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Il faut supprimer complètement l’ISF. Il décourage l’investissement dans l’immobilier alors qu’on a besoin de plus de logements en France. Il faut aussi baisser les charges sociales qui pèsent sur le travail et ont donc un impact négatif sur la compétitivité française. Leur baisse devrait être compensée par une hausse de la TVA qui pèse sur tous les produits, importés ou produits en France, de manière équivalente.
Reculer l'âge de la retraite|Revoir les conditions d'attribution de certaines aides sociales
Aucune dépense de santé ne devrait être remboursée à 100%, de manière à faire des économies et à responsabiliser les assurés sociaux. Seuls les personnes souffrant d’une maladie grave et les enfants devraient pouvoir couverts à 100%. L’aide médicale d’Etat doit être supprimée.
Aucun.
Le régalien : l’armée, la police, la justice et la prison.
Le système d’assurance chômage doit être revu, car de nombreuses personnes cumulent indemnités et travail au noir et ne souhaitent plus travailler officiellement. Il faut donc lutter contre le travail au noir et avoir une politique d’indemnisation plus courte. Dans les hôpitaux, il y aussi un grand nombre d’abus. Le contribuable français n’a pas vocation à payer les frais de santé des étrangers, ni à financer leurs études. De ce point de vue, l’augmentation des droits d’inscription devraient être beaucoup plus élevée, de manière à couvrir les frais réels.
Les élus, parce que c’est le principe de base de la démocratie, et même si cette représentation est imparfaite.
Non
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Une bonne chose
C’est une bonne chose pour les députés mais pas pour les sénateurs qui sont censés représenter les collectivités locales.
La proportionnelle pourrait être étendue pour les élections locales, mais pas pour les élections nationales car il est important qu’une majorité puisse se constituer à l’Assemblée hors des jeux d’appareil politique. De plus, afin d’éviter que la proportionnelle ne favorise les apparatchiks des appareils politiques, un système à l’allemande permettant de choisir ses élus sur les listes devrait être envisagé.
Non
Réduire le nombre des élus est possible mais pas prioritaire. Il est préférable de supprimer le Conseil économique et social par ex, ansi que d’autres organismes inutiles ou nuisibles tels que le défenseur des droits.
Quand les enjeux sont importants, les citoyens se mobilisent.
Non
On voit mal l’intérêt de prendre en compte le vote blanc. Imaginons un second tour aux présidentielles ou aux législatives avec un résultat serré et pas de majorité absolue, que fait-on ? Le candidat ayant eu le plus de voix est élu. Donc, ça ne sert à rien.
Le référendum d’initiative citoyenne (ainsi que sur initiative du Président) est le meilleur moyen de répondre à la crise de la démocratie représentative et à la perte de confiance des citoyens envers leurs dirigeants. Pour que le résultat soit validé, une participation minimale devrait être envisagée (25% pour les RIC législatifs ou modifiant/supprimant un traité international; 50% pour les RIC constitutionnels). Pour les RIC législatifs, il ne devrait pas être possible de proposer une augmentation de la dépense publique ni une baisse des impôts (conformément à la constitution). Le débat public pourrait être éclairé par un débat au Parlement, un avis du Conseil d’Etat ou du Conseil constitutionnel ainsi que de la Cour des Comptes. Aucune question ne devrait être taboue, en tout cas pour les RIC constitutionnels.
Oui
Le RIP est tellement compliqué qu’il est inapplicable. Il faut passer au RIC, ce qui serait le meilleur moyen de désamorcer la crise des gilets jaunes. Il serait aussi important d’étendre le champ des questions que le Président peut soumettre à référendum.
Ne jamais annnoncer de nouvelles dépenses publiques sans dire comment elles seront financées.
Le conseil doit être supprimé, il ne sert à rien. Le Sénat représente les territoires via son mode d’élections.
Oui
Il faut supprimer le Conseil économique et social et instaurer la proportionnelle pour l’élection des sénateurs.
Assurer que les cultes ne soient pas financés, même indirectement.
L’islam pose un défi majeur à nos sociétés. Il convient d’affirmer haut et fort nos valeurs. La France n’a pas à s’adapter à l’islam, c’est l’islam qui doit s’adapter à la France. Voir immigration et intégration.
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Il n’y a généralement pas de réponses pénales aux incivilités (injures, intimidations, propos ou gestes sexistes, tags, vols, etc), faute de preuves et de plainte des victimes. La généralisation de la vidéosurveillance couplée à des logiciels devenus très performants grâce à l’intelligence artificielle, devraient permettre d’identifier et de retrouver beaucoup plus facilement les auteurs de ses délits, et donc encourager les victimes à porter plaintes. Si la jeune femme insultée et agressée dans Paris devant une terrasse de café n’avait pas pu compter sur la vidéosurveillance, sa plainte serait restée sans suite.
Investir dans la vidéosurveillance et l’intelligence artificielle.
Chacun peut aider à filmer et donc documenter des délits.
