avoir un meilleur affichage des dépenses que ce soit de l'état que des différentes collectivités. Il y a souvent des suspicions sur ce qui est fait de nos impôts: gaspillage, soutien financier par copinage, abus d’utilisation de biens publics ou indemnités indues. Le manque de transparence laisse planer tous ces doutes. Des décisions qui paraissent ubuesques sont prises. Exemple: comment peut financer des "œuvres d'art" pour décorer un rond point lorsque les finances sont exsangues? Cela est incompréhensible pour le contribuable.
Une vraie imposition progressive. Réviser toutes les niches fiscales. Les aides aux entreprises doivent être des crédits ou des participations mais pas des dons non remboursables. Pour exemple, les fonderies du bélier après avoir reçues des aides, se sont modernisées,. Elles renouent avec les bénéfices et versent des dividendes aux actionnaires, sans rembourser les contribuables qui ont permis de les sauver. Ce n'est pas acceptable. Les grands, dirigeants et groupes, ne devraient pas pouvoir s’exiler fiscalement comme c'est le cas aujourd'hui. Les Mulliez par exemple qui exploitent leurs employés, mais s'exilent en Belgique et ne redistribuent pas. Il faut arrêter d'offrir les biens de l'état à des groupes qui ensuite se gavent sur le dos des français. Il faut garder dans le giron de l'état les moyens de productions énergétiques. Aujourd'hui on paie cher certaines prestations qui ont été transférées au privé. Autoroutes par exemple, dont les actionnaires sont souvent sous régime "allégé" d'impôts en France, mais reçoivent des dividendes importants prélevés directement dans la poche des utilisateurs.
Les impôts locaux que ce soit les taxes d'habitation ou foncières. Les bases sont absurdes, le taux de base flambe chaque année, il y a toujours un service qui ajoute une augmentation. Cela devient insupportable pour toutes les personnes qui ne voient pas leur revenu suivre l'évolution du coût de la vie, notamment les retraités.
Il faut revoir la méthode de cotisation. Celle-ci était basée sur le travail. Après les multiples délocalisations des moyens de production, il faut revoir cette conception.il faut qu'une nouvelle répartition soit réalisée entre le travail et la consommation.
Toutes les aides que ce soit à la recherche d'emploi, le revenu minimum RSA, etc., doivent être mieux adaptées par rapport au coût de la vie, mais les conditionner à la participation à la vie locale, à une contribution matériel de type travail d'intérêt général. Plusieurs avantages: cela diminue les coûts pour la collectivité en l’allégeant de certaines tâches (en fait un transfert de charge); cela remet ces personnes dans la société; cela peut leur permettre de trouver une nouvelle voie, se former.
Il devient exorbitant pour les retraités de cotiser à une mutuelle. En effet, à chaque passage de cap dans le vieillissement, les cotisations augmentent. Beaucoup doivent abandonner cette protection et ne se font plus soigner. Et ce sont les plus faibles qui trinquent. Il faut mettre en place un système collectif, pourquoi pas par l'intermédiaire de le sécurité sociale. En effet, c'est bien par la faute de son insuffisance de couverture qu'il faut prendre une mutuelle complémentaire. Et toujours aux dépends des plus démunis qui ne le peuvent pas.
Avant de parler de "prêt à payer plus", il faut parler d'où économiser. Lorsque l'on voit les dépenses publiques qui s'envolent et que l'on gaspillent l'argent public en travaux inutiles, en déplacements somptueux, en abus de bien social par certains, en campagnes de guerre pas toujours comprises, en dépenses de fonctionnement pas toujours nécessaire, à faire fonctionner des palais inadaptés, etc., il y a du grain à moudre
Il faut des impôts qui soient adaptés aux besoins collectifs. Nous n'avons plus les moyens d'offrir aux élus des trains de vie royaux. A t'on encore besoin de marbre dans les mairie ou les conseil régionaux, autant de personnel "plantes vertes", besoin d'autant de personnes et moyens matériels pour accompagner les déplacements des élus nationaux? On élit des représentants qui ne sont pas en réalité les nôtres, mais ceux des lobbys. C'est delà qui vient la suspicion contre le monde politique. A t'on besoin, même dans une petite collectivité, de faire des "voyages d'étude" dans des pays ensoleillés? Il faut plus de transparence et de raison dans les dépenses publiques, gérer en "bon père des familles", comme pour les foyers français..
Les dérèglements climatiques (crue, sécheresse)
le transport international est un vrai fléau pour environnement. Il faut une taxe carbone sur le transport de tout produit qui soit proportionnelle au réel et qui tienne compte également à la production et à la pollution des sites
Oui
inquiétude sur la violence des événements climatiques, même si cela n'est que ponctuel aujourd'hui
Oui
limiter mes déplacements, essayer de contrôler mes dépenses d’énergies, isolation de mon habitation
Aujourd'hui, pas de déplacement doux dans la commune, ni collectif. Inaccessibilité financière des véhicules électriques (de plus faible autonomie) ou hybride. De plus je doute de leurs vertus vertes (production, recyclage, production électrique). Pourquoi n'y a t'il pas de véhicule éthanol neuf constructeur en France? Aucun véhicule électrique n'est adapté à mes besoin (tracte remorque 1.5t) Hybride quasiment idem les rares sont à des prix exorbitants.
Adaptation des circulations douces. mise à disposition à très faible coût de moyens de transports propres. Création de moyens de partages particuliers adaptés à la vie à la campagne: transport déchets verts, etc.
Oui
Chaudière gaz traditionnelle, il faut laisser l'amortissement se faire malgré tout, d'autant qu'avec une consommation faible conforme à RT2012, il n'y a pas d’excès particulier. Par contre, les moyens plus écologiques sont souvent moins solides, deviennent rapidement obsolètes, des surcoûts inadmissibles sont appliqués par les installateurs qui intègrent les aides en majoration les coûts d'installation. De plus, et j'en suis témoin, il y a de nombreuses arnaques sur la réalité des consommations
Non
Adaptation des circulations douces
des systèmes de partage de faible impact adaptés à la ville et au périurbain pour faire ses courses, etc.
Les régions et départements
Avoir une politique qui soit cohérente. On ne pas inciter à faire d'un côté et appliquer le contraire de l'autre dans d'autres domaines par des mesures qui vont toujours favoriser les grands lobbys, les grands groupes.
Il faudrait mettre en place des associations avec des spécialistes qui puissent faire gratuitement un point sur l'état réel de l'habitat dans les communes. Avec des propositions d'améliorations adaptées au cas par cas. Remettre des aides fiscales pour les personnes qui ne peuvent faire faire les travaux nécessaires et qui souhaitent le faire eux même ou mieux créer des formations, avec mise en oeuvre pratique dans ces habitations,ce qui permettrait aux personnes en recherche d'emploi de faire ces travaux tout en se spécialisant. Triple gains: formation, sortie de chômage, économies d'énergie.
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