18621 réponses (0.3% du corpus) en rapport avec "numérique" ont été trouvées et analysées en temps réel pour produire cette page, en respectant les filtres choisis.
14477 personnes (8.1% des répondants) se sont exprimées sur votre requête.
Les répondants ont eu la possibilité de remplir plusieurs questionnaires, regroupés en 4 grandes thématiques.
Il est toutefois possible que des réponses ayant un rapport avec votre requête numérique soient présentes dans une thématique différente de celle lui étant naturellement attribuée.
D'autres sources de données, complémentaires à celles recueillies sur la plateforme du grand débat, sont amenées à être ajoutées à cet outil par la suite.
Les réponses proviennent de 90 questions différentes, réparties dans quatre questionnaires.
Ci-contre, vous trouverez le top 5 des questions dans lesquelles votre requête numérique est présente.
1) Quels nouveaux services ou quelles démarches souhaitez-vous voir développées sur Internet en priorité ? (2365 réponses)
2) Que pensez-vous de l'organisation de l'Etat et des administrations en France ? De quelle manière cette organisation devrait-elle évoluer ? (1616 réponses)
3) Quand vous pensez à l'évolution des services publics au cours des dernières années, quels sont ceux qui ont évolué de manière positive ? (1296 réponses)
4) Quelles améliorations préconiseriez-vous [pour les nouvelles formes de services publics]? (1160 réponses)
5) Comment l'Etat et les collectivités territoriales peuvent-ils s'améliorer pour mieux répondre aux défis de nos territoires les plus en difficulté ? (1042 réponses)
Ci-contre, vous trouverez la répartition des réponses associées à votre requête numérique, par date de mise en ligne.
Rappelons que la plateforme du Grand Débat était accessible du 22 janvier au 8 mars avec un important pic de participation dans les premiers jours.
La requête numérique est associée à différents concepts. Ci-dessous, vous trouverez les principaux concepts souvent évoqués en lien avec la requête.
La taille des mots est proportionnelle à l'importance du thème, et la couleur à la positivité moyenne des réponses dans lesquelles le thème apparaît. Plus d'informations sont disponibles dans la rubrique ("Analyse de sentiments") ci-dessous.
Répartition des résultats de la recherche numérique selon le type de répondant, parmi les catégories suivantes :
La carte ci-contre présente la surreprésentation de votre requête numérique par département. Plus la part de réponse traitant de votre requête est élevée dans un département, plus sa couleur est foncée.
La carte ci-contre permet d'analyser la répartition géographique des réponses en lien avec votre requête numérique.
Elle indique les villes dans lesquelles on retrouve le plus de fois des réponses pertinentes par rapport à votre recherche, avec le top 10 suivant :
La visualisation des réponses pour les régions d'outre-mer sera très bientôt disponible.
(A titre indicatif)
La carte ci-contre présente la positivité moyenne des réponses retrouvées dans la recherche, agrégées au niveau des départements.
Pour ce faire, l'ensemble des réponses ayant un rapport avec votre recherche numérique a été analysé. Selon le lexique et les tournures de phrases employées dans ces réponses, un algorithme détermine si celles-ci sont plutôt négatives, positives, ou neutres (voir encadré pour une explication sur la méthode).
Du fait de l'imperfection de ces méthodes, en français notamment, les résultats sont à interpréter avec précaution.
Ci-dessous, la liste des réponses associées à votre requête numérique.
Chaque encadré correspond à une réponse qui fait figurer les termes de votre recherche, accompagnée de la question associée. En cliquant sur « Ouvrir », vous pourrez accéder à l’ensemble du questionnaire de la personne concernée, pour les quatre thématiques.
Par le numérique en faisant accéder chaque citoyen à son espace numérique de citoyenneté créé à sa naissance. Tout doit être résumé de sa vie dans un espace hyper blindé garanti par la France. Chaque citoyen est une citadelle imprenable et impénétrable que par l'état. Cet état est le dépositaire de la vie numérique de son citoyen et son garant. L'état crée le double numérique bienveillant qui le gère en bon père de famille. Mettre enfin la France à l'abri du racket informatique et cette horreur de fracture numérique. Un SDF avec un portable à 2 balles doit pouvoir accéder à son espace numérique universel. Le ENU mais pas à poil, j'aime les blagues à deux balles et vous les abrev dont j'ai horreur.
