196879 réponses (3.6% du corpus) en rapport avec "travail" ont été trouvées et analysées en temps réel pour produire cette page, en respectant les filtres choisis.
102613 personnes (57.6% des répondants) se sont exprimées sur votre requête.
Les répondants ont eu la possibilité de remplir plusieurs questionnaires, regroupés en 4 grandes thématiques.
Il est toutefois possible que des réponses ayant un rapport avec votre requête travail soient présentes dans une thématique différente de celle lui étant naturellement attribuée.
D'autres sources de données, complémentaires à celles recueillies sur la plateforme du grand débat, sont amenées à être ajoutées à cet outil par la suite.
Les réponses proviennent de 90 questions différentes, réparties dans quatre questionnaires.
Ci-contre, vous trouverez le top 5 des questions dans lesquelles votre requête travail est présente.
1) Afin de financer les dépenses sociales, faut-il selon vous... (35466 réponses)
2) S'il faut selon vous revoir les conditions d'attribution de certaines aides sociales, lesquelles doivent être concernées ? (9426 réponses)
3) Y a-t-il d'autres points sur les impôts et les dépenses sur lesquels vous souhaiteriez vous exprimer ? (9068 réponses)
4) Pensez-vous qu'il faille instaurer des contreparties aux différentes allocations de solidarité ? Si oui, lesquelles ? (7880 réponses)
5) Quelles sont, selon vous, les modalités d'intégration les plus efficaces et les plus justes à mettre en place aujourd'hui dans la société ? (7717 réponses)
Ci-contre, vous trouverez la répartition des réponses associées à votre requête travail, par date de mise en ligne.
Rappelons que la plateforme du Grand Débat était accessible du 22 janvier au 8 mars avec un important pic de participation dans les premiers jours.
La requête travail est associée à différents concepts. Ci-dessous, vous trouverez les principaux concepts souvent évoqués en lien avec la requête.
La taille des mots est proportionnelle à l'importance du thème, et la couleur à la positivité moyenne des réponses dans lesquelles le thème apparaît. Plus d'informations sont disponibles dans la rubrique ("Analyse de sentiments") ci-dessous.
Répartition des résultats de la recherche travail selon le type de répondant, parmi les catégories suivantes :
La carte ci-contre présente la surreprésentation de votre requête travail par département. Plus la part de réponse traitant de votre requête est élevée dans un département, plus sa couleur est foncée.
La carte ci-contre permet d'analyser la répartition géographique des réponses en lien avec votre requête travail.
Elle indique les villes dans lesquelles on retrouve le plus de fois des réponses pertinentes par rapport à votre recherche, avec le top 10 suivant :
La visualisation des réponses pour les régions d'outre-mer sera très bientôt disponible.
(A titre indicatif)
La carte ci-contre présente la positivité moyenne des réponses retrouvées dans la recherche, agrégées au niveau des départements.
Pour ce faire, l'ensemble des réponses ayant un rapport avec votre recherche travail a été analysé. Selon le lexique et les tournures de phrases employées dans ces réponses, un algorithme détermine si celles-ci sont plutôt négatives, positives, ou neutres (voir encadré pour une explication sur la méthode).
Du fait de l'imperfection de ces méthodes, en français notamment, les résultats sont à interpréter avec précaution.
Ci-dessous, la liste des réponses associées à votre requête travail.
Chaque encadré correspond à une réponse qui fait figurer les termes de votre recherche, accompagnée de la question associée. En cliquant sur « Ouvrir », vous pourrez accéder à l’ensemble du questionnaire de la personne concernée, pour les quatre thématiques.
