Le maire, parce que non seulement je peux entrevoir à peu près ses idées par son appartenance à un parti, mais surtout je peux savoir s'il est honnête et travailleur.
Non
J'aurais voulu répondre oui, mais le système s'encanaille trop facilement. Les élus créent des associations de lobbying, puis les financent ... pour se faire réélire ! Ces associations ne sont pas élues, trop peu représentatives. Créons d'abord des associations de gens élus capables de présenter des listes locales aux élections.
Je veux voter pour quelqu'un que je puisse connaitre, non seulement ses idées, mais surtout je veux savoir s'il est honnête et travailleur. Je lui fait confiance pour voter ensuite lui-même pour quelqu'un d'honnête et travailleur. C'est le principe du Sénat : je me sens mieux représenté par le Sénat que par l'Assemblée National où je vote pour un inconnu peut-être tout à fait malhonnête.
Je ne sais pas
Ce n'est pas blanc ou noir : il y a assez de travail pour deux et le partage du pouvoir est plus démocratique, mais un député qui n'est plus en Mairie au contact des Français m'inquiète !
Je ne vois rien d'autre que la proportionnelle, avec les risques d'impuissance politique qui peuvent en résulter. Mais comme il y a déjà bien trop de lois et régulations, ne laisser passer que les consensuelles pourrait convenir.
Non
S'il y a un élu pour 500 personnes, je peux le connaitre et vérifier s'il est honnête et travailleur. S'il y a un élu pour 50.000 personnes, il ne peut pas me représenter. Je préfère conserver les élus locaux, puis leurs représentants régionaux ou nationaux. Financièrement, c'est négligeable : le budget de la France est de 1000 milliard d'Euros. Pour gagner 1%, il faut une mesure qui économise 10 Milliards d'Euros. Commençons par là.
Je pense que la question est mal posée. La participation des citoyens ne devrait pas se borner à des votes qui donnent le pouvoir à des élus, qui décident de tout à leur place pendant des années. La question posée plus bas est meilleure : Comment les citoyens peuvent-ils devenir acteur de la vie politique ? Il faudrait pour cela que l'Etat ne soit pas omnipotent et perfectionniste. L'Etat doit être puissant pour faire courber l'échine aux puissants, et laisser les citoyens mener la vie locale, dans une structure locale à taille humaine (500 citoyens par exemple). Il faudrait certainement que les citoyens puissent jouer sur leur destin. Aujourd'hui tout est prévu et joué d'avance. Voter ne change rien, sauf éventuellement la chronologie des réformes prévues. Il faudrait aussi que les lois discutées soient rédigées pour les citoyens, et non pour des lobbys économiques ou politiciens.
Oui
Au moins le comptabiliser. Il serait peut-être intéressant qu'une élection ne soit pas validée tant qu'ils sont nombreux. A charge au territoire concerné de faire émerger des listes qui les représenterait, jusqu'à ce qu'ils votent.
Il faudrait certainement que l'Etat ne soit pas omnipotent et perfectionniste. L'Etat doit être fort pour faire courber l'échine aux puissants, et laisser les citoyens mener la vie locale, gérer localement les difficultés.
Oui
Ce n'est pas tout blanc ou tout noir, on verra apparaître des référendums plaisant à tous mais infinançables. Et les réponses des citoyens varient selon la manière de poser la question. il y faudrait alors doubler la question, en termes positif par les 'pour' et la même en termes négatifs par les 'contre'. Les deux pourraient chiffrer la mesure : voter 'pour' signifiant accepter les impôts correspondant.
Déjà, il serait bien que l'Etat sache où va l'argent. Qu'il s'impose à lui même ce qui est imposé aux entreprises comme comptabilité. Des consultations par Internet sont peut être envisageables. Les associations financées devraient être connues, travailler réellement pour leur cause, avoir le soutien d'une partie des citoyens, qui pourraient par exemple voter 'pour' ou 'contre' un financement sur une liste ouverte, ou au prorata des membres payant leur cotisation dans l'association.
Le rôle du sénateur est idéale, il représente les territoires et me représente mieux que mon député, car il est élu par mon Maire, qui sait s'il est honnête et travailleur, ce que je ne sais pas, moi. Je ne sais comment sont nommés les membres du CESE. Apparemment, ils ne sont pas élus, et n'ont aucun pouvoir, ce qui est alors normal ! Il pourrait alors être supprimé.
