Date de publication : 2019-02-25
Code postal : 75003

Grand débat - fiscalité et dépenses publiques

1. Quelles sont toutes les choses qui pourraient être faites pour améliorer l'information des citoyens sur l'utilisation des impôts ?

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2. Que faudrait-il faire pour rendre la fiscalité plus juste et plus efficace ?

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3. Quels sont selon vous les impôts qu'il faut baisser en priorité ?

Il faut supprimer complètement l’ISF. Il décourage l’investissement dans l’immobilier alors qu’on a besoin de plus de logements en France. Il faut aussi baisser les charges sociales qui pèsent sur le travail et ont donc un impact négatif sur la compétitivité française. Leur baisse devrait être compensée par une hausse de la TVA qui pèse sur tous les produits, importés ou produits en France, de manière équivalente.

4. Afin de financer les dépenses sociales, faut-il selon vous...

Reculer l'âge de la retraite|Revoir les conditions d'attribution de certaines aides sociales

5. S'il faut selon vous revoir les conditions d'attribution de certaines aides sociales, lesquelles doivent être concernées ?

Aucune dépense de santé ne devrait être remboursée à 100%, de manière à faire des économies et à responsabiliser les assurés sociaux. Seuls les personnes souffrant d’une maladie grave et les enfants devraient pouvoir couverts à 100%. L’aide médicale d’Etat doit être supprimée.

6. Quels sont les domaines prioritaires où notre protection sociale doit être renforcée ?

Aucun.

7. Pour quelle(s) politique(s) publique(s) ou pour quels domaines d'action publique, seriez-vous prêts à payer plus d'impôts ?

Le régalien : l’armée, la police, la justice et la prison.

8. Y a-t-il d'autres points sur les impôts et les dépenses sur lesquels vous souhaiteriez vous exprimer ?

Le système d’assurance chômage doit être revu, car de nombreuses personnes cumulent indemnités et travail au noir et ne souhaitent plus travailler officiellement. Il faut donc lutter contre le travail au noir et avoir une politique d’indemnisation plus courte. Dans les hôpitaux, il y aussi un grand nombre d’abus. Le contribuable français n’a pas vocation à payer les frais de santé des étrangers, ni à financer leurs études. De ce point de vue, l’augmentation des droits d’inscription devraient être beaucoup plus élevée, de manière à couvrir les frais réels.

Grand débat - démocratie et citoyenneté

1. En qui faites-vous le plus confiance pour vous faire représenter dans la société et pourquoi ?

Les élus, parce que c’est le principe de base de la démocratie, et même si cette représentation est imparfaite.

2. En dehors des élus politiques, faut-il donner un rôle plus important aux associations et aux organisations syndicales et professionnelles ?

Non

3. Si oui, à quel type d'associations ou d'organisations ? Et avec quel rôle ?

None

4. Que faudrait-il faire pour renouer le lien entre les citoyens et les élus qui les représentent ?

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5. Le non-cumul des mandats instauré en 2017 pour les parlementaires (députés et sénateurs) est :

Une bonne chose

6. Pourquoi ?

C’est une bonne chose pour les députés mais pas pour les sénateurs qui sont censés représenter les collectivités locales.

7. Que faudrait-il faire pour mieux représenter les différentes sensibilités politiques ?

La proportionnelle pourrait être étendue pour les élections locales, mais pas pour les élections nationales car il est important qu’une majorité puisse se constituer à l’Assemblée hors des jeux d’appareil politique. De plus, afin d’éviter que la proportionnelle ne favorise les apparatchiks des appareils politiques, un système à l’allemande permettant de choisir ses élus sur les listes devrait être envisagé.

8. Pensez-vous qu'il serait souhaitable de réduire le nombre d'élus (hors députés et sénateurs) ?

Non

9. Si oui, lesquels ?

Réduire le nombre des élus est possible mais pas prioritaire. Il est préférable de supprimer le Conseil économique et social par ex, ansi que d’autres organismes inutiles ou nuisibles tels que le défenseur des droits.

10. Que pensez-vous de la participation des citoyens aux élections et comment les inciter à y participer davantage ?

Quand les enjeux sont importants, les citoyens se mobilisent.

11. Faut-il prendre en compte le vote blanc ?

Non

12. Si oui, de quelle manière ?

On voit mal l’intérêt de prendre en compte le vote blanc. Imaginons un second tour aux présidentielles ou aux législatives avec un résultat serré et pas de majorité absolue, que fait-on ? Le candidat ayant eu le plus de voix est élu. Donc, ça ne sert à rien.

13. Que faudrait-il faire aujourd'hui pour mieux associer les citoyens aux grandes orientations et à la décision publique ? Comment mettre en place une démocratie plus participative ?