Reculer l'age de la retraite et ainsi augmenter le temps de travail revient à accroitre la quantité de travail nécessaire pour obtenir une même prestation sociale. Réduire les "charges sociales" ou plus justement les contributions sociales salariales ou patronales sur le travail diminuent le revenus des salariés (sauf si elle leurs sont intégralement restituées) qui ne pourront plus bénéficier de ces revenus pour financer LEURS BESOINS en aides sociales. Créer de nouveaux types de travail sans couverture sociale (ex: auto-entrepreneurs) avec en plus l'absence totale de garantie de l'emploi et des salaires peu élevés induit une grande précarité face à la maladie ou l’arrêt de l'activité. Ces nouveaux métiers entre en concurrence directe avec les artisans / les consultants qui contribuent à la contribution sociale. Ces solutions conduisent donc à une dépréciation continue du travail (en total opposition avec l'augmentation de la productivité des dernières décennies). Par contre les revenus octroyés aux actionnaires n'ont cessés d'augmenter et de plus leur contribution à l'effort fiscal qui pourrait compenser la dépréciation du revenu du travail par une redistribution sociale, n'a cessé de diminuer. Aujourd'hui la question est donc qui du travail, de la finance ou du patrimoine va financer les dépenses sociales éléments du revenu du travail? Ou comment restituer la contribution sociale supprimée. De plus les apparentes économies de l'état (en cours ou attendues) se traduisent par une sous rémunération des salariés indispensables (infirmière, aide soignante, accompagnement des seniors, personnel de nettoyage...avec des charges de travail énormes, des arriérés d'heures supplémentaires non payées...). Rien n'est gratuit, ni les soins, ni l'école, ni l'ordre,...; Si on veut bénéficier de cette apparente gratuité qui est effective pour les plus démunis il faut que chacun y contribue à mesure de ses moyens. et de ses revenus. Etant donné qu'aujourd'hui la finance a pris le pas sur le travail en s'accaparant une part touours plus grande de la valeur ajoutée, c'est à elle de financer majoritairement les prestations sociales. Donc oui Mr le Président de la République il va falloir revoir complètement la politique fiscale adoptée au début de votre quinquennat si vous souhaiter un réel apaisement. Oui on peut diminuer la fiscalité du travail, à la stricte condition d'augmenter celle de la finance et éventuellement du patrimoine pour maintenir et même augmenter le revenu réel du travail au travers des prestations (puisque la productivité du travail augmente). En complément il faut baisser la TVA des produits de première nécessité, augmenter fortement celle des produits générateurs de maladie ou d'impact écologique négatifs ( alcool, glyphosate, .....). Sinon école payante, santé payante (la carte bleu avant de rentrer dans l’hôpital)..... et un chao social, des pertes de libertés (déjà programmés) .... Parler aujourd'hui de la valeur travail est une grande duperie que tous les citoyens sur les rondpoints ont bien compris, il faut vite corriger.
Rappeler que le travail au noir est une faute pour les deux parties . Protester contre l'évasion fiscale et sociale mais accepter le travail au noir comme cela est le cas pour la grande majorité des Français est Skyzophrène.... Le travail au noir favorise la non recherche d'un travail, augmente les dépenses sociales, diminuent les recettes fiscales et sociales
Rétablir la notion de travail. Encourager le travail et l'initiative individuelle. Ne pas sanctionner par une jalousie et une taxation maladives ceux qui réussissent par leur travail.
Partager le travail, financer de grands travaux par l'impôt, réduire le nombre de chômeurs et de ce fait augmenter le temps de travail collectif. Cela réduira le coût de l'assurance chômage et augmentera les recettes par l'impôt lié au travail et à l'activité créée. Lutte contre le travail au noir et régularisation des migrants qui travaillent clandestinement.
Oui; Tout simplement en les laissant faire leur travail même si cela déplait à certain élus ou à certaines personnes bien placée. Par exemple, les inspecteurs du travail sont de plus en plus muselés voire sanctionnés lorsqu'ils tentent de faire respecter le code du travail... et donc de faire leur travail.
Oui; Autant que possible, du travail. Tout travail mérite salaire mais tous salaire mérite un travail. Le travail quel qu'il soit est un excellent moyen de se respecter en tant que personne et donc de respecter les autres. Les emplois peuvent être associatif par exemple, le but n'est pas de faire de la richesse mais bien de justifier l'argent que l'on touche
Nous avons l'assemblée nationale, nous avons le Sénat, nous avons des ministres, des secrétaires d'état, un Président nous n'avons pas besoin d'instances supplémentaires telle que le conseil économique et social et environnemental. Que chacun fasse son travail, que son travail mais tout son travail.
amélioration des conditions de travail pour diminuer les arrêts de travail, et les maladies professionnelles, les accidents du travail
Autoriser le travail des immigrés qui ont des enfants scolarisés, même s' ils n' ont pas la carte de séjour dés lors qu' ils n' ont pas une obligation de quitter le territoire. L'interdiction de travail est un mauvais exemple pour les enfants, elle favorise le travail au noir.
Une bonne chose; Pour qu’ils se concentrent sur leur travail. Néanmoins, je m’etonne qu’ils n’aient pas l’obligation de se rendre à leur travail (absentéisme à l’assemblée et au sénat). Quel français a t il le droit de ne pas se rendre au travail sans explication ni pénalité ??
Votre message a bien été envoyé.