Pour limiter les accidents de chasse, pour rendre les chasseurs plus vigilants, pour obliger les chasseurs à plus de respect envers les animaux, pour qu’ils ne maltraitent pas leur chien, nous proposons d’introduire un permis de chasser à points. Ces infractions, de bon sens, feraient perdre des points : - la chasse en état d’alcoolémie, - l’absence de visite médicale annuelle, - les actes de cruauté sur un animal (domestique ou sauvage), - l’arme en mauvais état, - la mise en danger de la vie d’autrui, - la maltraitance d’un animal domestique, - la divagation des chiens de chasse, - l’arme non déclarée, - le non respect des règles de sécurité (arme chargée tenue en bandoulière, arme pointée vers autrui, …), - la chasse après usage de stupéfiant, - la chasse d’une espèce non autorisée, - l’absence de certificat d’aptitude au tir annuel. Le permis, s’il était perdu, serait perdu à vie. Une mise à l’épreuve de 3 ans serait prévue pour les nouveaux chasseurs. La sécurité au volant est une préoccupation générale. Depuis des années l’introduction du permis à points a renforcé la sécurité routière en responsabilisant les conducteurs. La nature, comme la route, sont des espaces à partager. La majorité de la population française refuse la chasse, loisir pour humains en recherche de sensations toutes personnelles. Aussi, nous souhaitons que vous agissiez fermement. Agrandir la zone de non chasse autour des habitations, écoles, bâtiments publics et chemins de randonnée à 300 mètres pour accroître la sécurité des non chasseurs

Aucune décision ne saurait être prise aujourd'hui sans en examiner les conséquences écologiques. Celles-ci devraient  primer toujours lorsqu'il faudra choisir. Et ce n'est pas comme s'il y avait une alternative. Ceci formulé, il est évident que cela aura des incidences économiques fortes, donc, créera des problèmes d'emploi. Il faudrait, par conséquent envisager une transfer des consommations et des emplois et donc des formations offertes. Par exemple : si nous consommons de la nourriture locale bio, il y a perte d'emploi dans l'import mais gain dans le maraîchage et la transformation, dans la construction et conduite des trains au lieu des voitures... De même, si nous arrêtons d'avoir pour loisir la consommation massive, il faut la remplacer par de la consommation culturelle. Celle-ci peut être passive tel la fréquentation de musée , des salles des spectacles... mais aussi active comme la participation à des cours, la pratique du dessin et d'instruments de musique. Egalement sportive, et ludique,  la randonnée, les jeux collectifs, la cuisine, les travaux manuels, le jardinage, le bricolage... Rien de tel que la créativité pour se sentir vivant. Rien de plus mort-né que l'achat compulsif qui est compulsif car dans acte d'achat seul l'ACTE satisfait. Transformons cet acte en acte de création, de réparation, d'éducation qui sont à effet durable. Ces activités ont l'intérêt de créér des relations humaines qui satisfont mieux le vide de l'existence que l'accumulation de richesses. Elles génèrent de emplois d'éducation de service, de proximité. Des emplois créatifs artistiques, sportifs... Nous gagnerons moins mais consommeront moins aussi. Avons-nous le choix ?

Un service civile obligatoire et universel Chaque jeune français devra consacrer en tout entre 6 mois et 18 mois à son pays. Ces 6 à 18 mois sont à placer par période d'1 mois minimum et entre 16 et 26 ans. On peut faire 6 fois 1 mois, (6 années de suite, pendant l'été pour les étudiants), ou 3 fois 2 mois, ou 1 fois 6 mois. Mais si l'expérience est enrichissante, on peut aussi renouveler et aller jusqu'à 18 mois en tout. Cette période sera reconnue et valorisée dans le CV du jeune, et elle comptera comme 2 à 6 trimestres au moment du départ en retraite. Les garçons et les filles doivent tous y participer, et toutes les classes sociales sont concernées. Aucune exemption ne sera possible car ce service civile n'exigera aucune capacité physique particulière. Seules les personnes en situation de handicap pourront en être dispensé Ce service aura lieu au sein d'associations dont l'objet est social ou environnemental, et qui auront été agrées "service civil" par leur commune d'implantation. Sphère sociale : aide aux personnes âgées (chez elles ou en ephad), aide aux personnes en difficulté (type croix rouge), aides administratives aux migrants, restau du coeur etc... Sphère environnementales : dépollution des sites naturels, entretien des chemins de randonnée, des pistes cyclables, aides dans les filières de tri etc... Ces associations sont soutenues par les pouvoirs publics, par une somme versée pour chaque jeune accueilli. Cette somme est en partie versée au jeune en question à titre d'indemnité. Le solde est gardé par l'association afin de couvrir ses frais de fonctionnement.