Oui
Le Sénat non. Le CESE pourrait être supprimé.
Je suis inquiet, la question me parait plus Totalitaire que Démocratique ! En Démocratie, chacun peut pratiquer sa religion sans discrimination, ce qui signifie qu'un évêque ou un imam pourrait être ministre s'ils étaient les meilleurs (Richelieu a bien été un excellent ministre). En revanche, les religions pourraient rester politiquement à leur place de lobby, influençant la politique selon le nombre de citoyens qu'ils convainquent, comme ce devrait être pour tous les lobbys (beaucoup en réalité se contente de convaincre les députés, qui ne représentent plus alors les citoyens). Par ailleurs, certaines pensées ne séparent pas la sphère religieuse et la sphère politique (l’hindouisme et ses castes sociales, l'islam et sa charia, l'arianisme chez les chrétiens), là, c'est plus problématique pour la laïcité, mais la Démocratie voudrait que les citoyens puissent décider si cela leur convient!
Je ne sais pas garantir le "respect de la compréhension réciproque", je ne comprends pas ce que ça veut dire. Je ne sais pas garantir non plus le "respect des valeurs intangibles de la République". Si ces valeurs sont intangibles, c'est qu'elles ne sont pas choisies par les citoyens, donc elles ne sont pas Démocratiques mais Totalitaires. Je ne sais pas répondre à la question sans devenir ... Totalitaire.
La participation des citoyens ne devrait pas se borner à des votes qui donnent le pouvoir à des élus, qui décident de tout à leur place pendant des années. Il faudrait pour cela que l'Etat ne soit pas omnipotent et perfectionniste. L'Etat doit être puissant pour faire courber l'échine aux puissants, et laisser les citoyens mener la vie locale, dans une structure locale à taille humaine (500 citoyens par exemple). Il faudrait certainement que les citoyens puissent jouer sur leur destin. Aujourd'hui tout est prévu et joué d'avance. Voter ne change rien, sauf éventuellement la chronologie des réformes prévues. Il faudrait aussi que les lois discutées soient rédigées pour les citoyens, et non pour des lobbys économiques ou politiciens.
La question m'inquiète de nouveau : "qu'il faut promouvoir" ? Par qui ? Seul un Etat Totalitaire tente de contrôler les "comportements civiques" des citoyens. Un Etat "donneur de leçons" n'est plus dans son rôle. L'éducation est le rôle des parents, de la société civile, des associations de quartiers, du "vivre-ensemble". Les difficultés devraient se régler à l'échelon local d'associations de quartier. Ceci dit, le premier comportement qui me parait civique est le respect de chacune des autre personnes.
La question m'inquiète encore. Par qui ? Pas par l'Etat qui en deviendrait Totalitaire. Le respect se construit par l'exemple de ceux qui s'en trouve bien. Les irrespectueux se retrouvent vite isolés, ou se regroupent entre eux pour vivre ensemble, si c'est leur choix. Cela nécessite néanmoins que le logement soit accessible pour chacun dans le quartier où les concitoyens ont le même niveau d'exigences. Des chartes de bon voisinage pourraient permettre à chacun de choisir son quartier en connaissance de cause.
Valoriser l'engagement citoyen dans les parcours de vie ? La question est étonnante. Je ne crois pas qu'une valorisation de l'engagement citoyen soit possible aujourd'hui, cela a été trop décrié par la République depuis des siècles. Le 'bourrage de crane' a fonctionné et personne n'en veut plus. Valoriser l'engagement citoyen dans les parcours de vie : c'est ce qu'à fait la Monarchie pendant des siècles, mais cette valorisation a été appelé "privilège" et rejetée absolument par la République. Aux bons jours de la Monarchie, les bons citoyens étaient valorisés par anoblissement, les nobles arrogants étaient déclassés, leur éventuel château détruit, les capitalistes et les bourgeois qui gagnaient de l'argent pour eux-même ne pouvaient y prétendre sans renoncer à ces gagne-pains interdits à l'aristocratie. Les riches ne pouvaient en imposer à ces bons citoyens valorisés par anoblissement. Les pauvres se savaient protégés par le roi ... jusqu'à ce que Louis XVI cède aux capitalistes libéraux. Fatale erreur. La République a remplacé l'anoblissement par la Légion d'Honneur, mais permet aux riches d'en imposer aux bons citoyens... Je me demande si les citoyens y ont vraiment gagné finalement.
