Plus de numérique, y compris pour ceux qui sont éloignés du numérique pour lesquels il faut une assistance téléphonique ou un contact diect. Plus de communication sur la forme, ne pas avoir peur de communiquer sur un mode plus punchy comme par exemple ce clip sur les élections européennes, décrié mais mille fois plus efficace que son homologue précédent bien plus consensuel mais tellement moins vu. Sur le fonds se positionner sur un mode commercial qui a quelque chose à vendre, ce qu'il y a à vendre c'est ce à quoi servent les impôts c'est à dire payer les services publics, et surtout vendre les progrès constatés les évènements à promouvoir etc comme une entreprise dont le chiffre d'affaires dépend de sa publicité et de sa communication. La communication doit être ciblée et expliquer de manière différente selon qu'on s'adresse à un public ou à un autre. Il faut s'attendre à être plus imaginatif pour toucher un public type gilet jaune, mais il n'y a pas de défi impossible pour des bons commerçants / communicants.
TVA peut-être , c'est dans l'air du temps mais le travail de réduire le taux sur la TVA des produits de base est peut-être déjà fait, en dessous de 5% il n'y a pas beaucoup de gras. Plus compliqué peut-être taxer différemment les successions, il y a peut-être plus à faire. Il faudra expliquer beaucoup , pour que les français moyens ne soient pas impactés trop lourdement ,ils sont attachés à l'idée de transmettre à leurs enfants un petit patrimoine et croient que l'état leur prendraient tout. Mais la cible n'est pas celle là elle est celle des très gros patrimoines. Il parait évident que taxer les grosses successions va dans le sens d'une plus grande "justice sociale", ceux qui construisent une réussite type GAFA ont plus de mérite que ceux qui ne se sont donné la peine que de naître dans une famille hyper fortunée.
Ceux qui pèsent sur le travail.
Reculer l'âge de la retraite|Revoir les conditions d'attribution de certaines aides sociales
Assurance chomage, optimiser pour que les ressources soient utilisées avec la meilleure chance de retour à l'emploi rapide, ce qui suppose de réduire le temps d'indemnisation et se rapprocher des cas des voisins européens.
Protection des plus précaires notamment les travailleurs indépendants, dont le nombre augmente et augmentera encore et qui ne sont pas aidés par les syndicats institutionnels qui ne veulent pas s'éloigner de leur clientélisme historique. Si on arrive à faire changer la doctrine des syndicats qui préfèrent s'occuper de faire sortir moins de leurs clients de l'entreprise même si cela signifie de faire intégrer moins de plus jeunes plus précaires. Comprendre que fermer la porte de sortie c'est aussi fermer la porte d'entrée, et se mettre en difficulté comme on met en difficulté l'entreprise,. Essayer de le dire aux syndicats et peut-être qu'un jour, ils seront convaincus. Il y a eu un Tsunami en 2017 en politique, bizarrement pas en syndicalisme. Peut-être que ça viendra. C'est peut-être là qu'il faut agir , choix obligatoire d'une cotisation syndicale (comme une mutuelle obligatoire), vote obligatoire, créer des devoirs qui donnent des droits. L'exemple des gilets jaunes qui gueulent mais qui ne votent pas doit nous faire réfléchir à proposer quelque chose pour éviter ces travers très toxiques. Inviter les collaborateurs au conseil d'administration, augmenter l'implication des collaborateurs par la participation ou autre c'est aller dans le sens de plus de responsabilité mieux partagée dans l'entreprise gage elle même de plus de durabilité économique mais aussi éthique et environnementale.
Environnement
Non ça va pour l'instant
Je fais confiance à tous les représentants élus que j'ai voté pour eux ou non, et pour toutes les élections auxquelles je participe avec une assiduité exemplaire. C'est un devoir avant d'être un droit. On inverse un peut trop les droits et les devoirs.
Oui
Syndicats principalement, un role revu réaffirmé renforcé avec des droits et des devoirs renforcés par des mesures nouvelles, obligation d'une cotisation syndicale pour tous, syndicat choisi à la signature du contrat de travail, place dans les conseils d'administration.