On a façonné notre monde depuis 40-50ans. L'automobile et l'automobiliste sont l'objet de toutes les attentions des gouvernements depuis les 70ies : - les voitures se sont perfectionnées sans arrêt et arrivent à un niveau de technicité incroyable. Dans les 70ies une familiale faisait 70ch et 1200cc maintenant 140ch et 2000cc. Les voitures de 200ch ne sont pas rares. - Jupettes, Baladurettes... , la voiture relance l'économie - développement du réseau routier ("la surface d'un département bétonné en 10ans") - après avoir divisé par 4 le nombre de morts dans cette période, on continue de vouloir les réduire. - Ma vitesse est contrôlée 5 à 600 fois par an. En 40 ans de permis mon alcoolémie a été contrôlée 3 fois. Pourtant la 1ère cause présente dans les accidents mortels c'est l'alcoolémie. Est-ce les accidents mortels que l'on chasse ?? - radars manuels, radars automatiques, PV par caméra... Où est la dissuasion ? la peur du gendarme ? la réprimande ? - diesel favorisé, puis critiqué... - taxes de toutes natures sur le carburant, la cylindrées, péage, amendes, vignettes... - 30000 à 40000 poids-lourds par jour empruntent l'A1 sans filtre à particule avec plus de 50% d'étrangers qui n'acquittent aucune taxe... - des milliers de panneaux fleurissent sur nos routes depuis quelques années. Les limitations changent tous les kilomètres on ne s'y retrouve plus ... Sortons de cette schizophrénie dans laquelle on encourage autant qu'on peu le transport routier tout en lui reprochant tous les maux... Pendant ces 40 ou 50 ans on a démantelé des milliers de km de lignes de chemin de fer local qui sont aujourd'hui à l'abandon ou transformés en chemin de randonnée. On a arrêté les tramway du début du siècle. Le transport fluvial est devenu anecdotique, le frêt ferroviaire est à l'agonie. Le transport c'est un ensemble de moyens. Il faut (ré-)investir sur ceux qui ne polluent pas, qui sont pas cher pour l'usager,... Tout a déjà été fait et on l'a détruit pour la voiture et le TGV. La France est à l'image de ce qu'on en a fait. Tout a déjà été fait : ouvrez vos yeux !

- Interdire l'élevage de gibier destiné à la chasse, c'est un non sens, qui prouve que la chasse est vécue comme un loisir plaisir de tuer, et n'a rien à voir avec ladite régulation des espèces. Les animaux relâchés sont inadaptés à la vie dans la nature, ils ne craignent pas les hommes, et sont des proies tellement faciles pour les chasseurs ! De même, les chasseurs qui déposent de la nourriture pour les sangliers... ne font que les appâter !!! C'est tellement inéquitable ! Les chasseurs contribuent en fait à alimenter les animaux qu'ils vont ensuite prétendre "réguler", car trop nombreux. Non sens ! - Sanctionner les chasseurs (avant leur disparition souhaitée) avec un permis à points, pour limiter les trop nombreux accidents de chasse, et les rendre plus responsables et respectueux. Les sanctionner pour alcoolémie, en cas de maltraitante animale (envers leurs chiens ou tou animal sauvage), en cas de mise en danger de la vie d'autrui (non respect des règles de sécurité) - Créer une zone de non chasse autour des lieux habités (écoles, villages, chemins de randonnée) - Reconsidérer la notion de "nuisibles" : changer de regard sur les animaux, tous utiles à la Biodiversité qui se régulent, sans l'intervention de l'homme ; sortir renards, putois, fouines, martres, belettes, oies bernaches... de la liste des "nuisibles" ; interdire le piégeage, cruel et indigne de l'homme, l'enfumage des terriers, etc. - Créer des sanctuaires, centres de sauvegarde et de protection de la vie sauvage - Eduquer au respect de la Biodiversité, communiquer sur le sujet, en faire un enjeu vital : sans biodiversité, pas de vie humaine ! - Repenser les conditions d'élevage des animaux destinés à l'alimentation (et faire comprendre que ce type d'alimentation est néfaste à l'environnement, à la Planète) : abolir définitivement les cages pour les animaux, et interdire les fermes ou hangars concentrationnaires (pour la fin des fermes de 1000 vaches...) - Réduire drastiquement la consommation de produits d'origine animale. - Proposer des alternatives végétaliennes dans les menus de cantines, ou deux fois par semaine pour commencer. - Abattoirs : adopter la proposition de loi Falorni (janvier 2017) : obligation de présence de caméras dans les abattoirs, et transmission des images aux services de contrôle vétérinaire, et aux associations de protection animale. - Interdire la vente d'animaux dans les animaleries et de la part des particuliers (le bon coin).