La question m'inquiète encore. Par qui ? Pas par l'Etat qui en deviendrait Totalitaire. Le respect se construit par l'exemple de ceux qui s'en trouve bien. Les irrespectueux se retrouvent vite isolés, ou se regroupent entre eux pour vivre ensemble, si c'est leur choix. Cela nécessite néanmoins que le logement soit accessible pour chacun dans le quartier où les concitoyens ont le même niveau d'exigences. Des chartes de bon voisinage, écrites entre voisins, pourraient permettre à chacun de choisir son quartier en connaissance de cause.
La question m'inquiète encore. Rien par l'Etat qui en deviendrait Totalitaire. Juste faciliter la mise en place d'associations de quartier et l'accessibilité des citoyens au logement dans les quartiers qui se choisissent une charte de respect. Le non respect répété de ses engagements par un citoyen pourrait lui retirer le droit d'habiter dans le quartier, par exemple... L'Etat n'interviendrait qu'en dernier ressort quand l'Association de quartier devient impuissante.
Je crois que le respect se construit par l'exemple de ceux qui s'en trouve bien.
J'entends surtout les discriminations des médias contre : les Gilets-Jaunes, les chrétiens, et tous ceux qui s'opposent aux idées dites progressistes. Celles là me semblent quotidiennes. La police et la Justice s'en mêlent aussi à l’occasion. Discriminations par les pouvoirs publics et les hommes politiques également : les Français semblent très critiqués, les Services Publics indifférents et inactifs, sauf, il faut le reconnaître, le versement de subsides sociaux qui semble fonctionner à merveille. La publicité et le sport me semblent aussi très discriminants : les hommes et les femmes n'y sont pas du tout présentées semblablement. Et à un rythme plutôt mensuel, je constate des discriminations des musulmans envers les femmes.
La question m'inquiète encore. Rien par l'Etat qui en deviendrait Totalitaire. Je crois que le respect se construit par l'exemple de ceux qui s'en trouve bien. Mais que la Démocratie impose d'accepter que d'autres pensent autrement que soi, la tolérance pour les opinions. Pour ce qui est des actes en revanche, une Démocratie garantit qu'un puissant (à commencer par l'Etat lui-même) ne puisse imposer à un plus faible sa volonté ou ses idées.
Oui
Oui, je trouve irrespectueux de dire à quelqu'un : "Tu es tellement nul que tu ne peux rien apporter à personne, la Société ne peut que te donner contre rien."
Je pense qu'elle est inévitable, mais que mes concitoyens ne sont pas en état de l'accepter, d'abord parce que les personnes qui arrivent n'ont pas la même notion du respect du voisin, ensuite parce qu'elles sont souvent plus respectées par les pouvoirs publics que les citoyens eux-mêmes. on a cru que les cultures séparaient les peuples, on a alors tué la culture française en espérant faire advenir une paix universelle. Mais l'Universel est un Totalitarisme, et la différence une richesse. Seulement, toutes les différences ne peuvent se vivre au même endroit en même temps, il y a des incompatibilités. Chacun son pays me paraîtrait une vision plus juste. Je crois que mes concitoyens ne pourront accepter les immigrés que quand ils seront fiers de leur culture française, alors prêts à la partager. Il y a aussi plusieurs causes d'immigration : Les immigrants forcés qui voudront rentrer chez eux dès qu'ils le pourront. Ceux-là doivent nécessairement garder leur culture, et peuvent nous enrichir par ce qu'elle a de bon. Mais, comme tout citoyen français à mon avis, ils devraient adapter leur mode de vie au quartier qu'ils habitent. Les immigrants volontaires qui souhaitent rester en France, ceux-là pourraient aussi adapter leur mode de vie au quartier qu'ils habitent, mais pourrait également choisir la culture française, dès lors que la leur est incompatible. Ils l'accepteront, pour peu que tout ce qu'elle a de bon leur soit présenté.