Alors que je suis utilisateur heureux des services publique par voie numérique, je pense que le tout numérique est une idiotie phénoménale. Logique de profit et de moins dépenser, mais qui pénalise fortement les personnes agées qui ont, elles, besoin de services non numérique et de proximité. Il faudrait attendre, voir reculer d'une quinzaine d'années ce "tout numérique", laisser encore le choix, pour ceux qui ne peuvent utiliser ce tout numérique, soit ne le veulent pas par principe, le temps pour une génération, qui n'est pas de l'ère numérique, de disparaitre. Il y a aussi, sur ce sujet, le problème de ce choix, obliger toute personne a être connectée même contre sa volonté... cela joue sur la liberté de choix de vie. Je constate avec tristesse, que cela entraine la disparition des contacts humains, ce qui participe à la détérioration de nos vies sociales.
Le Numérique, numérique et numérique à force mais ce qui peut être efficace pour l'un ne l'ai pas pour son voisin.
Nous devons accompagner la transition numérique et contribuer à un meilleur équipement numérique des citoyens par le développement d'espace public numérique
Dans le cadre du PCAET pour les EPCI, - intégrer le numérique pour améliorer le pilotage de la consommation des bâtiments publics et des réseaux d'énergie - favoriser la produit d'énergie locale et sa redistribution Demander à l'ADEME d'intégrer le numérique (IOT) dans ses recommandations Instituer au sein des syndicats mixtes numériques une cellule d'accompagnement au service des EPCI pour accélérer la mesure et le pilotage de la consommation énergétique par le numérique (pilote actuel avec Val de Loire Numérique)
Numérique, formation au numérique, agents pour les personnes ne pouvant se servir du numérique
L'évolution vers le numérique est sans doute irrémédiable, c'est sur beaucoup de points une bonne chose, mais le côté négatif est la disparition du contact direct, et le numérique n'est pas encore utilisable par tous (personnes âgées, et surtout zones de fracture numérique!)
Non; Il faut poursuivre le déploiement des MSAP avec les PIMMS qui est une bonne réponse à la diversification des services publics sur les territoires (ruraux notamment) et à leur digitalisation. Le modèle existant de la mutualisation des services fonctionne et il faut le renforcer. Les PIMMS sont en capacité d'apporter une contribution efficace pour le développement et l'animation du réseau des MSAP par son expertise, sa connaissance des réseaux, sa maitrise des outils numériques et sa capacité à travailler en réseau avec l'ensemble des acteurs sociaux et numériques présents sur les territoires. Déjà en lien rapproché avec la Caisse des dépôts, La Poste et les services de l'Etat - Mounir Majhoubi (secrétaire d'Etat au numérique), les PIMMS sont en marche pour l'inclusion numérique avec la médiation sociale numérique, le chèque APTIC et la participation à la coopérative du numérique (MedNum - Médiation Numérique). Nous sommes un acteur essentiel pour accompagner la politique du gouvernement.
Il faut revenir à une consommation raisonnée, stigmatiser le papier pour le tout numérique n'est pas une solution pour l'environnement. En effet, un utilisateur peut revenir sur un document en version papier autant de fois qu’il le désire, sans que cela ne pèse sur son empreinte énergétique : consulter plusieurs fois sa facture imprimée sur papier ne coûte rien, mais l’ouvrir en version numérique implique une nouvelle navigation, voire un téléchargement, sachant que le « poids » d’une seule recherche Google est déjà estimé à 10 grammes en équivalent-carbone. Le papier est quant à lui recyclable alors que le numérique non. De fait, il convient de revenir au support papier qui serait moins polluant que le numérique et ainsi utiliser le numérique que pour le strict nécessaire et en limitant les destinataires et les pièces jointes superflues.
on s'achemine vers du tout numérique ou une administration controlé par le numérique ce qui veut dire évacuer l'humain du système. Par nature les humains sont divers or les algorithmes de fonctionnement qui soutiennent le numérique fonctionne en normalisant le comportement humain ce qui veut dire que ce qui ne sont pas dans le pic de normalité ne peuvent pas être pris en charge. Il n'y a aucun moyen de contourner ces algotithmen une fois qu'ils sont mis en place => donc les problèmes hors "normes" ne peuvent etre pris en charge !Il faut remmettre de l'humain dans les systèmes pour prendre en charge ces problmes. Par contre une grande partie des démarches automatiques (remplir des formulaires par example) pourrait être fait de façon numérique , en s'appuyant sur un principe de signature numérique généralisée.
Votre message a bien été envoyé.