L’état via ‘’une Datar’’ devrait améliorer les mobilités dans territoires à fort taux de chômage mais ayant un ‘’bassin touristique potentiel’’ (= port à créer, trams à étendre, spots à créer et/ou à relier, accès trottoirs aux chemins de randonnées), afin de gommer les réticences des habitants locaux ayant déjà un travail, à accepter le développement du tourisme local, en créant : -1° port sur ile artificielle (ex : au large de la Grande motte= cf. idée ancien maire de Castelnau le lez) pour l’accostage des navires de croisière, car ils ont un tirant d’eau important ; -2° spots de sports de glisse sur les étangs (plus sécures qu’en mer) (ex : dans Aglo ‘Pays de l’Or’) -3° extension des tracés des trams aux frontières des agglos contiguës à celles ayant une gare (ex : extension tram 3 de ‘ Montpellier’ aux ‘Pays de l’Or’). Cela permettra de ‘gommer’ les querelles d’élus locaux à ces frontières, -4° des trottoirs (à relier à des chemins de randonnée) dans les banlieues de petites villes ayant une gare (à garder ! et à rendre accessibles par bus dont le soir et le dimanche) (Exemple : Romette, banlieue de Gap dont la gare et la ligne sncf est à garder ) ; ces trottoirs permettraient aussi aux seniors de faire des promenades circulaires à l’intérieur de leur village. -5° dans l’Hérault où il y a un fort taux de chômage, aider à créer des entreprises locales par coaching par des entrepreneurs de territoires en ayant beaucoup (cholet, lille, vallée savoyarde,...), et implanter chantier naval. -6° aider à la promotion du tourisme pré art roman donc des œuvres qui sont principalement en Camargue et Provence : St Maries de la mer, Arles, St Maximin la st Baume (Marie Madeleine !). En copiant le tourisme suscité par la présence de tombeaux paléo chrétiens en Italie (Pierre à Rome) et en Espagne (Jacques à Compostelle). -7° dans les déserts médicaux ( où , par contre, on vit rarement en colocation contrairement à paris !) , les médecins (~60% de femmes) ne souhaitent pas s'y installer si leurs conjoints n'y trouvent pas de travail ; Il faut admettre que la société a changé : autrefois médecins de campagne (souvent des hommes) avaient des conjointes ne travaillant pas !