Encore une fois, la question me semble biaisée et m'inquiète. En Démocratie, il n'y a pas d'obligation d'asile, mes concitoyens doivent en décider eux-même. Et ils le feront certainement dès lors qu'ils seront en état, parce que leur culture leur aura été rendue, qu'ils se sentiront respectés par les Pouvoirs Publics et les Médias, que les nouveaux arrivant les respecteront, que ces derniers s’accultureront et s'enrichiront progressivement par leur travail comme chacun, etc. Je n'aime pas l'idée d'objectifs annuels, mais s'il en faut, ce devrait être : seulement les réfugiés politiques et ceux de la faim, le temps qu'ils puissent retourner chez eux, tant que la culture française n'a pas été rendue aux Français, ce qui malheureusement risque de prendre une génération. Ensuite ... il n'y aura plus besoin d'objectifs.
Que les Français soit mis en état d’accueillir, parce que leur culture leur aura été rendue, qu'ils se sentiront respectés par les Pouvoirs Publics et les Médias, que les nouveaux arrivant les respecteront, que ces derniers s’accultureront et s'enrichiront progressivement par leur travail comme chacun, etc.
Efficace : une plongée volontaire dans la culture française. Juste : un enrichissement progressif par leur travail comme chacun.
Je suis inquiet. D'abord que ces questions franchement Totalitaires aient pu être conçues, mais je les respecte en temps que Démocrate. Ensuite qu'elles aient pu être inscrites dans ce débat sans que personne au sommet de l'Etat n'en dénote l'esprit Totalitaire. Cela signifie pour moi que l'esprit Totalitaire habite le sommet de l'Etat.
Vers plus de démocratie. J'ai appris à l'école que la Démocratie était garantie par la séparation des pouvoirs. Aujourd'hui en haut de l'Etat, les têtes des pouvoirs exécutifs et législatifs s’acoquinent au lieu de se contrôler, sont tous désignés par les mêmes décideurs inconnus et non élus à cet effet. Aujourd'hui en bas de l'Etat, les pouvoirs exécutifs et judiciaires s’acoquinent au lieu de se contrôler, avalisent leurs pouvoirs réciproques au détriment des citoyens, au lieu de défendre les citoyens contre les abus de pouvoirs. J'ai appris à l'école qu'en Démocratie, c'est la loi qui protège les petits contre les puissants, et la liberté des puissants qui opprime les petits. Aujourd'hui, les lois votées libéralisent le commerce et les mœurs dont les puissants peuvent profiter au détriment des petits, et tentent de contraindre et contrôler toujours plus les petits. J'ai appris à l'école qu'en Démocratie, on a le droit de tout penser, que c'est la liberté de faire qui est limitée par la liberté de son concitoyen. Aujourd'hui, les tabous sont partout et inscrits dans les lois. La pensée est contrôlée. Et la liberté de faire n'est pas bordée par celle de son voisin, mais empêchée par l'Etat ... sensé la garantir. J'ai appris qu'un principe fondamental en Démocratie est le droit des peuples à l'autodétermination. Et ce droit est refusé par l'Europe aux Catalans, et accordé à contre cœur aux Britanniques par une Europe qui compte bien leur faire payer cet affront. J'ai appris que pour que la Justice soit Démocratique, l'accusé est présumé innocent, et pourtant des juges participent à l’accusation en pleine audience sans être immédiatement radié pour faute grave. J'ai appris que pour que la Justice soit Démocratique, les lois doivent être appliquées dans leur interprétation la plus libérale, afin que l'interprétation des puissants (dont la Fonction Publique fait partie) ne puisse s'imposer au faible citoyen, et pourtant les pouvoirs publics jugent autrement. J'ai appris qu'en Démocratie, la Loi est décidée par les représentants du peuple, et pourtant ces représentants sont contraints de voter comme leur parti l'exige, et la fidélité des décrets d'application aux lois votées n'est pas démocratiquement contrôlée.
Oui
Celles qui répondent au principe de subsidiarité : tout ce qui peut être réglé à l'échelon inférieur devrait être délégué. Il y a juste besoin d'un droit de recours du citoyen si cet échelon inférieur abuse de son pouvoir.
Non
Un service public responsable et coordonné : trouver en face de soi un responsable capable de faire avancer un dossier quelconque dans les méandres de l'administration.
Toutes simplification est bienvenue.
Non
None
Un service public responsable et coordonné : trouver en face de soi un responsable capable de faire avancer un dossier quelconque dans les méandres de l'administration dans un délai raisonnable.
Les formalités administratives par Internet.
Ceux qui sont tournés vers le contrôle des petits plutôt que celui des puissants (dont l'Etat fait éminemment parti). Ceux qui ne savent faire avancer un dossier quelconque dans les méandres de l'administration dans un délai raisonnable.