Le référendum d’initiative citoyenne (ainsi que sur initiative du Président) est le meilleur moyen de répondre à la crise de la démocratie représentative et à la perte de confiance des citoyens envers leurs dirigeants. Pour que le résultat soit validé, une participation minimale devrait être envisagée (25% pour les RIC législatifs ou modifiant/supprimant un traité international; 50% pour les RIC constitutionnels). Pour les RIC législatifs, il ne devrait pas être possible de proposer une augmentation de la dépense publique ni une baisse des impôts (conformément à la constitution). Le débat public pourrait être éclairé par un débat au Parlement, un avis du Conseil d’Etat ou du Conseil constitutionnel ainsi que de la Cour des Comptes. Aucune question ne devrait être taboue, en tout cas pour les RIC constitutionnels.

14. Faut-il faciliter le déclenchement du référendum d'initiative partagée (le RIP est organisé à l'initiative de membres du Parlement soutenu par une partie du corps électoral) qui est applicable depuis 2015 ?

Oui

15. Si oui, comment ?

Le RIP est tellement compliqué qu’il est inapplicable. Il faut passer au RIC, ce qui serait le meilleur moyen de désamorcer la crise des gilets jaunes. Il serait aussi important d’étendre le champ des questions que le Président peut soumettre à référendum.

16. Que faudrait-il faire pour consulter plus directement les citoyens sur l'utilisation de l'argent public, par l'Etat et les collectivités ?

Ne jamais annnoncer de nouvelles dépenses publiques sans dire comment elles seront financées.

17. Quel rôle nos assemblées, dont le Sénat et le Conseil économique, social et environnemental, doivent-elles jouer pour représenter nos territoires et la société civile ?

Le conseil doit être supprimé, il ne sert à rien. Le Sénat représente les territoires via son mode d’élections.

18. Faut-il les transformer ?

Oui

19. Si oui, comment ?

Il faut supprimer le Conseil économique et social et instaurer la proportionnelle pour l’élection des sénateurs.

20. Que proposez-vous pour renforcer les principes de la laïcité dans le rapport entre l'Etat et les religions de notre pays ?

Assurer que les cultes ne soient pas financés, même indirectement.

21. Comment garantir le respect par tous de la compréhension réciproque et des valeurs intangibles de la République ?

L’islam pose un défi majeur à nos sociétés. Il convient d’affirmer haut et fort nos valeurs. La France n’a pas à s’adapter à l’islam, c’est l’islam qui doit s’adapter à la France. Voir immigration et intégration.

22. Que faudrait-il faire aujourd'hui pour renforcer l'engagement citoyen dans la société ?

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23. Quels sont les comportements civiques qu'il faut promouvoir dans notre vie quotidienne ou collective ?

None

24. Que faudrait-il faire pour favoriser le développement de ces comportements civiques et par quels engagements concrets chacun peut-il y participer ?

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25. Que faudrait-il faire pour valoriser l'engagement citoyen dans les parcours de vie, dans les relations avec l'administration et les pouvoirs publics ?

None

26. Quelles sont les incivilités les plus pénibles dans la vie quotidienne et que faudrait-il faire pour lutter contre ces incivilités ?

Il n’y a généralement pas de réponses pénales aux incivilités (injures, intimidations, propos ou gestes sexistes, tags, vols, etc), faute de preuves et de plainte des victimes. La généralisation de la vidéosurveillance couplée à des logiciels devenus très performants grâce à l’intelligence artificielle, devraient permettre d’identifier et de retrouver beaucoup plus facilement les auteurs de ses délits, et donc encourager les victimes à porter plaintes. Si la jeune femme insultée et agressée dans Paris devant une terrasse de café n’avait pas pu compter sur la vidéosurveillance, sa plainte serait restée sans suite.

27. Que peuvent et doivent faire les pouvoirs publics pour répondre aux incivilités ?

Investir dans la vidéosurveillance et l’intelligence artificielle.

28. Quel pourrait être le rôle de chacun pour faire reculer les incivilités dans la société ?

Chacun peut aider à filmer et donc documenter des délits.

29. Quelles sont les discriminations les plus répandues dont vous êtes témoin ou victime ?

Les intimidations ou insultes par des voyous de banlieues.

30. Que faudrait-il faire pour lutter contre ces discriminations et construire une société plus solidaire et plus tolérante ?

Voir réponses plus haut. Politique de tolérance zéro.

31. Pensez-vous qu'il faille instaurer des contreparties aux différentes allocations de solidarité ?

Oui

32. Si oui, lesquelles ?

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33. Que pensez-vous de la situation de l'immigration en France aujourd'hui et de la politique migratoire ? Quelles sont, selon vous, les critères à mettre en place pour définir la politique migratoire ?