Des occasions de débat institutionnalisées tous les ans au moment des voeux de janvier par exemple. Grosse pub pour ces débats , intéressement au besoin pour que les salles soient pleines. Ca existe déjà beaucoup mais pas dans l'institutionnel. Les salles sont souvent pas trop remplies, la présence en soirée après une journée de travail, c'est compliqué, ça demande des efforts, c'est plus facile de se vautrer dans son canapé devant un feuilleton débile. Mais on construit un peu sa capacité à comprendre les choses, à réfléchir, à proposer, à avoir des revendications moins débiles que Macron démission et autres trucs débiles entendus sur les rond-points. Le "peuple" réputé intouchable et super intelligent ne l'est peut-être pas tant que ça, si les gilets jaunes sont dans la M..., c'est peut -être un peu de leur faute aussi , ils le savent très bien. Cette manie de reporter la faute à tous les coups sur le Président est une maladie à soigner absolument, le "peuple" n'est pas "les enfants", et le président n'est pas celui qui doit "nourrir son peuple". On est mal vu si on parle de faire de la pédagogie, pourtant il me semble qu'il y a beaucoup à faire, et pas avec des fake news des réseaux sociaux, bien meilleurs que les chaines infos dont il faut pourchasser les reporters sur les manifs de gilets jaunes, évidemment.
Une bonne chose
Pour éviter de faire de la politique une profession, c'est un engagement, les représentants La REM disent toujours ça , je pense que c'est un progrès. Pour compenser leur moindre habitude de la politique il faut qu'ils puissent s'appuyer sur une administration professionnelle et de qualité, je pense que c'est le cas, et de conseils qui présentent les options sans biais pour éviter que l'administration ne phagocyte la politique.
La proportionnelle sur 20% des représentants à l'assemblée, la proportionnelle intégrale pour les européennes et les élections locales.
Oui
Conseillers régionaux, qui seraient choisis dans les collèges de conseillers départementaux
Vote obligatoire, visisblement les citoyens ont bien intégré la colonne droits (santé gratuite, droit au chomage, )mais pas bien la colonne devoirs, il faut maintenir ou rétablir l'équilibre.
Oui
Invalider un vote qui n'atteint pas le quorum des votes exprimés
Les initiatives existent, on n'en fait pas suffisamment la publicité, très bien que les gilets jaunes et le grand débat mettent les feux sur ce besoin de s'exprimer. Un budget pour ça comme le budget participatif de la ville de Paris est une initiative heureuse, Paris est une ville riche il faut trouver ailleurs la collectivité pertinente pour mettre en oeuvre ces budgets. Dès qu'il y a des budgets on augmente la responsabilité et l'engagement de tous et c'est positif. Démocratie plus participative, il y a des outils internet pétitions change.org ou autres, certains sujets pourraient monter en division supérieure et atteindre le sommum du référendum RIC, il faudrait peut-être trouver des outils intermédiaires mini referendum local plus intéressants sans doute que le RIC extrêmement casse gueule ( si on a un taux de raté proche de 100% sur les 15 dernières années Traité constitutionnel, NDDL, ce n'est peut-être pas l'idée du siècle, n'en déplaise aux Gilets Jaunes)
Oui
Abaisser les seuils
Des initiatives du genre applis sur smartphone permettant de noter le travail fait par les agents territoriaux 1 étoile à 5 étoiles et tous les services, c'est ce qui fait que des Uber et d'autres qui maximalisent le retour client sont des réussites. D'une manière générale placer les services publics dans la position d'être évalués par les utilisateurs, c'est un moteur de performance sans équivalent. Des questionnaires smileys sur la queue à la poste ou aux impots, un retour client siollicité à chaque occasion, rien de plus puissant pour optimiser le fonctionnement d'un service.
Sénat les gens connaissent un peu et encore le CESE pas du tout, il faut changer ça. Le CESE pourrait être décliné au niveau local et être la banque de toutes les études sur un sujet à disposition du législateur député et sénateur et représentants locaux.
Oui
Le CESE pourrait être décliné au niveau local et être la banque de toutes les études sur un sujet à disposition du législateur député et sénateur et représentants locaux.