Oui
Non
None
Les règles d'urbanisme par exemple. Ou une simple correction d'erreur du cadastre. Ou le simple déplacement d'un rocher risquant de tomber sur la chaussée. Rien n'avance.
Oui
Selon le principe de subsidiarité : tout ce qui peut être réglé à l'échelon inférieur devrait être délégué. Il y a juste besoin d'un droit de recours du citoyen si cet échelon inférieur abuse de son pouvoir ou ne rend pas le service attendu.
Oui
En étant clair sur les principes de Services et de Démocratie, d'autocontrôle permanent de ces principes entre collègues représentant l'Etat, notamment celui de séparation des pouvoirs pour défendre les citoyens.
Selon le principe de subsidiarité : tout ce qui peut être réglé à l'échelon inférieur devrait être délégué. Il y a juste besoin d'un droit de recours du citoyen si cet échelon inférieur abuse de son pouvoir.
Aucune administration : l'Etat ne participe pas à la formation choisie, portant tournée vers l'aide aux personnes.
Pour faire admettre en seconde une enfant venant d'un collège privé, elle a du passer un examen local de contrôle de connaissances, alors qu'elle avait son BEPC, diplôme National, en poche ! Mais effectivement, cet examen local demandait une compréhension bien supérieure au niveau du BEPC. Pourquoi inquiéter ainsi des enfants ? N'y a-t-il pas gaspillage du temps des fonctionnaires, donc des impôts des citoyens ?
L'ANPE au moins est très honnête: "pauvre! inutile de chercher ici dans votre métier, c'est bouché." Et comme l'Etat ne participe pas à la formation choisie ...
pas encore, mais bientôt ...
J'étais privilégié, au moins dans ce domaine : ça marchait hyper bien entre l'Assurance Santé et ma Mutuelle professionnelle ! Mais les règles viennent de changer...
Là, je suis (encore) privilégié : pas de besoin.
pas applicable
pas applicable
pas applicable
pas applicable
pas applicable
pas applicable
Cf premier encadré.
Notre consommation énergétique.
Il faudrait un système politico-économique qui ne doivent pas sa survie à la croissance de la consommation. Les lois environnementales qui sont votées sont celles qui poussent à dépenser, donc à consommer (éolien, photovoltaïque, épuration des eaux, climatisation, etc.) Je crois que le thème de l'Ecologie n'est soutenu politiquement que comme facteur de croissance : bénéfices aux actionnaires qui investissent dans l'éolien, nouveaux emplois pour avoir de nouveaux consommateurs. Alors que c'est cette nécessité de croissance qui pousse à consommer toujours plus vite la Planète.
Non
None
Oui
Moins consommer. Réparer au lieu de racheter. Des commerces, écoles, hôpitaux de proximité. Mais le résultat de tout cela restera insignifiant. Ce que je devrais vraiment faire qui aurait un effet réel, c'est militer pour un système politico-économique qui ne doivent pas sa survie à la croissance de la consommation.
Réparer au lieu de racheter : il faudrait que les industries modifient leur modèle économique. Rouler à vélo : il faudrait des pistes cyclables partout. Mais le résultat de tout cela restera insignifiant, tant que le système politico-économique devra sa survie à la croissance de la consommation.
Je n'ai pas besoin d'incitation. J'attends avec impatience que les industries modifient leur modèle économique, qu'il y ait des pistes cyclables partout, que le système politico-économique se passe de croissance de la consommation pour prolonger sa survie.
Non
None
Non
Des commerces, écoles, hôpitaux de proximité. Des pistes cyclables partout, mais cela resterait anecdotique en terme de résultats planétaires si le système politico-économique ne change pas.
Le vélo
Surtout pas l'Etat, il n'est pas là pour faire de la pression morale sur le citoyen, son rôle est de contraindre les puissants à modifier le système politico-économique.
Elle n'a pas encore à faire partager ses choix, puisqu'elle n'a pas encore fait le seul choix possible : modifier le système politico-économique. C'est à dire remettre en cause tous les systèmes de pouvoirs actuels au sommet de l'Etat et de l'Industrie. L'Etat saura-t-il se réformer à ce point ? La Noblesse a bien abandonné ses privilèges en 1789 ! Ou faudra-t-il une révolution ?
None
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