La politique migratoire est un désastre depuis des décennies du fait du manque de volonté des gouvernements qui se sont succédés et d’une lecture abstraite de droits artificiels des migrants proclamés par des juges nons élus. Il convient de reprendre entièrement la maîtrise de notre politique migratoire en apportant de profonds changements à la politique d’asile, au contrôle de nos frontières, à notre politique de reconduite à la frontière et à notre politique de migration légale. Le droit d’asile doit être revu afin que nul ne puisse demande l’asile en France s’il a transité auparavant par un pays dans lequel il aurait pu demander l’asile (notamment tout pays de l’UE). Les procédures doivent aussi être accélérées, par ex en prévoyant que les demandeurs originaires de pays pour lequel le taux de reconnaissance est inférieure à 25% soit l’objet d’une procédure accélérée, avec placement en centre fermé et appel non suspensif en cas de décision négative. Le droit européen doit être revu, de manière à ce que la France puisse rétablir des contrôles à ses frontières sans conditions et sans limitation de durée dans le temps, faute de quoi la France devrait sortir de la zone Schengen et faire comme l’avait obtenu le Royaume-Uni un opt-out pour l’acquis Schengen. Une politique de reconduite à la frontière efficace passe par la criminalisation de la migration irrégulière, le placement systématique et sans limitation dans le temps en centre fermé des personnes en situation irrégulière jusqu’à leur expulsion, ainsi que des sanctions envers les pays d’origine non coopératifs (suspension de la délivrance des visas et des aides au développement). De plus, aucune régularisation automatique ne doit avoir lieu (suppression de la circulaire Valls), seules les régularisations pour service rendu à la France ou pour l’intérêt supérieur du pays devraient être possibles. La politique de migration légale doit favoriser l’assimilation et implique donc la fin du droit au regroupement familial (qui empêche l’intégration en favorisant les mariages avec des conjoints venus des pays d’origine), la fin de l’automaticité du droit du sol (manifestation obligatoire de volonté et exclusion de toute personne ayant été condamnée ou ne présentant pas des garanties d’intégration), l’expulsion systématique de tous les délinquants étrangers et la déchéance de nationalité pour tous les Français condamnés pour terrorisme. Afin d’éviter le retour des combattants étrangers, une liste de pays où les ressortissants français auraient interdiction de se rendre sous peine de déchéance de leur nationalité devrait être dressée (Syrie, Afghanistan, Yemen, Libye, Irak...). Cette interdiction ne s’appliquerait évidemment pas aux fonctionnaires dans l’exercice de leurs fonctions, ni aux personnes ayant reçu une autorisation préalable (journalistes par ex). La déchéance de la nationalité ne devrait pas être limitée aux binationaux.

34. En matière d'immigration, une fois nos obligations d'asile remplies, souhaitez-vous que nous puissions nous fixer des objectifs annuels définis par le Parlement ?

Il est absurde de s’imposer une obligation illimitée en matière d’asile. Des objectifs annuels devraient être fixés, y compris par catégorie (asile, regroupement familial, études, travail), en fonction des besoins de la France de sa capacité à intégrer les étrangers en question et de la capacité des étrangers à s’intégrer.

35. Que proposez-vous afin de répondre à ce défi qui va durer ?

Compte tenu de la dérive démographique de l’Afrique et de son enrichissement relatif, le nombre de candidats à la migration devrait exploser et les Africains devenir majoritaires en Europe d’ici 30 ou 40 ans, si nous poursuivons la politique actuelle de laissez-faire, ce qui sonnerait la fin de notre civilisation. Il est donc impératif de mettre en oeuvre une politique de fermeté absolue avec un contrôle strict aux frontières (murs ou grillages), un rejet des arrivées par mer et une politique de retour systématique. Les principes du droit d’asile doivent être modifiés en profondeur (voir plus haut) car ils ne correspondent plus du tout à la réalité d’aujourd’hui. Les personnes fuyant les conflits devraient rester à proximité de leur pays, afin de pouvoir y revenir facilement une fois le conflit terminé. Pour cela, la convention de Genève sur les réfugiés doit être révisée ou dénoncée. La solidarité internationale devrait s’exprimer soit par un soutien financier, soit par des reinstallations, au choix des pays. Cette solidarité ne devrait pas se limiter aux pays occidentaux mais aussi aux grands émergents, Chine en tête, et aux pays du Golfe.

36. Quelles sont, selon vous, les modalités d'intégration les plus efficaces et les plus justes à mettre en place aujourd'hui dans la société ?

L’intégration passe par la suppression du droit au regroupement familial, qui perpétue le lien entre l’immigré et son pays d’origine. L’intégration passe par l’exogamie. Elle implique une révision des programmes de l’Education nationale. Aux Etats-Unis, les enfants apprennent dès leur plus jeune âge qu’ils ont la chance de vivre dans le plus beau pays du monde. Cette approche un peu naïve peut faire faire sourire mais elle facilite l’intégration. En France, les programmes d’histoire et les dirigeants se complaisent dans la repentance et l’autoflagellation. Il faut réenchanter le roman national et porter à travers l’école et les cérémonies officielles une image essentiellement positive de l’histoire de la France. L’intégration passe aussi par l’expulsion des imams radicaux.

37. Y a-t-il d'autres points sur la démocratie et la citoyenneté sur lesquels vous souhaiteriez vous exprimer ?

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