A l'école, renforcer l'autorité de l'enseignant face au déni des élèves. Des élèves qui se lèvent et quittent la salle quand on aborde des sujets selon eux sensibles doivent être sanctionnés selon le règlement. La parole de l'enseignant doit être placée au dessus de tout et confortée par l'administration, même si au détriment d'une paix sociale illusoire.
La loi et la justice, mais pour permettre à la justice de fonctionner il faut que les justiciables aient une culture citoyenne renforcée, à l'école instruction civique, dans la vie courante baptême républicain, identité numérique, cloud dédié pour rendre plus glamour ce baptême républicain (qui ne doit pas être un affichage de bouffeurs de curés des parents)
Service national universel
Tout le monde le sait à peu près bien, mais par exemple s'il le faut criminaliser le fait de filmer avec son téléphone une bagarre ultraviolente , un viol un incendie de voiture dans une manif.
Communication institutionnelle ciblée et évaluée. Une campagne de pub pour dépenser un budget sans avoir de retour sur son efficacité doit être proscrite.
Ne sais pas
Ne sais pas
Communiquer beaucoup et sanctionner intelligemment
Etre acteur et pas seulement spectateur, rallier des alliés contre l'auteur de l'incivilité.
A peu près jamais, c'est pour ça que je me sentirais démuni si ça m'arrivait.
Education et communication pour maintenir la motivation à son niveau de départ.
Non
None
Relativement satisfaisante, je n' y pense à peu près jamais et j'en suis plutôt content, j'y pense quand je passe à coté des tentes Quechua des migrants mais il est vrai que beaucoup trop de gens ont ce poison dans la tête. Ils sont à plaindre. Je ne suis pas sûr qu'on puisse y faire beaucoup.
Oui peut-être, et fixé aussi par l'Europe. Je suis sans doute à contre courant de la grosse majorité euro-sceptique qui va peut-être gagner les élections, mais je crois que j'ai quand même raison, n'en déplaise aux Salvini et Orban et autres fachos.
C'est la politique étrangère qu'il faut privilégier sans parler de la politique environnementale. Faire en sorte que les terres de départ soient en paix, en sécurité et capables de nourrir leur population. A noter au passage que le slogan vu sur les manifs "MACRON nourris ton peuple" est un peu décalé, il me semble, il aurait fallu consulter les migrants près des rond-points avant de l'écrire (pour finalement plutôt ne pas l'écrire)
L'intégration se fera sans doute mieux dans des zones gilets jaunes avec moins de population et plus de besoin de nouvelles populations qui amèneraient leur richesse avec elles. Donc deux problèmes gilets jaunes et intégration de nouvelles populations pour une solution commune? Pourquoi pas?
J'insisterai sur l'identité numérique, un bébé vient avec un numéro de sécurité sociale, il faudrait lui donner dès la naissance une existence numérique avec ses attributs adresse mail en citoyen.fr ou citoyenne.fr compte sécurisé dans le cloud, dossier médical, compte data owner, compte d'épargne sur lequel sera versé toutes les sommes collectées dans sa vie personnelle cadeaux d'anniversaire et autres et également les € collectés dans sa vie de data owner sur les réseaux sociaux (où ce bébé est appelé à être plus actif que ses parents) et dont il pourra profiter à sa majorité.
Les dérèglements climatiques (crue, sécheresse)
Se tenir aux objectifs des COP 21 et suivantes, partout et par tous collectivités, états, associations, individus, entreprises. En France la feuille de route passe sans doute par un maintien de la proportion de nucléaire élevée dans le mix énergétique et un relèvement de la taxe carbone à un rythme acceptable mais qui doit être sensible. La reculade sur la taxation du diesel et du l'essence est une victoire pour les gilets jaunes et leur soutiens opportunistes mais certainement pas une victoire pour la planète. Vu le niveau du débat on peut craindre pour la planète, mais peut-être pas après tout plus on se rapproche d'une échéance plus on se rapproche du sursaut pour éviter le pire.
Non
None
Oui
Utiliser des transports adaptés, marche, vélo, deux roues, transport en commun, covoiturage
Rien en particulier sauf une invention géniale et vraiment disruptive
Incitation financière de toute sorte par exemple un coup d'utilisation du véhicule électrique très compétitif
Oui
Subvention plus significative que celle qui existe actuellement, mais même peut-être sans.