Les intimidations ou insultes par des voyous de banlieues.
Voir réponses plus haut. Politique de tolérance zéro.
Oui
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La politique migratoire est un désastre depuis des décennies du fait du manque de volonté des gouvernements qui se sont succédés et d’une lecture abstraite de droits artificiels des migrants proclamés par des juges nons élus. Il convient de reprendre entièrement la maîtrise de notre politique migratoire en apportant de profonds changements à la politique d’asile, au contrôle de nos frontières, à notre politique de reconduite à la frontière et à notre politique de migration légale. Le droit d’asile doit être revu afin que nul ne puisse demande l’asile en France s’il a transité auparavant par un pays dans lequel il aurait pu demander l’asile (notamment tout pays de l’UE). Les procédures doivent aussi être accélérées, par ex en prévoyant que les demandeurs originaires de pays pour lequel le taux de reconnaissance est inférieure à 25% soit l’objet d’une procédure accélérée, avec placement en centre fermé et appel non suspensif en cas de décision négative. Le droit européen doit être revu, de manière à ce que la France puisse rétablir des contrôles à ses frontières sans conditions et sans limitation de durée dans le temps, faute de quoi la France devrait sortir de la zone Schengen et faire comme l’avait obtenu le Royaume-Uni un opt-out pour l’acquis Schengen. Une politique de reconduite à la frontière efficace passe par la criminalisation de la migration irrégulière, le placement systématique et sans limitation dans le temps en centre fermé des personnes en situation irrégulière jusqu’à leur expulsion, ainsi que des sanctions envers les pays d’origine non coopératifs (suspension de la délivrance des visas et des aides au développement). De plus, aucune régularisation automatique ne doit avoir lieu (suppression de la circulaire Valls), seules les régularisations pour service rendu à la France ou pour l’intérêt supérieur du pays devraient être possibles. La politique de migration légale doit favoriser l’assimilation et implique donc la fin du droit au regroupement familial (qui empêche l’intégration en favorisant les mariages avec des conjoints venus des pays d’origine), la fin de l’automaticité du droit du sol (manifestation obligatoire de volonté et exclusion de toute personne ayant été condamnée ou ne présentant pas des garanties d’intégration), l’expulsion systématique de tous les délinquants étrangers et la déchéance de nationalité pour tous les Français condamnés pour terrorisme. Afin d’éviter le retour des combattants étrangers, une liste de pays où les ressortissants français auraient interdiction de se rendre sous peine de déchéance de leur nationalité devrait être dressée (Syrie, Afghanistan, Yemen, Libye, Irak...). Cette interdiction ne s’appliquerait évidemment pas aux fonctionnaires dans l’exercice de leurs fonctions, ni aux personnes ayant reçu une autorisation préalable (journalistes par ex). La déchéance de la nationalité ne devrait pas être limitée aux binationaux.
Il est absurde de s’imposer une obligation illimitée en matière d’asile. Des objectifs annuels devraient être fixés, y compris par catégorie (asile, regroupement familial, études, travail), en fonction des besoins de la France de sa capacité à intégrer les étrangers en question et de la capacité des étrangers à s’intégrer.
Compte tenu de la dérive démographique de l’Afrique et de son enrichissement relatif, le nombre de candidats à la migration devrait exploser et les Africains devenir majoritaires en Europe d’ici 30 ou 40 ans, si nous poursuivons la politique actuelle de laissez-faire, ce qui sonnerait la fin de notre civilisation. Il est donc impératif de mettre en oeuvre une politique de fermeté absolue avec un contrôle strict aux frontières (murs ou grillages), un rejet des arrivées par mer et une politique de retour systématique. Les principes du droit d’asile doivent être modifiés en profondeur (voir plus haut) car ils ne correspondent plus du tout à la réalité d’aujourd’hui. Les personnes fuyant les conflits devraient rester à proximité de leur pays, afin de pouvoir y revenir facilement une fois le conflit terminé. Pour cela, la convention de Genève sur les réfugiés doit être révisée ou dénoncée. La solidarité internationale devrait s’exprimer soit par un soutien financier, soit par des reinstallations, au choix des pays. Cette solidarité ne devrait pas se limiter aux pays occidentaux mais aussi aux grands émergents, Chine en tête, et aux pays du Golfe.
L’intégration passe par la suppression du droit au regroupement familial, qui perpétue le lien entre l’immigré et son pays d’origine. L’intégration passe par l’exogamie. Elle implique une révision des programmes de l’Education nationale. Aux Etats-Unis, les enfants apprennent dès leur plus jeune âge qu’ils ont la chance de vivre dans le plus beau pays du monde. Cette approche un peu naïve peut faire faire sourire mais elle facilite l’intégration. En France, les programmes d’histoire et les dirigeants se complaisent dans la repentance et l’autoflagellation. Il faut réenchanter le roman national et porter à travers l’école et les cérémonies officielles une image essentiellement positive de l’histoire de la France. L’intégration passe aussi par l’expulsion des imams radicaux.
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