Les Centrales Eoliennes Industrielles produisent une électricité qui est - fatale (quand le vent veut bien souffler entre 15-50-90 km/h), - intermittente (la production moyenne de la région AURA est de 23% du temps), il faut donc activer des centrales thermiques à flamme, principalement au gaz (pendant 77% du temps) qui produisent des gaz à effet de serre, - l’électricité éolienne est non stockable et non pilotable (alors que le photovoltaïque de toiture associé au Smartgrid est stockable et pilotable). L'éolien n'est donc d’aucune utilité, car au lieu de réduire la facture énergétique de la France, l’éolien produit le phénomène inverse : il l’augmente. Il faut acheter les éoliennes à l’étranger et faire fonctionner à 77% du temps nos centrales thermiques à charbon, fioul, gaz puisque l’énergie éolienne ne fonctionne que 23% du temps et n’est pas stockable. Si cela ne suffit pas, il faut importer de l’électricité produite à partir de centrale à charbon. Cela ne rentre pas dans l’objectif de diminuer les émissions de CO² par 4. Les centrales industrielles éoliennes ont un mauvais fonctionnement : 1.47 GW de production en France pour 12 GW installés en France et 1.49 GW produit pour 49 GW installés en Allemagne, aux USA des champs entiers d’éoliennes sont à l’abandon et en Allemagne c’est l’arrêt des subventions pour ces machines. De plus, l'éolien est très coûteux : pour l’abonné avec une taxe CSPE de 5.7 milliards d’euros pour 2017 (La CSPE est passée de 3€/MW en 2002 à 22.50 €/MW en 2016). Cela creuse également le déficit d’EDF qui a une obligation d’achat pour l’éolien soit 4 milliards d’euros de recapitalisation payés par les impôts du contribuable. Seul les promoteurs éoliens et ses actionnaires en voient les bénéfices et c’est pour cette raison qu’ils sont très insistants auprès des élus et des instances. Il faut donc penser à une vraie transition écologique et stopper l'oppression de ces lobbyings. L'éolien nuit à la biodiversité : goudronnage de chemin de randonnée, semelle en béton qui restera dans le sol pour l'éternité, fuite de liquide de refroidissement, feu de forêt....) Enfin, l'éolien divise les populations et créé un mauvais climat social, dès lors, comment motiver les populations à la transition énergétique ?

* Cesser toute subvention, directe ou indirecte, aux entreprises, activités et produits polluants (chimie, énergies fossiles) ; au contraire, aider les entreprises, activités et produits proposant une alternative moins polluante et plus responsable socialement. * Interdire la vente d’emballages non recyclables, faire payer le recyclage des autres aux fabricants * Ne prendre les ordures ménagères qu’à la pesée, avec un accent sur le prix à la tonne au lieu du forfait mensuel * Appliquer les sanctions, éventuellement renforcées, contre le dépôt d’ordures, les jets de déchets (mégots inclus) et les feux de déchets, largement inappliquées à la campagne * Inclure dans l’enseignement primaire des modules montrant pourquoi et comment consommer moins et mieux, la différence entre les produits maison (savon, lessive, compost, conserves, confitures, jardinage, apiculture, poules…) et l’industriel, au niveau environnemental et pour le plaisir retiré à leur fabrication et leur utilisation * Interdire l’utilisation agricole d’emballages non recyclables, comme les bâches enveloppant les balles d’herbe à ensiler, un non-sens écologique * Taxer l’électroménager de luxe (robot cuisinier, aspirateur robot, tondeuse robot, smartphones, portes de garage mécanisées…) sans toucher à celui de base (cuisinière, micro-ondes, tondeuse, accès internet et forfait téléphonique…) * Exploiter la forêt intelligemment : ne plus raser les parcelles entièrement, mais ne prélever que le nécessaire, sans destruction du sol (débardage par chevaux, par câble) * Maintenir des réserves de biodiversité forestière sous la forme de parcelles inexploitées, de préférence les moins accessibles aux humains pour limiter le dérangement des habitants * Maintenir certaines zones vierges de toute activité et présence humaine, y compris le tourisme ou la randonnée * Légaliser la récolte des plantes, fruits, champignons… des vergers, bois ou parcelles inexploités ou abandonnés sans l’assimiler à du vol ; permettre l’entretien desdits vergers par les récoltants pour éviter leur envahissement et, à terme, l’arrêt de leur production ; conserver une limite aux prélèvements en milieu naturel, de nature à assurer le renouvellement de l’espèce et la conservation du milieu * Interdire la circulation de loisir d’engins motorisés en forêt et dans les milieux naturels * Interdire la distribution de prospectus publicitaires dans les boîtes aux lettres ; n’autoriser que la publicité adressée avec consentement préalable et droit de désinscription rappelé lisiblement sur le recto de l’enveloppe * Interdire l’illumination