vous indiquer les éléments de satisfaction et/ou les difficultés rencontrés en précisant, pour chaque point, l'administration concernée :

None

30. Si vous avez été amené à rémunérer du personnel, pouvez-vous indiquer les éléments de satisfaction et/ou les difficultés rencontrés en précisant, pour chaque point, l'administration concernée :

None

31. Si vous avez été amené à mettre fin à votre activité, pouvez-vous indiquer les éléments de satisfaction et/ou les difficultés rencontrés en précisant, pour chaque point, l'administration concernée :

None

32. Si vous avez été amené à recruter une personne portant un handicap, pouvez-vous indiquer les éléments de satisfaction et/ou les difficultés rencontrés en précisant, pour chaque point, l'administration concernée :

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33. Y a-t-il d'autres points sur l'organisation de l'Etat et des services publics sur lesquels vous souhaiteriez vous exprimer ?

None