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Oui
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Il ne faudrait plus des élu-es déconnecté-es de la réalité de la majorité des citoyen-nes, des professionnel-les vivant "de et pour la politique", la recherche de pouvoir et de l'argent ne doit plus dominer. Imposer des mandats impératifs et établir une réelle démocratie.
Une bonne chose
Etre députée ou sénatrice-teur est une profession à plein temps, si on veut leur permettre d'effectuer correctement et dans de bonnes conditions leur métier à responsabilité, le cumul doit être interdit.
Il faudrait par exemple instaurer la proportionnalité, changer le système de vote en comptabilisant le vote blanc et nul, et également mettre en place le vote préférentiel (réduit le vote stratégique, on vote plus pour ses idées en classant les propositions). Nous pouvons aussi réfléchir à établir une démocratie plus directe, faire participer les citoyen-nes.
Non
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La participation aux élections est faible, ce qui est totalement compréhensible vu que chaque vote a peu de poids, que les élus ne tiennent pas leur promesses, qu'aucun correspond à nos idées. Prenons l'exemple des dernières élections: - le président gouverne alors que seulement 17,84% des personnes inscrites ont voté pour lui au 1er tour (même si nous disons que la majorité des ces personnes étaient d'accord avec ses idées, en quoi cela est une démocratie ?) - les député-es LREM dispose de 53% des sièges or seulement 13,43% des inscrit-es ont voté pour eux et elles au premier tour Changer le mode de scrutin pourrait éventuellement augmenter la participation (prendre en compte vote blanc, vote nul, vote préférentiel, proportionnel...). Cependant, il est important de rappeler que l'élection n'est pas démocratique !
Oui
Le comptabiliser totalement, ainsi s'il faut 50% des suffrages exprimés on ne pourra pas être élu sans les avoir.
Déjà le terme de démocratie participative est assez ironique, il faut simplement mettre en place d'une véritable démocratie (qui est par définition participative et délibérative). Changer le mode de scrutin, instaurer des mandats impératifs, respecter enfin la Constitution de la Vème République (que le président rende les pouvoirs qu'il a pris dans la pratique, redonner une utilité aux deux chambres, que les élu-es puissent voter des lois ou en refuser selon leurs idées); de plus les référendum peuvent être une idée mais très limitée, la question étant posée et orientée par le gouvernement, les citoyen-nes ne peuvent pas en débattre ni proposer des solutions, iels doivent répondre seulement pour oui ou non (un peu comme les questions de ce grand débat...). Il faudrait de la démocratie directe, que les citoyen-nes puissent avoir leur mot à dire, proposer des idées. Sous quelle forme ? Je ne sais pas et justement il faut en débattre avec des personnes de toutes origines sociales, professions, genres, âges, races (au sens sociologique)... Faut-il élire des citoyens non professionnel de la politique ? Faut-il tirer au sort des citoyen-nes pour diriger, au moins en partie ? Faut-il une démocratie plutôt au niveau local et qui monte jusqu'au national ? Ne pas hésiter à se renseigner, sur ce qui existe déjà et ce qui a existé, et ne pas prétexter de fausses excuses pour ne pas essayer et garder le vieux système élitiste d'une démocratie libérale capitaliste.
Oui
En diminuant les conditions de déclencher le RIP, par exemple un certain nombre de citoyen-nes pourraient suffire, l'appui de moins de parlementaires (il faut 20% des parlementaires, or avec notre système aujourd'hui déjà 53% des sièges sont à la REM).
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Il faudrait appliquer équitablement et avec justice la laïcité, c'est-à-dire par exemple supprimer le concordat en Alsace-Moselle, arrêter les discriminations envers les religions (principalement non catholique), au niveau de l'école avoir des cours de science des religions...
Il faudrait dans un premier temps que l'Etat respecte ses valeurs, ainsi toutes et tous respecteront plus facilement ces valeurs. L'éducation a également un rôle à jouer, ainsi que chaque représentant-e de l'Etat.
L'engagement citoyen dans la société se développerait plus si les personnes ont plus de temps libre, à consacrer à cela. Il faudrait changer les valeurs guidant la société, sortir du capitalisme et de l'économie de marché, faire que l'économie redevienne subordonnée à la société (et non l'inverse). Travailler moins, arrêter la surconsommation, aller vers une décroissance réfléchie, que toutes et tous aient plus de temps pour le commun.
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Discriminations sur le genre, la race (définition sociologique), l'origine sociale...
Cela passe par l'éducation, le respect par les institutions elle-même, la loi... L'Etat devrait déjà être juste, solidaire et tolérant.
Non
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La France ne respecte pas ses valeurs et ses engagements moraux, la Déclaration universelle des droits de l'Homme. Elle ose donner des leçons à d'autres pays, alors qu'elle laisse mourir des migrants en méditerranée ou dans les Alpes, qu'elle emprisonne des enfants, qu'elle abandonne des réfugiés dans des camps de fortune qu'ensuite elle détruit par la force armée etc. Aucun critère ne devrait être mise en place, seulement des conditions correctes, dignes et respectables dans l'accueil.
Parler de quota d'être humain, "d'obligation d'asile remplies", est je trouve choquant, car ce n'est pas une obligation d'asile, ce serait plutôt un devoir, une obligation morale. La France devrait se préoccuper d'offrir un accueil convenable aux immigrants. Nous ne pouvons pas décider de limiter l'immigration, les Hommes ont de tout temps migrer, nous ne pouvons pas construire un mur complètement inutile. Les femmes, enfants et hommes qui viennent le fond au péril de leur vie (mort, esclavage...), car pour eux rien n'est pire que leur vie dans leur lieu d'origine (guerre, famine, catastrophes naturelles, misère...). Les immigrants sont une force pour le pays, ceux sont des personnes extrêmement volontaires, courageuses et reconnaissantes si nous faisons notre devoir.
Ce "défi" n'est pas réellement un défi. Il ne va pas durer, il a toujours existé et continuera tant que l'être humain existera sur la planète. Il faut mettre des moyens dans l'accueil et l'insertion. Ensuite, la solution est la résolution des problèmes à l'origine, cependant même si la France a des actions possibles, il ne faut pas rentrer dans du paternalisme.
La maîtrise de la langue française est primordiale pour une bonne intégration, cela doit être offert à toutes et tous.
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Votre message a bien été envoyé.