des bâtiments commerciaux en dehors des horaires d’ouverture et la nuit, entre 22 h et 6 h * Interdire l’éclairage publique en dehors des quartiers à l’intérêt touristique justifié et entre 23 h et 5 h * Interdire tout dépôt de déchets, même par le propriétaire ou avec son accord * Utiliser les taxes sur les énergies et combustibles non renouvelables pour financer ceux qui le sont ; par exemple, taxer les hydrocarbures utilisés pour le chauffage pour financer le remplacement des chaudières gaz et fioul des ménages modestes par des modes de chauffages à énergie renouvelable * Cesser la chasse dans les zones de présence permanente du loup, vu que la raison d’être de la chasse est la régulation du gibier à la place des prédateurs naturels * Faire respecter ces interdictions et les assortir de peines de nature à décourager la commission de ces infractions, pas des peines symboliques * Interdire les cadeaux et avantages offerts aux parlementaires par les lobbyistes ; rendre dissuasif le non-respect de leur obligation de déclaration d’intérêts * De manière générale, faire montre de pédagogie, expliquer pourquoi le toujours plus, toujours plus vite de notre société nous envoie dans le mur

Lutter de manière absolument efficace en faveur de la biodiversité et la protection des espèces (être humain compris) et se donner ce point comme objectif intangible, impliquera obligatoirement le traitement des autres points laissés au choix dans la question de ce §. 1°) Inciter les agriculteurs à se tourner vers des modes de production respectueux de l'environnement et du consommateur en asservissant progressivement les aides financières légales à ce type de comportement. 2°) Que la Charte de l’environnement (loi constitutionnelle n°2005-205 du 1er mars 2005 - JORF n°0051 du 2 mars 2005 page 3697) ne reste pas lettre morte. Aussi difficile soit-elle, son application doit bénéficier d’une planification acceptable, mais effective. 3°) Soutien constitutionnel à la loi du 28 janvier 2015 reconnaissant les animaux comme des êtres vivants doués de sensibilité. 3°) Tout animal sauvage doit voir préservés ses chemins de migration et de reproduction ancestraux entre les massifs forestiers. Ces sites doivent être rendus inaliénables avec le maintien des limites géographiques des surfaces forestières restantes. Leurs déplacements sur ces chemins doivent être sécurisés par les services publics par construction de bio-ponts, de bio corridor, de remontées des berges de cours d’eau aux endroits les plus favorables à la faune. La chasse pratiquée selon les règles administratives est une activité bénéfique à la diversité de la faune sauvage ainsi qu'à la conservation et au bon entretien des pistes et massifs forestiers. L'action des associations et fédérations de randonnée, de pêche, des mycophiles et autres cueilleurs divers agit également en ce sens et l'administration doit arbitrer la bonne intelligence dans l'occupation de ces zones d'activités par l'ensemble de ces intervenants. 4°) Tout animal domestique destiné à la consommation humaine doit être élevé dans les conditions les plus proches de ses habitudes naturelles et ceci, sans contrarier exagérément le travail des agriculteurs et des éleveurs. Les animaux doivent être traités de façon à ce qu’ils ne souffrent pas outre mesure de leurs conditions d’élevage ou de transport. Le lait destiné à la consommation humaine et à sa commercialisation doit être issu de la traite d'une bête bien traitée, saine, propre, élevée librement en pâturage en 03 saisons et recevant du foin en saison hivernale. Les tourteaux de soja sont dorénavant supprimés de l'alimentation du bétail au profit de l'alimentation traditionnelle. Toute viande présentant des traces de pesticides ou d'antibiotiques sera déclarée impropre à la consommation humaine ou animale et le vendeur sera responsabilisé. 5°) Mise en place de mesures régulières sur le débit et la qualité des eaux de nos cours d’eau donnant autorité à l’Etat pour imposer progressivement des actions correctives aux pollueurs et lui permettant d’assurer une gestion halieutiques pointue, saine et réfléchie de nos rivières. 6°) Dans toutes nos eaux territoriales d’outre-mer, ce sont, à minima, les recommandations de la réglementation européenne en matière d’utilisation d’engins de pêche professionnelle, de filets dérivants et des palangres qui feront foi. Interdiction de la pêche électrique dans nos eaux territoriales et de la vente de tout produit issus de cette technique. Interdiction de la pêche illégale dans les ZEE françaises sous peine d’arraisonnement de gré ou de force du navire de pêche par la Marine Nationale, ce qui entraînera sa saisie-confiscatoire par l’état français. Mesure visant notamment à protéger d’extinction d’espèces menacées dans l’Indo-Pacifique et dans nos mers australes (divers cétacés, légine, etc…).

