Par les associations (sauf celles encrées dans des idéologies ou des dogmes) qui sont plus des gens et de leurs préoccupations.
Oui
Associations citoyennes qui œuvrent pour le bien être de la population et pas pour des partis ou des camps quelconques.
Un respect des engagements et promesses fais, une écoute réelle et non pas que de façade.
Une bonne chose
Pour ne pas que l"élu s'installe dans un confort de salaire et de rétribution à cause de ses multiples fonctions, il peut être tenté de conserver ses postes par intérêt. Trop d'élu vivent de la politique en font une source de revenus, une rente.
Une répartition proportionnelle à leur force et importance dans la société, la proportionnelle intégrale.
Non
None
Elle est à l'image de l'inefficacité et de la médiocrité des politiques actuelles. Les gouvernements passent, se succèdent et les politiques sont globalement les mêmes sous des emballages différents, le sentiment que voter ne sert à rien, ne peut aboutir qu'à un leurre n’encourage pas de le faire.
Oui
Le comptabiliser comme les autres votes tout simplement.
Des référendums plus fréquents, et sans sujets considérés tabous.
Je ne sais pas
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Cesser avant tout de faire du chantage au "racisme", à la "discrimination" dès qu'une critique, une remarque est faite à l'endroit de tel ou tel groupe, communauté ou mouvement religieux comme c'est le cas actuellement d'une certaine catégorie de gens, qui confisquent le débat et la liberté d'expression pour des raisons idéologiques, pratiquent la discrimination à l'envers. Ensuite décider et affirmer une fois pour toute que certains aspects des valeurs et des principes de la république sont non négociable s'ils remettent en cause ou altèrent ces derniers.
Réaffirmer leurs principes et dire que ce ne sont à elles à s'adapter à tel ou tel groupe ou demande particulière mais le contraire.
Je ne sais pas.
Le respect de liberté de pensée même si elle déplait, gène ou heurte. C’est la première des libertés.
Sanctionner toutes les formes d'empêchements par la menace, l'intimidation ou la culpabilisation, de la pensée, de la critique ou de la contradiction de certaines idées, positions, idéologies dès lors qu'elles gênent (sauf bien sûr dans les cas d'injures, de diffamation etc...). C'est un premier pas. Une liberté d'expression balisée, limitée n'est pas une liberté d'expression.
Le considérer davantage, cesser de le prendre de haut et de le ramener au statut de simple subalterne du système.
La petite délinquance et la tendance de certains à vouloir nuire aux autres, à porter atteinte de quelque façon que ce soit à leur tranquillité, on les appelait dans le passé la "vermine", on les appelle aujourd'hui la "racaille" ou "petits délinquants". Cette forme de harcèlement et d'incivisme, qui prend parfois la forme de violence physique est une vraie plaie de notre société actuelle. Cessez aussi, comme certains le font, de parler de "sentiment de..", il suffit d'ouvrir les journaux tous les jours pour voir que ce phénomène est une réalité et non un délire ou un fantasme.
Une justice et des sanctions plus dissuasives pour inverser la crainte et la peur. Le discours du trop de peines ou du trop de prison est absurde et irresponsable, s'il y a trop de monde dans les prisons c'est parce qu'il y a plus de délinquants, casser le thermomètre ne soignera pas le malade. Faire en sorte aussi que la justice ne semble pas être en faveur des délinquants et contre la victime comme c'est le cas parfois lorsque un citoyen vient au secours d'une personne agressée ou importunée en repoussant ou molestant l'agresseur et qu'il se retrouve sous le coup d'un jugement ou d'une sanction pour son geste. Saluer ce dernier au contraire et marquer la différence entre les protagonistes. Les injonctions contradictoires de la justice et de la loi entre le devoir de défendre quiconque est agressé et ne pas blesser, heurter, porter atteinte au délinquant est insupportable.
Avoir un comportement d'entraide et de solidarité mais en ayant la sensation, le sentiment, la certitude d'avoir la justice avec nous et pas contre nous comme c'est le cas parfois dans certaines affaires ou le délinquants s'en tire mieux que sa victime ou celui qui l'a aidé (voir texte du dessus).
Le délinquant sur le faible, le groupe sur l'individu isolé, le chercheur d'histoires, d'embrouilles sur monsieur tout le monde ou bien la bande sur les résidents de son immeuble, quartier ou environnement, c'est la discrimination la plus fréquente, courante et source de stress, crainte et mal-vivre. Les autres viennent après.
Couper l'herbe sous le pied de ceux qui la pratiquent mais sans se tromper de cible. Ne pas faire des responsables des victimes et des coupables des martyres comme certains essayent de nous le faire croire. La discrimination du fort, ou en tout cas du violent, de l'agressif, de l'asocial sur le paisible, la calme, le pacifique est celle qui fait le plus de dégât. La délinquance et la violence coûte très cher économiquement à la société et a des conséquences désastreuses pour la tranquillité et le vivre ensemble. L'ordre (et non pas l'autoritarisme) d'abord, le social et le sociétal après.
Non
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Le critère qui paraît le plus évident et qui devrait venir en premier est celui d'associer le citoyen, l'habitant à cette problématique, lui demander son avis, son assentiment ou non sur ce que dois devenir son pays, cela me parait être la moindre des choses. Le pays n'appartient pas à une poignée de politiques, d'idéologues ou de je ne sais quels défenseurs de tels droits, il appartient à l'habitant, à celui qui le constitue. Par conséquent c'est à ce dernier de décider, de définir de ce qu'il convient de faire et de juger ce que devrait être l'immigration. La plupart du temps les populations qui s'installent dans son environnement lui son imposé, il n'a pas son mot à dire, pour lui c'est la double peine: modification de son milieu, monde, habitude, et en plus il et considéré comme immoral, raciste, irrespectueux s'il exprime son ras le bol, inquiétude ou exaspération, on le culpabilise, de la discrimination inversée. On le méprise.
Pas fixés par le parlement mais la décision et l'avis du peuple, du citoyen. C'est lui qui est concerné au premier chef des changements de son environnement par l'arrivée de populations, c'est également lui le souverain réel et authentique de son pays.
Consulter régulièrement le (les) français et suivre son avis sur la question. S'il estime qu'il faut freiner la venue d'immigrés il faut le faire, s'il estime qu'il en plus il faut en tenir compte également, c'est à lui de décider de la forme que doit prendre son pays. Et arrêter de le culpabiliser et d'en faire un raciste ou un renégat s'il s'oppose à l'immigration, c'est de l'intolérance qui ne dit pas son nom. On accepte que soit délibérer des sujets, des thèmes à l'échelle d'une commune, d'une localité, d'une résidence, d'un lotissement et on ne le tolèrerait pas pour celle du pays ? Et au nom de quoi ?
Accepter de se fondre, de faire un avec le pays d'accueil et non de le prendre, le considérer comme simple refuge ou source de revenus. Décourager l'utilisation de la langue d'origine dans l'espace public, il n'est pas normal que dans certains endroits le français ne soit pas utilisé mais soit ignoré, snobé, donnant l'impression à l'habitant historique de passage de n'être pas en France, d'être un étranger à son propre pays. Ceci n'est pas du racisme comme certains professionnels de l'indignation le disent mais du bon sens et de l'amour, de l'affection de son lieu de naissance, d'origine, ce qui est commun à tous les habitants de la terre quels qu'ils soient.
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