Je n'utilise pas la voiture pour des déplacements quotidiens
None
Les transports en commun|Le covoiturage|Le vélo|Le transport à la demande|L'auto partage
Le marché, les services publics là où ils existent et les entreprises privées ailleurs, éventuellement en délégation de service public.
Les accords de la COP 21 s'appellent accords de Paris, et placent naturellement la France dans le camp des leaders de la cause. Il faut délivrer pour se maintenir parmi les leaders. C'est sûr que la reculade sur la taxe carbone est un mauvais signal elle permet à Trump et aux climato-sceptiques de triompher en faisant passer les français pour des anti accord de Paris, ce qui n'est certainement pas le cas. rien n'est perdu il faut ramer plus fort, c'est tout. Ca ira mieux quand on sera remis de cette jaunisse. En Europe on peut vendre plus d'électricité à l'Allemagne et surtout plus d'électricité dé-carbonée , en échange de plus d'électricité renouvelable venant d'Allemagne. Mais surtout zéro électricité charbon et lignite.
Si la transition écologique est plus dépendante des comportements individuels que des règles collectives du marché avec un prix qui inclut la rémunération du producteur et les taxes afférentes, ça ne marchera pas. La population n'est pas une population composée à 100% de moines soldats de l'écologie, c'est un population normale avec plus de défauts que de qualités. [Les partis français de l'écologie seraient bien inspirés de comprendre ça, ils gagneraient beaucoup d'adhérents. S'il y avait demain un Macron de l'écologie sûr qu'il refait le coup de En Marche, mais en 50 ans d'écologie politique on ne a pas vu ce profil qui n'existe peut être pas dans la sphère Ecologie. C'était une digression pas forcément bien placée dans ce paragraphe, on peut oublier ou effacer amis je laisse, on sait jamais.] Par exemple, tout le monde (ou presque ) pourrait vouloir se servir en produits frais chez l'agriculteur bio du coin, mais peu le feront si ce n'est pas facile si ce n'est pas bon marché si ce n'est pas satisfaisant partout et tout le temps. L'offre doit être à la hauteur , mais ça peut vouloir dire beaucoup, par exemple un taux de TVA spécial permettant d'atteindre le prix raisonnable attendu (bon la TVA est déjà faible sur ces produits pas sûr que la baisser soit une si bonne idée), une filière capable de fournir la demande ce qui n'est pas le cas en Bio où la France est importatrice nette, un comble. Voilà c'est un exemple, mais je crois au marché d'abord et le rôle du pouvoir public (central peut-être un peu mais aussi Européen et surtout local) est seulement d'inciter au moyen de subventions et baisses temporaires de TVA par exemple jusqu'à ce que la filière soit lancée et pérenne et contribue ensuite à rembourser les avances de fiscalité TVA et subventions. Facile à dire plus difficile à faire, mais on dispose en France de gros réservoirs d'intelligence et de formation, pour l'exemple ce serait les chambres d'agriculture mais il y a aussi des CCI et des CMA qui accompagneraient naturellement les nouvelles filières. Un autre sujet que je rajoute tant que j'y pense, c'est une solution d'auto-stop type Blablacar qui s'appelle REZOPOUCE, venu des territoires oubliés (parait il), initiative venue de Moissac (dans le 81 ou 82) appuyée par le conseil départemental, des acteurs de la ruralité Groupama et Transdev et qui se déploie partout dans les territoires qui veulent bien. Mais qui se développe lentement, il est vrai qu'on a juste besoin d'un téléphone , d'un arrêt de bus du minimum de signalétique, bref ça ne coûte rien et donc ça prive les élus locaux de faire leur numéro , on n'a pas les moyens c'est la faute à Macron etc , ....qui se développe lentement aussi parce que les pleureuses au gilet jaune qui se plaignent du prix du carburant préfèrent encore payer plein pot tout seul dans leur bagnole que de partager un trajet. Par exemple j'ai déjà eu le cas en Blablacar, Madame conduit il y a des covoiturés et c'est sympa , Monsieur est là surtout pas de covoiturés "personne pour nous faire c.... ". Il y a du chemin à faire dans les comportements et peut-être encore plus dans la population des Gilets Jaunes , c'est paradoxal mais c'est comme ça.
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