Quels sont les comportements civiques qu'il faut promouvoir dans notre vie quotidienne ou collective ? les maires ont une action à mettre en place : un courrier ou le journal de la commune individuellement s’il y en a un afin de les avertir de toutes les possibilités qui leur sont offertes ou de leur dire de proposer une idée pour améliorer la vie communale et environnementale. -Créer un lieu des traditions par rapport à la région. -Apprendre les gestes de 1er secours. -Avec internet, les communes peuvent faire envoyer leur projet pour délibération, discussion entre voisins et celui-ci mis pour accord ou rejet au conseil municipal suivant. -Créer un pôle d’activités autour des spécificités de la région, randonnée sportive, poterie, découverte forestière, safari ou rallye participatif. -Trouver des systèmes plus écologiques pour le traitement des eaux usées (exemple : Les eaux usées des deux bourgs sont toujours dirigées vers le site de l’ancienne station où ne subsistent qu’un broyeur et une pompe. Elles sont ensuite refoulées par une canalisation de transfert à 1,7 km et 24 mètres plus haut sur la colline dans la nouvelle station qui s’étend sur trois hectares. L’eau décante dans un premier bassin de 4500 m2, entouré de roseaux. Puis, par gravitation, elle circule dans trois autres bassins, plantés de joncs du tonnelier, de typhas ou d’iris lacustres qui se nourrissent des matières organiques passant lentement à leurs pieds. L’eau termine son voyage de santé en serpentant à travers une saulaie d’un hectare qui absorbe les derniers nutriments. Redevenue parfaitement claire et propre, elle retourne enfin à la rivière. De 120 à 150 m3 d’eau sont ainsi filtrés chaque jour. Cette station-jardin, équipée de six panneaux pédagogiques, est visitée annuellement par 1 500 enfants. Le coût de l’infrastructure, 500 000 euros environ. Autre exemple : supprimer totalement les produits chimiques pour l’entretien des espaces verts de la commune. Pour le centre-ville, où il fallait laisser pousser le moins d’herbe possible, la municipalité a acquis une centrale à vapeur (coût : 16 000 euros, financés à 50% par l’Agence de l’eau). « Il faut passer cette cloche à vapeur trois fois par an au lieu d’un seul passage pour les produits chimiques, mais le personnel adhère à cette pratique, car il a été formé en ce sens. Et il n’a plus besoin de porter de scaphandres… » Pour une deuxième zone comprenant le stade, le cimetière, les services de la mairie ont recours soit à la centrale à vapeur, soit à un ‘désherbeur’ thermique (coût 4 000 euros), soit au fauchage, soit au désherbage manuel pour lequel sont embauchés des étudiants. Enfin, dans une troisième zone, l’herbe peut pousser à son aise, sur les trottoirs des rues excentrées ou dans les lotissements où le sol en " stabilisé " permet de laisser passer l’eau. « Les habitants ont été associés à cette politique, à travers des articles, des conférences publiques, par exemple avec l’association des jardiniers de France. Nous faisons également un travail pédagogique dans les écoles ». Pour compléter le dispositif, les produits chimiques utilisés pour l’entretien intérieur des bâtiments publics ont été remplacés par des produits biologiques. Inciter les jeunes à être les organisateurs de leurs loisirs (création, façonnage du projet et réalisation : d’une piste de skate, kiosque de rassemblement musical, interaction avec les anciens de la commune (genre service civil de la commune), etc…